Mémoires sur Samuel Barber et ses ouvrages

Présentation

Samuel Barber (1910-1981) était un compositeur américain renommé, connu pour sa musique lyrique et émotionnelle. Son œuvre est célébrée pour sa combinaison de romantisme luxuriant et de sensibilité moderne, contrastant avec certaines des tendances les plus avant-gardistes du XXe siècle. La capacité de Barber à créer des mélodies d’une grande beauté et profondeur lui a valu une place durable dans le canon de la musique classique.

Jeunesse et éducation

Barber est né à West Chester, en Pennsylvanie, et a montré un talent musical dès son plus jeune âge. À l’âge de 7 ans, il avait déjà composé sa première pièce. Il est entré au Curtis Institute of Music de Philadelphie à l’âge de 14 ans, où il a étudié le piano, le chant et la composition. Cette formation diversifiée a façonné sa carrière ultérieure, lui permettant de composer de la musique vocale et instrumentale avec la même habileté.

Œuvres majeures et style

La musique de Barber mêle souvent le langage harmonique traditionnel aux techniques du XXe siècle, ce qui la rend à la fois accessible et sophistiquée. Parmi ses œuvres les plus célèbres, on peut citer :

« Adagio for Strings » (1936) : la composition la plus emblématique de Barber, souvent associée à des moments de deuil ou de réflexion nationale. Sa mélodie d’une beauté envoûtante en a fait l’une des pièces les plus jouées de la musique classique américaine.
« Concerto pour violon » (1939) : œuvre phare du répertoire pour violon, elle allie beauté lyrique et virtuosité technique.
« Knoxville : été 1915 » (1947) : œuvre vocale luxuriante pour soprano et orchestre, basée sur un texte de James Agee, qui capture la nostalgie de l’enfance.
Opéra Vanessa (1958) : L’opéra de Barber, qui a remporté le prix Pulitzer, est connu pour son intensité dramatique et sa richesse mélodique.
Sonate pour piano (1949) : L’une des grandes contributions américaines au répertoire pour piano, combinant défi technique et puissance expressive.

Faits marquants de la carrière

Barber a connu un succès critique et populaire de son vivant, un exploit rare pour un compositeur du XXe siècle. Il a reçu deux prix Pulitzer (pour Vanessa et le Concerto pour piano) et ses œuvres ont été interprétées par les plus grands orchestres et solistes du monde entier.

Vie personnelle

Barber a entretenu une relation durable avec le compositeur italien Gian Carlo Menotti, qui a également été une influence et un collaborateur majeur. Ensemble, ils ont vécu et travaillé dans une maison appelée Capricorn à Mount Kisco, dans l’État de New York, qui est devenue un centre de créativité et de rencontres sociales.

Héritage

La musique de Barber continue d’être largement jouée et admirée pour sa profondeur émotionnelle et sa brillance technique. Il est considéré comme l’un des plus grands compositeurs américains et ses œuvres restent des incontournables du répertoire orchestral, vocal et de musique de chambre.

Histoire

Samuel Barber est né le 9 mars 1910 à West Chester, en Pennsylvanie, dans une famille qui valorisait la musique et la culture. Sa tante, Louise Homer, était contralto au Metropolitan Opera, et son mari, Sidney Homer, était compositeur de chansons d’art. L’exposition précoce de Barber à la musique dans cet environnement artistique a façonné son avenir. À l’âge de sept ans, Barber composait déjà et déclarait dans une lettre à sa mère qu’il avait l’intention de devenir compositeur. Son talent inné a été nourri et, à quatorze ans, il s’est inscrit au Curtis Institute of Music de Philadelphie.

À Curtis, Barber a étudié la composition, le chant et le piano, excellant dans ces trois disciplines. Cette éducation musicale holistique lui a donné la capacité d’écrire avec une compréhension intime des instruments et des voix pour lesquels il composait. Pendant son séjour là-bas, Barber a développé des relations étroites avec d’autres musiciens, dont le jeune compositeur italien Gian Carlo Menotti, qui est devenu son partenaire et collaborateur à vie.

La carrière de Barber a commencé à prendre forme dans les années 1930. Ses œuvres se caractérisaient souvent par leurs qualités luxuriantes et lyriques, contrastant avec les expériences modernistes de nombre de ses contemporains. Son « Adagio pour cordes », composé en 1936, lui a valu une renommée précoce. Créée par le chef d’orchestre Arturo Toscanini en 1938, la pièce, avec son caractère obsédant et élégiaque, a touché le public et est rapidement devenue une œuvre marquante de la musique classique américaine. Au fil du temps, elle a acquis une importance culturelle, étant jouée lors d’événements de deuil national et de commémorations.

Les compositions de Barber ont continué à attirer l’attention et à être acclamées tout au long des années 1940 et 1950. En 1947, il a écrit « Knoxville : Summer of 1915 », une mise en musique du poème en prose de James Agee sur l’enfance. Cette œuvre profondément nostalgique pour soprano et orchestre est devenue l’une des compositions les plus appréciées de Barber, incarnant son don pour l’expression émotionnelle.

Barber s’est également aventuré dans l’opéra, remportant un prix Pulitzer pour son premier opéra, Vanessa (1958). Si son romantisme et ses riches mélodies ont été salués, son deuxième opéra, Antony and Cleopatra (1966), créé à l’ouverture du nouveau Metropolitan Opera House, a été moins bien accueilli en raison de difficultés de production. Cet échec a profondément affecté Barber, le conduisant à une période de repli créatif.

Malgré ces revers, Barber continua à écrire de la musique, notamment son Concerto pour piano (1962), qui lui valut un deuxième prix Pulitzer. Ses œuvres ultérieures, bien que moins nombreuses, révèlent une approche plus introspective et moderne, reflétant ses luttes personnelles et l’évolution du paysage musical qui l’entoure.

Barber a passé les dernières années de sa vie avec Menotti dans leur maison de Mount Kisco, dans l’État de New York, un havre de créativité où ils recevaient souvent d’autres artistes et musiciens. La santé de Barber s’est détériorée dans les années 1970 et il est décédé le 23 janvier 1981 à New York, laissant derrière lui l’héritage de l’un des plus grands compositeurs américains.

Sa musique reste célébrée pour sa résonance émotionnelle et sa beauté intemporelle, témoignant de sa conviction que la musique doit communiquer directement avec le cœur.

Chronologie

Voici un aperçu chronologique de la vie de Samuel Barber et de ses principaux événements marquants :

1910 : Né le 9 mars à West Chester, en Pennsylvanie.
1917 : À l’âge de 7 ans, Barber compose sa première œuvre, Sadness, et écrit une lettre à sa mère dans laquelle il déclare son intention de devenir compositeur.
1924 : Il s’inscrit au Curtis Institute of Music de Philadelphie à l’âge de 14 ans, où il étudie le piano, le chant et la composition.
1928 : Il compose Serenade for String Quartet, Op. 1, sa première œuvre publiée.
1931 : Il remporte le prix Joseph H. Bearns de l’université Columbia pour Overture to the School for Scandal, op. 5.
1933 : Il obtient son diplôme du Curtis Institute et commence à composer à plein temps.
1936 : Il compose Adagio for Strings, qui deviendra plus tard son œuvre la plus emblématique.
1938 : Arturo Toscanini dirige Adagio for Strings et Essay for Orchestra No. 1, propulsant Barber vers la célébrité internationale.
1940 : Écrit son Concerto pour violon, op. 14, une œuvre qui reste une pierre angulaire du répertoire pour violon.
1942 : Compose Commando March pendant son service dans l’armée de l’air américaine.
1943 : Achève le Concerto Capricorn, inspiré de sa maison de Mount Kisco, dans l’État de New York.
1947 : Compose Knoxville : Summer of 1915, op. 24, d’après le poème en prose de James Agee.
1953 : Écrit Hermit Songs, op. 29, un cycle de chansons inspiré de textes irlandais médiévaux.
1958 : Première de son opéra Vanessa, qui remporte le prix Pulitzer de musique.
1959 : Composition de Toccata Festiva, op. 36, pour l’inauguration de l’orgue Aeolian-Skinner à la Philadelphia Academy of Music.
1962 : Il remporte un deuxième prix Pulitzer pour son Concerto pour piano, op. 38, commandé pour l’ouverture du Lincoln Center.
1966 : Son deuxième opéra, Antoine et Cléopâtre, est créé à l’ouverture du Metropolitan Opera House, mais est mal accueilli. Cet échec marque le début d’une période de déclin personnel et professionnel.
1971 : Il compose Les Amants, une cantate basée sur des poèmes de Pablo Neruda, et Fadograph of a Yestern Scene, l’une de ses dernières œuvres orchestrales.
Années 1970 : Sa santé décline et sa production créative diminue, bien que ses œuvres continuent d’être jouées et célébrées.
1981 : Il meurt le 23 janvier à New York à l’âge de 70 ans.

Héritage

Les œuvres de Barber sont encore largement jouées, en particulier Adagio for Strings, qui est devenu un symbole durable de la résonance émotionnelle de la musique classique américaine. Ses compositions font le lien entre le lyrisme romantique et le modernisme du XXe siècle, ce qui fait de lui l’un des compositeurs américains les plus importants de son époque.

Caractéristiques de la musique

La musique de Samuel Barber est célèbre pour sa profondeur émotionnelle, sa beauté lyrique et son raffinement. Si son style a évolué tout au long de sa carrière, certaines caractéristiques sont restées constantes, rendant ses œuvres distinctives et intemporelles. Voici les principales caractéristiques de la musique de Barber :

1. Lyrisme et beauté mélodique

Barber était un maître de la mélodie, créant souvent de longues lignes fluides qui résonnent profondément chez les auditeurs. Cette qualité lyrique est particulièrement évidente dans des œuvres telles que Adagio for Strings et Knoxville: Summer of 1915. Ses mélodies évoquent souvent une sensibilité romantique, même si elles s’inscrivent dans des structures harmoniques du XXe siècle.

2. Expression émotionnelle

La musique de Barber est connue pour son impact émotionnel direct, explorant souvent des thèmes de nostalgie, de désir et d’introspection. Des morceaux comme Adagio for Strings transmettent une profonde tristesse, tandis que Knoxville : Summer of 1915 capture un sentiment doux-amer de l’enfance.

3. Mélange de romantisme et de modernisme

Si Barber a été influencé par les compositeurs romantiques du XIXe siècle, ses œuvres intègrent également des éléments de la musique du XXe siècle, tels que la tonalité étendue, le chromatisme et la dissonance occasionnelle. Cependant, il a évité les techniques expérimentales de beaucoup de ses contemporains, privilégiant l’accessibilité et la clarté émotionnelle.

4. Écriture vocale et sensibilité au texte

En tant que chanteur de formation, Barber avait une compréhension exceptionnelle de la voix humaine. Ses œuvres vocales, telles que Hermit Songs et Knoxville : Summer of 1915, se caractérisent par leur déclamation naturelle et leur sensibilité aux nuances du texte, permettant aux mots de façonner la musique de manière organique.

5. Orchestration magistrale

Les œuvres orchestrales de Barber démontrent son talent pour créer des paysages sonores riches et texturés. Il avait le don d’équilibrer les couleurs orchestrales, que ce soit dans les envolées des cordes de l’Adagio pour cordes, les contrastes dramatiques de son Concerto pour violon ou la grandeur de son Concerto pour piano.

6. Clarté structurelle

La musique de Barber est souvent marquée par un sens aigu de la forme et de la structure, influencé par sa formation classique. Ses œuvres se caractérisent par un développement thématique clair, une progression logique et des proportions équilibrées, qui contribuent à leur attrait durable.

7. Introspection et nostalgie

La nostalgie d’une époque plus simple et plus innocente est un thème récurrent dans la musique de Barber. Cette qualité est très présente dans Knoxville : Summer of 1915, où Barber se penche sur ses souvenirs d’enfance, ainsi que dans nombre de ses œuvres plus courtes, qui ont souvent un ton introspectif.

8. Éléments dramatiques et théâtraux

Dans ses œuvres lyriques et à grande échelle, Barber a fait preuve d’un sens aigu du drame et de la théâtralité. Son opéra Vanessa en est un excellent exemple, mêlant passion romantique et profondeur psychologique. Même dans ses œuvres instrumentales, la musique de Barber a souvent un sens narratif ou une trajectoire émotionnelle.

9. Identité américaine

Bien que la musique de Barber n’intègre pas ouvertement des éléments folkloriques ou américains, elle a un sens indéniable de l’identité américaine. Ses œuvres reflètent une sensibilité typiquement américaine, avec leur ouverture, leur optimisme et leur capacité à trouver un large écho auprès du public.

La musique de Barber est souvent décrite comme intemporelle, comblant le fossé entre la tradition romantique et l’ère moderne. Sa capacité à établir un lien profond avec les auditeurs, tant par sa maîtrise technique que par son immédiateté émotionnelle, reste une caractéristique de son art.

Relations

La vie et la carrière de Samuel Barber ont été façonnées par un réseau de relations importantes avec d’autres compositeurs, interprètes, chefs d’orchestre, institutions et même des non-musiciens. Voici quelques-unes des relations directes les plus notables :

Compositeurs

Gian Carlo Menotti

Partenaire et collaborateur de Barber tout au long de sa vie. Compositeur italien, Menotti a eu une influence à la fois personnelle et professionnelle sur Barber. Ils ont vécu et travaillé ensemble à Capricorn, leur maison commune à Mount Kisco, dans l’État de New York. Menotti a souvent fourni des livrets pour les œuvres vocales et opératiques de Barber, notamment l’opéra Vanessa.

Sidney Homer

Oncle par alliance de Barber et compositeur de chansons d’art. Homer a été le mentor de Barber pendant ses premières années, encourageant son intérêt pour la musique et lui fournissant de précieux conseils en matière de composition.

Aaron Copland

Bien que Barber et Copland n’aient pas été des collaborateurs proches, ils étaient contemporains et représentaient des courants différents de la musique américaine. L’accent mis par Copland sur le modernisme d’inspiration folklorique contrastait avec l’approche plus lyrique et romantique de Barber, mais tous deux étaient des figures majeures de la musique classique américaine du XXe siècle.

Interprètes

Eleanor Steber

La soprano qui a créé Knoxville : Summer of 1915 en 1948. La voix riche et l’interprétation expressive de Steber ont contribué à la grande renommée de l’œuvre.

Leontyne Price

Une soprano célèbre et proche collaboratrice de Barber. Elle était la dédicataire et la première interprète des Hermit Songs de Barber et a joué un rôle majeur dans le maintien des œuvres vocales de Barber au répertoire.

John Browning

Le pianiste qui a créé le Concerto pour piano de Barber en 1962. L’interprétation virtuose de Browning a contribué au succès de l’œuvre, qui a valu à Barber son deuxième prix Pulitzer.

Isaac Stern

Le violoniste qui a défendu le Concerto pour violon de Barber. Stern a contribué à populariser cette œuvre, qui reste un incontournable du répertoire pour violon.

Chefs d’orchestre et orchestres

Arturo Toscanini

L’un des plus grands défenseurs de Barber. Toscanini dirigea les premières de Adagio for Strings et d’Essay for Orchestra n° 1 en 1938, consolidant la réputation de Barber en tant que compositeur majeur.

L’Orchestre de Philadelphie

Barber entretenait une relation étroite avec cet orchestre, qui créa plusieurs de ses œuvres, dont Toccata Festiva en 1959. Eugene Ormandy, le chef d’orchestre, était un fervent défenseur de la musique de Barber.

Le Metropolitan Opera

a commandé l’opéra Antony and Cleopatra de Barber pour l’inauguration de son nouveau bâtiment au Lincoln Center en 1966. Malgré les difficultés rencontrées lors de la première de l’opéra, ce fut un moment marquant dans la carrière de Barber.

Institutions

Curtis Institute of Music

L’alma mater de Barber, où il a étudié le piano, le chant et la composition. Curtis a joué un rôle fondamental dans son développement musical, et Barber a maintenu des liens tout au long de sa vie avec l’institution.

Comité du prix Pulitzer

Barber a reçu deux prix Pulitzer : pour l’opéra Vanessa en 1958 et pour le Concerto pour piano en 1962, en reconnaissance de ses contributions à la musique américaine.

Non-musiciens

James Agee

L’écrivain américain dont le poème en prose Knoxville : Summer of 1915 a inspiré l’une des œuvres les plus appréciées de Barber. Barber a mis en musique le texte nostalgique d’Agee avec une sensibilité exceptionnelle.

Pablo Neruda

Le poète chilien dont Barber a mis en musique les œuvres dans The Lovers (1971), une cantate pour baryton, chœur et orchestre.

Mary Curtis Bok

Fondatrice du Curtis Institute of Music et mécène, elle a soutenu Barber pendant ses années de formation.

Relations de collaboration et sociales

Capricorn (la maison de Barber et Menotti)

Capricorn était un centre créatif pour les artistes, les musiciens et les intellectuels. Le couple organisait des rassemblements qui favorisaient les échanges artistiques entre leurs contemporains.

Eugene Ormandy et Serge Koussevitzky

En tant que chefs d’orchestre de renom, ils ont défendu la musique de Barber. Koussevitzky, en particulier, a été un important défenseur des compositeurs américains.

Résumé

Les relations de Barber s’étendaient à un vaste réseau de personnalités influentes dans le monde de la musique classique et au-delà. Ses collaborations avec des interprètes tels que Leontyne Price et John Browning, le soutien de chefs d’orchestre tels que Toscanini et ses liens personnels avec Menotti et Homer ont joué un rôle essentiel dans l’évolution de sa carrière. Au-delà du domaine musical, ses liens avec des personnalités littéraires telles que James Agee et Pablo Neruda ont encore enrichi sa voix artistique.

Œuvres notables pour piano solo

Samuel Barber a composé plusieurs œuvres notables pour piano solo, mettant en valeur son style lyrique, sa brillante technique et sa capacité à allier l’expressivité romantique aux techniques modernistes. Voici ses contributions les plus significatives au répertoire pour piano :

1. Sonate pour piano, op. 26 (1949)

Création : Vladimir Horowitz, 1950.
Historique : Commandée pour le 25e anniversaire de la League of Composers, c’est l’œuvre pour piano la plus célèbre de Barber. Techniquement exigeante, elle met en valeur la capacité de Barber à équilibrer clarté structurelle et profondeur émotionnelle.

Structure : Quatre mouvements :
Allegro energico
Allegro vivace e leggero
Adagio mesto

Fuga : Allegro con spirito
Caractéristiques : La sonate est connue pour sa fugue brillante et fougueuse dans le mouvement final, un tour de force de contrepoint.

2. Excursions, op. 20 (1944)

Création : Jeanne Behrend, 1945.
Contexte : Les Excursions de Barber sont un ensemble de quatre pièces programmatiques inspirées des idiomes musicaux américains, notamment le jazz, le blues, le boogie-woogie et la musique folk.
Structure : Quatre mouvements :
Un poco allegro (style boogie-woogie)
Dans un tempo de slow blues
Allegretto (d’inspiration folk)
Allegro molto (une danse entraînante)

Caractéristiques : Chaque pièce explore un style musical américain distinct, mélangeant ces influences avec les techniques de composition sophistiquées de Barber.

3. Nocturne (Hommage à John Field), op. 33 (1959)

Contexte : Écrite en hommage à John Field, le compositeur irlandais à qui l’on attribue l’invention de la forme nocturne. Cette œuvre rend hommage au style lyrique et intime des œuvres pour piano de Field.
Caractéristiques : Pièce en un seul mouvement avec des lignes mélodiques fluides et des textures délicates, évoquant une atmosphère onirique.

4. Ballade, op. 46 (1977)

Contexte : L’une des dernières œuvres de Barber, écrite pour le Concours international de piano Van Cliburn. Elle reflète son style tardif, plus introspectif et harmoniquement audacieux.
Caractéristiques : Une pièce dramatique et compacte en un seul mouvement, avec des ambiances changeantes et un langage harmonique sophistiqué.

5. Interlude I & II (1943)

Contexte : Deux courtes pièces qui mettent en valeur le style lyrique et introspectif de Barber. Moins connues, elles témoignent néanmoins de sa compréhension intime du piano.

Autres pièces pour piano

Three Sketches (1923-1924) : premières œuvres pour piano composées pendant l’adolescence de Barber, qui témoignent de son talent naissant.
Souvenirs, op. 28 (1952) [à l’origine pour duo de pianos] : bien que composées pour un duo de pianos, Barber a également arrangé ces six pièces pour piano solo. Inspirées des danses et de la musique de salon, elles ont un charme ludique et nostalgique.

Héritage de l’interprétation

Les œuvres pour piano de Barber, en particulier la Sonate pour piano et Excursions, sont très appréciées dans le répertoire classique. Elles sont souvent jouées lors de récitals et de concours, offrant à la fois des défis techniques et des possibilités d’interprétation expressive. Sa musique pour piano reflète son style de composition plus large : lyrique, émotionnellement direct et fermement ancré dans la tradition tout en embrassant l’innovation moderne.

Œuvres notables

L’œuvre de Samuel Barber couvre un large éventail de genres, mettant en valeur son style lyrique, sa profondeur émotionnelle et son savoir-faire magistral. Voici ses œuvres les plus remarquables, à l’exception des pièces pour piano solo :

Œuvres orchestrales

Adagio pour cordes (1936)

À l’origine le mouvement lent de son Quatuor à cordes, op. 11, cet arrangement orchestral est l’œuvre la plus célèbre de Barber. Son caractère élégiaque et profondément émotionnel en a fait un symbole culturel de deuil et de réflexion.

Essai pour orchestre n° 1, op. 12 (1937)

Pièce orchestrale en un seul mouvement qui allie développement thématique et riche orchestration. Toscanini l’a créée en même temps que l’Adagio pour cordes.

Essai pour orchestre n° 2, op. 17 (1942)

De forme similaire au premier essai, cette œuvre plus dramatique et plus ample a été écrite pendant la Seconde Guerre mondiale.

Concerto pour violon, op. 14 (1939)

Concerto lyrique et virtuose avec un premier mouvement serein, un deuxième mouvement profondément émouvant et un finale fougueux au mouvement perpétuel.

Concerto pour piano, op. 38 (1962)

Créée par John Browning, cette œuvre dramatique et techniquement exigeante a valu à Barber son deuxième prix Pulitzer. Elle allie lyrisme et vitalité rythmique.

Concerto Capricorn, op. 21 (1944)

Un concerto de chambre pour flûte, hautbois, trompette et cordes. Nommé d’après la maison de Barber, Capricorn, il allie la clarté néoclassique au lyrisme américain.

Medea’s Dance of Vengeance, op. 23a (1955)

Une suite orchestrale dérivée du ballet Medea de Barber. Elle se caractérise par une intensité dramatique et des contrastes marqués.

Œuvres vocales

Knoxville : Summer of 1915, op. 24 (1947)

Une œuvre somptueusement orchestrée pour soprano et orchestre, mettant en musique le poème en prose nostalgique de James Agee sur l’enfance dans l’Amérique du début du XXe siècle.

Hermit Songs, op. 29 (1953)

Un cycle de chansons pour voix et piano, basé sur des textes irlandais médiévaux anonymes. Les dix chansons vont de l’humour et de la révérence à l’introspection.

Dover Beach, op. 3 (1931)

Une adaptation du poème de Matthew Arnold pour baryton et quatuor à cordes, reflétant le talent précoce de Barber pour l’écriture vocale et les nuances émotionnelles.

The Lovers, op. 43 (1971)

Une cantate pour baryton, chœur et orchestre, mettant en musique des poèmes d’amour de Pablo Neruda. Elle reflète le style tardif de Barber, plus introspectif et moderne.

Prayers of Kierkegaard, op. 30 (1954)

Une œuvre de grande envergure pour chœur, orchestre et soprano solo, inspirée des écrits spirituels de Søren Kierkegaard.

Œuvres de chambre

Quatuor à cordes, op. 11 (1936)

Le deuxième mouvement de ce quatuor est devenu le célèbre Adagio pour cordes. L’ensemble du quatuor témoigne du don lyrique de Barber.

Summer Music, op. 31 (1956)

Un quintette à vent qui évoque une atmosphère chaleureuse et pastorale. C’est l’une des œuvres de musique de chambre les plus populaires de Barber.

Sonate pour violoncelle, op. 6 (1932)

Une sonate pour violoncelle et piano profondément expressive et techniquement exigeante, écrite au début de la carrière de Barber.

Opéras

Vanessa (1958)

Le premier opéra de Barber, sur un livret de Gian Carlo Menotti. Il a remporté le prix Pulitzer de la musique. Se déroulant dans un temps et un lieu ambigus, il raconte une histoire dramatique d’amour et de perte.

Antoine et Cléopâtre (1966)

Composée pour l’ouverture du nouveau Metropolitan Opera House. La première a été confrontée à d’importants défis de production, mais la musique elle-même est dramatique et ambitieuse.

Ballet

Medea (1946)

Commandé par Martha Graham sous le titre de Cave of the Heart. La suite orchestrale Medea’s Dance of Vengeance est dérivée de cette œuvre.

Œuvres chorales

Agnus Dei (1967)

Un arrangement choral de l’Adagio pour cordes, ajoutant une dimension vocale envoûtante à cette œuvre célèbre.

Reincarnations, op. 16 (1940)

Un ensemble de trois pièces chorales a cappella basées sur la poésie irlandaise. Ces œuvres sont appréciées pour leurs harmonies luxuriantes et leur mise en musique expressive des textes.

Résumé

L’œuvre de Barber reflète sa polyvalence et sa capacité à écrire une musique captivante dans différents genres. Des morceaux tels que Adagio for Strings, Knoxville: Summer of 1915, Violin Concerto et Vanessa restent au cœur du répertoire classique, célébrés pour leur beauté, leur profondeur émotionnelle et leur attrait intemporel.

(Cet article est généré par ChatGPT. Et ce n’est qu’un document de référence pour découvrir des musiques que vous ne connaissez pas encore.)

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Notizen über Samuel Barber und seinen Werken

Überblick

Samuel Barber (1910–1981) war ein renommierter amerikanischer Komponist, der für seine lyrische und emotional ausdrucksstarke Musik bekannt war. Sein Werk wird für seine Kombination aus üppiger Romantik und moderner Sensibilität gefeiert, die im Gegensatz zu einigen der avantgardistischeren Trends des 20. Jahrhunderts steht. Barbers Fähigkeit, Melodien von großer Schönheit und Tiefe zu schaffen, hat ihm einen festen Platz im Kanon der klassischen Musik eingebracht.

Frühes Leben und Ausbildung

Barber wurde in West Chester, Pennsylvania, geboren und zeigte schon in jungen Jahren musikalisches Talent. Mit sieben Jahren hatte er bereits sein erstes Stück komponiert. Mit 14 Jahren trat er in das Curtis Institute of Music in Philadelphia ein, wo er Klavier, Gesang und Komposition studierte. Diese vielseitige Ausbildung prägte seine spätere Karriere und ermöglichte es ihm, Vokal- und Instrumentalmusik mit gleicher Geschicklichkeit zu komponieren.

Hauptwerke und Stil

Barbers Musik verbindet oft traditionelle harmonische Sprache mit Techniken des 20. Jahrhunderts, wodurch sie zugänglich und doch anspruchsvoll ist. Zu seinen berühmtesten Werken gehören:

„Adagio for Strings“ (1936): Barbers ikonischste Komposition, die oft mit Momenten nationaler Trauer oder Besinnung in Verbindung gebracht wird. Seine ergreifend schöne Melodie hat es zu einem der meistgespielten Stücke der amerikanischen klassischen Musik gemacht.
„Violinkonzert„ (1939): Dieses Werk ist ein Eckpfeiler des Violinrepertoires und verbindet lyrische Schönheit mit technischer Brillanz.
„Knoxville: Summer of 1915“ (1947): Ein üppiges Vokalwerk für Sopran und Orchester, das auf einem Text von James Agee basiert und die Nostalgie der Kindheit einfängt.
Oper „Vanessa“ (1958): Barbers Oper, die mit dem Pulitzer-Preis ausgezeichnet wurde, ist für ihre dramatische Intensität und ihren melodischen Reichtum bekannt.
„Klaviersonate“ (1949): Einer der großen amerikanischen Beiträge zum Klavierrepertoire, der technische Herausforderung mit Ausdruckskraft verbindet.

Höhepunkte seiner Karriere

Barber feierte zu Lebzeiten sowohl bei Kritikern als auch beim Publikum Erfolge – eine seltene Leistung für einen Komponisten des 20. Er erhielt zwei Pulitzer-Preise (für „Vanessa“ und das Klavierkonzert) und seine Werke wurden von führenden Orchestern und Solisten weltweit aufgeführt.

Persönliches Leben

Barber war zeitlebens mit dem italienischen Komponisten Gian Carlo Menotti liiert, der auch einen großen Einfluss auf ihn hatte und mit dem er zusammenarbeitete. Gemeinsam lebten und arbeiteten sie in einem Haus namens „Capricorn“ in Mount Kisco, New York, das zu einem Zentrum für Kreativität und gesellige Zusammenkünfte wurde.

Vermächtnis

Barbers Musik wird nach wie vor häufig aufgeführt und für ihre emotionale Tiefe und technische Brillanz bewundert. Er gilt als einer der größten amerikanischen Komponisten, und seine Werke sind nach wie vor fester Bestandteil des Orchester-, Vokal- und Kammermusikrepertoires.

Geschichte

Samuel Barber wurde am 9. März 1910 in West Chester, Pennsylvania, in eine Familie geboren, die Musik und Kultur schätzte. Seine Tante Louise Homer war Altistin an der Metropolitan Opera und ihr Ehemann Sidney Homer war Komponist von Kunstliedern. Barbers frühe Berührung mit Musik in diesem künstlerischen Umfeld prägte seine Zukunft. Bereits im Alter von sieben Jahren komponierte Barber und erklärte in einem Brief an seine Mutter, dass er Komponist werden wolle. Sein angeborenes Talent wurde gefördert und mit vierzehn Jahren schrieb er sich am Curtis Institute of Music in Philadelphia ein.

Am Curtis studierte Barber Komposition, Gesang und Klavier und zeichnete sich in allen drei Disziplinen aus. Diese ganzheitliche musikalische Ausbildung gab ihm die Fähigkeit, mit einem tiefen Verständnis für die Instrumente und Stimmen zu schreiben, für die er komponierte. Während seiner Zeit dort entwickelte Barber enge Beziehungen zu anderen Musikern, darunter der junge italienische Komponist Gian Carlo Menotti, der sein lebenslanger Partner und Mitarbeiter wurde.

Barbers Karriere nahm in den 1930er Jahren Gestalt an. Seine Werke zeichneten sich oft durch ihre üppigen, lyrischen Qualitäten aus, die im Gegensatz zu den modernistischen Experimenten vieler seiner Zeitgenossen standen. Sein 1936 komponiertes „Adagio for Strings“ brachte ihm schon früh Ruhm ein. Das Stück wurde 1938 vom Dirigenten Arturo Toscanini uraufgeführt und fand mit seiner eindringlichen, elegischen Qualität beim Publikum großen Anklang. Es wurde schnell zu einem prägenden Werk der amerikanischen klassischen Musik. Im Laufe der Zeit gewann es an kultureller Bedeutung und wurde bei nationalen Trauerveranstaltungen und Gedenkfeiern aufgeführt.

Barbers Kompositionen erregten auch in den 1940er und 1950er Jahren weiterhin Aufmerksamkeit und Anerkennung. 1947 schrieb er „Knoxville: Summer of 1915“, eine Vertonung von James Agees Prosagedicht, das die Kindheit reflektiert. Dieses zutiefst nostalgische Werk für Sopran und Orchester wurde zu einer von Barbers beliebtesten Kompositionen und verkörperte seine Begabung für emotionalen Ausdruck.

Barber wagte sich auch an die Oper und gewann für seine erste Oper Vanessa (1958) einen Pulitzer-Preis. Während die Romantik und die reichen Melodien der Oper gelobt wurden, wurde seine zweite Oper, Antony and Cleopatra (1966), die bei der Eröffnung des neuen Metropolitan Opera House uraufgeführt wurde, aufgrund von Produktionsproblemen weniger gut aufgenommen. Dieser Misserfolg traf Barber schwer und führte zu einer Phase des kreativen Rückzugs.

Trotz dieser Rückschläge schrieb Barber weiterhin Musik, darunter sein dramatisches Klavierkonzert (1962), das ihm einen zweiten Pulitzer-Preis einbrachte. Seine späteren Werke, wenn auch weniger zahlreich, offenbarten einen introspektiveren und moderneren Ansatz, der seine persönlichen Kämpfe und die sich verändernde musikalische Landschaft um ihn herum widerspiegelte.

Barber verbrachte seine späteren Jahre mit Menotti in ihrem Haus in Mount Kisco, New York, einem kreativen Zufluchtsort, in dem sie oft andere Künstler und Musiker empfingen. Barbers Gesundheitszustand verschlechterte sich in den 1970er Jahren und er starb am 23. Januar 1981 in New York City und hinterließ ein Vermächtnis als einer der größten Komponisten Amerikas.

Seine Musik wird nach wie vor für ihre emotionale Resonanz und zeitlose Schönheit gefeiert, ein Zeugnis seiner Überzeugung, dass Musik direkt zum Herzen sprechen sollte.

Chronologie

Hier ist ein chronologischer Abriss von Samuel Barbers Leben und seinen wichtigsten Meilensteinen:

1910: Geboren am 9. März in West Chester, Pennsylvania.
1917: Im Alter von sieben Jahren komponiert Barber sein erstes Stück, „Sadness“, und schreibt einen Brief an seine Mutter, in dem er seine Absicht erklärt, Komponist zu werden.
1924: Im Alter von 14 Jahren schreibt er sich am Curtis Institute of Music in Philadelphia ein und studiert Klavier, Gesang und Komposition.
1928: Komponiert „Serenade for String Quartet“, Op. 1, sein erstes veröffentlichtes Werk.
1931: Erhält den Joseph H. Bearns-Preis der Columbia University für die Ouvertüre zur School for Scandal, Op. 5.
1933: Abschluss am Curtis Institute und Beginn der Vollzeitkomposition.
1936: Komponiert Adagio for Strings, das später zu seinem bekanntesten Werk werden sollte.
1938: Arturo Toscanini dirigiert Adagio for Strings und Essay for Orchestra No. 1 und verhilft Barber damit zu internationalem Ruhm.
1940: Er schreibt sein Violinkonzert, Op. 14, ein Werk, das bis heute ein Eckpfeiler des Violinrepertoires ist.
1942: Während seiner Zeit bei der U.S. Air Force komponiert er den Commando March.
1943: Vollendung des Capricorn Concerto, inspiriert von seinem Zuhause in Mount Kisco, New York.
1947: Komposition von Knoxville: Summer of 1915, Op. 24, basierend auf James Agees Prosagedicht.
1953: Komposition von Hermit Songs, Op. 29, einem Liederzyklus, der auf mittelalterlichen irischen Texten basiert.
1958: Uraufführung seiner Oper Vanessa, die mit dem Pulitzer-Preis für Musik ausgezeichnet wird.
1959: Komponiert Toccata Festiva, Op. 36, für die Einweihung der Aeolian-Skinner-Orgel an der Philadelphia Academy of Music.
1962: Erhält einen zweiten Pulitzer-Preis für sein Klavierkonzert, Op. 38, das für die Eröffnung des Lincoln Center in Auftrag gegeben wurde.
1966: Seine zweite Oper, „Antony and Cleopatra“, wird bei der Eröffnung des Metropolitan Opera House uraufgeführt, aber schlecht aufgenommen. Der Misserfolg führt zu einer Phase des persönlichen und beruflichen Niedergangs.
1971: Er komponiert „The Lovers“, eine Kantate nach Gedichten von Pablo Neruda, und „Fadograph of a Yestern Scene“, eines seiner letzten Orchesterwerke.
1970er Jahre: Seine Gesundheit und sein kreatives Schaffen lassen nach, doch seine Werke werden weiterhin aufgeführt und gefeiert.
1981: Er stirbt am 23. Januar im Alter von 70 Jahren in New York City.

Vermächtnis

Barbers Werke werden nach wie vor häufig aufgeführt, wobei insbesondere Adagio for Strings zu einem bleibenden Symbol emotionaler Resonanz in der amerikanischen klassischen Musik geworden ist. Seine Kompositionen schlagen eine Brücke zwischen romantischer Lyrik und Modernismus des 20. Jahrhunderts und machen ihn zu einem der bedeutendsten amerikanischen Komponisten seiner Zeit.

Merkmale der Musik

Samuel Barbers Musik wird für ihre emotionale Tiefe, lyrische Schönheit und ausgefeilte Handwerkskunst gefeiert. Während sich sein Stil im Laufe seiner Karriere weiterentwickelte, blieben bestimmte Merkmale konstant, die seine Werke unverwechselbar und beständig machen. Hier sind die wichtigsten Merkmale von Barbers Musik:

1. Lyrismus und melodische Schönheit

Barber war ein Meister der Melodie und schuf oft lange, fließende Linien, die bei den Zuhörern einen tiefen Eindruck hinterlassen. Diese lyrische Qualität kommt besonders in Werken wie Adagio for Strings und Knoxville: Summer of 1915 zum Ausdruck. Seine Melodien rufen oft eine romantische Empfindsamkeit hervor, auch wenn sie in harmonische Strukturen des 20. Jahrhunderts eingebettet sind.

2. Emotionaler Ausdruck

Barbers Musik ist für ihre unmittelbare emotionale Wirkung bekannt, die häufig Themen wie Nostalgie, Sehnsucht und Selbstbeobachtung behandelt. Stücke wie Adagio for Strings vermitteln tiefes Leid, während Knoxville: Summer of 1915 ein bittersüßes Gefühl von Kindheit einfängt.

3. Mischung aus Romantik und Moderne

Barber wurde zwar von den romantischen Komponisten des 19. Jahrhunderts beeinflusst, doch seine Werke enthalten auch Elemente der Musik des 20. Jahrhunderts, wie erweiterte Tonalität, Chromatik und gelegentliche Dissonanzen. Er vermied jedoch die experimentellen Techniken vieler seiner Zeitgenossen und bevorzugte Zugänglichkeit und emotionale Klarheit.

4. Vokalsatz und Textsensibilität

Als ausgebildeter Sänger hatte Barber ein außergewöhnliches Verständnis für die menschliche Stimme. Seine Vokalwerke, wie Hermit Songs und Knoxville: Summer of 1915, zeichnen sich durch ihre natürliche Deklamation und Sensibilität für die Nuancen des Textes aus, wodurch die Worte die Musik organisch formen können.

5. Meisterhafte Orchestrierung

Barbers Orchesterwerke zeigen sein Können bei der Schaffung reichhaltiger, strukturierter Klanglandschaften. Er hatte die Gabe, Orchesterfarben auszubalancieren, sei es in den schwebenden Streichern von Adagio for Strings, den dramatischen Kontrasten seines Violinkonzerts oder der Erhabenheit seines Klavierkonzerts.

6. Strukturelle Klarheit

Barbers Musik ist oft von einem ausgeprägten Sinn für Form und Struktur geprägt, beeinflusst durch seine klassische Ausbildung. Seine Werke zeichnen sich durch eine klare thematische Entwicklung, logische Progression und ausgewogene Proportionen aus, was zu ihrer anhaltenden Attraktivität beiträgt.

7. Introspektion und Nostalgie

Ein wiederkehrendes Thema in Barbers Musik ist die Sehnsucht nach einer einfacheren, unschuldigeren Zeit. Diese Eigenschaft ist in Knoxville: Summer of 1915, wo Barber über Kindheitserinnerungen nachdenkt, und in vielen seiner kleineren Werke, die oft einen introspektiven Tonfall haben, deutlich präsent.

8. Dramatische und theatralische Elemente

In seinen Opern und groß angelegten Werken bewies Barber ein Gespür für Dramatik und Theatralik. Seine Oper Vanessa ist ein Paradebeispiel dafür, wie romantische Leidenschaft mit psychologischer Tiefe verbunden wird. Selbst in seinen Instrumentalwerken hat Barbers Musik oft einen erzählerischen oder emotionalen Verlauf.

9. Amerikanische Identität

Obwohl Barbers Musik keine offensichtlichen Folkelemente oder Americana enthält, hat sie einen unverkennbaren Sinn für amerikanische Identität. Seine Werke spiegeln eine ausgesprochen amerikanische Sensibilität wider, mit ihrer Offenheit, ihrem Optimismus und ihrer Fähigkeit, ein breites Publikum anzusprechen.

Barbers Musik wird oft als zeitlos beschrieben und schlägt eine Brücke zwischen der romantischen Tradition und der Moderne. Seine Fähigkeit, durch technische Meisterschaft und emotionale Unmittelbarkeit eine tiefe Verbindung zu den Zuhörern herzustellen, ist nach wie vor ein Markenzeichen seiner Kunstfertigkeit.

Beziehungen

Samuel Barbers Leben und Karriere waren geprägt von einem Netzwerk bedeutender Beziehungen zu anderen Komponisten, Künstlern, Dirigenten, Institutionen und sogar Nichtmusikern. Hier sind einige der bemerkenswertesten direkten Beziehungen:

Komponisten

Gian Carlo Menotti

Barbers lebenslanger Partner und Mitarbeiter. Menotti, ein italienischer Komponist, hatte sowohl einen persönlichen als auch einen beruflichen Einfluss auf Barber. Sie lebten und arbeiteten zusammen in Capricorn, ihrem gemeinsamen Haus in Mount Kisco, New York. Menotti lieferte oft Libretti für Barbers Vokal- und Opernwerke, darunter die Oper Vanessa.

Sidney Homer

Barbers angeheirateter Onkel und Komponist von Kunstliedern. Homer war in Barbers frühen Jahren sein Mentor, förderte sein Interesse an Musik und gab ihm wertvolle Tipps zum Komponieren.

Aaron Copland

Barber und Copland arbeiteten zwar nicht eng zusammen, waren aber Zeitgenossen, die verschiedene Richtungen der amerikanischen Musik vertraten. Coplands Fokus auf den von der Folklore inspirierten Modernismus stand im Gegensatz zu Barbers eher lyrischem und romantischem Ansatz, aber beide waren bedeutende Persönlichkeiten der klassischen amerikanischen Musik des 20. Jahrhunderts.

Ausführende

Eleanor Steber

Die Sopranistin, die Knoxville: Summer of 1915 1948 uraufführte. Stebers reiche Stimme und ausdrucksstarke Interpretation trugen dazu bei, dass das Werk große Anerkennung fand.

Leontyne Price

Eine gefeierte Sopranistin und enge Vertraute von Barber. Sie war die Widmungsträgerin und Uraufführungsinterpretin von Barbers Hermit Songs und spielte eine wichtige Rolle dabei, Barbers Vokalwerke im Repertoire zu halten.

John Browning

Der Pianist, der 1962 Barbers Klavierkonzert uraufführte. Brownings virtuose Darbietung trug maßgeblich zum Erfolg des Werks bei, das Barber seinen zweiten Pulitzer-Preis einbrachte.

Isaac Stern

Der Geiger, der sich für Barbers Violinkonzert einsetzte. Stern trug dazu bei, dieses Werk bekannt zu machen, das nach wie vor ein fester Bestandteil des Geigenrepertoires ist.

Dirigenten und Orchester

Arturo Toscanini

Einer der wichtigsten Fürsprecher Barbers. Toscanini dirigierte 1938 die Uraufführungen von Adagio for Strings und Essay for Orchestra No. 1 und festigte damit Barbers Ruf als bedeutender Komponist.

Das Philadelphia Orchestra

Barber hatte eine enge Beziehung zu diesem Orchester, das mehrere seiner Werke uraufgeführt hat, darunter 1959 Toccata Festiva. Eugene Ormandy, der Dirigent des Orchesters, war ein wichtiger Fürsprecher für Barbers Musik.

Die Metropolitan Opera

gab 1966 Barbers Oper „Antony and Cleopatra“ für die Eröffnung ihres neuen Hauses im Lincoln Center in Auftrag. Trotz der schwierigen Premiere der Oper war dies ein Meilenstein in Barbers Karriere.

Institutionen

Curtis Institute of Music

Barbers Alma Mater, an der er Klavier, Gesang und Komposition studierte. Curtis spielte eine grundlegende Rolle in seiner musikalischen Entwicklung, und Barber blieb der Institution sein Leben lang verbunden.

Pulitzer-Preis-Komitee

Barber wurde mit zwei Pulitzer-Preisen ausgezeichnet: 1958 für die Oper Vanessa und 1962 für das Klavierkonzert, in Anerkennung seiner Beiträge zur amerikanischen Musik.

Nicht-Musiker

James Agee

Der amerikanische Schriftsteller, dessen Prosagedicht Knoxville: Summer of 1915 eines von Barbers beliebtesten Werken inspirierte. Barber vertonte Agees nostalgischen Text mit außergewöhnlicher Sensibilität.

Pablo Neruda

Der chilenische Dichter, dessen Werke Barber in The Lovers (1971), einer Kantate für Bariton, Chor und Orchester, vertonte.

Mary Curtis Bok

Die Gründerin des Curtis Institute of Music und Kunstmäzenin unterstützte Barber in seinen prägenden Jahren.

Kollaborative und soziale Verbindungen

Capricorn (Barber und Menottis Zuhause)

Capricorn war ein kreatives Zentrum für Künstler, Musiker und Intellektuelle. Das Paar veranstaltete Zusammenkünfte, die den künstlerischen Austausch unter ihren Zeitgenossen förderten.

Eugene Ormandy und Serge Koussevitzky

Als prominente Dirigenten setzten sie sich für Barbers Musik ein. Insbesondere Koussevitzky war ein wichtiger Fürsprecher für amerikanische Komponisten.

Zusammenfassung

Barbers Beziehungen umspannten ein breites Netzwerk einflussreicher Persönlichkeiten in der Welt der klassischen Musik und darüber hinaus. Seine Zusammenarbeit mit Künstlern wie Leontyne Price und John Browning, die Unterstützung von Dirigenten wie Toscanini und die persönlichen Beziehungen zu Menotti und Homer spielten eine wesentliche Rolle bei der Gestaltung seiner Karriere. Über den musikalischen Bereich hinaus bereicherten seine Verbindungen zu Literaten wie James Agee und Pablo Neruda seine künstlerische Stimme.

Bedeutende Werke für Soloklavier

Samuel Barber komponierte mehrere bedeutende Werke für Soloklavier, die seinen lyrischen Stil, seine technische Brillanz und seine Fähigkeit, romantische Ausdruckskraft mit modernistischen Techniken zu verbinden, unter Beweis stellen. Hier sind seine bedeutendsten Beiträge zum Klavierrepertoire:

1. Klaviersonate, Op. 26 (1949)

Uraufführung: Vladimir Horowitz, 1950.
Hintergrund: Dieses berühmteste Klavierwerk von Barber wurde anlässlich des 25-jährigen Bestehens der League of Composers in Auftrag gegeben. Es ist technisch anspruchsvoll und zeigt Barbers Fähigkeit, strukturelle Klarheit mit emotionaler Tiefe in Einklang zu bringen.

Struktur: Vier Sätze:
Allegro energico
Allegro vivace e leggero
Adagio mesto

Fuga: Allegro con spirito
Merkmale: Die Sonate ist für ihre brillante und feurige Fuge im Schlusssatz bekannt, eine Tour de Force des Kontrapunkts.

2. Excursions, Op. 20 (1944)

Uraufführung: Jeanne Behrend, 1945.
Hintergrund: Barbers „Excursions“ ist eine Sammlung von vier programmatischen Stücken, die von amerikanischen Musikstilen wie Jazz, Blues, Boogie-Woogie und Volksmusik inspiriert sind.
Struktur: Vier Sätze:
Un poco allegro (im Boogie-Woogie-Stil)
Im langsamen Blues-Tempo
Allegretto (von der Volksmusik inspiriert)
Allegro molto (ein lebhafter Tanz)

Merkmale: Jedes Stück erkundet einen bestimmten amerikanischen Musikstil und verbindet diese Einflüsse mit Barbers ausgefeilten Kompositionstechniken.

3. Nocturne (Hommage an John Field), Op. 33 (1959)

Hintergrund: Als Hommage an John Field geschrieben, dem irischen Komponisten, dem die Erfindung der Nocturne-Form zugeschrieben wird. Dieses Werk ist eine Hommage an den lyrischen und intimen Stil von Fields Klavierwerken.
Merkmale: Ein einsätziges Stück mit fließenden, melodischen Linien und zarten Texturen, das eine traumhafte Atmosphäre heraufbeschwört.

4. Ballade, Op. 46 (1977)

Hintergrund: Eines von Barbers letzten Werken, geschrieben für den Van Cliburn International Piano Competition. Es spiegelt seinen späten Stil wider, der introspektiver und harmonisch abenteuerlicher ist.
Merkmale: Ein dramatisches und kompaktes einsätziges Stück mit wechselnden Stimmungen und einer ausgefeilten harmonischen Sprache.

5. Interlude I & II (1943)

Hintergrund: Zwei kurze Stücke, die Barbers lyrischen und introspektiven Stil zeigen. Diese sind weniger bekannt, zeigen aber sein tiefes Verständnis für das Klavier.

Weitere Klavierstücke

Three Sketches (1923–24): Frühe Klavierwerke, die Barber in seiner Jugend komponierte und die sein aufkeimendes Talent zeigen.
Souvenirs, Op. 28 (1952) [ursprünglich für Klavierduo]: Obwohl als Klavierduo komponiert, arrangierte Barber diese sechs Stücke auch für Soloklavier. Inspiriert von Tänzen und Salonmusik haben sie einen verspielten und nostalgischen Charme.

Performance-Vermächtnis

Barbers Klavierwerke, insbesondere die Klaviersonate und Excursions, genießen im klassischen Repertoire hohes Ansehen. Sie werden oft in Konzerten und Wettbewerben aufgeführt und bieten sowohl technische Herausforderungen als auch Möglichkeiten für eine ausdrucksstarke Interpretation. Seine Klaviermusik spiegelt seinen umfassenderen Kompositionsstil wider: lyrisch, emotional direkt und fest in der Tradition verwurzelt, während er gleichzeitig moderne Innovationen aufgreift.

Bemerkenswerte Werke

Samuel Barbers Oeuvre umfasst eine Vielzahl von Genres und zeigt seinen lyrischen Stil, seine emotionale Tiefe und sein meisterhaftes Können. Hier sind seine bemerkenswertesten Werke ohne Klaviersolostücke:

Orchesterwerke

Adagio for Strings (1936)

Ursprünglich der langsame Satz seines Streichquartetts op. 11, ist diese Orchesterfassung Barbers berühmtestes Werk. Seine elegische, zutiefst emotionale Qualität hat es zu einem kulturellen Symbol für Trauer und Besinnung gemacht.

Essay for Orchestra Nr. 1, Op. 12 (1937)

Ein einsätziges Orchesterstück, das thematische Entwicklung mit reicher Orchestrierung verbindet. Toscanini führte es zusammen mit dem Adagio for Strings auf.

Essay for Orchestra Nr. 2, Op. 17 (1942)

Dieses Werk ähnelt in seiner Form dem ersten Essay, ist jedoch dramatischer und ausladender und wurde während des Zweiten Weltkriegs geschrieben.

Violinkonzert, Op. 14 (1939)

Ein lyrisches und virtuoses Konzert mit einem ruhigen ersten Satz, einem tief emotionalen zweiten Satz und einem feurigen, sich ständig bewegenden Finale.

Klavierkonzert, Op. 38 (1962)

Dieses dramatische und technisch anspruchsvolle Werk, das von John Browning uraufgeführt wurde, brachte Barber seinen zweiten Pulitzer-Preis ein. Es verbindet Lyrik mit rhythmischer Vitalität.

Capricorn Concerto, Op. 21 (1944)

Ein Kammerkonzert für Flöte, Oboe, Trompete und Streicher. Benannt nach Barbers Haus Capricorn, verbindet es neoklassische Klarheit mit amerikanischer Lyrik.

Medeas Rachetanz, Op. 23a (1955)

Eine Orchestersuite, die aus Barbers Ballett Medea stammt. Sie zeichnet sich durch dramatische Intensität und scharfe Kontraste aus.

Vokalwerke

Knoxville: Sommer 1915, Op. 24 (1947)

Ein üppig instrumentiertes Werk für Sopran und Orchester, das James Agees nostalgisches Prosagedicht über die Kindheit im Amerika des frühen 20. Jahrhunderts vertont.

Hermit Songs, Op. 29 (1953)

Ein Liederzyklus für Gesang und Klavier, basierend auf anonymen mittelalterlichen irischen Texten. Die zehn Lieder reichen von Humor und Ehrfurcht bis hin zu Introspektion.

Dover Beach, Op. 3 (1931)

Eine Vertonung von Matthew Arnolds Gedicht für Bariton und Streichquartett, die Barbers frühes Talent für Vokalmusik und emotionale Nuancen widerspiegelt.

The Lovers, Op. 43 (1971)

Eine Kantate für Bariton, Chor und Orchester, die Liebesgedichte von Pablo Neruda vertont. Sie spiegelt Barbers späten Stil wider, der introspektiver und moderner ist.

Prayers of Kierkegaard, Op. 30 (1954)

Ein groß angelegtes Werk für Chor, Orchester und Sopransolo, das von den spirituellen Schriften Søren Kierkegaards inspiriert wurde.

Kammermusikwerke

Streichquartett, Op. 11 (1936)

Der zweite Satz dieses Quartetts wurde zum berühmten Adagio for Strings. Das gesamte Quartett ist ein Zeugnis von Barbers lyrischer Begabung.

Summer Music, Op. 31 (1956)

Ein Holzbläserquintett, das eine warme, ländliche Atmosphäre heraufbeschwört. Dies ist eines der beliebtesten Kammermusikwerke von Barber.

Cello Sonata, Op. 6 (1932)

Eine Sonate für Cello und Klavier, die zu Beginn von Barbers Karriere entstand und sich durch einen tiefen Ausdruck und hohe technische Anforderungen auszeichnet.

Opern

Vanessa (1958)

Barbers erste Oper mit einem Libretto von Gian Carlo Menotti. Sie gewann den Pulitzer-Preis für Musik. Sie spielt an einem unbestimmten Ort zu einer unbestimmten Zeit und erzählt eine dramatische Geschichte von Liebe und Verlust.

Antony and Cleopatra (1966)

Komponiert für die Eröffnung des neuen Metropolitan Opera House. Die Uraufführung war mit erheblichen Produktionsproblemen verbunden, aber die Musik selbst ist dramatisch und anspruchsvoll.

Ballett

Medea (1946)

Von Martha Graham als Ballett mit dem Titel „Cave of the Heart“ in Auftrag gegeben. Die Orchestersuite „Medeas Rachetanz“ ist von diesem Werk abgeleitet.

Chorwerke

Agnus Dei (1967)

Eine Chorarrangement des Adagio for Strings, die dem berühmten Werk eine eindringliche vokale Dimension verleiht.

Reincarnations, Op. 16 (1940)

Eine Sammlung von drei A-cappella-Chorstücken, die auf irischer Poesie basieren. Diese Werke sind wegen ihrer üppigen Harmonien und ausdrucksstarken Textvertonung beliebt.

Zusammenfassung

Barbers Gesamtwerk spiegelt seine Vielseitigkeit und seine Fähigkeit wider, fesselnde Musik in verschiedenen Genres zu schreiben. Stücke wie Adagio for Strings, Knoxville: Summer of 1915, Violin Concerto und Vanessa sind nach wie vor ein fester Bestandteil des klassischen Repertoires und werden für ihre Schönheit, emotionale Tiefe und zeitlose Anziehungskraft gefeiert.

(Dieser Artikel wurde von ChatGPT generiert. Und er ist nur ein Referenzdokument, um Musik zu entdecken, die Sie noch nicht kennen.)

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Apuntes sobre Samuel Barber y sus obras

Resumen

Samuel Barber (1910-1981) fue un renombrado compositor estadounidense conocido por su música lírica y emocionalmente expresiva. Su obra es célebre por su combinación de exuberante romanticismo y sensibilidad moderna, en contraste con algunas de las tendencias más vanguardistas del siglo XX. La habilidad de Barber para crear melodías de gran belleza y profundidad le ha valido un lugar permanente en el canon de la música clásica.

Primeros años y educación

Barber nació en West Chester, Pensilvania, y mostró talento musical a una edad temprana. A los 7 años, ya había compuesto su primera pieza. Ingresó en el Curtis Institute of Music de Filadelfia a los 14 años, donde estudió piano, canto y composición. Esta formación diversa dio forma a su carrera posterior, permitiéndole componer música vocal e instrumental con la misma habilidad.

Obras principales y estilo

La música de Barber a menudo combina el lenguaje armónico tradicional con técnicas del siglo XX, lo que la hace accesible pero sofisticada. Algunas de sus obras más famosas incluyen:

«Adagio para cuerdas» (1936): la composición más icónica de Barber, a menudo asociada con momentos de duelo o reflexión nacional. Su melodía de una belleza inquietante la ha convertido en una de las piezas más interpretadas de la música clásica estadounidense.
«Concierto para violín« (1939): Una obra fundamental del repertorio para violín, que combina belleza lírica con brillantez técnica.
«Knoxville: verano de 1915» (1947): Una exuberante obra vocal para soprano y orquesta, basada en un texto de James Agee, que captura la nostalgia de la infancia.
Ópera «Vanessa» (1958): La ópera de Barber, que ganó el Premio Pulitzer, es conocida por su intensidad dramática y riqueza melódica.
«Sonata para piano» (1949): Una de las grandes contribuciones estadounidenses al repertorio pianístico, que combina el desafío técnico con el poder expresivo.

Aspectos destacados de su carrera

Barber logró el éxito tanto de la crítica como del público durante su vida, una hazaña poco común para un compositor del siglo XX. Fue galardonado con dos premios Pulitzer (por Vanessa y el Concierto para piano), y sus obras fueron interpretadas por las principales orquestas y solistas de todo el mundo.

Vida personal

Barber mantuvo una relación de por vida con el compositor italiano Gian Carlo Menotti, que también fue una gran influencia y colaborador. Juntos, vivieron y trabajaron en una casa llamada Capricornio en Mount Kisco, Nueva York, que se convirtió en un centro de creatividad y reuniones sociales.

Legado

La música de Barber sigue siendo interpretada y admirada por su profundidad emocional y brillantez técnica. Se le considera uno de los mejores compositores estadounidenses, y sus obras siguen siendo básicas en el repertorio de música orquestal, vocal y de cámara.

Historia

Samuel Barber nació el 9 de marzo de 1910 en West Chester, Pensilvania, en el seno de una familia que valoraba la música y la cultura. Su tía, Louise Homer, era contralto en la Ópera Metropolitana, y su marido, Sidney Homer, era compositor de canciones artísticas. La temprana exposición de Barber a la música en este entorno artístico marcó su futuro. A los siete años, Barber ya componía y declaró en una carta a su madre que tenía la intención de convertirse en compositor. Su talento innato fue cultivado, y a los catorce años, se matriculó en el Instituto de Música Curtis de Filadelfia.

En Curtis, Barber estudió composición, canto y piano, sobresaliendo en las tres disciplinas. Esta educación musical integral le dio la capacidad de escribir con un conocimiento íntimo de los instrumentos y voces para los que componía. Durante su estancia allí, Barber entabló estrechas relaciones con otros músicos, entre ellos el joven compositor italiano Gian Carlo Menotti, que se convirtió en su compañero y colaborador de toda la vida.

La carrera de Barber comenzó a tomar forma en la década de 1930. Sus obras se caracterizaban a menudo por sus exuberantes cualidades líricas, en contraste con los experimentos modernistas de muchos de sus contemporáneos. Su «Adagio para cuerdas», compuesto en 1936, le dio fama temprana. Estrenada por el director de orquesta Arturo Toscanini en 1938, la pieza, de carácter inquietante y elegíaco, tocó la fibra sensible del público y se convirtió rápidamente en una obra definitoria de la música clásica estadounidense. Con el tiempo, adquiriría importancia cultural, interpretándose en actos de duelo y conmemoraciones nacionales.

Las composiciones de Barber siguieron atrayendo la atención y la aclamación durante las décadas de 1940 y 1950. En 1947, escribió Knoxville: Summer of 1915, una adaptación del poema en prosa de James Agee que reflexiona sobre la infancia. Esta obra profundamente nostálgica para soprano y orquesta se convirtió en una de las composiciones más queridas de Barber, encarnando su don para la expresión emocional.

Barber también se aventuró en la ópera, ganando un Premio Pulitzer por su primera ópera, Vanessa (1958). Mientras que su romanticismo y sus ricas melodías recibieron elogios, su segunda ópera, Antony and Cleopatra (1966), estrenada en la inauguración de la nueva Metropolitan Opera House, fue menos bien recibida debido a los problemas de producción. Este fracaso afectó profundamente a Barber, lo que le llevó a un período de retiro creativo.

A pesar de estos contratiempos, Barber siguió componiendo música, como su dramático Concierto para piano (1962), que le valió un segundo Premio Pulitzer. Sus obras posteriores, aunque menos numerosas, revelaron un enfoque más introspectivo y moderno, reflejando sus luchas personales y el cambiante panorama musical que le rodeaba.

Barber pasó sus últimos años con Menotti en su casa de Mount Kisco, Nueva York, un refugio creativo donde a menudo recibían a otros artistas y músicos. La salud de Barber se deterioró en la década de 1970 y falleció el 23 de enero de 1981 en la ciudad de Nueva York, dejando un legado como uno de los mejores compositores de Estados Unidos.

Su música sigue siendo celebrada por su resonancia emocional y su belleza atemporal, testimonio de su creencia de que la música debe comunicarse directamente al corazón.

Cronología

He aquí un resumen cronológico de la vida de Samuel Barber y sus principales hitos:

1910: Nace el 9 de marzo en West Chester, Pensilvania.
1917: A los 7 años, Barber compone su primera pieza, Sadness, y escribe una carta a su madre declarando su intención de convertirse en compositor.
1924: Se matricula en el Curtis Institute of Music de Filadelfia a los 14 años, donde estudia piano, canto y composición.
1928: Compone Serenade for String Quartet, Op. 1, su primera obra publicada.
1931: Gana el premio Joseph H. Bearns de la Universidad de Columbia por Overture to the School for Scandal, Op. 5.
1933: Se gradúa en el Curtis Institute y comienza a componer a tiempo completo.
1936: Compone Adagio para cuerdas, que más tarde se convertiría en su obra más emblemática.
1938: Arturo Toscanini dirige Adagio para cuerdas y Ensayo para orquesta n.º 1, lo que catapulta a Barber a la fama internacional.
1940: Escribe su Concierto para violín, op. 14, una obra que sigue siendo una piedra angular del repertorio violinístico.
1942: Compone la Marcha del comando durante su estancia en las Fuerzas Aéreas de EE. UU.
1943: Completa el Concierto Capricornio, inspirado en su hogar en Mount Kisco, Nueva York.
1947: Compone Knoxville: Verano de 1915, Op. 24, basada en el poema en prosa de James Agee.
1953: Escribe Hermit Songs, Op. 29, un ciclo de canciones basado en textos medievales irlandeses.
1958: Estrena su ópera Vanessa, que gana el Premio Pulitzer de Música.
1959: Compone Toccata Festiva, Op. 36, para la inauguración del órgano Aeolian-Skinner en la Academia de Música de Filadelfia.
1962: Gana un segundo Premio Pulitzer por su Concierto para piano, Op. 38, encargado para la inauguración del Lincoln Center.
1966: Su segunda ópera, Antonio y Cleopatra, se estrena en la inauguración del Metropolitan Opera House, pero tiene una mala acogida. El fracaso conduce a un período de declive personal y profesional.
1971: Compone Los amantes, una cantata basada en poemas de Pablo Neruda, y Fadograph of a Yestern Scene, una de sus últimas obras orquestales.
Década de 1970: Enfrenta un deterioro de su salud y una reducción de su producción creativa, aunque sus obras continúan siendo interpretadas y celebradas.
1981: Muere el 23 de enero en la ciudad de Nueva York a la edad de 70 años.

Legado

Las obras de Barber siguen interpretándose ampliamente, y Adagio para cuerdas en particular se ha convertido en un símbolo perdurable de la resonancia emocional en la música clásica estadounidense. Sus composiciones tienden un puente entre el lirismo romántico y el modernismo del siglo XX, lo que lo convierte en uno de los compositores estadounidenses más importantes de su tiempo.

Características de la música

La música de Samuel Barber es célebre por su profundidad emocional, su belleza lírica y su sofisticada maestría. Aunque su estilo evolucionó a lo largo de su carrera, ciertas características se mantuvieron constantes, haciendo que sus obras fueran distintivas y perdurables. Estas son las características clave de la música de Barber:

1. Lirismo y belleza melódica

Barber era un maestro de la melodía, a menudo creaba líneas largas y fluidas que resonaban profundamente en los oyentes. Esta cualidad lírica es particularmente evidente en obras como Adagio para cuerdas y Knoxville: verano de 1915. Sus melodías a menudo evocan una sensibilidad romántica, incluso cuando están enmarcadas dentro de estructuras armónicas del siglo XX.

2. Expresión emocional

La música de Barber es conocida por su impacto emocional directo, explorando a menudo temas de nostalgia, anhelo e introspección. Piezas como Adagio para cuerdas transmiten un profundo dolor, mientras que Knoxville: Summer of 1915 captura una sensación agridulce de la infancia.

3. Mezcla de romanticismo y modernismo

Aunque Barber se vio influido por los compositores románticos del siglo XIX, sus obras también incorporan elementos de la música del siglo XX, como la tonalidad extendida, el cromatismo y la disonancia ocasional. Sin embargo, evitó las técnicas experimentales de muchos de sus contemporáneos, favoreciendo la accesibilidad y la claridad emocional.

4. Escritura vocal y sensibilidad al texto

Como cantante de formación, Barber tenía una comprensión excepcional de la voz humana. Sus obras vocales, como Hermit Songs y Knoxville: Summer of 1915, se caracterizan por su declamación natural y su sensibilidad a los matices del texto, lo que permite que las palabras den forma a la música de forma orgánica.

5. Orquestación magistral

Las obras orquestales de Barber demuestran su habilidad para crear paisajes sonoros ricos y texturizados. Tenía un don para equilibrar los colores orquestales, ya fuera en las elevadas cuerdas de Adagio for Strings, en los dramáticos contrastes de su Concierto para violín o en la grandeza de su Concierto para piano.

6. Claridad estructural

La música de Barber se caracteriza a menudo por un fuerte sentido de la forma y la estructura, influenciado por su formación clásica. Sus obras presentan un claro desarrollo temático, una progresión lógica y proporciones equilibradas, lo que contribuye a su atractivo perdurable.

7. Introspección y nostalgia

Un tema recurrente en la música de Barber es la nostalgia por una época más simple e inocente. Esta cualidad está vívidamente presente en Knoxville: Summer of 1915, donde Barber reflexiona sobre recuerdos de la infancia, y en muchas de sus obras más pequeñas, que a menudo tienen un tono introspectivo.

8. Elementos dramáticos y teatrales

En sus obras operísticas y a gran escala, Barber mostró un talento para el drama y la teatralidad. Su ópera Vanessa es un excelente ejemplo, que combina la pasión romántica con la profundidad psicológica. Incluso en sus obras instrumentales, la música de Barber a menudo tiene un sentido narrativo o de trayectoria emocional.

9. Identidad estadounidense

Aunque la música de Barber no incorpora abiertamente elementos folclóricos o americanos, tiene un inconfundible sentido de la identidad estadounidense. Sus obras reflejan una sensibilidad claramente estadounidense, con su apertura, optimismo y capacidad de resonar ampliamente entre el público.

La música de Barber se describe a menudo como atemporal, ya que tiende un puente entre la tradición romántica y la era moderna. Su capacidad para conectar profundamente con los oyentes, tanto a través del dominio técnico como de la inmediatez emocional, sigue siendo un sello distintivo de su arte.

Relaciones

La vida y la carrera de Samuel Barber se forjaron gracias a una red de relaciones significativas con otros compositores, intérpretes, directores de orquesta, instituciones e incluso personas ajenas a la música. Estas son algunas de las relaciones directas más notables:

Compositores

Gian Carlo Menotti

Compañero y colaborador de Barber durante toda su vida. Menotti, compositor italiano, ejerció una influencia tanto personal como profesional sobre Barber. Vivieron y trabajaron juntos en Capricorn, su hogar compartido en Mount Kisco, Nueva York. Menotti a menudo proporcionaba libretos para las obras vocales y operísticas de Barber, incluida la ópera Vanessa.

Sidney Homer

Tío político de Barber y compositor de canciones artísticas. Homer fue el mentor de Barber durante sus primeros años, fomentando su interés por la música y proporcionándole una valiosa orientación en la composición.

Aaron Copland

Aunque Barber y Copland no fueron colaboradores cercanos, fueron contemporáneos que representaron diferentes corrientes de la música estadounidense. El enfoque de Copland en el modernismo de inspiración folclórica contrastaba con el enfoque más lírico y romántico de Barber, pero ambos fueron figuras importantes en la música clásica estadounidense del siglo XX.

Intérpretes

Eleanor Steber

La soprano que estrenó Knoxville: Summer of 1915 en 1948. La rica voz de Steber y su expresiva interpretación contribuyeron a que la obra recibiera una gran acogida.

Leontyne Price

Una célebre soprano y estrecha colaboradora de Barber. Fue la dedicataria y primera intérprete de Hermit Songs de Barber y desempeñó un papel importante en mantener las obras vocales de Barber en el repertorio.

John Browning

El pianista que estrenó el Concierto para piano de Barber en 1962. La virtuosa interpretación de Browning fue fundamental para el éxito de la obra, que le valió a Barber su segundo Premio Pulitzer.

Isaac Stern

El violinista que fue un defensor del Concierto para violín de Barber. Stern ayudó a popularizar esta obra, que sigue siendo un elemento básico del repertorio violinístico.

Directores de orquesta y orquestas

Arturo Toscanini

Uno de los más importantes defensores de Barber. Toscanini dirigió los estrenos de Adagio para cuerdas y Ensayo para orquesta n.º 1 en 1938, consolidando la reputación de Barber como compositor importante.

La Orquesta de Filadelfia

Barber tenía una estrecha relación con esta orquesta, que estrenó varias de sus obras, incluida Toccata Festiva en 1959. Eugene Ormandy, el director de la orquesta, fue un importante defensor de la música de Barber.

Metropolitan Opera

Encargó la ópera Antony and Cleopatra de Barber para la inauguración de su nueva sede en el Lincoln Center en 1966. A pesar del problemático estreno de la ópera, este fue un momento histórico en la carrera de Barber.

Instituciones

Curtis Institute of Music

El alma mater de Barber, donde estudió piano, canto y composición. Curtis desempeñó un papel fundamental en su desarrollo musical, y Barber mantuvo vínculos de por vida con la institución.

Comité del Premio Pulitzer

Barber fue galardonado con dos Premios Pulitzer: por la ópera Vanessa en 1958 y por el Concierto para piano en 1962, en reconocimiento a sus contribuciones a la música estadounidense.

No músicos

James Agee

El escritor estadounidense cuyo poema en prosa Knoxville: Summer of 1915 inspiró una de las obras más queridas de Barber. Barber puso música al nostálgico texto de Agee con una sensibilidad excepcional.

Pablo Neruda

El poeta chileno cuyas obras Barber puso música en The Lovers (1971), una cantata para barítono, coro y orquesta.

Mary Curtis Bok

Fundadora del Curtis Institute of Music y mecenas de las artes, brindó apoyo a Barber durante sus años de formación.

Conexiones colaborativas y sociales

Capricornio (hogar de Barber y Menotti)

Capricornio fue un centro creativo para artistas, músicos e intelectuales. La pareja organizó reuniones que fomentaron los intercambios artísticos entre sus contemporáneos.

Eugene Ormandy y Serge Koussevitzky

Como destacados directores de orquesta, defendieron la música de Barber. Koussevitzky, en particular, fue un importante defensor de los compositores estadounidenses.

Resumen

Las relaciones de Barber abarcaron una amplia red de figuras influyentes en el mundo de la música clásica y más allá. Sus colaboraciones con intérpretes como Leontyne Price y John Browning, el apoyo de directores como Toscanini y los lazos personales con Menotti y Homer desempeñaron un papel esencial en la configuración de su carrera. Más allá del ámbito musical, su conexión con figuras literarias como James Agee y Pablo Neruda enriqueció aún más su voz artística.

Obras notables para piano solo

Samuel Barber compuso varias obras notables para piano solo, mostrando su estilo lírico, brillantez técnica y capacidad para combinar la expresividad romántica con técnicas modernistas. Estas son sus contribuciones más significativas al repertorio pianístico:

1. Sonata para piano, op. 26 (1949)
Estreno: Vladimir Horowitz, 1950.
Antecedentes: Encargada para el 25.º aniversario de la Liga de Compositores, esta es la obra para piano más célebre de Barber. Es técnicamente exigente y muestra la habilidad de Barber para equilibrar la claridad estructural con la profundidad emocional.
Estructura: Cuatro movimientos:
Allegro energico
Allegro vivace e leggero
Adagio mesto

Fuga: Allegro con spirito
Características: La sonata destaca por su brillante y fogosa fuga en el movimiento final, una proeza de contrapunto.

2. Excursions, Op. 20 (1944)

Estreno: Jeanne Behrend, 1945.
Antecedentes: Excursions de Barber es un conjunto de cuatro piezas programáticas inspiradas en los idiomas musicales estadounidenses, como el jazz, el blues, el boogie-woogie y la música folk.
Estructura: Cuatro movimientos:
Un poco allegro (estilo boogie-woogie)
En tempo de blues lento
Allegretto (inspirado en el folk)
Allegro molto (un baile animado)

Características: Cada pieza explora un estilo musical estadounidense distinto, mezclando estas influencias con las sofisticadas técnicas compositivas de Barber.

3. Nocturne (Homenaje a John Field), Op. 33 (1959)

Antecedentes: Escrita como homenaje a John Field, el compositor irlandés al que se atribuye la invención de la forma nocturna. Esta obra rinde homenaje al estilo lírico e íntimo de las obras para piano de Field.
Características: Una pieza de un solo movimiento con líneas fluidas y melódicas y texturas delicadas, que evocan una atmósfera onírica.

4. Ballade, Op. 46 (1977)

Antecedentes: Una de las últimas obras de Barber, escrita para el Concurso Internacional de Piano Van Cliburn. Refleja su estilo tardío, que es más introspectivo y armónicamente aventurero.
Características: Una pieza dramática y compacta de un solo movimiento con cambios de humor y un lenguaje armónico sofisticado.

5. Interludio I y II (1943)

Antecedentes: Dos piezas cortas que muestran el estilo lírico e introspectivo de Barber. Son menos conocidas, pero demuestran su íntima comprensión del piano.

Otras piezas para piano

Tres bocetos (1923-24): Primeras obras para piano compuestas durante la adolescencia de Barber, que demuestran su talento en ciernes.
Recuerdos, op. 28 (1952) [originalmente para dúo de piano]: Aunque compuestas como dúo de piano, Barber también arregló estas seis piezas para piano solo. Inspiradas en danzas y música de salón, tienen un encanto juguetón y nostálgico.

Legado interpretativo

Las obras para piano de Barber, en particular la Sonata para piano y Excursions, son muy apreciadas en el repertorio clásico. A menudo se interpretan en recitales y concursos, y ofrecen tanto desafíos técnicos como oportunidades para una interpretación expresiva. Su música para piano refleja su estilo compositivo más amplio: lírico, emocionalmente directo y firmemente arraigado en la tradición, al tiempo que abraza la innovación moderna.

Obras destacadas

La obra de Samuel Barber abarca una amplia gama de géneros, mostrando su estilo lírico, profundidad emocional y maestría. Estas son sus obras más notables, excluyendo las piezas para piano solo:

Obras orquestales

Adagio para cuerdas (1936)

Originalmente el movimiento lento de su Cuarteto de cuerda, Op. 11, este arreglo orquestal es la obra más famosa de Barber. Su carácter elegíaco y profundamente emotivo lo ha convertido en un símbolo cultural de duelo y reflexión.

Ensayo para orquesta n.º 1, op. 12 (1937)

Una pieza orquestal de un solo movimiento que combina el desarrollo temático con una rica orquestación. Toscanini la estrenó junto con el Adagio para cuerdas.

Ensayo para orquesta n.º 2, op. 17 (1942)

Similar en forma al primer ensayo, esta obra es más dramática y expansiva, escrita durante la Segunda Guerra Mundial.

Concierto para violín, op. 14 (1939)

Un concierto lírico y virtuoso con un primer movimiento sereno, un segundo movimiento profundamente emotivo y un final ardiente y de movimiento perpetuo.

Concierto para piano, op. 38 (1962)

Estrenada por John Browning, esta obra dramática y técnicamente exigente le valió a Barber su segundo Premio Pulitzer. Combina el lirismo con la vitalidad rítmica.

Concierto Capricornio, Op. 21 (1944)

Un concierto de cámara para flauta, oboe, trompeta y cuerdas. Llamado así por la casa de Barber, Capricornio, combina la claridad neoclásica con el lirismo americano.

Medea’s Dance of Vengeance, op. 23a (1955)

Una suite orquestal derivada del ballet Medea de Barber. Destaca por su intensidad dramática y sus marcados contrastes.

Obras vocales

Knoxville: Summer of 1915, op. 24 (1947)

Una obra exuberantemente orquestada para soprano y orquesta, que pone en música el nostálgico poema en prosa de James Agee sobre la infancia en la América de principios del siglo XX.

Hermit Songs, Op. 29 (1953)

Un ciclo de canciones para voz y piano, basado en textos medievales irlandeses anónimos. Las diez canciones van desde el humor y la reverencia hasta la introspección.

Dover Beach, op. 3 (1931)

Una adaptación del poema de Matthew Arnold para barítono y cuarteto de cuerda, que refleja el talento temprano de Barber para la escritura vocal y el matiz emocional.

The Lovers, op. 43 (1971)

Una cantata para barítono, coro y orquesta, que adapta poemas de amor de Pablo Neruda. Refleja el estilo tardío de Barber, más introspectivo y moderno.

Prayers of Kierkegaard, Op. 30 (1954)

Una obra a gran escala para coro, orquesta y soprano solista, inspirada en los escritos espirituales de Søren Kierkegaard.

Obras de cámara

Cuarteto de cuerda, Op. 11 (1936)

El segundo movimiento de este cuarteto se convirtió en el famoso Adagio para cuerdas. Todo el cuarteto es un testimonio del don lírico de Barber.

Música de verano, op. 31 (1956)

Un quinteto de viento de madera que evoca una atmósfera cálida y pastoral. Esta es una de las obras de cámara más populares de Barber.

Sonata para violonchelo, op. 6 (1932)

Una sonata para violonchelo y piano profundamente expresiva y técnicamente exigente, escrita al principio de la carrera de Barber.

Óperas

Vanessa (1958)

La primera ópera de Barber, con libreto de Gian Carlo Menotti. Ganó el Premio Pulitzer de Música. Ambientada en un tiempo y lugar ambiguos, cuenta una dramática historia de amor y pérdida.

Antony and Cleopatra (1966)

Compuesta para la inauguración de la nueva Metropolitan Opera House. El estreno se enfrentó a importantes desafíos de producción, pero la música en sí es dramática y ambiciosa.

Ballet

Medea (1946)

Encargado por Martha Graham como un ballet titulado Cave of the Heart. La suite orquestal Medea’s Dance of Vengeance se deriva de esta obra.

Obras corales

Agnus Dei (1967)

Un arreglo coral del Adagio para cuerdas, que añade una dimensión vocal evocadora a la famosa obra.

Reencarnaciones, op. 16 (1940)

Un conjunto de tres piezas corales a capela basadas en la poesía irlandesa. Estas obras son apreciadas por sus exuberantes armonías y su expresiva adaptación del texto.

Resumen

La obra de Barber refleja su versatilidad y capacidad para escribir música cautivadora en varios géneros. Piezas como Adagio para cuerdas, Knoxville: verano de 1915, Concierto para violín y Vanessa siguen siendo fundamentales en el repertorio clásico, célebres por su belleza, profundidad emocional y atractivo atemporal.

(Este artículo ha sido generado por ChatGPT. Es sólo un documento de referencia para descubrir música que aún no conoce.)

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