W. B. Yeats (1865 – 1939)
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William Butler Yeats (1865–1939) est l’un des plus grands poètes irlandais et une figure majeure de la littérature du 20e siècle. Sa carrière a été marquée par un profond engagement envers la culture irlandaise, le mysticisme, la mythologie, et l’évolution de ses opinions politiques et esthétiques.
Né à Dublin dans une famille protestante anglo-irlandaise, Yeats a été influencé par la culture et les légendes irlandaises dès son jeune âge. Il a grandi dans une période de renouveau culturel en Irlande, marquée par un intérêt pour le folklore, la langue gaélique et la mythologie celtique.
Yeats a commencé à écrire dans un style symboliste, souvent influencé par le mouvement préraphaélite, en utilisant des images mythologiques et mystiques pour exprimer des idées spirituelles et métaphysiques. Ses premières œuvres, comme “The Wanderings of Oisin” (1889), sont très inspirées par la mythologie irlandaise.
Au fur et à mesure, sa poésie est devenue plus épurée et directe, notamment dans des œuvres comme “The Tower” (1928) et “The Winding Stair” (1933). Il a exploré des thèmes tels que la beauté, l’amour, la vieillesse, la perte, et la lutte entre l’idéal spirituel et la réalité terrestre. Un de ses poèmes les plus célèbres, “The Second Coming” (1920), reflète son pessimisme envers le monde moderne et prédit une ère de chaos et de violence.
Dans ses dernières années, Yeats a continué à écrire des poèmes sur la vieillesse, la mortalité et l’esprit humain. Il est connu pour ses méditations sur le mysticisme, les cycles de l’histoire, et sa recherche incessante de vérité spirituelle. Ses écrits ont influencé de nombreux poètes et artistes après lui, et son héritage demeure important dans la culture irlandaise et la poésie mondiale.
Rupert Brooke (1887 – 1915)
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Expériences & Poèmes 1905-1908
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Erlebnisse & Gedichte 1905-1908
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Experimentos y poemas 1905-1908
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Esperimenti e Poesie 1905-1908
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Experimenten & Gedichten 1905-1908
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Rupert Brooke (1887–1915) était un poète anglais surtout connu pour ses sonnets idéalistes et patriotiques écrits pendant la Première Guerre mondiale. Issu d’une famille cultivée de Rugby, Brooke a été éduqué à l’Université de Cambridge, où il s’est rapidement fait un nom en tant que brillant écrivain et membre du cercle littéraire de Bloomsbury.
Brooke est surtout célèbre pour sa série de sonnets écrits au début de la Grande Guerre. L’un des plus connus est “The Soldier”, qui exprime un profond amour de la patrie et un idéal romantique du sacrifice héroïque pour l’Angleterre.
Ce poème et d’autres de son recueil “1914 and Other Poems” (1915) sont souvent perçus comme représentant la vision naïve et idéaliste de la guerre, avant que les horreurs des tranchées ne deviennent pleinement évidentes au public. Ses œuvres sont empreintes d’un sentiment de jeunesse, de beauté, et d’une vision presque idyllique de l’héroïsme.
Brooke n’a pas survécu pour voir le carnage de la guerre. Il est mort en 1915, non pas au combat, mais des suites d’une infection de sang, alors qu’il se trouvait en route pour la campagne de Gallipoli. Sa mort prématurée à l’âge de 27 ans a contribué à renforcer son image de “jeune poète sacrifié” pour sa patrie.
Bien que Brooke ait été acclamé pour ses poèmes patriotiques, les critiques modernes soulignent souvent l’idéalisme parfois simpliste de son approche de la guerre, surtout en comparaison avec les poètes qui ont vécu la brutalité du front, tels que Wilfred Owen ou Siegfried Sassoon.
Anna de Noailles (1876 – 1933)
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Anna de Noailles (1876–1933) was a prominent French-Romanian poet, novelist, and socialite, renowned for her lyrical and passionate writing as well as her influence in the Parisian literary circles of the early 20th century. She was the first woman to receive the Grand Cross of the Légion d’Honneur, a testament to her significant cultural impact.
Born as Anna Élisabeth Bibesco-Bassaraba de Brancovan, she came from an aristocratic family of Romanian and Greek descent. Her father was Prince Grégoire Bibesco-Bassaraba, a Romanian nobleman, and her mother, Ralouka Musurus, was of Greek origin. This privileged background gave her access to European high society, and she was raised in a cosmopolitan and intellectual environment.
Anna de Noailles was highly regarded for her poetry, which is marked by vivid emotion, sensuality, and a deep engagement with nature and existential themes. Her work often reflects themes of love, life, death, and the beauty of the natural world. She was inspired by her romantic experiences and had a heightened awareness of the transitory nature of existence, which is reflected in her works. Her poetry is notable for its musicality and passionate intensity.
Her first poetry collection,”Le Cœur innombrable” (1901), was widely praised and established her reputation as a major poet. This was followed by other notable works, such as “L’Ombre des jours” (1902) and “Les Éblouissements” (1907). She was part of the Symbolist movement and was influenced by poets like Charles Baudelaire and Victor Hugo, although her work has a distinct voice of its own, blending both lyrical and personal elements.
Anna de Noailles was a central figure in Parisian literary salons, bringing together some of the most prominent intellectuals, writers, and artists of her time. She maintained close relationships with figures like Marcel Proust, Paul Valéry, Colette, and André Gide, and her literary circle often reflected her deep involvement in French intellectual life.
Léon-Paul Fargue (1876 – 1947)
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Léon-Paul Fargue (1876–1947) was a French poet, essayist, and a key figure in the literary and artistic circles of early 20th-century Paris. His work is noted for its deep connection to Parisian life and his impressionistic, often surreal style. Fargue was part of the Symbolist movement, which sought to express the ineffable and evoke moods and emotions rather than depict reality directly.
Born in Paris, Fargue was educated at the prestigious Lycée Janson de Sailly and later at the Collège Stanislas, where he studied alongside writers and thinkers such as Paul Valéry. He had a profound love for the city of Paris, which became a recurring theme in his works. His personal friendships with notable artists, poets, and musicians—including Erik Satie, Maurice Ravel, and André Gide—greatly influenced his style. His connection with Satie was particularly strong, and the two shared a mutual appreciation for wit and artistic innovation.
Fargue’s poetry often captures fleeting sensations and the inner world of the mind rather than concrete narratives or plots. His style can be characterized by its dreamlike quality, with a blend of whimsy, melancholy, and nostalgia. His 1914 collection “Poèmes” reflects these qualities, blending lyrical language with a keen sense of modern urban life.
In addition to poetry, Fargue was a prolific essayist. His “Le Piéton de Paris” (1939) is one of his best-known works, a collection of prose poems and essays that pay homage to the streets, neighborhoods, and atmosphere of Paris. In this book, Fargue’s love for the city is expressed through a flâneur’s perspective—wandering, observing, and recording the sights and sounds of daily life.
Fargue also had an enduring impact on the world of music. He collaborated with musicians like Erik Satie and was part of the avant-garde scene that included composers such as Claude Debussy and Ravel. His interest in music informed his own rhythmic and musical approach to language, and his friendships with these figures enriched his artistic output.
His unique way of capturing the soul of Paris continues to inspire writers, poets, and artists fascinated by the city’s complex and ever-changing character.
Michizo Tachihara (1914 – 1939)
Français
Poésie du lever fu jour et de la soirée
Recueil posthume de poèmes (1/5)
Recueil posthume de poèmes (2/5)
Recueil posthume de poèmes (3/5)
English
Poetry of daybreak and evening
Posthumous collection of poetry (1/5)
Posthumous collection of poetry (2/5)
Posthumous collection of poetry (3/5)
Deutsch
Poesie des Tagesanbruchs und des Abends
Posthume Gedichtsammlung (1/5)
Posthume Gedichtsammlung (2/5)
Posthume Gedichtsammlung (3/5)
Italiano
Raccolta di poesie postuma (1/5)
Raccolta di poesie postuma (2/5)
Raccolta di poesie postuma (3/5)
Español
Michizō Tachihara (1914–1939) était un poète et architecte japonais, connu pour ses œuvres empreintes de nostalgie, de beauté éphémère et d’une profonde sensibilité à la nature. Malgré sa courte vie, il a laissé une empreinte durable dans la poésie japonaise moderne grâce à ses poèmes délicats et intimistes qui reflètent souvent des thèmes de la mélancolie et du passage du temps.
Né à Tokyo, Tachihara a grandi dans une famille cultivée, ce qui a nourri très tôt son intérêt pour les arts et la littérature. En plus de sa vocation littéraire, il a étudié l’architecture à l’Université de Tokyo, ce qui témoigne de sa polyvalence et de son intérêt pour l’esthétique sous différentes formes.
Il était particulièrement fasciné par la beauté fugace des choses et a écrit de nombreux poèmes sur l’impermanence de la vie, l’amour non réciproque, et la solitude. Ses poèmes sont souvent comparés à ceux des écrivains du “mono no aware”, un concept esthétique japonais qui exprime la prise de conscience de la nature éphémère de la vie et la beauté qui en découle.
Un exemple marquant de son style est trouvé dans son poème “Shindō”, où il écrit avec une mélancolie tranquille sur le crépuscule, les paysages changeants, et les émotions profondes. Ses poèmes sont à la fois directs et subtils, souvent inspirés par ses propres expériences et observations de la nature environnante.
En tant qu’architecte, Michizō Tachihara s’est également intéressé aux concepts d’espace, de forme, et d’équilibre, des idées qui ont influencé sa poésie. Sa double carrière dans la poésie et l’architecture reflète une compréhension profonde de la beauté structurelle et de la simplicité, des concepts qu’il a souvent intégrés dans ses poèmes en utilisant des images architecturales pour exprimer des émotions humaines.
Tragiquement, Tachihara est mort très jeune, à l’âge de 24 ans, de la tuberculose. Sa carrière littéraire a donc été extrêmement courte, mais il a quand même réussi à produire une œuvre poétique qui continue d’influencer les générations suivantes. En raison de sa mort précoce, il est souvent comparé à d’autres artistes et poètes de génie morts jeunes, renforçant ainsi son statut mythique dans la culture japonaise.
Malgré sa courte vie, son œuvre reste un témoignage poignant de la beauté éphémère, et il est souvent considéré comme un poète de la “douce tristesse”, une figure qui a su capturer avec finesse et sensibilité les aspects les plus fugaces de la vie humaine et de la nature.
Bien que peu connu à l’échelle internationale, Michizō Tachihara reste une figure respectée et vénérée dans la poésie japonaise pour sa sensibilité esthétique et sa capacité à capter la fragilité de la vie.
Chuya Nakahara (1907 – 1937)
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Chansons d’une chèvre
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Songs of a Goat
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Lieder einer Ziege
Gedichte aus der Ersten Pediode
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Canzoni di una capra
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Canciones de una cabra
Chūya Nakahara (1907–1937) est l’un des poètes les plus emblématiques de la littérature japonaise moderne. Souvent comparé à Arthur Rimbaud ou à Charles Baudelaire, il est connu pour ses poèmes empreints de mélancolie, de lyrisme et d’une sensibilité profondément personnelle. Sa poésie reflète des thèmes de la solitude, de l’angoisse existentielle et de la fugacité de la vie, souvent associés à ses expériences personnelles de souffrance.
Après une jeunesse perturbée par des relations familiales difficiles et la mort de son jeune frère, il a poursuivi des études à Tokyo et Kyoto, mais il n’a jamais terminé ses études universitaires. C’est dans ces années-là qu’il s’est lancé dans l’écriture poétique tout en s’intéressant à la philosophie occidentale et à la littérature européenne, notamment celle de Baudelaire et des poètes surréalistes.
Nakahara est souvent classé parmi les poètes de l’école moderniste japonaise. Cependant, son style poétique est unique, mêlant des éléments symbolistes, surréalistes et parfois même existentialistes. Ses poèmes sont caractérisés par une profonde introspection et par un langage riche en images évocatrices.
Son recueil le plus célèbre, “Chansons de la chèvre”, explore des thèmes comme la solitude, la perte et la nostalgie. L’une de ses œuvres les plus célèbres, “Destin”.
Nakahara utilise souvent des images sombres et poignantes, et ses poèmes expriment un profond sentiment de tristesse et d’aliénation. Son œuvre est marquée par une obsession pour le temps qui passe et la souffrance intérieure, ce qui reflète également ses luttes personnelles avec la dépression.
Nakahara a été fortement influencé par la poésie européenne, en particulier les poètes français du 19e siècle comme Baudelaire, Verlaine, et Rimbaud. Il a également été influencé par le symbolisme et le surréalisme, ce qui se reflète dans son utilisation d’images oniriques et abstraites, ainsi que dans la musicalité de ses vers. Il traduisait également des œuvres de ces poètes en japonais, ce qui a contribué à introduire les styles modernistes en littérature japonaise.
Chūya Nakahara a vécu une vie marquée par des luttes émotionnelles et physiques. En plus de la mort prématurée de son jeune frère, il a perdu son fils à un âge précoce, ce qui a eu un impact profond sur lui. Nakahara lui-même a souffert d’alcoolisme et de dépression, ce qui a affecté sa santé et ses relations personnelles.
Il est mort tragiquement à l’âge de 30 ans, probablement de la méningite tuberculeuse. Bien que sa vie ait été courte, il a laissé une œuvre poétique profondément marquante, et sa réputation n’a cessé de grandir après sa mort. De nombreux critiques et lecteurs voient en lui un représentant de la jeunesse tourmentée, un poète de la douleur existentielle et du destin tragique.
Chūya Nakahara est aujourd’hui reconnu comme l’un des plus grands poètes modernistes du Japon. Bien qu’il n’ait pas été très célèbre de son vivant, il est maintenant étudié dans les écoles japonaises et ses œuvres continuent d’influencer de nombreux poètes et écrivains. Il est souvent vu comme un poète maudit, une figure romantique de la souffrance, comparable aux poètes occidentaux comme Rimbaud ou John Keats.
Chūya Nakahara continue de fasciner les lecteurs pour la beauté musicale de sa poésie et son exploration des profondeurs de l’âme humaine. Son œuvre reste une voix puissante et intemporelle de la poésie japonaise.
Kenji Miyazawa (1896 – 1933)
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La primavera y el asura, Tomo I
Kenji Miyazawa (27 août 1896 – 21 septembre 1933) était un romancier japonais et un poète de littérature enfantine originaire de Hanamaki, Iwate, à la fin de la période Taishō et au début de la période Shōwa. Il était également connu comme professeur d’agronomie, végétarien, violoncelliste, bouddhiste fervent et activiste social utopiste.
Parmi ses œuvres majeures figurent “Night on the Galactic Railroad”, “Kaze no Matasaburō”, “Gauche the Cellist” et “The Night of Taneyamagahara”. Miyazawa se convertit au bouddhisme de Nichiren après avoir lu le “Sutra du Lotus”, et rejoint la Kokuchūkai, une organisation bouddhiste de Nichiren. Ses convictions religieuses et sociales ont créé un fossé entre lui et sa riche famille, en particulier son père, bien qu’après la mort de ce dernier, sa famille ait fini par le suivre dans sa conversion au bouddhisme de Nichiren. Miyazawa a fondé l’association des agriculteurs Rasu pour améliorer la vie des paysans dans la préfecture d’Iwate. Il s’intéresse également à l’espéranto et traduit certains de ses poèmes dans cette langue.
Il est mort d’une pneumonie en 1933. Presque totalement inconnu en tant que poète de son vivant, l’œuvre de Miyazawa a acquis sa réputation à titre posthume.
Sakutaro Hagiwara (1886 – 1942)
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Sakutarō Hagiwara (1er novembre 1886 – 11 mai 1942) était un écrivain japonais de vers libres, actif dans la période Taisho et le début de la période Showa du Japon. Il a libéré le vers libre japonais de l’emprise des règles traditionnelles et est considéré comme le “père de la poésie familière moderne au Japon”. Au cours de sa longue carrière, il a publié de nombreux volumes d’essais, de critiques littéraires et culturelles et d’aphorismes. Son style unique de vers exprime ses doutes sur l’existence, ses peurs, son ennui et sa colère par l’utilisation d’images sombres et de mots sans ambiguïté.
Hakushu Kitahara (1885 – 1942)
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Hakushū Kitahara (25 janvier 1885 – 2 novembre 1942) est poète japonais, auteur de chansons pour enfants et compositeur de chansons.
Il est né à Yanagawa, dans la préfecture de Fukuoka. Yanagawa est une ville traversée par des cours d’eau et qui a connu très tôt un afflux de Kirishitan et de culture méridionale. Ayant grandi dans la région en tant que “Tonka John” (grand garçon), Hakushu a été imprégné d’exotisme dans son environnement. Il a commencé à écrire des poèmes tanka au collège et s’est rapidement fait un nom en tant que poète après avoir abandonné l’université de Waseda.
Outre des poèmes, des chansons pour enfants et des tanka, elle a également laissé des chefs-d’œuvre tels que “Chakkiri-bushi”, une nouvelle chanson folklorique. Il a laissé de nombreux poèmes au cours de sa vie et publié de nombreuses chansons pour enfants qui sont encore chantées aujourd’hui. Il est considéré comme l’un des poètes les plus importants du Japon moderne, avec Rofu Miki. La période pendant laquelle il a été actif est connue sous le nom de “période Haku-ro”.