I. Sur un vent
Mon cœur était plein de toi, le vent d’ouest
La chanson relâchée qui n’arrêtait pas encore, au matin de pluie
À la lumière de une fenêtre fermée
Pendant je mastiquais une sentiment triste
Je me souvenais, de tremblant, de une crainte
Nous ne connaissons pas des choses……
Chaque de soirée, il soufflait par le côté qui brillait
Il déjà, était plié, pesait sur mon cœur
La mélodie loin, qui tu chantais–
Est-ce qui lui tirait, qui
Lui oubliait…… Enfin
Quand chaque soirée changerait à la nuit, les nuage décédaient
Dans le noir pâle était versé et venait
Toi, le vent d’ouest, tu perdrais toutes les choses, tu dirais
II. L’autumn bientôt
Bientôt, l’autumn, sera venu
Le soirée bavardait avec nous intimement
Des arbres comme les gestes du vieille
Jetaient ombres découvertes et sombres sur la direction du nuit
Toutes les choses ballottaient incertaines
Plutôt comme un soupir silencieux et légère……
(Il n’est pas hier, c’est demain)
Nos sentiments, chuchotaient et esquivaient
–L’autumn, comme ça, revenait
Ensuite, encore l’autumn, restait immobile
Comme un homme qui demander la grâce……
Tôt ou tard le souvenir de je n’oubliais pas
Mais, il n’y pas avait de souvenir, on passait
L’autumn…… ainsi…… à un soir encore–
III. Petite ballade
Une personne pouvait allumer la lumière
À la côte, qui lire une livre était autre personne
Parce que une chambre silencieuse, une voix basse
Au coin, je peux écouter (Touts les gens écoutait)
Uue personne pouvait éteindre la lumière
À la côte, qui endormait était autre personne
Une femme qui filait et chantait
À dehors des fenêtres, on peut bien écouté (Touts les gens écoutait)
Beaucoup des nuits et beaucoup des nuits passaient semblables–
Le vent criais, et sur le tour, le cop faisait connaître
–Soldats hissaient drapeaux, ânes faisait sonner ses grelots–
Et puis, le matin arrivait, le vrai matin arrivait
Encore la nuit arrivait, encore, nouvelle nuit arrivait
Cette chambre, vide, restait à la suite
IV. Invitation du sommeil
Bonne nuit, les filles visages avaient visages gentiles
Bonne nuit, elles tricotaient ses cheveux noirs
À chevet des elles autour du chandelier qui allumait du couleur noyer
Quelque chose vive existait (Dan le monde entier il y a de poudre de neige)
Je voulais chanter indéfiniment
Dehors la fenêtre sombre, à dans le fenêtre
Puis, entrer dans les dormis, aux ses fonds des rêves
Ensuite, je répétais et répétais, je voulais chanter
Comme une bougie
Comme le vent, comme des étoiles
Mon voix allait çà et là comme des mélodies
Et elles, les fleurs blancs de la pomme fleuriraient
Et donnaient des petits fruits verts, ils mûrissaient en rouge avec vitesse sympathique
Dans un temps court, en dormant, elles pouvaient regarder les rêves
V. À la pluie de une nuit du plein hiver
Où est-ce qu’il allait?
Mais il n’avait rien
Tous, perdaient depuis longtemps
Quelque part, lointain, la place je ne savais pas
La nuit de la pluie du plein hiver, chantait
Même de l’air quand elle attendait
Mais cet air qu’elle ne revenait pas
Loin, lointain, la place je ne savais pas
Noms des choses qui perdaient, intolérable
D’une répétition froide–
Même ça, je, pensais nos oreilles
Au-delà du temps, ce ciel bleu est très clair!
Ces espoirs seuls restaient, et, pourquoi ils félicitaient
On ne savait pas qui, le fond d’œil de cette personne
VI. À la nuit perdait
La prunelle était brûlée, qui brûlait
Elle n’était pas, de papille bleue
Ou de prunelle brune, en brillant
Piquait, mon cœur
Comme elle me faisait pleure
Mais, elle ne faisait pas
En brillant, elle me caressait
Et félicitait mon cœur trop gentil
La prunelle était brûlée, qui ne bougeait pas
Elle n’était pas, de papille bleue
Comme elles existaient, indéfiniment
La prunelle était brûlée, qui était silencieuse
J’oubliais le soleil et des herbes avaient bon parfum
Tristement seule, en brillant, en brillant, qui brûlait
VII. À l’obscurité débordait et trempait
Si il était beau, faisait mieux de rire
Pleurs, pour toujours, étaient sécher
Le soleil, se couchait à la grande paysage là-bas
Très triste, cette lune s’enflammait
C’est froid! on était éclaté par la lumière
Le gens frêle errait et vaguait
Moi, je aurai vécu où– répondez
À la nuit, ou au matin, ou à la pénombre
Moi, autrefois je avais été qui?
(Je n’était pas qui, Je peux être n’importe qui, quelqu’un–)
Moi, je perdait l’ombre de la femme j’aimais
Était foulé et casée, mon espoir était gentil
Je m’endormirait seulement, dans le sommeil
Pour je me fondrait une aspiration
VIII. Au bord du sommeil
La silence, comme d’une nuage bleue
Gentille, s’abattrait sur moi
Moi, comme un petit animal sauvage était abattu
Dans un sommeil, je plongeais, sans mouvement tout à l’heure
Encore, chuchotais, la mélodie perdu
Les nuages flottants de printemps, oisillons, fleurs, et ombres, faisaient appeler
Mais, ils ne sont pas de mon possession déjà
Ce jour-là, ma apparence qui baissait mes bras et marchait seulement aussi
Je, à la nuit, allumais la lumière, avant le sommeil
À côte de la lumière brillant, et leurs fondrais simplement
Dans la rêve, n’étais pas compétent que la rêve
Vis sur l’ombre, et quand je m’épuisait le temps
Encore le memoir, comme soupir, plus faible que la silence
Aurai fait les mots chanter
IX. Errance
C’est nuit– toutes les fenêtres, prendraient les lampes
Chemins, seuls, clairs faibles, illimités
Enduraient…… qui allais sur ils
C’était moi, seul, tout seul, sans poursuivre
La lune, se couchait déjà, ces
Comme la musique gentile, il n’y avait pas de brise
Les paysages ses ébranlaient, et effaçaient avec la rêve
Je, simplement, dans le sommeil, suivrais le sommeil plus profond et l’oubli……
Maintenant encore, si on prendrait moi en grande affection
À elle, mes mains étaient très minces, pour soutenir
Par son poids, j’ai été soif à chanceler et tomber
Oh, l’embrasement du soleil levant! Viens vite– le sommeil! Se réveilles……
Fermé par la brume de cendre, gelait moi, un jour court
Quand il arrivait, la nuit en vaguant, la rêve, je regrettais seulement!
X. L’embrasement du soleil levant
Le sommeil de la nuit dernière, sur des cadavres sales
Qui, s’asseyait?
Des ces profondes, prunelles noirs, maintenant encore
Une chose je puisais, qu’est-ce que c’est?
Tellement, dans ma chambre comme une prison
Semblable, comme un temple, étincelait, ondoyait
Où était cette musique allée?
Où était cette forme passée?
Ah, cette place là, qui restait?
Vaine, vide, étais transférée, ma jeunesse!
À toi, je ne voulais pas attendre
Cependant immobile, t’asseyait au coin de mon lit
Regardait ça, qui es-ce?
Comme on savait, et prendrait, le secret du sommeil de la nuit dernière
Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)