commentaire | Abandonner une chatte: Quand je parle de mon père de Haruki Murakami, Bungeishunju

Abandonner une chatte, quand je parle de mon père est un essai de Haruki Murakami, à propos de l’histoire de sa famille et surtout son père. Et il n’est pas un essai ordinaire seul, mais a une histoire et est comme une nouvelle traite l’histoire de sa famille et ses expériences de base. Le père de Murakami, Chiaki Murakami (1917 – 2008) était le seconde fils de une famille d’un temple bouddhiste, et était un professeur de japonais (littérature japonaise) d’une lycée. Teneur principal de cet essai est sa vivre et expérience dans la seconde guerre sino-japonaise.

Pourquoi est-ce que Murakami pensait qu’il doit écrire à propos de son père ? Il pense peut-être que son être et et sa partie d’origine de personnalité de Murakami sont fait et formé par son père directement ou indirectement. Père de Murakami était bon professor de (littérature de) japonais sérieux et dévoué, amoureux des livres qui avait beaucoup des livres et son hobby était haiku. Et il a renoncé à devenir un savant, ainsi il avait exception à réaliser son espoir à le fils unique, mais Murakami sentait répulsion à son espoir et le système éducative en uniforme du Japon. Ces éléments de son père faisait et formait caractère de Murakami inclut antipathies et réactions.

De plus, Murakami peut être existé par la guerre. Malheureusement sa père a été enrôlé par une erreur à l’armée quand la seconde guerre sino-japonaise se a passait., mais heureusement sans savoir pourquoi il n’a pas été enrôlé quand la guerre de Pacifique. Le fiancé de sa mère (un professeur du musique) meurt par la guerre, la maison des ses parents a brûlée par un bombardement. Afin que son père et sa mère ont rencontré et épousé, elle a donné naissance à Murakami. Voilà pourquoi la vie inclut accidents et est formée par accidents. Les gens sont vécu par accidents, et accidents font inévitabilités, nécessités et faits. Murakami énonce un précepte concernant l’épisode de un chaton a monté sur la partie plus haute d’un pin.

Un résultat engloutit une cause facilement, et fait l’impotence. (p. 94)

Et chattes dans ce essai sont dieux ou êtres divins de l’accident et le destin, apportent la nécessité et la vie. Le premiere épisode de une grande female tabby est une métaphore de la libération mystérieuse et incompréhensible de l’armée. La seconde épisode de un petit chaton blanc mignon est une métaphore de la résurrection du Christ. Le chaton a disparu sur sur la partie plus haute d’un pin, est allé au paradis. C’est un accident ou un miracle a apporté une nécessité ou une histoire à Murakami, et a devenu un fragment de lui.

Alors, je pense, une thème de ce essai est raisonner de l’accident et la nécessité de la vie.

D’un autre côté, un autre thème de cet essai est histoires et l’histoire. La personnalité et les œuvres de Murakami peuvent être affectées par ses expériences, son environment, sa famille et sa âge. Les deux episodes de chattes se composent des parties de Murakami. Un conversation par son père de qui a regardé un meurtre du prisonnier chinois ou a lui meurtrit, affectait à Murakami, et il reprend comme un trauma pourtant il est une expérience indirecte. Leur père a adoptait temporairement à un temple de Nara, pourrait affecter à Murakami comme une expérience inconsciente. Episodes personnels d’un homme forme sa personnalité et sa histoire. Et Murakami pense que chacune des histoires entre nous fait le grande histoire du monde ou « l’histoire ». Il écrit dans la postface.

L’histoire n’est pas une chose appartient au passe. C’est une chose passe comme sang vivant chaud à intérieur de la conscience et la inconscience, fait traverser à la prochaine génération par force. Dans un sense, ce essai est une histoire personnel, dans le même temps, il est une partie de la grande histoire forme le monde entier qui nous vivons. C’est une très petite taille de partie, malgré tout, on peut lui faire confiance, c’est un fragment comme un fait. (pp. 99 -100)

Les gens ont existé par accidents, ont vécu par faits, ont affecté par l’histoire. Mais nous vivons en société comme une personne, et devons penser, interpréter, decider et agir. Les choses associent entre accidents et nécessités, histoires et l’histoire sont la pensée, la conscience et la volonté. Je pense, ce essai raconte l’importance de chacune des façons de vivre, consciences et volontés des gens dans une époque, transforme histoires en l’histoire.

Details sur le livre

Abandonner un chat: Quand je parle de mon père
Haruki Murakami
Bungeishunju, Tokyo, Japon, 23 avril 2020
104 pages, JPY 1320
ISBN 978-4163911939
Contenu

  • Abandonner une chatte
  • Épilogue: Un fragment de l’histoire

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Works of / Œuvres de Haruki Murakami

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5. À la vanité

Vanitati creatura subjecta est etiam nolens. – « Car la création a été soumise au pouvoir du néant. » Épître aux Romains (8, 20)

La vanité est une caractéristique le plus universel et le plus propre dans la nature humaine. La vanité est l’être du humain même. L’humain vit par la vanité. La vanité est chose la plus humaine dans toutes choses humaines.

La vie du humain qui vit par la vanité n’a pas de substance. En d’autre mots, la vie du humain est une chose fictive. Il en est même du sens artistique. C’est-à-dire, la vie est une fiction (un roman). Donc tous les gens peuvent écrire un roman seul. Je pouvais dire, la différence entre une person commun et un artiste, est on peut écrire un roman seul ou divers romans.

La vie est un fiction, on ne signifie rien elle n’a pas de quelque nature existentielle. Mais, cette nature existentielle n’est pas même que cela matérielle, est même que cala du roman. Par conséquent, une chose n’a pas d’existence pouvait être existentielle comment, est une problème fondamentale dans la vie aussi que le roman.


Le vie est originellement une chose possible seule comme une chose fictive. Ce réalité devait être prouvée par notre vie soi-même pour la première fois.


Quelque écrivains essayaient de écrire une fiction sur Dieu et l’animal. Dieu et l’animal ont pu devenir un objet de la fiction, seul en cas de la passion humaine leurs importe. Vie d’un homme est la chose fictionnelle. Je peux définir l’homme est l’animal de roman.


« La nature imite l’art » est un mot bien connu. Mais, dans le sens propre, qui imite l’art est l’homme seul dans la nature. Il faut l’homme imite et peut imiter le roman par l’homme est une chose de roman par essence. L’homme deviens humain aussitôt qu’il fait soi-même et sa vie un roman.

Toutes les passions qu’ont dit humaines naissent de la vanité. Toute passion de l’homme est humaine, mais en supposant que on existe passion animale, la vanité peut la saisir immédiatement et il y a une chose humaine.


Par penser cette substance, la vanité est le néant. La vanité ce qui on dit est cette phénomène seulement. Toutes les passions humaines sont nées par le néant, sont vaniteuses dans cette phénomène. Une person prouvera l’existence de la vie, qui doit prouver l’existence du néant. Comme ça, toutes les créations humaines sont des choses prouvent l’existence de néant.


« Amasser de beaucoup de vanité dans soi-même, mais pour n’est pas surmenée par elle, vous voudrez faire une fente à lui. C’est-à-dire, il faut l’écoulement quotidienne. » Laurent Joubert disait comme ça, et il a du bon sens. Mais ce connaissance quotidienne signifie un savoir-vivre sage. Pour ne pas péri par la vanité, les gens doivent vaniteux dans la vie quotidienne et en affaires sans importance.

En ce point, l’héros est exception. L’héros prouve soi-même par son fin, c’est-à-dire par sa disparition. Un premier rôle de la comédie n’est pas l’héros. L’héros est le premier rôle de la tragédie seul.


L’homme vit par la vanité, cet chose signifie c’est nécessaire de la sagesse dans sa vie. Toute sagesse de la vie doit aboutir à la vanité.


Le billet (papier-monnaie) est chose fictive. Mais, la pièce d’or est chose fictive aussi. Malgré, je pense il y a distinction entre le billet et la piece d’or. Parce que il y a la monnaie fiduciaire dans le monde. La sagesse dans la vie sur lequel toutes les choses sont la vanité, est la capacité distingue la pièce d’or à le billet, particulièrement la monnaie fiduciaire. Cependant, la pièce d’or soi-même n’est pas une chose fictive.


Mais l’homme est vaniteux qui signifie plus haut caractéristique de l’homme. La vanité est une passion humaine indique soi-même est supérieur à quelque choses. C’est une déguisement seul. Mais, en cas d’un person qui se déguise dans toute sa vie, c’est près de impossible qu’on distinguer sa nature et sa déguisement. Est-ce que le moral est aussi une fiction ? Il a un sens de la pièce d’or contre la monnaie fiduciaire.


L’homme est vaniteux signifie l’home est social. C’est-à-dire la société est formée aussi sur une fiction. C’est pourquoi, la confiance est tout dans la société. Toutes les fictions ne sont pas vaniteuse. Par la fiction, l’homme qui vit la vie pouvait vaniteux.


Le pouvoir d’habitude fait la fiction une chose naturelle. Plutôt devenir l’habitude, la fiction aboutit qu’à avoir le sens de fiction première fois. C’est pourquoi, on ne appelle pas une chose vaniteuse seule la fiction. Aussi la fiction est la vanité, mais elle est convenable pour la fiction, et est une chose plus humaine que un simple vanité. L’habitude fait preuve de haute humanité comme ça déjà. L’habitude n’est pas une chose naturelle seule, est une forme de chose intellectuelle par le commencement.


Tout le mal des humains naît par ils ne peuvent pas être solitaires.


Comment peut-on effacer la vanité ? Par revenir à la vanité, or par prouver de l’existence de la vanité ? Autrement dire, par la création ? La vie créative seule ne connais pas la vanité. La création est faire une fiction et prouver l’existence de la fiction.


Dans la plupart des cas, la vanité s’unit à la consommation.


Être vaniteux pour aimé par les autres, ou pour être bon aux autres, est « moitié du vertu » par le commencement comme Joubert dit. Toute la vanité est pardonnée par cette moitié du vertu. Exclure la vanité soi-même pouvait être non seulement une vanité, mais aussi se corromps au orgueil souvent.


Il y a une sagesse dans Platon qui essaie expulser artistes de son état idéal. Mais être artiste dans sa propre vie est le meilleur chemin qui expulse la vanité de la situation humaine.


La vanité est dilettantism distingué par la création dans la vie. Qui pense la vanité en comparaison de le dilettantism dans l’art, pourra découvrir un traitement convenable de la vanité.

8. À la condition humaine

Par n’importe quelle méthode, plus je me concentre à moi, plus je sens que je flotte sur quelque chose. Sur quelle chose flotte-je ? Je peut dire seulement sur le néant. Soi-même est un point dans le néant. Ce point peut réduire sans limite. Mais, il devient plus petit, il ne s’identifie pas avec le néant sur qui soi-même flotte. La vie n’eat pas le néant, plutôt le néant est la condition humaine. Cependant, comme une vague ou une écume n’est pas existé sans le mer, nous ne pouvons pas penser sur l’humain sans cette condition. Une idée « la vie est comme une écume. » est faute au cas où on ne penserait pas de une vague et une mer comme la condition d’une écume. Mais aussi, l’humain fait corps avec le néant de même que une écume et une vague font corps avec une mer. La vie est pouvoir ramasse du néant. Elle est pouvoir de formation par le néant. Une chose est formée par ramasser le néant n’est pas le néant. Le néant et l’humain sont différents comme la mort et la vie. Mais le néant est une condition humaine.


On peut penser autres plusieurs choses comme une condition humaine. Par exemple, cette chambre, ce bureau, cette livre ou la connaissance donné par ce livre, ou bien le jardin de ce maison, entière nature, ou ma famille et entière société,,, et le monde. Ces choses exprimées par quelque mots, on peut diviser aux innombrables éléments. Ces innombrables éléments concernent réciproquement. Aussi, sur l’humain, son corps et son esprit peuvent sont divisés infiniment à une chose du même ordre de ses éléments. Ainsi, pour une cellule autres toutes cellules sont une condition, pour un cœur autres touts cœurs sont une condition. Ces conditions concernent autres toutes conditions. Poursuivre diviser infiniment de cette façon, je pense on ne peut pas découvrir quelque chose humaine excepté sa condition. Je regarde soi-même est décomposé en un élément pareil que éléments du monde. Mais, cependant c’est certain je existe en tant que une chose diffère du monde. L’humaine et la condition humaine sont différentes bien. Comment est-ce affaire possible ?

La matière est la condition humaine, qui arrive par elle se montre cette matière pour la première fois dans le néant. C’est-à-dire, le monde — je lui pense comme il est grand à l’infini ou petit à l’infini — le néant est son a priori par il est la condition humaine. Le chose du monde est la condition humaine comme le chose est limitée par le néant au tant que le condition fondamentale du humain, le chose lui-même peut aboutir au néant, non, le chose au tant que le néant. Pour cette raison, d’abord, l’humain est décomposé à l’infini en un élément aussi le monde, relation entre ses éléments, mais distinctions peuvent exister à l’infini entre l’humain et le monde, et entre l’humain et la condition humaine. Si le néant n’était pas la condition de la condition humaine, comment-puisse mon soi-même être une chose divisée fondamentalement par les éléments du monde ?


Le néant est la condition humaine ou la condition comme une chose de la condition humaine, ainsi je peux dire la vie humaine est la formation. Le soi est pouvoir de formation, et l’humain est une chose formée, non seulement, le monde aussi peut avoir réellement pour la premiers fois le sens du milieu à la vie humaine, comme une chose formée. La vie fait forme comme une forme à l’extérieur de sa propre initiative, et donne une forme à elle-même par elle donne une forme à une chose. La formation comme ça est possible que la condition humaine est le néant. Le monde est décomposé en éléments, même, l’humain est décomposé dans le monde élémentaire, ainsi nous apercevons relations entre les éléments, et un élément lui-même peut se décompose en une relation. Nous pouvons définir ce relation par quelques règles. Mais, au monde comme ça, la vie ne peut pas être formée. Pourquoi ? La vie n’est ni règle abstraite ni relation seule ni somme ou produit de relation, mais la vie est forme, ainsi on ne peut pas penser la forme dans le monde comme ça. On doit pense la formation par autre côte, c’est-à-dire par le néant. La formation est toujours formation par le néant. On peut entendre seulement la formation de forme, les relations entre formes et le changement de une forme à autre forme, par le bas comme le néant. Il y a le caractère particulier essentielle du forme.


Les philosophes anciennes pensent par concepts substantiels, Les philosophes modernes pensent par concepts relationnels ou fonctionnels (de fonction mathématique). La nouvelle pensée doit être une pensée de forme. Le forme n’est ni substance seule ni relation ou fonction seules. C’est-à=dire, le forme est synthèse des deux. On peut penser une forme où une concept relationnel et une concept substantiel ses unir, ou où une concept fonctionnel et une concept substantiel ses unir.


Les gens passés vivaient dans le monde limité. Cette zone est ce qui on peut regarder d’un bout à l’autre. Ils comprends outil qu’ils emploient fait par quelqu’un, et ce technique est tellement. Aussi sur la nouvelle et la connaissance ce qu’il connais, on connaît ses sources et combien de confiance ce qu’hommes possèdent. Comme ça, la condition de la vie et le milieu des hommes était limitées, et ses formes était visible, ainsi l’homme lui-même, son esprit, sa expression et sa allure sont choses qu’ont formes précises. Donc l’homme passé a propre caractère.

Ainsi la condition humaine aujourd’hui est différent. Les contemporains vivent au monde illimité. Je ne connait pas un outil je utilise de qui quelqu’un fait, est je ne connait pas que nouvelles et connaissance sur qui je m’appuie apparent par quelque part.. Toutes les choses ne sont pas seulement anonyme. Toutes les choses sont amorphe. Les contemporains eux-mêmes vivent en la condition humaine comme ça, devient anonyme, amorphe et sans caractéristique.

Or le monde des contemporains est illimité, en fait, il a causé par la consequence d’être limité. Choses de tous les coins du monde sont concernées par le développement de la circulation. Je suis relié à choses invisibles et innombrables. Choses isolements sont devenus choses très limitées par entrer aux relations innombrables. Choses substantielles sont décomposées en relations et devenaient choses limitée le plus strictes. Je doit dire le monde passé étais illimité plutôt contre ce monde limité. Mais, cependant, le monde aujourd’hui est illimité. Il est limité relationnels ou fonctionnels, ou encore il est limité tout son possible comme ça, par conséquence, il est devenu illimité comme forme. Il y a de complexité particulière des contemporains dans cette illimitation était surgi en fait par la conséquence de développement de la méthode du limitation particulière.

Le plus grande problème des contemporains comment nous faisons forme par une chose sans forme. Cette problème n’est pas résolu par la position immanente. Parce que cette condition illimitée était surgi par par la conséquence que la limitation se développe en fait. La significance des toutes pensées transcendantales contemporaines existent là. Il faut la formation est la formation par le néant, et la formation au tant que l’art au-delà la science. Je peut dire il n’y a pas de salut, jusqu’à la conception du monde artistique en plus formative et sans theoria devra dominant.

Par la confusion contemporaine, toutes les choses sera en confondu. Choses qui sont opposées deviens être confondu est plus proche en réalité que choses qui sont opposées deviens être unifiées. Par cette confusion, nouvelle forme apparaîtra. La génération de la forme est la dialectique de confusion plutôt que la dialectique de forme. La logique d’imagination, je dis, deviendra caractérisée comme la dialectique de confusion. La confusion est combinaisons des choses indéfinies, fondement de cette caractéristique indéfinie est l’existence du néant. Toutes les choses sont par le néant, et chacun a particulièrement un néant, ainsi nous pouvons penser la confusion. Non seulement le néant possède l’être générale, mais aussi chacun possède un être particulier. La logique de confusion doit être formation par le néant. La philosophie ancienne qui disait formation par le chaos du cosmos, inclus la vérité profonde. C’est grave que on comprends ce sens de sa propre initiative à l’infini.

9. À la solitude

« Le silence eternel des ces espaces infinis m’effraie. » – Blaise Pascal

On sent la solitude est peur, ne pas par la solitude elle-même, par la condition de solitude plutôt. C’est même, comme le mort est peur, ne pas par le mort il-même, par la condition de mort plutôt. Mais, y a-t-il la solitude même sauf la condition de solitude ? Mais, y a-t-il le mort même sauf la condition de mort ? Une chose on ne peut pas prendre une substance sauf une condition,,, je pense, le mort et la solitude, elles sont la chose comme ça. Ainsi que, nous pouvons dire une chose n’a pas de la substance qui est n’a pas la existence, ou nous devons dire.


La philosophie ancienne ne pouvait pas penser la substance dans une place il y a pas de existence. C’est pourquoi, là, le mort et la solitude signifient seulement le manque (stasis) comme elle pensait l’obscurité est manque de la lumière. Donc les gens modernes pensent par les conditions. Le science moderne indique le pensée par les conditions. Ainsi le science moderne ne élucidait pas le faux de la peur du mort et de la solitude, plutôt indique cette nature substantielle.


La solitude n’est pas vivre seul. Vivre seul est une condition de la solitude seulement, et une condition extérieure. Plutôt, en plus, gens vivent seuls pour échapper à la solitude. Dans la plupart de cas, l’ermite est le gens comme ça.


La solitude, il n’y a rien de montagne, il y a de la ville. Il n’y a rien dans un homme, il y a entre bien des gens. La solitude est une chose comme l’espace, qui existe dans « entre » les gens. « Le peur de vide » n’est pas materiel, est une chose humaine.


La chose n’est pas on s’enfermer dans l’intérieur. Quand on senti la solitude, à l’essai, vous étendrez votre mains, et les regardez fixement. Le sentiment de solitude commence à approcher.

Les Occidentaux sortent à une ville pour sentir la solitude. Cependant, les Orientaux entrent à la nature. Pour eux, la nature est une chose comme la société. Les Orientaux n’avons rien de conscience sociale, parce que ils ne peuvent pas penser que l’homme et la nature sont opposées.


Le monde des Orientaux est le monde de pénombre. Tandis que le monde des Occidentaux est le monde de jour et le monde de nuit. La place il n’y a pas est la opposition entre le jour et la nuit, est la pénombre. Solitude de la pénombre est différent de elle de jour et elle de nuit.


À la solitude, il y a la tentation esthétique. La solitude a une saveur. Quiconque aime la solitude à cause de cette saveur. Jaunes filles même sait la tentation esthétique de solitude. Il est question de arriver un haut point du sens éthique de la solitude.

Même Kierkegaard, on peut dire sa vivre était une poursuivre du sens éthique de la solitude, perdait souvent par cette tentation esthétique.


Un avis quotidien comme le sentiment est subjectif et l’intelligence est objectif, est faute. Plutôt l’inverse est plus proche de le vérité. Dans la plupart du cas, le sentiment est une chose objective et socialisée et l’intelligence est une chose subjective et personnelle. Le sentiment subjectif vraiment est intelligent. Il faut la solitude n’appartient pas à le sentiment mais l’intelligence.


L’avis philosophique n’est jamais pernicieux qui assimile la vérité à l’objectivité ou l’inhumanité. Cet avis ne comprend ni aspect intérieur de la vérité ni cet aspect expressif.


N’import quel objet fait franchir la solitude à moi. À la solitude je franchis le monde des objets entièrement.

Quand nous sommes solitaires, nous ne avons pas étions anéantie par choses. Quand nous ne connaissons pas la solitude, nous sommes anéantie par choses.


Dans la solitude, choses comme choses expressives s’approchent de nous. Et nous pouvons franchir la solitude, sur nous ne sommes jamais sauf à l’activité expressive de soi qui répondre à l’appel par des choses. Augustin d’Hippone a dit, plantes veulent être regardées par l’homme, et ce regard est un salut, ainsi l’expression est un secours aux choses, et un secours à soi-même par secourir aux choses. Ainsi que la solitude s’enracine de amour le plus profond. Là, il y a la existence de solitude.

18. À l’hypothèse

Quel est le pensée ? Il deviendra claire par penser contre la vie. La vie est un fait, et une chose expérimental à l’infini. Contre elle, le pensée a toujours partie hypothétique. Un pensée n’a pas partie hypothétique, qui est n’appelé pas le pensée. Le pouvoir qui le pensée possède purement comme le pensée est le pouvoir d’hypothèse. Un pensée devient grand à mesure que cette étendue de l’hypothèse. Si le pensée n’a pas partie hypothétique, comment est-il distingué par la vie ? Le penser soi-même est clairement une partie de notre vie, il n’est pas chose différente. C’est pourquoi, il est distingué par la vie encore, parce que le penser est essentiellement penser hypothétique.

Le penser est penser en processus. Il pouvait être pensée en processus et méthodologique. Ainsi le pensée est en processus pourquoi on pense hypothétiquement. C’eat-à-dire il peut être le pensée hypothétique et méthodologique simultanément. Le scepticisme de Descartes monte l’exemple, même si le scepticisme doit venir de l’hypothèse pour être méthodologique.

Penser hypothétiquement n’est pas simplement même que penser logiquement. L’hypothèse est plus fondamentale que la logique dans un sens, la logique sorti par là. Je peut dire que la logique elle-même est une hypothèse. L’hypothèse a pouvoir faire une logique par une hypothèse elle-même. La logique sorti par la chose plus incertaine que la logique. Tant que la logique est pensée comme une chose fait l’hypothèse, on doit penser elle-même est une chose hypothétique.

Toutes les choses certaines apparaissent par choses incertaines. On doit penser profondément que cet fait n’est pas contraire. Ainsi, les choses certaines sont formées et n’est pas choses données, et l’hypothèse est pouvoir de formation. La perception est une formation, n’est pas de copie. L’esprit est l’artiste, n’est pas de miroir.


Est-ce que la pensée seule est hypothétique, et est-ce que la vie n’est pas hypothétique ? La vie est aussi une chose hypothétique. Elle est hypothétique, parce que elle se lie au néant. Chaque personne naît pour prouver une hypothèse. Vivre n’est pas quelque chose pour prouver vivre seul — preuve comme ça n’est pas presque nécessaire — en fait, pour prouver une hypothèse. Donc je pense la vie est une expérience. — L’expérience ne peut pas existe sans hypothèse. —Dès le debut, elle n’est pas faire quoi que ce soit, elle est une poursuite à l’hypothèse propre est crée pour prouver par soi-même.


Si la vie est une chose hypothétique, par même chemin que le pensée est distingué en tant que une chose hypothétique à la vie, il faut exister une chose par que la vie est distinguée comme une chose hypothétique.


L’hypothèse n’est pas de chose logique seule, est évident par elle existe aussi dans le pensée de la littérature. La création des romanciers est exclusivement la prevue des leurs hypothèses. Le sens de la vie est une preuve de l’hypothèse, ressemble à lui. Au moins, dans ce cas, l’hypothèse appartient au pouvoir de plan, ne pas au raisonnement seul. On peut dire qu’elle est une fiction. L’hypothèse est une chose incertaine mais praticable. Ainsi la question est lui prouver. Elle est incertain mais praticable, n’est pas du sens logique, est du sens de la ontologie plutôt. Autrement dit, elle signifie non seulement l’existence humaine conditionne le néant, mais aussi elle est confondu avec le néant. C’est pourquoi, le preuve de l’hypothèse doit être une formation créatif même que le roman. L’expérience dans la vie est la formation comme ça.


La caractéristique le plus importante distingue la connaissance quotidienne (le sens commun) de le pensée, est il n’y a pas de partie hypothétique dans la connaissance quotidienne.


Vous pouvait dire le pensée doit être la conviction, n’est pas de hypothèse. Mais une idée que le pensée doit doit être la conviction, indique le pensée est la hypothèse. En cas de la connaissance quotidienne, on n’est pas nécessaire de croyance surtout à cause de il n’y a pas de partie hypothétique dans la connaissance quotidienne. La connaissance quotidienne est une croyance déjà, par contre le pensée doit être une conviction.


Touts les pensées sont digne de le pensée ont une partie excessive. Parce que ils sont poursuites de l’hypothèse. Au contraire, le grande virtue de qui la connaissance quotidienne possèdent, est la modération. Aussi le vrai pensée a une caractéristique, quand on agit par ça en réalité, qui nous questionne sur vivre ou mourir. Le homme d’action comprends cette nature dangereuse du pensée, mais le penseur l’oublie plutôt. Cependant grands penseurs seuls connaissent cette chose plus que le homme d’action. Socrate accepte obéissant sa peine capitale de mort en raison de ça.


Recevoir malentendus devenu une fait toujours du penseur, parce que peu nombreux sont les gens qui comprennent pensée du penseur est une hypothèse. Mais la moitié de cette faute existe par un penseur soi-même dans plupart des cas, ce penseur soi-même oublie que le pensée est chose hypothétique. Selon sa paresse est souvent. Tant que la poursuite continue, la caractéristique hypothétique du pensée apparaît sans cesse.


L’éclectisme comme un pensée est impuissant, c’est pourquoi pureté de l’hypothèse est perdu. Il s’approche de la connaissance quotidienne, et dans la connaissance quotidienne il n’y a pas de chose hypothétique.


Le pensée de hypothèse est probablement le plus grand pensée apporté par la science moderne. Une méprise sur la demonstration par les fait de la science moderne, surgit par on ne aperçoit pas pleinement l’esprit de l’hypothèse ou on ne saisit pas correctement. Ensuite l’éclectisme devait se trouver au nihilisme. Si on ne savait pas de esprit de l’hypothèse, le positivisme doit se trouver seulement au nihilisme.

20. Au divertissement

On doit savoir que nous jouir de la vie. Je suis sûr qu’il est la « méthode de la vie ». C’est une technique et une vertu. L’essence des toutes techniques est on existe dans la chose à l’infini, en plus on est autonome pour la chose. Il en est de même de la méthode de la vie. Il est disponible qu’on peut jouir la vie par on passe la vie, en même temps, on existe dans la vie à l’infini.


L’idée du divertissement (le amusement) est probablement une idée moderne. Elle est un fruit d’ère de la technique mécanique, a les caractéristiques variées de ce ère. Le divertissement est une chose de substitution qui on etait crée par les hommes ont oublié jouir la vie. C’est le substitut moderne du bonheur. Les gens modernes qui ne savent pas penser au bonheur réellement, pensent au divertissement.


Je définis facilement le divertissement, c’est la vie par un chemin alternatif. Il y a la question que qu’est-ce que est cette alternative ? Autre fois, cette alternative était la chose religieuse. Ainsi le divertissement pour les hommes est faisable en tant que la fête.

Quand cette idée a eu perdu, le divertissement devenait le temps du jeu contre le temp du travail et l’activité jouisseuse contre l’activité sérieuse seules, ainsi il est considéré comme la chose qu’est différent de la vie. La jouissance, il n’y a pas dans la vie elle-même, elle est considéré comme une alternative de la vie et est dans le divertissement. Le divertissement doit être un aspect de la vie, mais il est opposé à la vie. Par la division de la vie, on engendres l’idée de divertissement. Les contemporaine qui demandent le divertissement, ont les deux faces. Comme ça, la vie moderne est devenu inhumaine. Un homme qui sent le vie comme la souffrance, demande le divertissement comme une chose alternative à la vie, mais ce divertissement doit inhumain pareil.

On pense le divertissement est dépendances de la vie, ainsi on pense il est la chose à qui on renonce ou on doit renoncer.


Le fêtes se rattache à d’autre ordre et l’ordre plus élevée. Ainsi la vie et le divertissement sont les choses des ordres mêmes, mais ils ont opposées par nous. Plutôt, la racine de cette opposition est la perte du pensée d’ordre dans le temps moderne.


Par la vue d’autre ordre plus élevée, je suppose que toutes des activités humaines inclurent le travail sérieux et le passe-temps sont simplement le divertissement. Pascal pense comme ça. Il faut retourner à cette pensée une fois, et penser par cette place, pour balayer l’opposition entre la vie et le divertissement. La base d’une idée du divertissement, il faut une métaphysique.


Par example, la spécialité n’est pas divertissement, le divertissement est une chose sauf une spécialité. La penture n’est pas divertissement pour un peintre, mais elle est divertissement pour un employé. La musique n’est pas divertissement pour un musicien, et elle est divertissement pour une dactylo. Ainsi que je l’a écru, sur toutes les cultures, on est fait l’engagement divertissant. Je peut dire, il y a une cause de la décadence de la culture moderne.


Le défaut du Bildung (la culture éducationale et intellectualle) d’aujourd’hui est basé sur que le Bildung est demandé comme la forme du divertissement. Puisque la spécialité est « la vie », le Bildung est autre chose au divertissement, après tout, il semble le Bidung est le divertissement.


On devient de être distingué que la vie et le divertissement par un point de vue de la spécialité, on a causé des gens de spécialiste du divertissement. Pour leurs, bien sûr, le divertissement est la vie, ainsi il ne peut pas retenir le divertissement. Ensuite, on a fait le divertissement pur soi-même, à la fin, le divertissement a quitté de la vie.

Donc, pour les gens ordinaires, le divertissement n’est pas une chose à ce qu’ils participer pour faire ça, il est une chose ce qui ils regardent et s’amusent seul de dehors. Ils ne participent pas, rejoignent en tant que un spectateur ou un public. Je pense, en comparaison de l’ère qui la fête était la seule forme du divertissement, les masses, ses divertissement pur soi-même, ou la jouissance ont occupées la position de Dieu. En bref, le caractéristique populaire du divertissement d’aujourd’hui est comme ça.


La vie et le divertissement sont même chose, mais, elles sont distinguées. Cette opposition abstraire cause conceptions incorrectes variées autour de le divertissement et la vie.

Le divertissement doit devenir la vie, et la vie doit devenir le divertissement. Il faut que la vie et le divertissement provoquent la totalité de la person. Jouir de la vie, c’est-à-dire le bonheur doit une conception fondamentale en cette occasion.

Le divertissement doit devenir l’art, et la vie doit devenir l’art. Il faut que technique de la vie est art de la vie.

Le divertissement existe dans la vie et fait style de la vie. Il faut que le divertissement n’est pas chose de consommation et passive seule, est chose productive et creative. C’est l’essentiel que on joie par créer, mais joie par regarder seul.

Le divertissement au tant que la vie d’autre façon, qui active organes et capacités qui ne utilisent pas toujours, et pouvant devenir le Bilding. En ce cas, certainement, le divertissement est la vie d’autre façon simplement, il n’est différent de la vie.

La cause d’un conception abstrait du divertissement comme une chose à la différence de la vie, si par la technique moderne influait sur la vie humaine, nous devons la technique qui domine ce technique mécanique. La technique domine une technique est un problem fondamental de la culture moderne.


Aujourd’hui, seule valeur du divertissement est une sorte physiologique. Le mot « divertissement salubre » signifie ça. Je fait confiance à la gymnastique et le sport seules dans le divertissement qui on s’appelle aujourd’hui. Le divertissement est la santé. Et, il n’est pas seul la santé physiologique, et ensuite il doit être la santé d’esprit. Ainsi. comme la santé physiologique améliore la circulation du sang, la santé d’esprit améliore l’activité de pensée. Il y a beaucoup des esprits durs, est une prover que valeur et méthode du divertissement ne sont pas compris vraiment.


Il faut un homme qui joie de la vie est réaliste. Mais ce réalisme doit le réalisme de technologie. Il faut on est imagination toujours à la extrémité de la technologie de la vie. Il est nécessaire de l’ingéniosité et l’invention jusqu’au choses menues. Et on n’oublie pas que l’invention n’est pas une invention de moyen justement, il doit une invention de la fin même. Le meilleure invention dans au tant que de la technologie, est une invention de nouveau moyen technologique, en même temps, est une invention de nouvelle fin technologique. Pour jouir la vie vraiment, il est important que on est inventional dans la vie, et particulièrement on invente nouvelle volonté et fin de la vie.


Épicurien est une dilettante sur l’art de la vie. Qui joie la vie vraiment est artist créatif, différent d’une dilettante.

21. À l’espérance

Sur la vie, toutes les choses sont accidentelles. Mais, sur la vie, toutes les choses sont fatales et nécessaires. Nous appelons la vie comme ça le destin. Si toutes les choses sont fatalité, on ne pensera pas le destin. Mais si toutes les chose sont accident, on ne pensera pas le destin aussi. La fatalité a sens de l’accident, aussi l’accident a sens de la fatalité, ainsi la vie est le destin.

L’espérance est une chose comme le destin. Pour ainsi dire, elle est comme une chose inverse un signe du destin. Si le tout eût été fatalité, il ne aurait pas l’espérance. De l’autre côté, si le tout eût été accident, il ne aurait pas l’espérance.

La vie est l’espérance comme la vie est le destin. Pour l’humain en tant que l’être fatale, de même, vivre est avoir l’espérance.


Ma espérance est je me marier avec une femme F, ma espérance est habiter la ville V, ma espérance est gagner la position P, etc. Les gens dirent comme ça. Mais, pourquoi est-t-il l’espérance ? Est-t-il le désir ? Est-t-il le but ? Est-t-il l’attente ? L’espérance doit n’être pas même que le désir, le but et l’attente. C’est destin que j’ai lui rencontré, que j’ai arrivé à ce place, et que je occupe une position. Chaque événement est destin pour moi, parce que ma être est entièrement destin à l’origine. On peut penser semblable sur l’espérance. On peut penser chaque contenu est l’espérance, c’est pourquoi la vie est entièrement l’espérance à l’origine.


Il est considéré désespérance, parce que c’est le destin. Cependant il est exactement le destin, c’est possible il y a l’espérance aussi.


Avoir l’espérance est on va être désappointé bientôt. Donc, c’est à dire, on ne veut pas éprouver la douleur de la désespérance, c’est bon, qui n’a pas l’espérance par le commencement. Mais, espérance sera perdu n’est pas l’espérance, au contraire, c’est une chose comme l’attente. Dans de nombreux cas, chaque contente de l’espérance doit perdu. Ensuite, la chose n’est jamais perdu est l’espérance originelle.

Par example, l’amour déçu est ne pas aimer ? Si il ou elle n’aime pas du tout, elles ne sont pas dans un état du amour et passent à autre état déjà. À la désespérance je peut penser semblable. Effectivement, entre l’amour et l’espérance il y a rapport étroit. L’espérance est né par l’amour, l’amour est cultivé par l’espérance.

L’amour est le destin aussi ? Quand le destin apparaît son pouvoir comme la nécessité, l’amour doit être astreint. Il faut réunir l’amour et l’espérance pour délivrer par tel destin.


Est-ce que le destin n’est pas une chose sauf le pouvoir de formation par la vie ? Nous avons l’espérance tant que nous vivrons, parce que vivre est faire former. L’espérance est le pouvoir de formation de la vie, notre êtres serons achevé la perfection par l’espérance. Le pouvoir de formation de la vie est l’espérance, parce que je pense ce formation a un sense de la formation du néant. Le destin est ce néant, est-t-il ? L’espérance est pouvoir d’idée depuis ce néant. L’espérance est la chose exprime l’essence d’être humaine métaphysique.


Gens qui vivre dans l’espérance est jaune toujours. Non, en plus, la vie soi-même signifie essentiellement la jeunesse.


L’amour existe ni à moi ni à partenaire, il existe entre leurs. Il existe entre l’intervalle, car il est une chose plus fondamentale que les deux et ce rapport. L’amour entre deux est compris comme une troisième chose d’incident entre deux. De plus cette troisième chose est chose d’un(e) des lesquelles même. Et dans l’espérance, je pense qu’il y a caractéristiques similaire. L’espérance n’est née pas par moi, mais elle est entièrement une chose intérieure de moi. On dit que la vraie espérance naît par la désespérance, autant que on signifie cette chose que l’espérance n’est pas de chose naît par une personne soi-même. Parce que la désespérance est abandonner soi-même.


Dans la désespérance on ne peut pas abandonner soi-même, dans l’espérance on ne peut pas avoir soi-même, ces sont un état particulier de la personne subjective moderne.


Je ne peut pas perdre des choses je possède ou conçois, qui est la logique fondamentale du personalisme. Mais, cependant, elle doit être contraire. Ne pas par moi-même, c’est la chose je suis donné par autres à l’infini, ainsi je ne peut pas perdre cette chose. Le personalisme moderne a devenu subjectivisme, ainsi il devait démonter.


C’est à dire qu’on ne doit pas confondre l’espérance avec la réalité. C’est vrai. Mais l’espérance est incertain ? L’espérance a la certitude toujours au tant que la vive.

Si toutes les choses sont garanties, il n’y a pas de espérance. Cependant est-ce que les hommes demandent une certitude tellement ? Gens qui demande la garantie dans toutes les chose,,, même hommes fondent des compagnie d’assurances pour des guerres,,, aussi se passionner pour le pari. Autrement dit, ils essaient s’affliger d’accidents inventes et destin qui fait intentionnel. Ils essaient stimuler l’espérance par la peur et l’anxiété.

La certitude d’espérance a même nature que elle d’imagination. La logique de génération est différent de elle de solide.


Je pense il y a une clé pour résoudre des problems de la vie, sur découvrir nouveau critère de la certitude.

On senti l’espérance est illimité, parce que il est le pouvoir de limiter soi-même.

Spinoza dirait, toutes les limités sont la négation. Seuls hommes qui connaissent vraiment la renonciation, peuvent espérer vraiment. Hommes qui ne veulent rien de la renonciation, ne peuvent pas avoir l’espérance.

La formation est la renonciation, qui est une sagesse métaphysique profonde ce qui Goethe est atteint. Elle n’est pas applicable seule à la création artistique. Elle est une sagesse de la vie.

22. Au voyage

Les gens partent en voyage par raisons diverses. Comme quelqu'un voyage pour affaires, un autre voyage pour inspection, pour repos, pour enterrement de parenté ou pour fêter marriage d’ami. Le voyage est divers comme la vie est diverse. Cependant, si on part voyage quelle raison, il y a le sentiment commun de voyage. Il y a le sentiment resemblant sur le voyage, à qui part en voyage pour un jour et à qui part en voyage pour un an. Comme, si la vie est diverse, mais il y a le sentiment commun dans toutes les vies, à une vie courte ou longe.

Partir en voyage est escapade de la vie quotidienne et fuir de la connection habituelle quotidienne. Le plaisir du voyage est plaisir de la libération comme ça. Même si un voyage poursuit la libération surtout, tous les gens ont sentiment de la libération dans le voyage. Certains de voyageur partent en voyage pour escapade par la vie. Même si un voyage poursuit la escapade surtout, tous les gens ont sentiment de la escapade dans le voyage. Je peux penser ces choses ont rapport à, plupart du cas, l’objet du voyage ce qui les gens préfère est la nature, et elle est la vie humaine, mais primitive et naturelle. Le sentiment de la libération ou la escapade dans le voyage accompagne toujours certain autre sentiment. Ainsi, plus ou moins, le voyage porte le sentiment du vagabondage aux tous les gens. La libération est le vagabondage aussi, et la escapade est le vagabondage aussi. Ici, il y a le sentimentalisme du voyage.

Le sentiment du vagabondage est certain sentiment du mouvement, et le voyage est né par le mouvement. Certainement, il est un sentiment du mouvement. Cependant nous sentons vivement le voyage comme le vagabondage quand nous restons à la auberge, n’est pas quand nous nous déplaçons par transports. Le sentiment du vagabondage n’est pas un sentiment du mouvement seul. Faire voyage est fuir d’une connection quotidienne, habituelle et stable, ainsi le sentiment du vagabondage vient de l’anxiété est né par cette raison. Le voyage est anxieux sans raison particulière. Tellement nous ne pouvons pas penser le sentiment du vagabondage sans le sentiment du lointain. Et dans le voyage, tous les voyages, nous sentions le lointain. Cet lointain n’est pas la distance comme qui est mesuré quelque kilomètres. Qui vas loin au travail par train de banlieue, mais il ne sent pas cette sorte de lointain, je pense. Pourtant, par exemple une distance est plus petit que cela, quand il voyage pour un jour, il éprouve cet lointain. Le sentiment du voyage est lointain, cet lointain fait du voyage le voyage. Tellement, nous sommes romantique plus ou moins dans le voyage. Cette sentiment romantique doit le sentiment de lointain. Demi de l’intérêt du voyage est crée par l’imagination comme ça. Je peux dire le voyage est une utopie de la vie. Cependant, le voyage n’est pas une chose lointaine seulement. Le voyage est trépidant. Si voyage facile qu’on parts avec un sac, il y a trépidation du voyage comme le voyage. Voyage qu’on monte train, voyage qu’on vient à pied, il y a trepidation du voyage. Le voyage est toujours loin, mais toujours trépidant. Donc le sentiment du vagabondage est venu. Le sentiment du vagabondage n’est pas seulement le sentiment du lointain. C’est loin et trépidant, donc, nous sentions le vagabondage. Une chose qui est évidement loin, pourquoi il est nécessaire on dois faire trépidant ? Ce n’est pas une chose loin, il pouvait une chose proche. Non, le voyage est toujours loin, en même temps, toujours proche. Puis, ce doit signifier le voyage est une processus. Parce que la voyage est processus, elle est le vagabondage. Le point de départ n’est pas le voyage, le point d’arrivée n’est pas le voyage, le voyage est continuellement une processus. Qui mets en question comme arriver seulement la destinaiton et ne peut pas éprouver processus, est dit qu’il ne connaît rien le plaisir du voyage. Dans la vie quotidienne, toujours, nous mettons en question la destination et le résultat seules. C’est la substance du agir et de la pratique. Tellement, le voyage est une chose de recueillement. Dans le voyage, nous sommes toujours observateurs. Le trait du voyage est nous pouvons être recueillis ou méditatifs purement par nous nous évadons de la vie quotidienne pratique. On peut penser le sens du voyage à la vie personnelle par ce trait.

Pourquoi est-ce que le voyage est lointain ? Parce que il se dirige vers choses inconnues. Dans l’experience quotidienne, on sent plus éloigné que un fait quand on marche un chemin inconnu pour la première fois. Provisoirement, si toutes les choses étais connu bien, il n’y aurait pas essentiellement le voyage, mais il y a aller au travail quotidien. Le voyage est une chose que les gens sont tiré par choses inconnues. Donc, le voyage accompagne le sentiment du vagabondage. On ne pourra pas toutes les choses sont bien connues. Parce que, processus est principal, mais destination et résultat ne sont pas en question. Gens qui fait attention à processus trouvent quelque nouvelle chose ou chose inattendue. Le voyage est une chose s’evade de la forme de vie habituelle, comme ça, nous avons eu la vue neuve et moderne plus ou moins, ainsi nous pouvons trouver choses neuves en tant que la chose matérielle plus ou moins. Dans la voyage, on senti nouveau une chose nous est familier habituellement. Un intérêt de la voyage n’est pas voir choses inconnues et neuves pour la première fois, — y a-t-il choses neuves complètement dans le monde ? — plutôt, il est dans un point que s’étonne et revoir choses ce que nous pensons évident, habituel et déjà connu. Notre vie quotidienne est pratique, et nous nous intéressons seulement à la destination et le résultat, en plus, supposons autre choses, choses à mi-chemins et processus que faits déjà connues. Homme qui va au travail habituellement ne pourra pas se rappeler qu’il rencontrait qui est faisait quoi entre de sa maison au bureau. Ainsi nous pouvons devenir purement réflexif et méditatif dans le voyage. Homme qui voyage est homme du regard, n’est pas homme de l’action. Comme ça, devenir réflexif et méditatif pur, nous sentons nouveau émerveillement ou curiosité à choses déjà connues habituelles et choses évidentes comme choses déjà connues. Par cette raison, le voyage est expérience et éducation.

On dit souvent que la vie est voyage. Cette opinion est une sensation réelle ce qui tout le monde senti plusiurs fois, ce n’est pas la peine qu’on citer « La Sente étroite du bout-du-monde » de Basho Matsuo. Notre sensation pour la vie se resemble à la sensation pour le voyage. C’est pourquoi ?

« Par où et vers où » est une question fondamentale de la vie. Par où vient-on, et où vient-on ? C’est l’énigme éternelle et fondamentale de la vie. Tant que c’est correct, notre sensation de vie comme nous sentons que la vie semble que le voyage, ne changera pas. Dans la vie, où allons-nous donc ? Nous ne connaissons pas. La vie est vagabondage aux choses inconnues. On dit que notre destination est le mort. Au moins, tout le monde ne peut pas répondre clairement ce qui est le mort. La question de « vers où », finalement, faire nous questionner « par où ». Consideration au passe naît par consideration au avenir. Dans le voyage vagabondage, on accompagne toujours nostalgie ambiguë ce qui on prends clairement. La vie est loin, et la vie est trépidant. La route de la vie est loin mais près. Parce que le mort s’approche petit à petit de notre vies. Pourtant l’humain ne cessera jamais de rêver dans la vie comme ça. Nous vivrons notre vies d’en suivront notre imaginations. Touts les gens sont plus ou moins utopiens. Le voyage est visage de la vie. Dans le voyage nous nous écartons des choses quotidiennes, et sommes réfléchi purement, ainsi nous avons nouveau sentiment pour la vie ce qui nous supposons évident et déjà connu dans la vie quotidienne. Nous sommes savouré la vie par le voyage. J’ai déjà dit ces sentiments du lointain, de la proche et du mouvement, que ne participe pas au lointain, à la proche et au mouvement objectives. On rencontre soi-même dans le voyage. Dans le voyage qu’on passe dans la nature, cependant on rencontre soi-même sans cesse. Le voyage n’est pas dehors de la vie, mais le voyage est le visage de la vie même.

J'ai jégà dit, les gens font le voyage pour chercher de la délivrance. Le voyage lui délivre surement. Mais, c’est une erreur que vous pensez il est libre vraiment. La délivrance est liberté d’une chose, cette liberté est seulement une liberté passive. En voyage, quiconque deviens curieux et capricieux. Le voyage fait hommes aventurés plus ou moins, mais cette adventure est curiosité et caprice. Le sentiment du vagabonde dans le voyage existe du bas de cette curiosité. Cependant, la caprice n’est pas la véritable liberté. Homme qui suit seulement curiosité et caprice ne peut pas faire l’expérience dans le voyage. Le voyage fait activer notre curiosité. Mais la curiosité est différente du vrai esprit de recherche et la soif de connaissance. La curiosité est la caprice, on passe à la suite sans cesse et ne regarde pas en se poser une place. Sans se poser une place et entrer profondément dans une chose, comment connaît-on une chose vraiment ? Une chose existe dans le bas de la curiosité est le sentiment du vagabonde même. Aussi le voyage fait l’homme sentimental. Cependant, baigner seulement sentiment, il abouti qu’on ne connaît profondément rien et on n’a rien le propre sentiment. La vraie liberté est liberté dans le chose. Ce n’est pas mouvement seul, s’arrêter en mouvoir et mouvoir en s’arrêter. C’set mouvement aussi immobilité, et immobilité aussi mouvement. On dit il y a le vert de plus parts ce qui l’homme va. Ce mot est plus sentimental, mais qui atteint cette valeur seul éprouve le voyage vraiment. Qui peut éprouver le voyage est l’homme vrai libre. À mesure qu’on fait voyage, l’homme sage deviens plus sage, l’homme stupide deviens plus stupide. Vous devez bien connaître comment personage d’un homme qui a relation quotidienne avec vous, quand vous faites le voyage avec lui. L’homme fait le voyage de chaque homme. L’homme vraie libre dans le voyage est l’homme vraie libre dans la vie. La vie même est vraiment le voyage.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4
Contenu

  • Propos sur la vie
  • La philosophie qui n’est rancontré jamais
  • Pour mes enfantes petites
  • Commentaire par Ichiro Kishimi

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5. À la vanité

8. À la condition humaine

9. À la solitude

18. À l’hypothèse

20. Au divertissement

21. À l’espérance

22. Au voyage

Philosophy / Philosophie

traduction | À la solitude dans le Propos sur la vie de Kiyoshi Miki

« Le silence eternel des ces espaces infinis m’effraie. » – Blaise Pascal

On sent la solitude est peur, ne pas par la solitude elle-même, par la condition de solitude plutôt. C’est même, comme le mort est peur, ne pas par le mort il-même, par la condition de mort plutôt. Mais, y a-t-il la solitude même sauf la condition de solitude ? Mais, y a-t-il le mort même sauf la condition de mort ? Une chose on ne peut pas prendre une substance sauf une condition,,, je pense, le mort et la solitude, elles sont la chose comme ça. Ainsi que, nous pouvons dire une chose n’a pas de la substance qui est n’a pas la existence, ou nous devons dire.


La philosophie ancienne ne pouvait pas penser la substance dans une place il y a pas de existence. C’est pourquoi, là, le mort et la solitude signifient seulement le manque (stasis) comme elle pensait l’obscurité est manque de la lumière. Donc les gens modernes pensent par les conditions. Le science moderne indique le pensée par les conditions. Ainsi le science moderne ne élucidait pas le faux de la peur du mort et de la solitude, plutôt indique cette nature substantielle.


La solitude n’est pas vivre seul. Vivre seul est une condition de la solitude seulement, et une condition extérieure. Plutôt, en plus, gens vivent seuls pour échapper à la solitude. Dans la plupart de cas, l’ermite est le gens comme ça.


La solitude, il n’y a rien de montagne, il y a de la ville. Il n’y a rien dans un homme, il y a entre bien des gens. La solitude est une chose comme l’espace, qui existe dans « entre » les gens. « Le peur de vide » n’est pas materiel, est une chose humaine.


La chose n’est pas on s’enfermer dans l’intérieur. Quand on senti la solitude, à l’essai, vous étendrez votre mains, et les regardez fixement. Le sentiment de solitude commence à approcher.

Les Occidentaux sortent à une ville pour sentir la solitude. Cependant, les Orientaux entrent à la nature. Pour eux, la nature est une chose comme la société. Les Orientaux n’avons rien de conscience sociale, parce que ils ne peuvent pas penser que l’homme et la nature sont opposées.


Le monde des Orientaux est le monde de pénombre. Tandis que le monde des Occidentaux est le monde de jour et le monde de nuit. La place il n’y a pas est la opposition entre le jour et la nuit, est la pénombre. Solitude de la pénombre est différent de elle de jour et elle de nuit.


À la solitude, il y a la tentation esthétique. La solitude a une saveur. Quiconque aime la solitude à cause de cette saveur. Jaunes filles même sait la tentation esthétique de solitude. Il est question de arriver un haut point du sens éthique de la solitude.

Même Kierkegaard, on peut dire sa vivre était une poursuivre du sens éthique de la solitude, perdait souvent par cette tentation esthétique.


Un avis quotidien comme le sentiment est subjectif et l’intelligence est objectif, est faute. Plutôt l’inverse est plus proche de le vérité. Dans la plupart du cas, le sentiment est une chose objective et socialisée et l’intelligence est une chose subjective et personnelle. Le sentiment subjectif vraiment est intelligent. Il faut la solitude n’appartient pas à le sentiment mais l’intelligence.


L’avis philosophique n’est jamais pernicieux qui assimile la vérité à l’objectivité ou l’inhumanité. Cet avis ne comprend ni aspect intérieur de la vérité ni cet aspect expressif.


N’import quel objet fait franchir la solitude à moi. À la solitude je franchis le monde des objets entièrement.

Quand nous sommes solitaires, nous ne avons pas étions anéantie par choses. Quand nous ne connaissons pas la solitude, nous sommes anéantie par choses.


Dans la solitude, choses comme choses expressives s’approchent de nous. Et nous pouvons franchir la solitude, sur nous ne sommes jamais sauf à l’activité expressive de soi qui répondre à l’appel par des choses. Augustin d’Hippone a dit, plantes veulent être regardées par l’homme, et ce regard est un salut, ainsi l’expression est un secours aux choses, et un secours à soi-même par secourir aux choses. Ainsi que la solitude s’enracine de amour le plus profond. Là, il y a la existence de solitude.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4
Contenu

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« Le Propos sur la vie » de Kiyoshi Miki

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