Traduction | Recueil posthume de poèmes (1/5) de Michizo Tachihara

Nature morte

Au bout d’une village avait un bastion
Feuilles larges ballotaient

Le ciel nuageux, et le chemin était sèche
Quand je tournais, le forêt se cachait par le forêt
Les branches ses compliquaient étaient comme fumée

Les nuages coulaient, et elles ses rompraient
Le vent se déplaçait en éclatant à une arbre loin
Moi seul, entre le forêt
Voyais une personne puisait de l’eau à un puit de pierre
Coqs chantaient de la village, un moment, comme une rêve

Chanson d’arbre mort et de vent

Je dirais un mensonge et faisait semblant
À toi qui me pardonnais tout
Je étais debut en silence
Justement comme un enfant qui se fâchait

Quelles sont embarrassantes, des branches
J’avais des distraction et elles trahissaient
Je jetais le mot d’haine
Et chuchotais à le vent

C’était une prière, à qui incitait
Et un fois encore tranquillement
Je regardais une ombre reflétait l’eau
Pour je ne ballotais pas pour toujours

*

Je courais comme ça
Quell’est triste es tu
Tu restais immobile, comme tu ne écoutais pas
Tu ballotais toujours seulement

— — — — —

Je allais l’arbre prochain
Il ressemblait à toi
Je jetais mon corps, à chose ballotais en éclatant
Il y a pas de porte, et apparence
Silencieusement, une obscurité commençait à rester

Vêtements de voyage

Combien de trop aveuglant, le soleil
Éclatait aux coins de la chambre, Éclatait
Rentrais chez moi, mon cœur……

Curieusement, je m’appuyais à une chase
Caressais les défauts d’un bureau
Le vent soufflait au bureau

–C’est soi-même, un souvenir
Je relisais mon cahier, encore oubliait nouvellement

–À moi, qui attendais le train pour quitter cette village
La ligne de la montagne de la plaine loin, les nuages mettraient traits……

Chanson qui le vent chantait

Partie 1

Au premiere jour de nuage je étais comme un petit feu
Me faisais du souci sur une chose, En murmurant
Ensuit je sortirais dehors

Les feuilles fermeraient les yeux et me évitaient
Entre mes doits ils tombaient en glissant et disparaissaient, les feuilles–
Depuis ce temps, je ne savais pas moi
Quand je rirais, mon corps restait tordu
Je criais le voix précipité et triste

Partie 2

Tout les gens sont petit animaux
D’air soucieux, ils allumaient des bougies honnêtes aux fenêtres et aux rues
Ne souffles pas le vent, ils priaient, je venais et écoutais en baissant ma tête

Mais je criais soudain, renonçais
Je me mettais en colère, sale, et je était tout seul, je courais
Je courais avec excès, je ne haïssais pas

Partie 3

Sur le bois qui égalisait son voix
Je chantais seulement par le voix fort
Et une arbre morte talonnait

Je chantais, sur l’été et l’autumn
L’arbre mort répondait, je chantais encore……
L’accordage d’un violin de chêne se détraquait

Au bout d’un certain temps le silence longue entrait profondément à moi
Je me souvenais en extase
Couché du soleil dans la musique, un journée passée
Je commençais à marcher silencieux en étant sourtenu

Partie 4

Une fumée allait à passer, sur le blanc
La forme disparait déjà
Surface des champs ne faisait pas du bruit
Je observais le petit enfant dans une fenêtre
Et dieu débordais

Partie 5

Je regardais, dedans d’une maison
La nuit des père, mère et enfant, Elle brillait comme dedans du fleur et était chauffée par la peu de lampe
Il semblait que une conversation silencieuse, mes oreilles écoutaient seulement mon voix
C’est la visage sourirait, et la visage endormie

Ce temps à moi, je suis triste tout de suite
Je passais frappais à la fenêtre de leurs porte

Partie 6

Je me serrais contre la lampe, mais je ne peux pas voir le lampe

La nuit s’avançait, je fessais venir un cœur mouvais et criais, Mes blessures continuaient à ses mettre en colère
Je tendais mes mains aux belles blanches, une blanche maigrie criait un mot et s’écroulait

Partie 7

Le chanson une oie sauvage sans-logis et était étourdie chantait
Elle s’était jeté dans un étang, et cassait son bec par la glace
Quand le printemps arrivera, je ferai comment
Une oie sauvage sans-logis et était étourdie pleurait à la baie qui se fondrait dans le matin tôt

Partie 8

La lumière de lune était gravée sur neige, sans mot
Laissait une chanson de séparation
À l’ombre de nuage quittait rapidement

Lever du soleil, à moi, mélodies fermée me revient à l’ésprit
Pour je n’écoutait pas
Dans la forêt, les arbre mortes
Passe le vert, passe le vert

Partie 9

Je continuais à crier, et quand je étais fatigué
Le soleil pâle gravait les characters invisibles aux mes paupières
Une poussière s’enchevêtrait, une ombre jouissait

Je ça regardais mais je s’enfuyais à toutes jambes–

Chanson qui le vent chantait (II)

Partie 1

Un jour, herbes parlaient seulement
Un jour, le ciel faisais du bruit seulement
On passait au endroit ensoleillé, au ombre
Ah, fleurs, colours, odeur et éclat

Très ancien, l’ancien temps
Enfants étaient, dans fleurs
Il y a le bonheur tout, des chansons toutes
Enfants, partaient en voyage au loin

À l’intérieur du bois tremblait
À l’intérieur du bois il oubliait
Il souriait tendrement, tendrement

En frémissant, en hésitant
Toute lea journée, il passait aux branches seulement
Toute lea journée, il effaçait au ciel seulement

Partie 2

La forêt se couvrait soudain, comme la rêve inconnue
L’eau et les branches se couvraient, je commençais à rire seulement
À la touffe d’herbe lointaine–

Plus tard une petite lumière fuyait, et toutes les feuilles tremblaient
Le forêt attendait le vent, je fermais mes yeux silencieuse
Pour je ne voyais pas le nuages cotonneux minces
Une grande lumière débordait dans le ciel, je commençais à rire de plus en plus

Partie 3

Si il se mouvait pour toujours, je étais triste

Le chanson s’effaçait

Le son était répétitions des mots mêmes
Il s’enfuyait à la nuit d’un pas chancelant
–Mais j’attendait la nuit

Je courait un peu

Et les feuilles retenaient, puis ils riraient indéfiniment

Au vent

Partie 1

Comme ça le murmure d’un ruisseau, parce que il y avait du vent
Tel amusant, murmurait
Ce étincellement de une petit ombre sur la surface
Tout, le vent seul……

Le murmure transportait et poussait des choses
Des déchets de paille, un feuillage de herbe, des chaussures antiques
Car le vent poussait le cours
L’eau n’arrêtait pas, et, le vent n’arrêtait pas

L’eau se tordrait soudain, le vent s’ecartait certain temps
Mais sur le ruisseau pour toujours, le vent
Avec le courant, répétait une causerie

Un long et long jour, de l’aube à l’aube, entre la rêve et le matin
Le vent chuchotait doucement, avec l’eau, l’aile d’eau et la paupière de vent
Il ne veux pas crier déjà, il aura couru

Partie II

Où était le vent, il était loin, il n’était pas
Tu étais dans le vent, moi, tu lui écoutais
……Il baissait la tête, le cœur gentil, un bouton
Moi, tu pleurais l’autre jour, il y avais des traits sur ta joue

Le vent soufflait, il chuchotait, il chantait, les gens écoutait
Un cœur soliste tendrait l’oreille, le chanson, son mélodie était triste, c’est amusant
C’est joyeux, on avais passé, le vent aurai chanté encore
Aux feuilles, à moi, aux pétales, rendrait un jour

Je attends, c’est probablement, proche, du côte de croissant
Tout seul, je aurait chanté encore un jour ou l’autre, aux mes oreilles

Où était le vent, le vent était loin, mais il ne revenait pas, déjà
Moi, un jour, tu souriais, il y a de bonne chose
Dans le vent, tu ne pleurais pas, tu ne souriais pas

Meurtri, comme un petit animal

Un cœur, une chanson, étaient assoiffées, moi, j’atteindais une femme
Mon cœur, au homme pauvre, ma chanson, au plaisir
Il tirait une ombre sinistre avec convoitise, je chercherais et errerais
Je criais cent des mots, chantais avec je me retournais

Comme une bête, durement aussi légèrement, je marchais seulement
Le sommeil ne couchait jamais, moi au lointain
Concevais le sentiment du malheur, je chercherais et suivrais
En chantant très chargé, criais avec répétition
Le nuage, le chemin, étaient secs, je apparais une femme……
Elle sera arrivée ici?, elle sera arrivée, un jour
Je restais côté d’une fenêtre sombre, je, apparais une femme

Aucun person répondait, sourirait, je marchais seulement
À la place de la dernière maison, moi sur lointain, le soleil ne se couchait à jamais
Je marchais seulement, je marchais au loin

Le jour férié du nuage

Quand le nuage de mouton passait
Chaque fois des nuages du vapeur tombaient
Le ciel, tu dispersais
Des lignes de coton blanc et blanc

Le nuage de voile et le nuage d’organ, le nuage de chaise
Le nuage de bosse flottait en morcelant
Nuages du ciel….. Le ciel des nuages, le ciel bleu
Tout le jour il y avait la troupe des vagues blanc et blanc
Sans appui, à la rouge de rose
Un nuage passait pâlissait brusquement, au crépuscule
Les pays au-delà du ciel……

Au moment l’arc-en-ciel de vapeur lui éclairait
Un pigeon blanc pur devenait une parapluie
Nuages de loin, tout le jour

Tristesse de séparation

Au jour séparation trépidante

Les sifflets, saluts tristes comme des oiseaux chantaient ses hélaient
Le tain qui embarquaient vous, descendrait le col

De l’autumn, à l’ombre d’un trottoir qui s’était infiltraitrée
Je restais planté sur place pour toujours
Et agitais mon chapeau pour toujours–

À la personne quittait
À l’enfant

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.

Traduction | « Poésie du lever fu jour et de la soirée » La Bibliothèque d’hyacinthus Partie 2 de Michizo Tachihara, 1937

I. Sur un vent

Mon cœur était plein de toi, le vent d’ouest
La chanson relâchée qui n’arrêtait pas encore, au matin de pluie
À la lumière de une fenêtre fermée
Pendant je mastiquais une sentiment triste

Je me souvenais, de tremblant, de une crainte
Nous ne connaissons pas des choses……
Chaque de soirée, il soufflait par le côté qui brillait
Il déjà, était plié, pesait sur mon cœur
La mélodie loin, qui tu chantais–
Est-ce qui lui tirait, qui
Lui oubliait…… Enfin

Quand chaque soirée changerait à la nuit, les nuage décédaient
Dans le noir pâle était versé et venait
Toi, le vent d’ouest, tu perdrais toutes les choses, tu dirais

II. L’autumn bientôt

Bientôt, l’autumn, sera venu
Le soirée bavardait avec nous intimement
Des arbres comme les gestes du vieille
Jetaient ombres découvertes et sombres sur la direction du nuit

Toutes les choses ballottaient incertaines
Plutôt comme un soupir silencieux et légère……
(Il n’est pas hier, c’est demain)
Nos sentiments, chuchotaient et esquivaient
–L’autumn, comme ça, revenait
Ensuite, encore l’autumn, restait immobile
Comme un homme qui demander la grâce……

Tôt ou tard le souvenir de je n’oubliais pas
Mais, il n’y pas avait de souvenir, on passait
L’autumn…… ainsi…… à un soir encore–

III. Petite ballade

Une personne pouvait allumer la lumière
À la côte, qui lire une livre était autre personne
Parce que une chambre silencieuse, une voix basse
Au coin, je peux écouter (Touts les gens écoutait)

Uue personne pouvait éteindre la lumière
À la côte, qui endormait était autre personne
Une femme qui filait et chantait
À dehors des fenêtres, on peut bien écouté (Touts les gens écoutait)
Beaucoup des nuits et beaucoup des nuits passaient semblables–
Le vent criais, et sur le tour, le cop faisait connaître
–Soldats hissaient drapeaux, ânes faisait sonner ses grelots–

Et puis, le matin arrivait, le vrai matin arrivait
Encore la nuit arrivait, encore, nouvelle nuit arrivait
Cette chambre, vide, restait à la suite

IV. Invitation du sommeil

Bonne nuit, les filles visages avaient visages gentiles
Bonne nuit, elles tricotaient ses cheveux noirs
À chevet des elles autour du chandelier qui allumait du couleur noyer
Quelque chose vive existait (Dan le monde entier il y a de poudre de neige)

Je voulais chanter indéfiniment
Dehors la fenêtre sombre, à dans le fenêtre
Puis, entrer dans les dormis, aux ses fonds des rêves
Ensuite, je répétais et répétais, je voulais chanter
Comme une bougie
Comme le vent, comme des étoiles
Mon voix allait çà et là comme des mélodies

Et elles, les fleurs blancs de la pomme fleuriraient
Et donnaient des petits fruits verts, ils mûrissaient en rouge avec vitesse sympathique
Dans un temps court, en dormant, elles pouvaient regarder les rêves

V. À la pluie de une nuit du plein hiver

Où est-ce qu’il allait?
Mais il n’avait rien
Tous, perdaient depuis longtemps
Quelque part, lointain, la place je ne savais pas

La nuit de la pluie du plein hiver, chantait
Même de l’air quand elle attendait
Mais cet air qu’elle ne revenait pas
Loin, lointain, la place je ne savais pas
Noms des choses qui perdaient, intolérable
D’une répétition froide–
Même ça, je, pensais nos oreilles

Au-delà du temps, ce ciel bleu est très clair!
Ces espoirs seuls restaient, et, pourquoi ils félicitaient
On ne savait pas qui, le fond d’œil de cette personne

VI. À la nuit perdait

La prunelle était brûlée, qui brûlait
Elle n’était pas, de papille bleue
Ou de prunelle brune, en brillant
Piquait, mon cœur

Comme elle me faisait pleure
Mais, elle ne faisait pas
En brillant, elle me caressait
Et félicitait mon cœur trop gentil
La prunelle était brûlée, qui ne bougeait pas
Elle n’était pas, de papille bleue
Comme elles existaient, indéfiniment

La prunelle était brûlée, qui était silencieuse
J’oubliais le soleil et des herbes avaient bon parfum
Tristement seule, en brillant, en brillant, qui brûlait

VII. À l’obscurité débordait et trempait

Si il était beau, faisait mieux de rire
Pleurs, pour toujours, étaient sécher
Le soleil, se couchait à la grande paysage là-bas
Très triste, cette lune s’enflammait

C’est froid! on était éclaté par la lumière
Le gens frêle errait et vaguait
Moi, je aurai vécu où– répondez
À la nuit, ou au matin, ou à la pénombre
Moi, autrefois je avais été qui?
(Je n’était pas qui, Je peux être n’importe qui, quelqu’un–)
Moi, je perdait l’ombre de la femme j’aimais

Était foulé et casée, mon espoir était gentil
Je m’endormirait seulement, dans le sommeil
Pour je me fondrait une aspiration

VIII. Au bord du sommeil

La silence, comme d’une nuage bleue
Gentille, s’abattrait sur moi
Moi, comme un petit animal sauvage était abattu
Dans un sommeil, je plongeais, sans mouvement tout à l’heure

Encore, chuchotais, la mélodie perdu
Les nuages flottants de printemps, oisillons, fleurs, et ombres, faisaient appeler
Mais, ils ne sont pas de mon possession déjà
Ce jour-là, ma apparence qui baissait mes bras et marchait seulement aussi
Je, à la nuit, allumais la lumière, avant le sommeil
À côte de la lumière brillant, et leurs fondrais simplement
Dans la rêve, n’étais pas compétent que la rêve

Vis sur l’ombre, et quand je m’épuisait le temps
Encore le memoir, comme soupir, plus faible que la silence
Aurai fait les mots chanter

IX. Errance

C’est nuit– toutes les fenêtres, prendraient les lampes
Chemins, seuls, clairs faibles, illimités
Enduraient…… qui allais sur ils
C’était moi, seul, tout seul, sans poursuivre

La lune, se couchait déjà, ces
Comme la musique gentile, il n’y avait pas de brise
Les paysages ses ébranlaient, et effaçaient avec la rêve
Je, simplement, dans le sommeil, suivrais le sommeil plus profond et l’oubli……
Maintenant encore, si on prendrait moi en grande affection
À elle, mes mains étaient très minces, pour soutenir
Par son poids, j’ai été soif à chanceler et tomber

Oh, l’embrasement du soleil levant! Viens vite– le sommeil! Se réveilles……
Fermé par la brume de cendre, gelait moi, un jour court
Quand il arrivait, la nuit en vaguant, la rêve, je regrettais seulement!

X. L’embrasement du soleil levant

Le sommeil de la nuit dernière, sur des cadavres sales
Qui, s’asseyait?
Des ces profondes, prunelles noirs, maintenant encore
Une chose je puisais, qu’est-ce que c’est?

Tellement, dans ma chambre comme une prison
Semblable, comme un temple, étincelait, ondoyait
Où était cette musique allée?
Où était cette forme passée?
Ah, cette place là, qui restait?
Vaine, vide, étais transférée, ma jeunesse!
À toi, je ne voulais pas attendre

Cependant immobile, t’asseyait au coin de mon lit
Regardait ça, qui es-ce?
Comme on savait, et prendrait, le secret du sommeil de la nuit dernière

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

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Traduction | « Pour myosotis » La partie 1 dans La Bibliothèque d’hyacinthus de Michizo Tachihara, 1937

SONATINE No. 1

À une nouvelle personne

Un petit mouvement du noyau, comme la souvenir
Il pleuvait des cendres, sur cette village, une certaine quantité
Les cendres comme la souvenir triste, elles faisaient du bruit
Sur des branches des arbres, sur des toits des maisons, continuaient de pleuvoir

Cette nuit, la lune était claire, je et une femme
Bavardaient en nous appuyaient sur une fenêtre (De la fenêtre nous pouvons voir une montagne)
Toute la chambre, comme une gorge, avec la lumière
L’éclat de rire qui résonne bien inondait
— Savoir le cœur d’homme…… Qu’est-ce que le cœur d’homme……
Je, la main de cette femme qui poursuivait un papillon de nuit, au papillon de nuit
Elle essayait de saisir, il était douteuse quoi

Quel jour commençait à remplir de fumée de cendre au sommet
L’histoire du valcan…… et dans quelques nuits, donc à la rêve
Je tissait les histoires de Elisabeth que j’avais elles appris

Encore à une nuit

Nous resterons immobile, dans le brouillard
La brouillard coulera au large, sur la surface de la lune
Effleurera comme un javelot, nous enveloppera
Comme un rideau de cendre

Nous nous séparerons, sans savoir
Sans être sachant, elles rencontraient
Comme les nuages, nous serons oubliées
Comme une veine d’eau
Ce chemin est chemin d’argent, nous iront
Quittant seulement…… (Un personne de un personne
Pourquoi qui se souvenait attendre dans le soir)

Nous ne rencontrons jamais encore une fois, pensant à le passé
Le mirror de lune réfère la nuit
Nous ça répéterons seulement

À la soirée du jour tardif

Il y avait la très grande grande place déjà
Personne ne apercevait pas
Aussi le ciel, aussi les nuages, et aussi les fleurs flottants
Je n’était pas attiré encore

Je teindrait le colour léger du crépuscule
Et ne disais pas il n’est pas agréable déjà
Un jour de un oiseau chantait et passait
Expliquerait seulement l’histoire et le chanson loins
Le chemin sans poteau indicateur qui je venais
Côte du chemin, qu’est-ce que nous suivrons
Nous resterons plantés

Notre rêves circulerons où
Furtifs, mais douloureux
Aussi jour ceci, et jour cela dans la silence sage?

Au matin nous nous quittions

Ébranle, les blanches bleues
Arrache, les fruits bleues
Toi, ce matin était clair au loin
La ville natal que je rentrais, Il y avait quelque part au loin

Tout le monde, était aimable et en extase pour moi maintenant
Elle était plus douce que le souvenir, la silence n’était pas différente un peu
Monotone, et un embrouillent des nuages flottants et le vent
Rester je avais chanté tel quel hier
Le cœur faible, jette
Comme un pépin très jeunot était mâché qui jetait
Ébranle, ébranle

Toi
Des choses variées semblaient moi gentilles et
Je ne pouvais pas m’indigner, avec me mordais les lèvres

Au sentiment dernière

Rêves retournaient toujours, à une village triste sur la montagne
Le vent soufflait le persicaria filiformis
Alouettes ne ses arrêtaient pas à chanter
D’un chemin forestier tout silencieux dans un matin

Le soleil brillait sereinement du ciel bleu, le volcan était endormi
— Et moi
Choses j’avais regardé, iles, vague, caps, et lumières solaire et clair de lune
Je savais que personne ne écoutait pas, mais racontais……
Rêves ne venaient pas plus loin
Toutes les choses, je pensais à oublier
Quand je oubliais, les choses que je oubliais tout entier

Rêves ses glaçaient dans un souvenir du plein hiver
Puis, ils ouvriraient une porte, dans la tranquillité
Et ils partiraient sur le chemin en étant éclairés par des étoiles

Chanson de fleurs d’été

Partie 1

Par entre le ciel et le pâturage, une nuage jaillissait
Sur la surface d’une rivage, l’ombre dessinait
Le fond de l’eau, une poisson
Se touillait, brillait par le soleil

Il était événement d’un jour de l’été!
Un jour, le moment de rêve qui ne revient pas
Nous garderons le silence, nos pieds ses enroulaient autour herbes folles
Deux ombres, étaient secouées rusées en suivant cours
…… Murmure d’un ruisseau
Il n’était pas change de ce jour aussi aujourd’hui
Chuchotait calmement au vent

Le sourire de la jeune fille de ce jour là
Pourquoi, je ne connais pas
Cependant, fermes et froids, il y avaient des profils seulement

Partie 2

Ces jours-là, comme un berger et une jeune fille
Commençait à passer joyeux entiers
Il n’y a pas de évènement particulier
Il n’y a pas de nouvelle confession

Ces jours-là, comme on ne pouvait pas résoudre une énigme
Le sourire, jurait un amour éternel
Se mêlait les fleurs de chardon et de carex
Enfantine, il y avait de bonne rêve– c’était quand!
S’il vous plaît, une fois encore, revenez
Ce jour-là qui le ciel bleu s’courait
Ce jour-là qui ces étoiles du matin scintillaient

Ces jours-là, ces jours-là, revenez
Je, devenais grand, comme déborder
Je, étais triste et tremblais

SONATINE No. 2

L’arc-en-ciel et l’homme et…

Le vent calme après la pluie coulait, ce temps
Une touffe d’herbe se mouillait par la rosée encore, un chapelet de la araignée brillait
Au ciel d’est, un arc-en-ciel léger était apparu
Je me levais en gardant le silence, garder le silence!

Ah toutes les choses sont restées comme ça, toi à ce moment
Tu levais les yeux vers moi, je n’avais pas de chose qui je faisais
(Cependant je t’aimais)
(Cependant tu m’aimais)
Encore le vent soufflait, encore les nuage coulaient
Au ciel bleu clair et chaud, il n’y a pas de changer
Les chansons des oisillons retenaient, les colours des fleurs sentaient

Et aux vos cils, un petit arc-en-ciel restait
(Mais tu ne m’aimais plus
Je te ne t’aimais plus)

Condoléances de l’été

Mes temps décédaient
Qui faisaient mon cœur de l’or, une blessure se guérissait bientôt comme je ne me blessait pas
Entre hier et demain
Le fossé profond du bleu foncé dessinait et passait

La chose qui passait et jetait
Était une petite pièce du papier que une tache de larme apparente
Dans les vagues blanches écumaient, Une soirée
Toutes les chose ses effaçaient complètement! Selon le scénario prévu
Ensuite, je devenais une voyageur, quelles années ont passé
Des villages étaient éclairées par le clair de lune
C’était chaud, à la campagne sèche

Si je me souvenais! Je revenais une fois encore
Où? à la place (Je avais cette mémoire
J’attendais, à elle, et renonçais silencieux)

J’oubliais malgré moi

L’autumn dur était arrivé! (inclus le printemps)
Le lac était éclat par le soleil et brillait
Des oiseaux volaient sur le grand grand ciel
Et allaient sur le flanc de un montagne à une gorge

Le raisin et la figue sont mûrissaient opulentes
La moisson des céréales avait commencé déjà
Une ou deux nuages coulaient
Étaient comme ses allongeaient sur une herbe en regardant
Moi, seulement, on m’a laissé seul
Mes yeux étaient trop éclats pour voir la décadence
Mais ces yeux étaient petits qui ne pouvaient pas la fête de temps!

L’état restait, l’hiver doux circulait
Dans un jour le vent dispersait des feuilles– je croissais aussi
De, un sens paisible qui une musique silencieuse correspondait

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.