Traduction | Crossways de W. B. Yeats (1889)

Le chant du berger heureux

Le forêt d’Arcadia est mort.
Et leur joie ancienne est fini;
De ancien le monde en rêvant disparaissait;
Le vrai gris est maintenant son jouet peinte;
Pourtant encore elle tournait sa tête sans reste:
Mais O, enfants maladies du monde,
De tout les beaucoup de choses changeant
Dans la passe chérie en dansant nous virevoltait,
À la mélodie fissurée ce qui Chronos chante,
Mots solitaires sont bon certain.
Là que maintenant les rois en guerre,
Le mot est-moqueurs? – Par le Rood,
Là que maintenant les rois en guerre?
Un mot vain est maintenant leur gloire,
Par le écolier bégayant dirait,
Lisant quelques histoires impliques:
Les rois du le temps ancien sont mortes;
La terre errante elle-même peut être
Seulement un mot flamboyant soudaine,
L’espace en changeant un moment écoutait,
Avec troublant la rêverie sans fin.

Puis nullement de adoration actes poussiéreux,
Ni recherche, à ceci est vrai aussi,
À faim violemment après la vérité,
De peur tout ton travailler dur faisait naître seulement
Nouvelles rêves, nouvelles rêves; il n’y a pas de vérité
Savourant dans ton propre cœur, Recherche, puis,
Pas de apprendre des hommes étoilés,
Qui suivent avec la verrière optique
Les voies tourbillonnantes des étoiles qui passe –
Cherche, puis, pour ceci est vérité aussi,
Aucun mot d’eux – le fléau des étoiles froides
A fendu et loue ses cœurs dans les deux,
Et mort est tout leur vérité humaine.
Va chercher près du mer du bourdonnante
Quelque coquille tordu, abritant l’écho,
Et à ses bords ta histoire dit,
Et ils deviendront tes consolateurs,
Tes mots agités un petit instant,
Vers ils doivent chanter disparaissant dans la pitié
Et une fraternité nacrée meurt;
Pour mots seuls sont bons certains:
Chante, puis, pour c’set le vérité aussi.

Je doit partir: il y a une tombe
Qù jonquille et lis ondulantes,
Et je voudrais plaire le faune malheureux,
Enterré dessous le sol somnolent,
Avec chansons joyeux avant l’aube.
Jours de sa cri avec joie étaient couronnés;
Et encore je rêve qu’il marche sur la pelouse
Marchant fantomatique dans la rosée.
Percé par mon chantant heureux partout,
Mes chansons de jeunesse rêveuse de la terre ancienne:
Mais ah! elle rêves rien maintenant; rêve toi!
Pour équitable sont les pavots sur le front:
Rêve, rêve, pour ceci est vérité aussi.

Le berger triste

Il y avait un homme ce qui appelé La Tristesse par son ami,
Et il, de grand camarade La Tristesse rêvant,
Allait marchant avec ses pas lents sur le brillant
Et sables bourdonnants, où les vagues de vent se propagent:
Et il appelle bruyamment aux étoiles pour pencher
De ses trônes pâles et le réconforte, mais ils
Entre eux-mêmes rient et chantent toujours:
Et puis l’homme ce qui appelé La Tristesse par son ami,
A crié, « Le mer sombre, écoute ma histoire le plus pitoyable! »
Le mer balayait et la criait crier ancien encore,
Avec roulement dans rêves de colline à colline.
Il fuyait la persécution de sa gloire.
Et, lointain, la vallée gentille arrêtant,
Criait tout sa histoire aux gouttes de rosée scintillantes.
Mais nullement ils entendraient, à ils sont en écoutant,
Les gouttes de rosée, pour la sonore de ses gouttes propres.
Et puis l’homme ce qui La Tristesse était nommé par se ami
Recherchait une fois encore la plage, et trouvait une coquille.
Et pensait, « Je serai dire ma histoire dure
Vers mes mots propres, resonant encore, devaient envoyer
Leur tristesse à travers du creux, cœur perlé,
Et ma conte encore pour moi devais chanter,
Et mes mots de chuchotement réconfortent
Et voilà! Ma charge de passe peut départir. »
Puis il chantait doucement près le bord perlé;
Mais le habitant trite côte des voies maritimes solitaires
Changeait tout qui il chantait à gémissement intriqué
Entre sa tour furieuse, l’oublier.

Le manteau, le bateau, les chaussures

« Qu’est-ce que tu fais tellement équitable et clair? »

« Je fais le manteau de Tristesse:
O charmant voir le vue des touts hommes
Est-ce que devais être le manteau de Tristesse,
Dans le vue des touts homme. »

« Qu’est-ce que tu construis avec voiles pour envol? »

« Je construit un bateau pour Tristesse:
O rapide sur les mers le jour et la nuit entières
Vogue le vagabond Tristesse.
Le jour et la nuit entières. »

« Qu’est-ce que tu tricotes avec la laine blanche? »

« Je tricotais les chaussures de Tristesse:
Silencieux doit être le bruit de pas léger
Dans œils des touts homme de Tristesse,
Soudainement et légers. »

L’indien sur Dieu

Je passais sur le bord d’eau dessus arbres humides,
Mon esprit secouait dans la lumière de soir, les ruées autour de mes genoux,
Mon esprit secouait dans le sommeil et soupirs: et voyait le rythme du mouchard
Toute égouttage sur une pente herbeuse, et leur voyait cesser de chasser
Chacun autre rond dans circles, et écoutait l’homme le plus âgé parlait:
« Qui tient le monde entre Sa fracture et fait nous forts et faibles
Est le mouchard éternel et il vit au-delà le ciel
Les pleures sont de Sa aile dégoulinante, les claires de lune de Ses yeux. »
Je passais une peu plus loin et écoutais la parole d’un lotus
« Qui faisait le monde et lui règne, il pendrait sur une tige,
Pour je suis dans Sa image faisait, et tout cette parole vaste. »
A petit chemin dedans l’ombre un chevreuil levait ses yeaux
Débordants de la lumière des étoiles, et il disait: « Le tamponneur des ciels,
Il est un antilope; pour quel d’autre, je priais, pouvais-t-il
Concevoir un chose tellement triste et douce, a chose gentile comme moi?
Qui faisait le verre et faisait les verset faisait mes plumes gaies,
Il est un paon monstrueux, et il flottait tout la nuit
Sa queue languissante au-dessus de nous, allumait avec myriade de taches de la lumière. »

L’indien à son amour

L’ile rêve sous l’aube
Et bonnes branches baissent la tranquillité;
Les paonnes dansent sur une pelouse lisse,
Un perroquet se balance une arbre,
Rage à sa image propre dans le mer émaillé.

Ici nous serons amarrer notre bateau solitaire
Et errons déjà avec les mains tissés
Murmurant doucement une bouche à une bouche,
Le long de la verre, le long de des sables.
Murmurant comment loin sont les terrains inquiets.

Comment nous sommes solitaires des mortels
Caché sous les branches séparées
Alors que nos amours grandissent une étoile indienne.
Une météore du cœur brûlant.
Un avec de la marée qui brille, les ailes qui brillent et dardent,

Les branches dures, la pigeon brunie
Ce gémit et soupir pendant cent jours:
Comment quand nous mourons nos ombres vagabonderont,
Où veille faisait le chemin rapide,
Avec la plante du pied vaporeuse par le bris somnolent d’eau.

La chute des feuilles

L’automne est fini les feuilles larges nous aiment,
Et sur les souris sur les gerbes d’orge;
Jaune les feuilles du sorbier des oiseleurs au-dessus de nous,
At jaune le feuilles mouillées de la fraise des bois.

L’heure de l’avertissement d’amour nous a assailli,
Et fatigués et chauds sont notre âme triste maintenant;
Laissons nous séparer, avant la saison de passion nous oublie,
Avec une embrasse et une larme sur ta souffle en tombant.

Éphémère

« Tes yeux qui est-ce qui n’étaient jamais ennuyeux du mien une fois
Sont courbés dans le triste sous couvercles pendants,
Parse que notre amour est d’avertissement. »
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Et puis elle:
« Bien que notre amour est d’avertissement, laisses nous nous levons
Par le frontier du lac une fois de plus
Ensemble dans cette heure du douceur
Quand l’enfant fatigué pauvre. Passion, s’endormit:
À quelle distance les étoiles semblent loins, et quelles loins
Est notre première embrasse, et ah, comment vieux mon cœur! »
Pensives ils dépassaient le long de les feuilles épuisées,
Pendant lentement lui ses mains détenait elles, répondait:
« Passion a éreinté souvent nos cœurs errants. »

Les arbres étaient autour eux, et les feuilles jaunes
Tomaient comme des météores fables dans l’ombre, et une fois
Un lapin vieux et boiteux boitaient sur le chemin:
L’automne était au-delà lui: et maintenant ils sont debout
Sur la frontière isolée de le lac un fois plus:
Tourner, il voyait qu’elle a poussé les feuilles mortes
Rassemblé dans le silence, rosée que elles yeux,
Sur poitrine et cheveux.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ « Ah, ne pas pleures » il dirait
« Alors nous sommes fatigues, pour autre amours nous attendaient;
L’haine sur et l’amour à travers de les heures sans réplique.
Avant nous on pose l’éternité; nos âmes
Sont l’amour, et un adieu permanent. »

La folie du roi Goll

Je me suis assis sur une peau de loutre matelassée.
Mon mots était bas de Ith à Emain,
Et j’ai secoué à Invar Amargin
Le cœurs des marins en difficulté dans le monde.
Et j’ai éloigné le tumulte et la guerre
Des fille et garçon et homme et bête;
Le terrain croîtrait plus riche par jour un jour,
La volaille savage de l’air agumenté
Et chacun Ollave ancienne disait,
Pendant il baissait sa tête qui s’est éteinte,
« Il fait fuir le froid du Nord. »
Ils ne apaiseront pas, les feuilles flottement autour moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Je me suis assis, j’ai réfléchi et j’ai bu du vin doux.
Un bouvier vient de la vallée intérieure,
Crier, les pirates drainaient ses porcs
À remplir ses hommes becquées-sombre
J’appelais mes hommes casse-bouteilles
Et mon voiture bruyant-effronté
Du val coulant et le glen riverain;
Et sous le clignotant des étoilés
Tomber sur les pirates du fond.
Et lueur lancer dans la gorgée de sommeil:
Leurs mains gagnaient beaucoup une torque d’or.
Ils ne chuchotaient pas, les feuilles flottement autour moi, le feuilles de hêtre vieilles.

Mais lentement, comme je criais pivotement
Et piétiné dans la fange bouillonnante,
Dans mon esprit le plus augmente
Un feu tourbillonnant et errant:
Je me lève: étoiles tranchantes brillaient dessus moi,
Autour moi, brillant tranchantes yeux des hommes:
Je riais tout haut et je me dépêchais
Par la rivage rocailleux et foin rustique;
Je riais parce que les oiseaux avaient a voltigé en passant,
Et les lumière des étoiles devenaient ombre, et les nuages volaient haut,
Et les joncs s’agitent et les eaux roulent.
Ils ne chuchoteront pas, les feuilles volent autour de moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Mais maintenant, je erre dans le forêt
Quand l’été fait fuir les abeilles d’or,
Ou dans la solitude d’autumn
Lèvent, les arbres aux couleurs de léopard
Ou quand long de les brins d’hiver
Les cormorants frissonnent sur ses pierres
Le loup gris savait moi; par une oreille
Je dirige long du cerf des bois;
Les lièvres passent à côté de moi grandissant hardiment.
Ils n’étaient pas silence, les feuilles volent autour de moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Je remontrais une petite ville
Qui s’endormis dans la lune de récolte
Et passait pointe du pied de haut en bas
Chouchouter, au air de circonstance
Est-ce que je a suivi, la nuit et le matin.
Le piétinement des pieds formidable,
Et voyait qui ce rayon tympan vieil
Descendre sur la siège de l’entrée
Et l’ennuyait à le forêt avec moi;
De quelque misère inhumaine
Nos voix mariés sauvagement trollés.
Ils ne chutera pas, les feuilles flottements autour moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Je chantais comment, quand le labeur de jour terminait,
Orchil s’ébranlait ses cheveux longs et noirs
Il se cachait le soleil mourant
Et il s’agit d’une remise l’odours faiblesse à travers de l’air
Quand mes mains passaient de fil à fil
Il a éteint, avec le son comme le rosée tombante,
Le tourbillon et le feu errant
Mais augmente une bouchée ulalu
À le sorte des fils sont déchirés et encore.
Et je devais errer forêt et colline
À travers du chaud d’été et le froid d’hiver.
Ils ne seront pas chutés, les feuilles flottant autour moi, es feuilles de hêtre vieilles.

Descendre de le jardins de salley

Descendre de le jardins de salley mon amour et j’ai rencontré;
Elle passait le jardins de salley avec petit pieds blanc de la neige.
Elle me proposait prendre l’amour facilement, que les feuilles grandirent sur l’arbre;
Mais je, être jeune et idiot, avec elle ne serait pas d’accord.

Dans un champs par la rivage mon amour et je suis debout
Et sur ma épaule penchée elle a posé sa main blanc-neige.
Elle me proposait prendre l’amour facilement, que l’herbe grandis sur les seuils;
Mais je étais jeune et idiot, et maintenant je suis plein des pleurs.

La méditions du vieux pêcheur

Tu flottes, cependant tu danses par mes pieds comme des enfants dans le jeu.
Cependant tu brilles et tu regardez, cependant tu ronronnes et tu t’élances;
Dans le juin qui était plus chaud que eux, les ondes étaient plus gris,
Quand je étais un garçon sans une blessure dans mon cœur jamais.

Le hareng sont pas de dans les marées comme ils étaient de vieux;
Mon triste! pour beaucoup un craquement donnait la nasse dans le chariot
Qui portait la prise à ville de Sligo à vendre.
Quand je étais un garçon sans une blessure dans mon cœur jamais.

Et ah, toi fière vierge, tu es pas de tellement équitable quand son aviron
Est écouté sur l’eau, tels qu’ils sont, les orgueilleux et les marginaux,
Qui rythme à la veille par les filets sur le rivage des nounours,
Quand je étais un garçon sans une blessure dans mon cœur jamais.

La ballade de père O’Hart

Bon père John O’Hart
Dans jours pénaux a sortie
À un shoneen qui avait terrains libres
Et sa bécassine et sa truite propres

Par confiance prendrait il terrains de John.
Sleveens étaient tout sa course;
Et il leur donnait comme dot à ses filles,
Et ils se marient dehors leur place.

Mais père John est monté.
And père John est descendu.
Et il portait des petits trous dans ses chaussures,
Et il portait des grands trous dans sa robe.

Tout le monde lui aime, seuls les brillants,
Qui les diables avaient par les cheveux,
Des épouses, et les chats, et les enfants,
Aux oiseaux dans le blanc du ciel.

Les oiseaux, pour il ouvre leurs cages
Comme il, en montant et en descendant;
Et il disait avec une sourire, « A-t-il le paix maintenant »;
Et il venait sa chemin avec une fronce.

Mais si quand n’importe qui mort
Venu les keeners plus rauques que les rooks,
Il leur a demandé de cesser de gémir;
Pour il était un homme du livre.

Et ces étaient les œuvres de John,
Quand, pleurer score par score,
Les gens sont arrivés dans Coloony;
Pour il est mort quand quatre-vingt-quatorze.

Il n’y avait du gémissement humain;
Les oiseaux de Knocknarea
Venaient en gémissement dans ce jour.

Les jeunes oiseaux et vieilles oiseaux
Venaient en volant, durs et tristes;
Gémissement dans de Tiraragh,
Gémissement de Ballinafad;

Gémissement de Inishmurray,
Ni ne sont restés pour mordre ou manger
Ce chemin était réprouvé tout
Qui exhument les anciennes coutumes.

La ballade de Moll Magee

Viens autour de moi, petit enfant;
Là-bas, il n’y a pas des pierres volantes à moi
Parce que je murmure aussi je vais;
Mais pitié Moll Magee

Mon homme était un pêcheur pauvre
Avec lignes de rivage dans le dire;
Mon travail était harengs salés
Le entier du longue journée.

Et quelque temps du hangar à sel
Je pouvais à peine traîner les pieds.
Sur la lumière de la lune bénie,
Au long de de la rue piétonne.

Je étais faible toujours,
Et mon bébé était né justement;
Un voisin s’occupe d’elle pendant la journée,
Je m’occupes d’elle par la mère.

Je m’allonge sur mon bébé;
Oui, petits enfants chéris,
J’ai regardé mon bébé froid
Quand la lune a grandi glaciale et claire.

Une femme faible endormis très fortement!
Mon homme devenait rouge et pâle,
Et donnait moi l’argent, and me demandait de partir
À ma place propre, Kinsale.

Il m’a fait sortir et fermait la porte,
Et donnait son malédiction à moi;
Je net loin en silence
Rien de voisin pouvait voir.

La fenêtre et la porte étaient fermés.
Une étoile éclat fable et verte,
Les petites pailles tournaient
À travers le boreen nu.

Je suis parti dans silence:
Dehors le manoir de vieil Martin
Je vois une voisine avec bienveillance
Souffle sa feu de matin.

Elle tirait de moi, ma histoire–
Mon argent est épuisé,
Et encore, avec œil pitié et scrutateur,
Elle me donne morsure et sup.

Elle dit mon homme viendra surement.
Et pousse moi la maison encore;
Mais toujours, comme je me déplace,
Sans portes ou à l’intérieur.

Pilotes le bois ou pilotes le gazon,
Ou aller au le puit,
Je pense de mon bébé
Et enthousiaste à moi-même.

Et quelques temps je suis sûr elle connais
Quand, ouvrir large sa porte,
Dieu allume les étoiles, son chandler
Et il lève les yeux aux pauvres.

Donc maintenant, oui petits enfants
Oui ne voleront pas des pierres à moil
Mais rassembler avec votre apparence brillante
Et pitié Moll Magee.

La Ballade du chasseur de renards

‘Pose-mi sur une chaise rembourrée;
Porte-moi, oui quatre,
Avec coussins ici et coussins là-bas,
Voir le monde encore une fois.

‘Stabiliser et faire disparaître;
Apportes quel chose est là-bas apporter
Conduis mon Lollard à droite et à gauche
Ou gentil dans un anneau.

‘Mets la chaise sur l’herbe
Apportes Roby et ses chiens de chasse,
Qui je peux me contenter de passer
De ces frontières terrestres.’

Sa paupière tombante, sa tête s’abaisse,
Ses yeux vieilles pouvaient avec rêves;
Le soleil sur toutes les choses qui grandis
Les chutes dans les ruisseaux endormis.

Brown Lollard piétine la pelouse,
Et pour aller le fauteuil,
Et maintenant les rêves du vieil homme sont disparus,
Il lisse le long nez brun.

Et maintenant émeut bien des langues agréables
Sur ses mains décharnées,
Pour conduire les chiens âgés et un jeune
Le chasseur près de lui se tient debout

‘Chasseur Roby, souffle le corne
Faire les collins répondent.’
Le chasseur se détache le matin
Un plaisir de cri vagabond.

Feu est dans les yeux du vieillard,
Ses doigts bougent et se balancent,
Et quand la musique vagabonde disparaît
Ils écoutent qu’il dire faiblement,

‘Chasseur Roby, souffle le corne
Faire les collins répondent.’
‘Je ne peux pas souffle dans ma corne,
Je peux mais pleurer et soupirer.’

Serviteurs autour de sa place des coussins
Sont avec nouveau chagrin arraché;
Les chiens de chasse regardent sur sa visage,
Chiens de chasse âgés et jeunes.

Un chien aveugle se sépare seulement
Sur l’herbe gorgée de soleil ;
Il tient commune profonde avec son cœur:
Les moments passe et passe;

Le chien aveugle avec un vacarme de deuil
Lever lent sa tête hivernale;
Les serviteurs le corps dans le gémissement;
Les chiens pour les décès.

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.

Traduction | Poèmes 1908-1911 de Rupert Brooke

Sonnet

Oh! Le mort sera me trouver, longtemps avant je fatigue
_ De te regarder; et me balances soudainement
Dans l’ombre et solitude et bourbier
_ DE le dernier terrain! Là-bas, attentant patiemment,

Un jour, je pense, je pensera un vent frais souffle,
_ Vois un lumière lente à travers de la marée Stygienne
Et écoute le Mort environ moi remue, inconscient,
_ Et tremblement. Et je devais savoir que tu meurent,

Et te regarder des sourcils-larges et le rêve riant
_ Passe, lumière comme toujours, à travers le hostie sans lumière,
Tranquillement considérer, départ et ballotter, et lueur –
_ Plupart de individus et fantôme déconcertant! –

Et tourne, et jette ta tête délicieuse brune
Amusément, entre le Mort ancien.

AVRIL 1909

Sonnet

Je dirait je t’aimais magnifiquement; ce n’est pas vrai.
_ Quel marées rapides longues remuaient un mer enclavé.
Sur gods ou fous les chutes très risque – sur toi –
_ L’amour grimpe de la terre à les extases se dénouent.
Mais – il y a des vagabonds dans le brume moyenne,
_ Qui crie à des ombres, embrayage, et ne peut pas dire
Si ils aiment du tout, ou, amant, à qui:
_ La madame d’une chanson vieil, une idiote dans un déguisement
Ou fantômes, ou leurs visages propres sur l’obscurité;
_ Pour l’amour de l’Amour, ou de solitude du cœur.
Du plaisir appartient à ni leurs, ni couple. Ils doutent, et soupirent,
_ Et ne aimaient pas de tout. De ceux-ci est moi.

JANVIER 1910

Success

Je pense si tu me aurais aimé quand j’ai voulu;
_ If j’aurais regardé ver le haut un jour, et vu tes yeux,
Et trouvé ma prière malade blasphématoire accordé,
_ Et ta visage brune, c’est plein de pitié et sage,
Débusqué soudainement; la divinité dans nouveau peur
_ Intolérablement tellement luttant, et tellement honteux;
Plupart saint et loin, si tu serais venu tout près,
_ Si la terre aurait vu de la Terre des limbes sauvages les plus majestueux.
Secoué, et piégé, et frissonnant, pour ma touche –
_ Moi-même devrait j’aurais égorgé? ou cela toi salissait.
Mais ces dieux étranges, qui ont donné beaucoup,
_ À t’avoir vu et connu, ceci ils ne pourraient pas faire.
Une dernière honte était m’a épargné, un noir monde est non-dit;
Et je suis seul; et tu ne t’es pas réveillée.

JANUARY 1910

Poussière

Quand le feu blanc dans nous est parti.
_ Et, donc, nous perdons le plaisir du monde
Raidir dans l’obscurité, laissé seul
_ Emitter dans notre nuit divisée;

Quand tes cheveux lestes sont tranquilles dans le mort,
_ Et à travers des lèvres corruptions poussées
A fixée l’ouvrier de ma souffle –
_ Quand nous étions poussière, quand nous étions poussière! –

Pad de mort, pas de indésirable encore,
_ Toujours sensible, toujours insatisfait,
Nous monterons l’air, et brille, et voltige,
_ Autour les lieux quand nous mourions.

Et la danse comme poussière avant le soleil,
_ Et la lumière de pied, et ouverte,
Dépêcher de chemin à chemin, et courir
_ Environs les courses du vent.

Et de plus en plus, sur la terre ou l’air
_ Ira à tout vitesse et luira, abattra derniers jours,
Et comme un pèlerin secret voyage
_ Par la façon désireuse et invisible,

Pad de rester jamais, pas de poser jamais
_ Just’à, au-delà de penser, excepté de vue,
Une paille de tout la poussière, c’est moi,
_ Je dois rencontre un atome qui est toi.

Alors dans quelque jardin faisait taire par le vent,
_ Chaud en la rémanence d’un coucher de soleil
Les amoureux dans les fleurs trouveront
_ Une croissance inquiète douce et étrange

Sur le paix; et, le désir de passé
_ Tellement haut une belle dans l’air,
Et telle lumière, et telle recherche,
_ Et telle extase radiante de-là,

Ils ne sauront pas si c’est le feu, ou la rosée
_ Ou dehors de la terre, ou dan l’apogée
Chantant, ou la flamme, ou le parfum, ou la teinte
_ Ou les deux qui passent, dans lumière, à lumière.

Dehors du jardin, plus haut, plus haut…
_ Mais à ce moment ils deviendront apprendre
La extase bouleversante de notre feu,
_ Et les cœurs faibles sans passion brûleront

Et pâle dans ce lueur incroyable,
_ Jusqu’à l’obscurité fermée au-dessus;
Et ils sauront – imbéciles pauvres, ils sauront! –
_ Une moment, que c’est à aimer.

DECEMBRE 1909 – MARS 1910

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.

Traduction | Experiments & Poèmes 1905-1908 de Rupert Brooke

Second meilleur

Ici dans le noir, Ô cœur;
Seul avec le fin de la terre, et la nuit
Et le silence, et l’odeur chaud étrange de trèfle;
Vision claire, quoique il toi casse; à l’écart loin
Du décès mieux, le cher et vieil plaisir;
Jette ton rêve d’immortalité,
Ô fidèle, Ô imprudente amoureuse
Il y a paix pour toi, et sûreté; ici l’un
Sagesse – la vérité! – “Touts les jours le soleil bon heureux
Pluies amour et labeur sur toi, vin et chanson;
Les bois verts sourient, le vent souffle, tout le jour
De nuit.” Et nuit finit toutes les choses. Puis viendrai
Non lampe relume dans le ciel, non voix criant.
Ou lumières changent, ou rêves et formes qui flottent!
(Et, cœur, pour touts tes soupirs,
Ce grandeur-là et ces larmes sont plus et plus…)

Et la vérité n’ont rien nouveaux espoirs,
Cœur, qui tu pleures encore au Paradis?
Est-ce que ils chuchotements toujours, les cris vieux faibles
“Mi-adolescent et chanson, festin et carnaval,
À travers rire, et à travers les roses, même autrefois
On vient décès, par ombragé et pieds constants,
Décès est le fini, le fini!”

Fiers, et, yeux-clairs et en souriant, venent à saluer
Décès comme un ami!

Exil d’immortalité, sage fortemente,
Effort à travers le noir avec yeux indésirables
À quoi pouvait au-delà de lui. Situe ton depart,
Ô cœur, éternellement! Mais, derrière la nuit.
Attende pour le grand qui n’est pas encore né, quelque place au loin,
Des levers du soleil blancs extrêmes. Et la lumière,
En retournant, rendraient les heures d’or,
Mer un niveau sans vent, le Terre une pelouse
Endroits pour danses ensoleillés spacieux et pleins
Et rire, et musique, et, entre les fleurs,
Les hommes joyeux de cœurs d’enfant, et le visages comme enfant
Ô cœur, dans la grande aube!

1908

Le jour que j’ai aimé

Tendrement, le jour qui j’ai aimé, je ferme mes yeux.
_ Et lisse ton sourcil tranquille
Les voiles gris de demi-lumière approfondit: colours se meurent
_ Je te porte, un fardeau de lumière, aux sables voilent

Où reposes ton bateau en attente, côte de nappe du mer fait
_ Blume-enguirlande, avec touts herbes gris de l’eau couronné
La-bas tu sera posé, crainte de passe ou espoir de veille
_ Et au-dessus de mer courant, sans un son

Mains fables ses te disputeront extérieur, dehors notre vue,
_ Nous avec bras qui étirent et yeux vague sur lueur de loin
Et sable de marble… au-dessus le crépuscule change de froid
_ Plus que rire va, ou pluie, plus que rêvassant

Ce ne sera rien de porte, rien d’île d’aube éclaire! Mais ma chérie
_ Gaspille noir, et, enfin, brûle ultime sur le fonce.
Oh, le dernier feu – et toi, ni baiser, ni aimable là!
_ Oh, le fin rouge de chemin isolé, et nous ne pleurons là!

(Nous trouverons toi pâle et tranquille, et couronnait étrangement avec fleurs,
_ Aimable et secrete comme une enfante. Tu viens avec nous.
Viens heureusement, mains dans mains avec le jeune heure de danser,
_ Haut au duvet à aube!) Vide maniement et ténébreux.

Les sables gris se courbe avant moi… Des prairies intérieures
_ Perfume de juin et trèfle, flottent le noir, et remplissent
Le creux mort de mer fait face à petit ombres en grimpant,
_ Et la silence blanche déborde le creux des collines.

Ferme dans le nid est pilé chaque aile lasse
_ Faisait tout les voix joyeux; et nous, qui maintenons toi chère
Vers l’est nous tournons et vers chez-nous, seuls, en nous rappelant
_ Jour qui j’aimais, jour qui j’aimais, la nuit est ici!

Découcher: Plaine lune

Ils ses couchent dans…
Je me recroqueville sur le terre, I marche, moi seul.
Haut et froid cent rêveur, Ô reine, haut-rêver et solitaire.

Nous avons dormis plus longues, qui pouvons gagner à peine
La une de flamme blanche, et les nuit-long cris;
Les passants qui n’offrons pas de vue; le murmure de le bas du monde
Avec le désir, avec la nostalgie.
Au feu qui ne brûle pas.\,
Au fee sans c œur, à l’extase sans flamme!…

Sans aide je me couche.
Et autour moi des pieds de observateurs marchent.
Il y a un rumour et un éclat des ailes au-dessus de ma tête
Un éclat intolérable des ailes…

Tout le terre grandit feu,
Une lèvre blanche de désir
Brosser frais au front, susurre choses endormies.
Le terre baisse conforte pleine; et l’air est ravi avec chemins.
Des passages couvertes des mains jolis,
Aides l’un aveugle et heureux, qui trébuche et erre
Les mains étirent et flotte, en haut, en haut, à travers l’éloge
Des trumpets agents innombrables, à travers cris,
À toute gloire, à tout contentement, à haut infini,
À la grâce, l’immobile, les yeux de la mère
Et le rire, et les lèvres, de lumière.

AUGUST 1908

Dans l’examen

Voyez! Du ciel tranquil
À vers la fenêtre mon Seigneur le soleil!
Et mes yeux
Étaient éblouies et ivres avec l’or mystique,
La gloire d’or qui noyait et couronnait moi
Tourbillonnait et me balançait dans la chambre… Autour moi,
À gauche et à droit,
Arrondit lignes et vieux,
Ennuis, fous aux yeux vitreux qui gribouillent, grandirent corrects,
Résonnaient circulaires et ont auréolé avec le lumière sacre.
La flamme allumait leurs cheveux,
Et leurs yeux en brûlant grandirent jeunes et sages.
Chacun comme un Dieu, ou Roi des rois.
Habillé blanc et éclair
(Encore en gribouillant tout);
Et un murmur tumultueux des ailes
Grandit à travers au hall;
Et je connaissait le feu blanc éternel
Et, à Traver portails ouvrent,
Gyre dans gyre,
Archanges et anges, adorant, saluant,
Et un visage sans ombre…
Vers la lumière disparait:
Et ils étaient mais fous encore, fous qui ne connaissait pas,
Encore en gribouillant, yeux vitreux et les immortels impassibles.

10 NOVEMBER 1908

Pin-arbres et le ciel: Soir

J’avais vu le peine du ciel de soir
Et senti le mer, et le terre, et le trèfle chaud
Et écouté les vagues, et le cri moqueur de la mouette

Et dans ceux tout était le cri ancien,
Ce chanson ils chantent toujours — « Le meilleur est fini!
Tu peux souvenir maintenant, et penser, et soupirer,
Ô amante bête! »
Et j’était fatigue et maladie dont tout était fini,
Et parce que moi,
À tout ma pensée, ne pouvais jamais recouvrir
Un moment de les bons heures qui étaient fini.
Et j’étais désolé et maladif, et souhaitais à mourir

Ensuite de la route triste ouest avec lassitude
Je vois les pins contre le ciel blanc nord,
Très beau, et calme, et se penchait
Leurs têtes aiguës noires contre un ciel tranquille.
Et il y avait de paix dans eux; et je
Étais heureux, et oublie jouer avec l’amante,
Et rirait, et ne souhaiter plus à mourir;
Être joyeux de toi, Ô pin-arbres et le ciel!

LULWORTH, 9 JULY 1907

Wagner

Entre sans bruit dans le demi dévergondé,
_ Qui avec une grosse large visage sans cheveux
Il aime la musique d’amour de mauvaise qualité
_ Aime femmes dans un place encombré
_ _ Et demande à écouter le bruit elle faisaient.

Leur paupière dure baissait au-dessus de demi,
_ Grandes poches se balance sous leurs yeux.
Il écoute, pense soi-même la amante,
_ Coups de leur ventre d’asthmatique soupire;
_ _ Il aime penser une rupture de leur cœur.

La musique augmente. Leurs pieds gros tremblent.
_ Leur petites lèvres sont claires avec avec une vase.
La musique augmente. Les femmes frissonnent.
_ Et tout bien que, dans le temps parfait
_ _ Leur ventre oscillante suspendue en tremblant.

QUEEN’S HALL 1908

La vision des archanges

Lentement des sommets silencieux, le bord blanc du monde,
_ Piétine quatre archanges, éclaircit contre le ciel indifférent
Endurance, avec silence même le pas, et les ailes magnifiques enroulent,
_ Un petit cercueil sombre; où un enfant doit mentir,
Il était très tout petit. (Cependant, tu avais imaginaire. Dieu pouvait jamais
_ A offert un enfant renverse de le printemps et la lumière du soleil,
Et lui détient dans ce coquille solitaire, pour baisser pour toujours
_ Dans la vacuité et la silence, dans le nuit…)

Ils ensuite de la coulée du sommet pur, et regardaient elle qui tombent,
_ À travers les obscurités inconnues, leurs cercueils noirs fragiles – et là dedans
_ Le petit corps pitoyable de Dieu, éreinté et megrir,
Et recroquevillé comme quelque froissé, pétale de fleur –
Jusqu’à elle était plus visible; puis tourné encore
Avec visages tranquilles tristes vers le bas à la plaine.

DECEMBRE 1906

Bord de la mer

Sorti rapidement du rythme de la bande
_ Le bon rire dans la masse, les yeux d’amour des hommes.
_ Je suis tiré vers la nuit: je dois tourner encore
Où, descendre au-delà la plage en bas inexplorée
_ Le vieux océan inquiet. Tout l’ombre
Est abondant en avec magie et mouvement. J’erre seulement
_ Ici sur le bord de la silence, effrayé moitié.

Attendre une signe. Dans le cœur profond de moi
L’eaux mornes gonflent vers la lune,
Et touts mes courants posent. _ De l’intérieur
Sautent une fragment joyeux de quelque chanson railleur,
Ces tintements et rires et disparitions sur le sable,
Et décès entre la digue et l’océan.

Sur le mort de Smet-smet, l’hippocamampus-déesse

CHANSON DE UN TRIBE DE L’ÉGYPIENs ANCIENS

(Les prêtres avec la temple)
Elle était ridée et muette et hideuse? Elle était notre mère.
Elle était lascive et lubrique? – mais un Dieu: nous avions autre aucune.
Dans le jour Elle était cachée et muette, mais à la tombée de la nuit gémissait dans l’ombre;
Nous Elle frissonnions et donnions Sa volonté dans le noir; nous avions peur.

(Les gens sans)
_ Elle nous envoyait peine,
_ _ Et nous saluions avant Elle;
_ Elle surissait encore
_ _ Et calmait nos soupirs;
_ Et qu’est-de qui nous ferons
_ _ Maintenant Dieu meurt

(Les gens avec)
Elle avait faim et mangeait nos enfants; – comment nous devrions rester Elle.
Elle prenions nos jeunes hommes et nos jeunes filles; – nos choses obéissent à Elle.
Nous étions disposés et moqués et injuriés des touts pays: qui était notre fierté.
Elle nous nourrissait et nous aimait, et nous mourait; maintenant Elle est décédé.

(Les gens sans)
_ Elle était forte;
_ _ Mais, décès est plus fort.
_ Elle nous dominait long.
_ _ Mais, le Temps est plus long;
_ Elle soulangait notre malheur
_ _ Et calmait nos soupirs;
_ Et qu’est-de qui nous ferons
_ _ Maintenant Dieu meurt

1908

La chanson des pèlerins

ARRÊTÉ AUTOUR LE FEU PAR NUIT, APRÈS COUCHER DE LUNE, ILS CHANSONNAIT CE INDIGNE DE LA ARBRE.

Quelle lumière des cieux sans mémoire
Vous avait relu avec nos yeux,
Vous qui est-ce qui nous cherchions, qui est-ce qui nous devons découvrir?…
Un certain parfum du vent,
Ta visage caché au-delà de l’ouest,
Ces jours nous appelait; sur la quête
Plus ancien chemin nous avons piétiné,
Plus interminable que le désir…
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Dieu loin,
Soupir avec ton voix cruel, qui remplit
L’âme avec envie aux collines sombres
Et l’horizon faible! Pour il y a viens
Moments gris de la maladie de voyage
Ancient muet, quand aucune chanson
Ne peut nous réconforter; mais le chemin semble longue;
Et on se souvient…
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Ah! Le battement
Des pieds faints sans retour,
Et les chansons des pèlerins sans retour!…
Les feux nous partions sont brûlants toujours
Sur le anciens lieux saints de la maison. Nos parents
Eux bâtissent temples, et là-dedans
Prier à les dieux nous connaissons; et habitons
Dans petits maisons aimables,
Être heureux (nous nous souvenons comment!)
Et paisable même à la mort…
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Ô Toi,
Dieu de la toute longue errance désireuse,
Nos cœurs sont maladie du retour infructueux,
Et criant après le désir perdue.
Encourageons nous en avant! aussi avec feu
Consumant des rêves de autre béatitude.
Le meilleure Tu donne, donnant cette
Chose suffisante – voyager encore
Au dessus de la plaine, au-delà le colline,
Sans hésitation à travers l’ombre,
Au milieu du silence sans peur,
Jusqu’à, sur quelque virage soudain, on vois
Contre les arbres noires et murmurent
Ton autel, blanc merveilleusement,
Parmi les forêts de la Nuît.

1907

Le chanson des bêtes

CHANTAIS, À UNE NUIT, DANS LES VILLES, DANS L’OBSCURITÉ

Viens! Viens!
Tu est sombre et terne à travers le jour commun
Mais maintenant c’est nuit!
C’est une nuit honteuse, et Dieu est endormi!
(As-tu ne sentais pas le tir rapide qui rampais
À travers le poisson affamé, et le désir de délice,
Et secret chaud des rêves ce-là jour ne peut dire?)…
…La maison est muet;
La nuit appelle à toi… Viens, ah, viens!
Descendre des escaliers sombres, à travers la porte grincement,
Nues, rampant sur mains et pieds
-C’est rendez-vous! c’est rendez-vous!
Tu n’es plus homme, mais de loin en plus,
Les bêtes et Dieu… Descendent la rue sans lampe
Par de petits chemins noirs, et places secretes,
Dans le obscurité et la boue,
Faibles rires tout autour, et visages maux
Par la lueur-étoile est vue – ah! suivre avec nous!
Pour l’obscurité murmurs un désir sans visiblité
Et les doigts de la nuit sont amoureux…
Garde ferme comme nous lançons,
À travers murmurs fous te sollicitent, et les mains chaudes ses accrochent,
Et le touche et le fumet de la piqûre de chair nue,
Le flanc mou par ton flanc, et la côté brossage latéral –
“Cette nuit” ne jamais faire attention!
Inébranlable et silencieuse suit avec moi,
Jusqu’à la ville finit abruptement
Et la courbe des voies ouverts large
Hors des voix de nuit,
Au-delà le désir et le peur,
Aux eaux plats du clair de lune
Aux eaux plats, tranquille et limpide
Aux plaines noires troublantes de l’océan qu’appelle.

1906

Échec

Parce que Dieu mets Son destin adamantin
_ Entre ma cœur morne et ce désir
Je jure que j’éclaterais le portillon fer
_ Je me lève, et maudis Lui sur Leur trône de feu.
La Terre frissonnait à mon trône du blasphème,
_ Mais l’Amour était que un flamme environ mes pieds;
_ Il est fier un Escalier d’Or I marchait; et ai battu
Trois fois sur le portillon, et j’entrais avec un cri –

Touts les grands tribunaux étaient tranquilles dans le soleil
_ Et plein des échos vacants: mousse avait grandie
Au-dessus du trottoir lisse, et commençait
_ Grimper dans les salles du conseil poussiéreuses
Un vent vain soufflait rond trône vide
_ Et agitait les rideaux durs sur le murs.

Ante Aram

Avant ton lieu saint je m’agenouille, un adorateur inconnu,
_ Chantant hymne étrange à toi et litanies douloureux,
Encens des chants funèbres, payeurs qui sont myrrhe sacrées.

Ah! déesse, sur ta trône de pluies et soupirs faibles et bas,
_ Fatiguée enfin au versant viens le pied qui se trompe
Et cœurs vains grandis fatigués des vanités du monde.

Comment honnête ce silence profonde au voyageur
_ Sourd avec le grondement des vents le long de le ciel ouvert!
Doux, après le bise piquée et amère de eau-ciel,

Le vin de Lethean pâle dans tes calices!…
_ Je viens avant toi, je, voyageur très fatigué,
Faire attention l’horreur du lieu saint, le cris lointains,

Et les chuchotements maux dans la obscurité, ou le vrombissement rapide
_ Des vents terribles – je, le moins de touts tes fervents,
Avec un espoir fable à voir l’obscurité parfumée remue,

Et, séparation, cadre inclus ses mystères calmes
_ Une visage, avec bouches plus tendre que lys d’automne,
Et le voix plus doux que the plainte loin de violes est,

Ou le doux gémissement de quelque jouer de lute aux yeux gris.

Aube

DU TRAIN ENTRE BOLOGNE ET MILAN, DEUXIÈME CLASS

Opposé moi deux allemandes ronflent et taranpirent
_ À travers obscurité tourbillonnante et maussade nous secouent et rugissent.
Nous étions ici pour toujours: même encore.
_ Une montre faible dit deux heures, deux éons, plus.
Les fenêtres sont bien fermé et gluant-humide
_ Avec un foetor de nuit. Il y a des plus de deux heures;
Deux heures à l’aube et Milan; deux heures encore.
_ Opposé moi deux allemandes ronflent et taranpirent…

L’un d’eux se réveille, et crache, et s’endormi encore.
_ L’obscurité frissonne. Une lumière blafarde à travers pluie
Frappe de nos visages, tirées et blanches. Quelque où
_ Un nouveau jour s’étale; et, à l’intérieur, l’air sale
Est froid, et humide, et plus sale que avant…
_ Opposé moi deux allemandes taranpirent et ronflent.

L’appel

Hors de le rien du sommeil,
_ La rêve lent de éternité,
Il y avait un tonnerre sur l’océan:
_ Je venais, parce que tu appelles à moi.

Je cassais les barres primitives de la Nuit
_ Je osais la malédiction épouvantable ancienne
Et éclaircit à travers rangs d’étoiles effrayées
_ Soudainement dabs l’univers!

Les silencieux éternels étaient cassées;
_ L’enfer devenait le Ciel comme je passais.-
Qu’est-ce que je devais toi donner comme un jeton,
_ Un soupir que nous rencontrions, enfin!

Je cesserai et forgerai les étoiles de nouveau,
_ Briser les ciels avec une chanson;
Immortelle dans mon amour à toi,
_ Parce que je t’aime, très fortement

Ta bouche devait te moquer l’ancien et la sage
_ Ton rire devait remplir le monde avec le feu,
Je écrirai dans les ciels que en rétrécir
_ Le splendeur écarlate de ton nom,

Depuis le ciel craqué, et un enfer ci-dessous
_ Meurt dans le feu fou ultime
Et l’obscurité chutes, avec tonnerre méprisant,
Sur les rêves des hommes et désirs des hommes.

Alors seuls dans les espaces vides,
_ Le mort, marchant très silencieusement,
Devait peur la gloire des nos visages
_ À travers toutes l’infinité obscure.

Donc, habillé avec un amour parfait,
_ Le fin éternel doit nous trouver un,
Seulement au-dessus de la Nuit, au-dessus
_ La poussière du dieu mort, seul.

Les voyageurs

Est-ce qu’il est l’heure? Nous partons ce place au repos
_ Fait équitable par un et autre pendant un certain temps.
Maintenant, pour un vitesse du dieu, une embrasse folle dernière;
_ Le chemin long ensuite, non allumé par ta rire fable.
Ah! le chemin long! et toi si très loin!
Oh, je rappellerais! mais… chaque jour rampant
_ Sera pâle une lèvre écarlate, chaque mile
Dur la peine chère de ta visage rappelée.

… Est-ce que tu pense il y a une ville frontalière lointaine, quelque part,
_ Le bord du dessert, dernier des terrains nous connaissons,
_ _ Une limite éventuelle émaciée des notre lumière,
_ Dans ce-là je trouverai tu attendrais; et nous allons
Ensemble, main dans encore, là-bas
_ Dedans les déchets nous connaissons rien, dedans la nuit?

Le commencement

Un jour je devais me lever et sortir mes amis
Et te trouve encore à travers l’extrémité éloignée du monde,
Tu qu’est-ce qui I trouve si juste
(Touche aux tes mains et l’odeur de tes cheveux!),
Mon dieu seul dans les jours qui étaient.
Mes pieds avides devaient te trouve encore,
À travers les années tristes et la marque de douleur
Changeras-tu entièrement; pour je devais savoir
(Comment pouvais-je oublier avoir t’aime donc?)
Dans la demi-lumière triste du soir,
La visage qui était tout mon lever de soleil.
Ainsi puis au bord de la terre je me laverai
Et te tenir fortement par chaque mains.
Et voir ta âge et tes cheveux cendreux
Je maudirai la chose qui tu étais une fois,
Parce que c’est changé et pâle et vieux.
(Bouches qui étaient écarlate, cheveux qui étaient or!)
Et je t’aimais avant tu étais vieille et sage.
Quand la flamme de jeunesse était fort dans tes yeux,
_ Et mon cœur est maladie avec memoirs.

1906

Experiments

Choriambics 1

Ah! pas de maintenant, quand le désir brûlures, et le vent appelle, et les soleils du printemps
Danse légère dans le forêt, murmure dans la vie, oahu moi au voyageur;
Ah! pas de maintenant tu devais venir, maintenant quand la route s’appelles, et les bonnes amis ses appelaient,
Où sont-chansons chantés, luttes sont lutées, Ouais! Et le meilleure du tout.
L’amour, aux bouches de myriade plus juste que elles, baisers tu ne pouvais pas donner!…
Très cher, pourquoi devait-je pleurer, gémir et me plains, je devais vivre encore.
Triste sera j’oublie, les larmes pour le meilleure, amour sur les bouches de toi.
Maintenant, quand l’aube dans le sang se réveille, et le soleil allume le bleu d’est;
I oublierai et serai heureux!
_ _ _ _ Seul en longueur, cher, quand le jour magnifique finit.
Quand l’amour meurt avec le lumière dernier, et la chanson dernière a chantée, et amis
Touts sont péris, et foulée sombre sur le ciel; puis, comme seul je mens.
Les vents rassemblements de mi-mort, effrayés et muets, maladie pour le passe, Puis-je
Sentir tu étais ce-là soudainement, froid à mon front; alors puis-je entendre le paix.
De Mex voix à la fin, murmure d’amour, appelant, avant tout peut cesser
Dans la silence du mort; puis puis-je voir sobrement, et savoir; un éspace.
Pliage dessus moi, la nuit dernière dans le noir, une fois, comme autrefois, ta visage

DECEMBRE 1908

Choriambics II

Ici la flamme celui était la cendre, le lieu saint où était vide, perde dans le bois hanté.
J’ai tendu et aimé, année après année, moi dans le solitude
Attendant, calme et les yeux-heureux dan l’obscurité, connaissant dont une lueur une fois
Brillait et allait à travers le bois. Encore je demeure fortement dans une rêve d’or.
Non récupéré.
_ _ _ _ Pour moi, qui avait confiance, connaissait celui une visage serait coup d’œil.
Un jour, blanc dans le bois sombre, et un voix appelle, et l’éclat.
Remplir le bosquet, et le feu sautait soudainement… et, dans le cœur de lui.
Le fin de difficulté, toi! Par la suit je menais préparer l’autel, allumais
La flamme, brûlante séparément.
_ _ _ _ Apparence des mes rêves en vain dans la vision blanche
Brillant vers le bas à moi, voilà! Sans espoir je me lève maintenant. Vers autour minuit.
Chuchotements grandissent à travers le bois soudainement, cris étranges dans les branches au dessus
Râpés, les cris comme une rire. Silencieux et noir puis à travers le bosquet sacré
Les oiseaux magnifiques avaient volés, comme une rêve, déranger les feuilles, passant en longueur.
_ _ _ _ Je connaissait
Attendu longuement et aimé longuement, que de loin, Dieu du bois faible, toi
Quelque où pose, même un enfant endormant, un enfant soudainement volait la gaieté,
Blanche et merveilleuse encore, blanche dans ta jeunesse, élargirait sur une terre étrangère,
Dieu, immortel et décédait!
_ _ _ _ Donc je viens: ne jamais me repose, ou gagne
Le paix, et l’adoration de vous plus, et le bois silencieux et le lieu saint là-dedans.

DECEMBRE 1908

Désertion

Tellement clair nous sommes, tellement bien nous sommes, tellement éclaires confiance juste,
Et ls route était posée tellement certainement, donc, quand j’étais allé,
Qu’est-ce que une chose idiote lever les yeux vers toi? Est-elle quelque chose écoutée,
Ou un cri soudain, ce-là docilement et sans mot
Tu cassais le fois, et fortement, faiblement, s’effondrais.
Tu cèdes – toi, la fierté de cœur, l’inflexibilité de cœur!
Était-ce, ami, le fin de tout nous pouvions faire?
Et as-tu trouvée le plus meilleure pour toi, le reste pour toi!
Est-ce que tu apprendrais soudainement (et pas de par moi)
Quelque histoire murmurée, qui a volée la gloire de le ciel,
Et finissait tout le rêve splendide, et faisait te aller
Tellement ennuyeux de la lutte nous connaissons, le éclat nous connaissons?

O déloyal! la croyance reste, et je dois passer
Le joie en bas de la route, et en seulement. Sur la verre
T’attendrais; le bris bougeait dans le arbres, et émois, et appels,
Et te couvre avec des pétales blancs, avec des pétales légers.

Là il doit émietter, frêle et juste, dessus le soleil,
O petit cœur, ton cœur fragile; jusqu’à le jour est fait,
Et l’ombre rassemblait, lumière tombant, et, blanc avec rosée,
Chuchotement, et pluie; et rampe à toi. Bon sommeil à toi!

MARS 1910

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Néerlandais, Svenska)

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