Traduction | « Poèmes de la première pédiode » Chansons d’une chèvre de Chuya Nakahara

Soir d’un jour de printemps

Une tôle galvanisée mange un biscuit
Soir d’un jour de printemps est calme
Cendres est lancées vers la bas qui pâlissent
Soir d’un jour de printemps est silencieux

Ah! Il y a épouvantail?… Il n’y a pas
Un cheval aboie… Il n’aboie pas aussi
Comme la ciscosité du clair de la lune
Que-ce qu’Il est soumis? Soir d’un jour de printemps

Une cathédrale rougit comme le feu dans des champs
Roues des wagons sont à court d’huile
Quand je dites sur le maintenat historique
Rient et rient, Le ciel et montagnes

Une tôle galvanisée, Elle s’égare
Soir d’un jour de printemps par maintenant
Sans dire, Il marchra
À soi-même, Dans leur vaisseau sanguin veineux

Lune

Ce nuît, La lune devient triste de plus en plus
Regardent le suspection du père adoptif.
Le temps envoie des vagues d’argent dans le désert
Une oreille du vieille brille d’une fluorescence.

Ah, une digue du canal est oublié
Un grondement du char grave dans mon cœur
Un tabac d’une boîte rouillée
La lune fume languissant.

Autour de ça septs des nymphes célestes
Font danse de la tête d’orteil encore, Mais
À le cœur de la lune est trempé d’humiliation
Elles ne donnent pas l’âme de pitié.
Les étoilles ses dispersent dans le ciel lointain !
La lune attend ses deux mains

Cirque

Il y avait des quelles époques
_ Et il y avait la guerre brune

Il y avait des quelles époques
_ Et le vent violent soufflait

Il y avait des quelles époques
_ Un banquet de cette nuit et ici
_ _ Un banquet de cette nuit et ici

Le cabane de cirque d’une poutre haute
_ Il y avait une balançoire
La balançoire que on peut pas regarder

Avec sa tête à l’envers et ses mains pendantes
_ Sur le toit de coton sales
Dang dang daaangun

Lampes blanches dans les environs
_ Expirait un peu et un ruban à bas prix

Touts les spectateurs étaient sardines
_ Ronronnraient avec les coquilles d’huîtres
Dang dang daaangun

_ _ L’extérieur était tout sombre, sombre de sombre
_ _ La nuit s’avancait peu à peu
_ _ Avec la nostalgie de prachute
_ _ Dang dang daaangun

Une nuit de printemps

Calmement dans un châssis d’une fenêtre
_ Un rameau de fleur, Un fleur rose.

Il était reçu le clair de lune et était évanoui
_ La surface de la terre d’un jardin était mouches.

Ah, Il n’y a rien là rien là
_ Soyez ses promener et rirez les arbres.

Ces bruits ennuis
_ Il n’y a pas d’espoir, c’est pourquoi, pas de confession aussi.

Un menuisier modeste seul,
_ Dans sa rêve, les pas des soldats marchands se balancent doucement.

Dans la fenêtre, rafraîssant et flou
_ Une robe de soie beige

Tons du piano vaste sonneraient
_ Il n’y a de ancêtres et parents disparaissaient.

Quelque part que un chien était enterré,
_ Elle fleurait comme le colour du safran
_ _ Une nuit de printemps.

Chanson du matin

Au plafond, Colour rouge apparaissait
_ Entre un interstice d’une fenêtre, Fuit à entre lumière.
Rustique, Le souvenir de la musique militaire
_ Jouait, Il n’y a rien.

Oisillons, Je n’écoutais pas
_ Dans le ciel aujourd’hui, Le colour est onduleux,
Il tenait à distance, Des cœurs des gens
_ Donnait un avertissement, Il n’y a rien.

Par le parfum de résine, Le matin est voluptueux
_ J’ai perdu, Rêves diverses,
Rangée de la forêt, Elle serait être sonnée par le vent

Elles s’étendraient, Sur le ciel plat et vast,
_ Suivant la berge, Disparaissait
Belles, Rêves diverses.

Dernier moment

Le ciel d’automne est terne
Les yeux d’un cheval noir brillent
_ Les fleurs de lys tombent en se desséchant
_ Ah, mon esprit les reflète

Il n’y a pas de Dieu ni de poste de chant
Sous la fenêtre, une dame s’éteint
_ Le ciel blanc n’est pas clair
_ Il y a un ciel blanc froid

Du côté de la fenêtre, elle s’est lavé les cheveux
Et les bras sont beaux
_ Le soleil du matin est mouillé
_ Le ton de l’eau ne goutte pas

Les villes s’agitent
Les voix des enfants s’agitent aussi
_ Mais quel sera l’esprit ?
_ Deviendra-t-il mince, puis deviendra-t-il ciel?

Une nuit d’été en ville

La lune dans le ciel comme une médaille,
Les bâtiments dans les rues comme un orgue,
Les hommes fatigués par les loisirs, rentrent chez eux.
-Le col d’Ikamune est plié-

La déchirure s’ouvre
Son esprit est chagrin.
La tête est devenue une motte d’argile,
Il va chanter lah lah seulement.

Des choses sur les affaires et les ancêtres
Ils ne les oublient pas,
Un minuit d’été dans la ville–
Noyé avec une poudre d’arme morte
Les lumières des rues me piquent les yeux
Je vais chanter lah lah only.

Une journée d’automne

Comme un matin, les hommes se réveillent ces derniers temps
Par le bruit d’un vent qui bat une porte et des voitures,
Noyés dans la mer où souffle une sirène.

Parlant dans les tribunes dans la nuit d’été,
La conscience de l’architecte n’est déjà plus rien.
Toutes les choses sont l’histoire ancienne et
La couleur des yeux de l’horizon lointain des granits.

En ce matin, tout obéit au drapeau du consulat,
Je ne connais qu’un spectre, un palais et un tambour d’ange.
Je ne fais pas attention à la voix rauque d’un mullusk,
Avec une ombre violette s’accroupir dans un parc, un bébé mis dans des sables dans sa bouche.

Il n’y a pas d’autre solution que d’aller à l’école et de se rendre à l’école.
♪ Les filles sont excitées et les méchants garçons se moquent ♪
Je déteste, je déteste).

Les mains dans les poches
A travers les rues, j’ai atteint la baie
Concidez avec l’esprit d’aujourd’hui
Et je chercherai un morceau de tissu.

Crépuscule

A la surface d’un lac aux eaux troubles,
Les fleurs de lotus se rapprochent et se balancent.
Les feuilles du lotus, sont audacieuses,
font du bruit sournoisement seulement.

Le son fait osciller mon esprit,
Mes yeux suivent le petit horizon lumineux…
Je ne vois que des montagnes noires et sombres
–Les choses perdues ne reviennent jamais.

Quelle est la chose la plus triste, voici la chose la plus triste
Je sens l’ascension des racines,
La terre d’un champ m’observe avec une pierre.
–Enfin, je ne veux plus cultiver !
Je me tiens tranquillement au crépuscule,
Et d’une certaine manière, je rappelle l’image de mon père et je commence à marcher pas à pas seulement.

Vœu de minuit

C’est, du culcium pétillant
Qui va sécher
Trop vite – la voix d’une fille est têtue
Le nez qui coule de la femme d’un marchand de sacs.

Le soir de Dieu
Est la mère frottée.
Autour des branches, des insectes volent,
Danse d’un pierrot obsolète.

Je ne vois pas les chiens de chasse dont les poils s’agitent,
Un chasseur ramène son coude par là.
La prairie avant la forêt
Devient une pente!

Margarete marche sur une plage noire
Alors que son voile se découpe en morceaux.
Son corps doit plonger dans,
La mer comme le père d’un Dieu sévère.

Elle, sur la colline
Un esprit dessine des rayures mystérieuses.
Sa mémoire est un blancket de chagrin d’un atelier d’écriture
Elle doit s’éteindre tout de suite.

Une nuit pluvieuse d’hiver

♪ En raison de la nuit noire de l’hiver
Une pluie drue tombait.
–La misère du radis blanc, était jetée sous le masque,
C’était encore mieux…
La lumière maintenant, à cause de la nuit noire de l’hiver
Une forte pluie tombait.
J’ai cherché la voix d’une fille qui s’était éteinte
aé ao aé ao, éo, aéo éo !
_ Je me promenais sous la pluie
Dès qu’elle disparaissait, cette banquise blanche et laiteuse…
Légère maintenant à cause de la nuit noire de l’hiver
Une pluie drue tombait,
La bande du kimono de ma mère
S’est brisé sous l’effet de l’eau de pluie,
Les nombreuses pitiés des humains
N’étaient que la couleur de l’orange finalement……

Retour à la maison

Le pilier et le jardin sont secs
Aujourd’hui, il fait beau
♪ A spiderweb under the rim ♪
Il n’y a pas d’autre solution que de se balancer en se sentant impuissant

Sur la montagne, les arbres morts ont pris leur souffle
Ah, aujourd’hui il fait beau
_ _ Les ombres des herbes sur la route
_ _ La tristesse de l’enfant

C’est ma vieille maison
Le vent a aussi soufflé modestement
_ _ Balayer sans se soucier de rien
_ _ Raconté par la voix grave d’un vieil homme

Ah, pourquoi viens-tu ici et que faire……
Le vent soufflant m’a été raconté

Un crépuscule terrifiant

L’heure du vent était aussi mélancolique.
Les herbes ne volaient pas, je ne voyais rien,
L’ancien hayato lointain etc.

D’une flèche de bambou couleur papier argenté,
Le long d’une plage, il a continué.
–Je m’appuyais sur un esprit de petit poisson.

Le vent soufflant n’a pas tempéré, sur le sol
Des cadavres allongés–
Le ciel s’élevait jusqu’au podium.

Les maisons, étaient d’habiles conservateurs,
Les dents sales, par la nicotine, étaient cachées.

Le chant de l’été proche

Les branches des arbres du bord de la route respiraient profondément,
Le ciel de plus en plus haut, les observait.
Les fragments de verres sur un sol brûlé brûlé,
Un voyageur qui marchait l’a trouvé soudainement.

La fin d’une montagne, claire et nette,
Purifiait les bouches des poissons d’or et d’une fille.
Cet avion s’est envolé pour venir,
J’ai frotté des larmes d’insectes.

Le vent a envoyé un ruban vers le ciel,
Je pensais que j’allais raconter
Les vagues de la mer ont été déclinées dans le passé.

A propos d’une compagnie de cavalerie et de la monification de la partie supérieure des jambes,
Les chaussures rouges d’un jeune fonctionnaire,
Un vélo allait sur la route le long de la montagne sans cavalier.
Je pensais que j’allais raconter.

Matin triste

Un bruit de rivière arrive sur une montagne,
Lumière du printemps, comme une pierre.
L’eau de Kakehi, a raconté une histoire
Elle ressemble aussi à une vieille femme aux cheveux gris.

J’ai chanté la bouche comme un mica,
Je me suis allongé et j’ai chanté,
Mon coeur s’est asséché et est devenu rauque,
Au-dessus des rochers, funambule.

Le feu inconnu est monté au ciel !

Pluie de sons, j’ai été soigné !

……………….

J’ai applaudi de différentes manières.

Le chant d’un jour d’été

Le ciel bleu ne bouge pas,
Il n’y a même pas un bout de nuage.
_ Par le silence d’un midi d’été
_ Aussi une lumière de goudron devient pure.

Il y a quelque chose dans le ciel d’été,
Ce quelque chose m’irrite.
_ Burned bold sunflowers
_ Fleurissent à la gare d’un pays.

Comme une mère élève un enfant,
Le sifflet d’une locomotive à vapeur retentit.
_ Quand elle passe près d’un moumtain.

La locomotive passe près de la montagne,
Le sifflet retentit comme une mère.
_ Quand il fait très chaud à la mi-journée en été.

La lueur du soir

Collines, mains sur la poitrine
Retraite.
Le coucher de soleil, c’est la couleur de l’affection
Couleur or.

Il y a des herbes sur le terrain,
Chantent une chanson rustique
Des arbres sur la montagne,
Un esprit vieux et frugal se souvient de moi.

En une telle occasion, mon cœur s’est égaré
Un garçon a marché sur
de la viande de crustacés.

En une telle occasion solide,
Quelle modeste résignation
S’en aller les bras croisés.

L’automne du bazar du port

Sur une falaise de pierre, le soleil matinal brûle.
Le ciel d’automne est extrêmement beau.
Je peux voir l’autre côté du port,
C’est une corne d’escargot

Sur la ville les gens balaient leurs pipes.
Les dauphins s’étirent
Le ciel est séparé.
Les vacances des fonctionnaires – ils portent des robes de chambre rembourrées.

“Si je naissais à nouveau….”
dit le marin.
“GANG GANG, flutter It…..”
Une vieille sorcière raton laveur chante.

_ Un jour d’automne au bazar du port,
_ Est une folie tranquille.
_ Le jour où j’ai perdu,
_ La chaise de ma vie.

Soupir : Pour Tetsutaro Kawakami

Un soupir ira jusqu’à un étang de nuit,
et clignotera dans les miasmes.
Le clin d’œil sera coulé avec le ressentiment, et claquera un son de bang.
Les arbres seront comme des lignes de cou de ses amis académiciens.

A l’aube, la fenêtre s’ouvrira.
Un paysan portant une charrette, se rendrait à la ville.
Le soupir deviendrait plus profond,
Il faut que ce soit le bruit d’une charrette sonnant sur une colline.

Des douleurs dépassant le champ du bord d’une montagne, s’occuperaient de moi.
Il sera facile mais il ne sourira pas, comme un oncle.
Comme un dieu prend des poissons, au fond d’une atmosphère.

Si le ciel se couvre, des yeux de sauterelles se retrouvent dans le sable.
Une ville lointaine, ressemble à une pierre calcaire.
Les globes oculaires de Pierre le Grand, brillent dans un nuage.

Un souvenir de printemps

Fleurs de lotus piétinées
_ Le temps de rentrer à la maison au crépuscule
Au cimetière ambulant du printemps
_ _ Je l’ai battu sur le sol sablonneux

Une fois de plus, je regarde à regret
_ Avec je me chie méticuleusement les mains
Je viens courir sur la route
_ _ (Le ciel s’assombrit, c’est ça !)

Quand je rentre chez moi
_ Des jeux en toute tranquillité
Est-ce la colline d’un jour d’automne ou la fumée d’un cuiseur de riz ?
_ Il y a une chose qui m’éblouit ♪

_ _ _ D’un riche palais de l’ancien temps
_ _ _ _ Quadrille _ Échappée de l’écharpe
_ _ _ Quadrille _ Foulard à balancier
_ _ _ _ Il sera fini un jour… Quadrille !

Un ciel de nuit d’automne

Oh là là, c’était florissant,
Tout le monde disait des choses étranges
Mais la grâce antipathique
Les dames se rassemblaient.
Le monde inférieur était dans une nuit d’automne
Mais quel était l’épanouissement de ce monde céleste.

Sur le sol très lisse,
Une lanterne d’or était allumée.
Petite tête, longues manches,
Il n’y avait pas de chaise.
Il n’y avait pas de chaise. Néanmoins le monde inférieur était dans une nuit d’automne
Ce qu’était l’éclat du monde céleste.

Le monde céleste a été légèrement éclairé.
La fête de l’ombre du passé lointain,
Un épanouissement silencieux et silencieux
Le banquet d’une nuit du monde céleste.
Je l’ai vu depuis le monde inférieur,
Elle s’est terminée quand j’étais absent.

Gueule de bois

Le matin, un soleil terne brille.
_ Un vent souffle.
Mille anges
_ Jouent au basket-ball.

Je ferme les yeux,
_ C’est une triste ivresse.
Un poêle est déjà inutile
_ S’est rouillé blanc.

Le matin, un soleil terne brille
_ Un vent souffle.
Mille anges
_ Jouent au basket-ball.

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.

Übersetzen | » Freundliche Gedichte, Band I « Die Hyazinthenbibliothek Teil 4 von Michizo Tachihara

Das Lied der Schwalbe

Ein fernes Dorf
Es zeigt sich in meinem Traum, grau und einsam
Damals waren gibōshi und unfreundliche Blumen Blumen
Ziegen sangen, von Tag zu Tag zog er vorbei

Es gibt Bienensträuße von zarten Morgen…
Horch in den Berg des Frühlingshimmels
Wolken, die du nicht kennst, scheinen, beleuchtet, verblassen
Ein fernes Dorf
Ich erwarte die ganze Zeit
In dieser Zeit, heute, darüber hinaus
Ich glaube, die Menschen warten wie ich

Dann kommst du eines Sommertages wieder zurück
Ich werde zu dir kommen, zu deinem Traum, zu meinem Zuhause
Wir schauten auf das verlassene Meer und der Traum war blau und endlos

Langsam, als ob Er Rezitieren Würde

Sonniger Ort, wie immer, stille Schatten
Ein minutiöses Muster, Fabel, aber klar
Blütenblätter, Zweige, Gipfel… und alles
So waren alle Dinge traurig und schläfrig

Ich wartete mit Inbrunst
Ich schaute über die Berge hinaus
Das helle Blau füllte den Himmel jenseits der Berge
Schwebende Wolken strömten, und Rauch
Ein alter Bach sang wieder, und auch die Jungvögel
Sie sangen fröhlich, und niemand wollte zuhören
Die Weine flüsterten, schwache Worte

Oh, der geheimnisvolle April! Ich würde warten, da mein Herz gebrochen ist
Die Frau kann meine Tage liebevoll machen
Ich würde beobachten… die Winde und die Schatten

» Für Mädchen wie Distel «

I. Gelassenheit: Für Mädchen wie die Distel

Der Wind, einst geflossen
Wie ein Gemälde, im blassen Grün
Ein einziges Wort von einem Mann
Das er trug, und alle Menschen empfingen

Lächelnd wie, sagen Sie danke.
Zwischen Blumen begann zu blühen
Der blaue Himmel würde nie diese Farbe ändern
Der Gesang einer Glocke erfüllte, der Wind war klar
Eine Schande der Sorge,
Der Ort, mit seinen leichten Flügeln
fliegen würde, duftend…

Es gibt keine Sünde, alles
Die ganze Welt, es gibt keinen Jäger oder Dieb
Dies ist die Welt der ganzen Schöpfung, im weiten Wind und Licht

II. Regenbogen-Ring

Warm duftend, vom Himmel
Die engelhafte Hand eines Mädchens verstreut
Du konntest schauen, sie ist weich wie eine Wolke
Du lehntest dich an mich und sie sah ekstatisch aus.

Wenn eine Nacht kam, sangen die Vögel, wenn ein Morgen kam,
sah ich zu, wie Tautropfen im Gras aufleuchteten… Von einer Perle
Das Gras glättete sich wie ein Glockenspiel und die Schneide eines Schwertes, beide
gaben ihre Arme wie sanfte Bäume, zitterten
Der Wind wehte und zog vorbei, sein Lächeln, seine Berührung
Die feuchte Brise am Morgen …… Wieder
Ein Tag erhob sich, und fiel

Deine Augen spiegelten meine Augen, dort drinnen
Ein dicker Himmel weit weg und helle Sterne, die man am Tag sehen kann
Sympathisch, sie wiederholten sich, um feine Passagen zu spielen

III. Vergnügen auf einem Fenster

Gestern Abend wurde es dunkel
Ich ging spazieren, in der Stadt
Ein Fenster wurde geschlossen
Das Licht war weit weg von mir

Nein, das Licht war neben mir.
Ein Fenster wurde geschlossen
Jemand atmete friedlich
Weit weg, wie ein zartes Lied!
Ich ahmte den Gesang heimlich nach.
Es war sehr ungeschickt
Alt, wie eine zerbrochene Flöte

Ich rannte mit den Beinen weg
Es war sehr ungeschickt, gewiss
Das Licht hatte sich selbst gehört, wohin ging es?

IV. Im Morgendlichen Dämmerlicht

Ich kann gut Musik hören
Aber niemand hört zu
Eine kleine Fuge, zwischen Blumen
Zwischen Blättern von Gras, Fluss und Farbe

Du öffnest das Fenster, Und du lehnst dich besser an
Es gibt einen Schatten auf der Erde, Sieh ihn dir lieber an
Ach, alle Dinge sind schön! Außer meinem Körper
Der mich umgibt und mich warm umarmt
Flüstere ich, “Zu dir noch einmal
… Die Vergänglichkeit, ach, erreicht mit diesem Augenblick
Die Dinge verändern sich, ausgelöscht mit Schönheit!

In Musik ohne Unterlass
Flügge und Früchte legen sich in den hohen Himmel
Schatten sind lang, sie werden verschwinden… Und, sie werden sich trennen

V. Ein Volkslied

Ein Seil war gespannt, Schon
Irgendjemand nimmt keine Melodie
Das berühren, Traurigkeit alt
Würde still wiederkommen… Ein kleiner Behälter des Liedes

Eines Tages, Die Erinnerung, die ein süßes Lied auf ihm leben.
Manchmal tragen die Menschen dies
Ein Bogen lud ein Leichte Töne … Er spielte
(Ach, die Zeit daraus fließt lang und fern).
…… Seit langem hatten Hagebutten gespielt
Tauben hatten gesungen……. Diese Zeit dort……
So hat dieses Lied in den Herzen der Menschen geruht.

Die Zeit vergeht, Zarte Melodien erweckten sie.
Die Finger legten sich zusammen, In alten Liedern
…..Eine Mühle, Ein Bach, Du warst schön.

Wenn ich einem Vogel zuhörte, sang er

.

Eines Tages, Ich hörte einem Vöglein zu.
Mein Herz, Es pochte
Meine Ohren tauchten in die Stille ein
Was für ein süßes Lachen!

Auch Gerüche, Farben von Blumen
Wolken, die fallen, Ein Weg zu fließen.
Mit dem Finger nach oben gehen, schauen… Ohne Herz
Zwischen Gräsern, Er ruhte sich aus
Ohne zu zögern, zu schwärmen, Insekten.
Ich lausche seinem Knurren, Eine kleine Kurve zu zeichnen.
Auch dieses Lied würde verschwinden, so wie

Verschwinden, Wolken, Verschwinden, Die Angst
Die Tür der Jugend hat sich geöffnet, Blau und blau.
Farbe des Himmels, Er war von der Sonne glitzernd!

Ein Lied zu süß und sentimental

.

Eines Tages, Es ist fröhliche Wildblumen
Die Pincushion, die Paulownia und die Gibōshi, alle Blumen.
Wir pflückten sie und riefen ihre Namen
In unseren großen Armkreisen.

Ein anderer Tag der Blumen, die uns ihre Namen nicht kennen.
Ich binde einen Strauß für dich
Wie ein Zeichen
Du trugst es in deiner Brust
Diese Tage sind vergangen, Dieser Weg ist dieser Weg.
Dieser Weg ist dieser Weg, der mir sagt, Schon jetzt
Du warst nicht sie!

Wie von meiner Traurigkeit, ein Grasbüschel
Ein Gras, das nicht blühte ein einziger
Einsam, wird trübe, zitternd.

Einsam in den Müssen

.

I. Einsam in den Wäldern

Nichtsdestoweniger, Sieh
Blüht auf, Von Blumen und Blüten
Nichtsdestotrotz, Höre
Singen, Vögel und Vögel

Wolken bleiben, Auf den Wipfeln der Bäume
Hoch am Himmel, Sind aufgezogen
Dort, wo blau und blau ist, Ein Wind
Verschwommen und verschwommen, Wird vorüberziehen
Über Blätter von Gräsern, Schatten von Gräsern.
Er bewegt sich nicht von ihnen, In der Tiefe
Ein Marienkäfer, Schläft

Stille, wie jemand singt, Taucht auf
In meinem Herzen, Da ist ein überfließender Brunnen! Hart
Der Ton pulsiert, Der die Zeit vorspult.

II. An eine Wintererinnerung: Heinrich Vogeler gewidmet

Er jagt nicht, noch wird er gejagt, Im Schatten eines toten Baumes.
Er steht auf und schaut, Weißer Schnee.
Auf der Oberfläche, Ist gesunken, Mein Schatten…
(Traurig, Diese blaue Gestalt ist erschienen).

Ich höre, Ja, Sicher
Ich, höre, Dieser Schatten, Singt…
Die näselnde Stimme hat Tränen in den Augen, Sie hallt nicht wider.
Passagen von Sommerblumen, die in die Vergangenheit gingen, Singt.
“Es ist Heidschnucke, Es ist Vöglein, Es ist, Baum der Tanne, Es ist Set.
Ich … Ich bin ein Vögelchen, Ich bin, Tannenbaum…”. Ohne Antwort
Ich und mein Schatten, Sie sehen sich an, Früher war es so.

Mein Schatten, höre, In meinem Herzen, Er singt.
Eine Passage, Wie ein Flüstern von einem alten Bach.
Die Tränen fließen, die singen… Auf der Oberfläche des Schnees ganz weiß.

Für den leichten Frühling

.

Jetzt, Februar, Ist es nur noch.
Umgebungen, Ich kann dem Frühling schon lauschen.
Jedoch, Es ist nur set
Sehr alt, Ein Versprechen bleibt nicht mehr

Jetzt, Februar, Es ist einmal allein
In Träumen, Die verwöhnen, Bleiben nicht mehr.
Dennoch, Es ist nur einmal allein
Das Mädchen, Für mich, Lächelt
Ja, die Blumen würden wieder blühen.
So würden Vögel singen, die sich nicht ändern würden.
Die Menschen werden im Frühling lächeln.

Jetzt, Februar, Hörten auf der Wolkenoberfläche
Meine, Gestörten Fußspuren… Es ist nur
Es ist nur sicher – Mir…

Liste der Übersetzungen von Gedichten
(Deutsch, English, Français, Español, Italiano)

Jean-Michel Serres Apfel Cafe Apfelsaft Cinema Music QR-Kodes Mitte Deutsch 2024.

Translation | “Gentle Poems vol. I” The Hyacinth Library Part 4 by Michizo Tachihara

Swallow's Song

A distant village
It shows itself in my dream, grey and alone
In that time, gibōshi and unkind flowers was flowers
Goats sang, from day to day he passed

There are beacoups of tender mornings…
Listen in the mountain of the spring sky
Clouds that you don’t know shine, illuminated, fading away
A distant village
I expect all the time
In that time, today, beyond
I think people are waiting like me

Then one summer day you’ll come back again
I’ll come to you, to your dream, to my home
We looked at the deserted sea and the dream was blue and endless

Slowly as if reciting

Sunny place, as always, silent shadows
A meticulous pattern, fable, but clear
Petals, branches, peaks… and all
All things, thus, were sad, and drowsy

I would wait with ardour
I looked out over the mountains
The bright blue filled a sky beyond the mountains
Floating clouds were flowing, and smoke
An old stream sang again, and fledglings too
They sang happily, and no one would listen
The wines whispered, weak words

Oh, the mysterious April ! I’d wait as my heart is broken
The woman can make my days loving
I would watch… the winds, and the shadows

"For Girls Like Thistle"

I. Calmeness : For Girls Like Thistle

The wind, once flowed
Like a painting, in the pale green
A single word by a man
Which he carried, and all the people received

Smiling like, say thank you.
Between flowers began to bloom
The blue sky would never change this coulour
The song of a bell filled, the wind was clear
A shame of solicitude,
Place, by its light wings
Would fly, scenting…

There is no sin, all
All the world, there is no hunter or thief
This is the world of all creation, in the vast wind and light

II. Rainbow Ring

Warm odour scented, from the sky
The angelic hand of a girl scattered
You could look, she’s soft as a cloud
You leaned against me and she looked ecstatic.

When a night came, birds would sing, when a morning came,
I watched as dewdrops brightened in a grass… From a pearl
The grass smoothed like a chime and a sword’s edge, Both
Gave their arms like gentle trees, Trembled
The wind blew and passed, Its smile, Its touch
The damp breeze in the morning …… Again
One day rose, and fell

Your eyes reflected my eyes, in there
A thick sky far away and bright stars you can see in the day
Sympathetic, they repeated to play subtle passages

III. Delight Under a Window

Last night, the night fell
I was walking through the city
A window was closed
That light was far away for me

No! The light was next to me
A window was closed
Someone was breathing peacefully
Far away, like a tender song!
I was imitating to sing this song in secret
It was very clumsy
Old, like a broken flute

I ran away with all my legs
It was certainly very clumsy
The light was heard, Where did it go?

IV. In a Morning Twilight

I can listen to music well
But no one listens to
A little fugue, Between flowers
Between leaves of grass, Flow and colour

You open the window, And you better lean on it
There is a shadow on the earth, You’d better look at it
Ah, all things are beautiful! Besides my body
That surrounds me and embraces me warmly
I whisper, To you once more
… The transience, Ah, reach with this moment
Things change, Annihilated with beauty!

In music without stop
Fledglings and fruits lie down in the high sky
Shadows are long, They will disappear… And, They will separate

IV. Early morning

I can listen to music
But no one listens
A little fugue, Between flowers
Between leaves of grass, Flow and colour

You open the window, And you better lean on it
There is a shadow on the earth, You’d better look at it
Ah, all things are beautiful! Besides my body
That surrounds me and embraces me warmly
I whisper, To you once more
… The transience, Ah, reach with this moment
Things change, Annihilated with beauty!

In music without stop
Fledglings and fruits lie down in the high sky
Shadows are long, They will disappear… And, They will separate

V. Folk song

A cord was stretched, Already
Somebody don’t take melody
Touch it, Sadness old
Would come back silently… A little container of song

One day, the memory that a sweet song live on it
Sometimes people wear this
A bow invited light tones… He played
(Ah, the time flows long and far.)
…… Long ago rose hips played
Pigeons have sung…… That time there……
So this song has rested in people’s hearts

Time passed, Tender melodies woke up
Fingers joined, In old song
….. A mill, a stream, You were beautiful

When I was listening to a bird sing

One day, I was listening to a birdie
My heart, Was throbbing
My ears were dipped in the silence
What a sweet laugh!

Even smells, Colours of the flowers
Falling clouds, A way to sink
Climbing with the finger, Looking… Heartless
Between grasses, He rested
Without hesitation to rave, Insects
I listen to its rumblings, Drawing a little curve
Also this song would come to disappear just like

Disappear, Clouds, Disappear, Fear
The door of youth opened, Blue and blue
Colour of the sky, It was sparkled by the sun!

A song too sweet and sentimental

One day, It’s joyful wild flowers
The Pincushion, the Paulownia and the Gibōshi, all flowers
We picked them calling names
To our great circles of arms.

Another day of flowers that we don’t know its names
I was making a bouquet for you
As a sign
You carried in your chest
Those days are gone, This way is that way
This way is that way, Which tells me, Already
You were not her!

Like my sad, a tuft of grass
A grass that has not bloomed a single
Lonely, Tarnished, Shivering

Alone in the must

I. Alone in the woods

Nevertheless, Look
Fade away, Flowers and blossoms
Nevertheless, Listen
Singing, Birds and birds

Clouds remain, On the treetops
High in the sky, Are lifted
Where is blue and blue, A wind
Blurred and blurred, Will pass
On leaves of the grasses, Shadows of the grasses
It does not move from them, In the depth
A ladybird, Sleeps

Silence as someone sings, Soaks
In my heart, There is an overflowing fountain! Hard
The sound pulses, That advances time

II. To a winter memory: Heinrich Vogeler gewidmet

He neither pursues, nor is pursued, At a shadow of a dead tree
He rises, and looks, At the white snows
On the surface, Is sunk, My shadow…
(Sadly, this blue form, Has appeared)

I am listening, Yes, I am sure
I am listening, This shadow, Is singing…
Of the nasal voice has tears in its eyes, It does not resound
Passages of summer flowers that have passed in the past, Sings
“It’s bunting, It’s fledgling, It’s, Tree of the fir, It’s set
I’m a… I am a bird, I am a tree…” No answer
Me and my shadow, They look at each other, Other times it was like that

My shadow, listen, In my heart, It sings
A passage, Like a whisper of an old stream
Tears are falling, singing… On the surface of the white snows

For the light spring

Now, February, It is only
Around, I can hear the spring already
However, it is only
Very old, A promise no longer remains

Now, February, It is once alone
In dreams, Which cherish, Do not stay
However, It is once alone
The girl, For me, Smiles
Yes, Flowers, Would bloom again
So birds, Would sing that would not change
People will smile at her in the spring

Now, February, Hear on the surface of the cloud
My, disturbed footprints… It’s only
It’s only safe – To me…

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