Mémoires sur La parade, M. 11 (1896) de Maurice Ravel, information, analyse et tutoriel de performance

Aperçu général

La Parade, également connue sous le nom de M. 11, est une pièce pour piano de Maurice Ravel, qui fait partie d’un projet plus vaste mais inachevé. Elle offre un aperçu fascinant de la jeunesse et de l’évolution du compositeur.

Contexte et composition

Composée en 1896, La Parade était destinée à faire partie d’une série de pièces miniatures pour piano que Ravel avait l’intention de publier sous le titre de Sérénade grotesque. Ce projet a été abandonné, mais la pièce est restée. Ravel, alors étudiant au Conservatoire de Paris, avait déjà commencé à se forger une identité musicale distincte, s’éloignant des conventions de l’époque.

Caractéristiques musicales

La pièce, d’une durée d’environ quatre minutes, est un excellent exemple du style naissant de Ravel :

Tonalité : La Parade est écrite dans un style polytonal, mélangeant des harmonies dissonantes et non conventionnelles pour l’époque.

Rythme : Elle se caractérise par des rythmes vifs et des syncopes qui créent une atmosphère de mouvement constant.

Atmosphère : Comme le titre l’indique, la musique évoque l’image d’une fanfare ou d’une troupe de cirque, avec des motifs qui semblent imiter des instruments de cuivre et des percussions.

Un tournant dans l’œuvre de Ravel

Bien que moins connue que ses œuvres ultérieures comme Le Tombeau de Couperin ou Ma Mère l’Oye, La Parade est une œuvre significative car elle montre Ravel s’éloignant de l’influence de ses professeurs et explorant son propre langage musical. C’est une pièce qui préfigure la virtuosité et la subtilité qu’il développera plus tard, en faisant une étape importante pour comprendre l’évolution de son génie.

Cette œuvre témoigne de la créativité précoce de Ravel et de sa volonté d’expérimenter avec des formes et des harmonies qui étaient loin d’être la norme à la fin du XIXe siècle. C’est un prélude audacieux à sa carrière illustre.

Histoire

L’histoire de La Parade, M. 11 de Maurice Ravel est une histoire d’inachèvement et de découverte posthume, qui nous éclaire sur la période de jeunesse du compositeur.

Composée en 1896, La Parade devait initialement faire partie d’un ensemble plus vaste de pièces pour piano que Ravel avait en tête, un projet qui n’a jamais vu le jour. À cette époque, Ravel, encore étudiant au Conservatoire de Paris, était en pleine exploration de son propre langage musical. La pièce, conçue comme une “esquisse de ballet” sur un argument de la danseuse Antonine Meunier, a été créée par elle en 1902, mais n’a jamais été publiée du vivant de Ravel. On suppose qu’il l’a mise de côté pour se consacrer à d’autres œuvres.

Pendant des décennies, cette œuvre est restée dans l’ombre, préservée seulement sous la forme d’un manuscrit. Ce n’est qu’en 2008, plus de 70 ans après la mort du compositeur, que La Parade a finalement été publiée, révélant au public une facette méconnue de Ravel.

Cette histoire est d’autant plus fascinante que la pièce elle-même reflète l’état d’esprit créatif du jeune Ravel. On y perçoit ses premières tentatives pour s’éloigner des canons musicaux de l’époque, en explorant des rythmes vifs et des harmonies dissonantes. C’est une œuvre qui, par sa nature inachevée et son histoire de redécouverte tardive, offre un regard unique sur les débuts du compositeur et la genèse de son style inimitable.

Caractéristiques de la musique

Rythme et harmonie

La Parade, œuvre de jeunesse de Maurice Ravel, se distingue par une approche musicale déjà audacieuse pour son temps. Elle s’écarte des conventions harmoniques du XIXe siècle, explorant des dissonances et une polytonalité naissante. Les accords ne suivent pas les résolutions traditionnelles, créant une atmosphère de tension et d’incertitude.

Mouvement et instrumentation

Le rythme joue un rôle central dans la pièce, avec des mouvements vifs et des syncopes qui rappellent une fanfare ou une troupe en défilé. Ravel utilise le piano pour imiter les sons de divers instruments, comme des cuivres éclatants et des percussions martelantes. Cette instrumentation “virtuelle” contribue à la nature pittoresque et à l’énergie de l’œuvre, évoquant l’image d’une véritable parade.

Influences et style

Bien que la pièce soit empreinte d’influences diverses, on y perçoit déjà la précision et la clarté qui deviendront des marques de fabrique du style de Ravel. La musique, malgré ses dissonances, reste méticuleusement construite. La Parade est une étape importante dans le développement du compositeur, montrant son passage de l’influence de ses maîtres à l’affirmation de sa propre voix musicale, caractérisée par un langage harmonique audacieux et une écriture rythmique novatrice.

Style(s), mouvement(s) et période de composition

La Parade de Maurice Ravel est une œuvre de jeunesse, composée en 1896, qui se situe à un moment de transition crucial dans l’histoire de la musique.

Période et style

La musique de Ravel à cette époque est un pont entre le romantisme tardif et l’émergence du modernisme. Bien qu’il ait été influencé par la tradition romantique et qu’il ait été un contemporain de compositeurs impressionnistes comme Claude Debussy, Ravel a toujours eu une approche stylistique très personnelle. La Parade ne peut pas être clairement classée dans un seul mouvement. Elle est un mélange de différentes influences :

Pré-impressionniste : On y trouve des harmonies et des couleurs orchestrales (bien que la pièce soit pour piano) qui préfigurent le mouvement impressionniste, mais sans la fluidité et les contours estompés de Debussy.

Nationaliste : L’œuvre n’est pas explicitement nationaliste, mais l’influence de la musique folklorique espagnole et française sera plus tard une marque de fabrique du style de Ravel, comme dans sa Rapsodie espagnole.

Musique : Ancienne ou nouvelle ?

Au moment de sa composition, La Parade était considérée comme novatrice. Ravel s’est éloigné de la musique traditionnelle de son temps, en particulier en explorant des dissonances audacieuses et une polytonalité naissante. Les structures rythmiques de la pièce sont également très modernes et complexes, ce qui la distingue des œuvres romantiques et classiques.

Mouvement

Le mouvement de La Parade est une étape cruciale vers le modernisme. Il est caractérisé par une rupture progressive avec la tonalité et une utilisation plus libre du rythme et de l’harmonie. Bien que l’œuvre soit pré-impressionniste, son style est déjà unique. Il est raffiné, technique, précis et montre un goût pour les structures claires et les détails soignés.

En conclusion, La Parade est une œuvre qui témoigne d’une vision musicale nouvelle, annonçant le style distinctif de Ravel qui sera une force majeure dans la musique moderne du XXe siècle. C’est une pièce de transition qui ne rentre pas dans une seule case, mais qui représente une étape clé dans l’évolution de la musique classique.

Analyse: Forme, Technique(s), texture, harmonie, rythme

La Parade, M. 11 de Maurice Ravel est une œuvre pour piano qui, malgré son caractère de jeunesse, présente déjà les prémisses de son style unique et novateur.

Analyse Musicale

La musique de La Parade est un excellent exemple de l’exploration de Ravel au début de sa carrière, bien que l’œuvre soit monophonique ou polyphonique dépend des sections. Dans l’ensemble, elle est principalement polyphonique, avec plusieurs lignes mélodiques qui se superposent et s’entremêlent, créant une texture riche et complexe.

Méthode et Technique

Rythme : Le rythme de la pièce est l’une de ses caractéristiques les plus frappantes. Ravel utilise des syncopes audacieuses et des changements de mètre pour créer une sensation de mouvement constant et irrégulier, imitant le pas d’une fanfare ou d’une parade. Ce traitement rythmique est très moderne pour l’époque et rompt avec la régularité du rythme romantique.

Harmonie et Tonalité : L’harmonie de La Parade est loin d’être conventionnelle. La pièce utilise une polytonalité naissante, où des accords de différentes tonalités sont superposés, créant des dissonances qui ne se résolvent pas selon les règles traditionnelles. Bien qu’il y ait des références à la tonalité (la pièce est parfois décrite comme étant en do majeur, mais avec des altérations constantes), Ravel explore une harmonie chromatique, qui contribue à la sensation d’étrangeté et de nouveauté de l’œuvre.

Texture et Structure

Texture : La texture de la pièce est dense, principalement polyphonique. Ravel utilise les différentes mains du piano pour créer des lignes mélodiques distinctes qui s’entrecroisent, créant une richesse sonore. On a l’impression d’entendre plusieurs instruments en même temps, ce qui est une caractéristique typique de son écriture pour piano.

Forme et Structure : La forme de La Parade est relativement libre. Elle n’est pas construite sur une forme classique comme la sonate ou le rondo, mais elle a une structure en sections qui se succèdent, créant un sens de narration. Ces sections, aux thèmes variés, sont liées par des motifs rythmiques et harmoniques récurrents. On peut percevoir une structure A-B-A’, où le thème initial revient après un passage contrastant. La pièce est plus proche d’une fantaisie ou d’un poème sonore que d’une forme classique.

Tutoriel, conseils d’interprétation et points importants de jeu

Points importants avant de commencer
Le contexte : N’oubliez pas que Ravel avait 21 ans lorsqu’il a composé cette œuvre. C’est une pièce de jeunesse, pleine d’énergie et d’expérimentation. L’objectif n’est pas de la jouer avec la même maturité que Le Tombeau de Couperin, mais plutôt de capturer son esprit de découverte et de fantaisie.

Les sons : Ravel est connu pour sa capacité à faire sonner le piano comme un orchestre. Cherchez à faire ressortir différentes “couleurs” instrumentales : les basses peuvent sonner comme des tambours, les aigus comme des cuivres, etc.

Conseils d’interprétation et techniques

Le rythme : C’est le cœur de la pièce.

Les syncopes : Le morceau est rempli de syncopes. Jouez-les avec précision, en respectant les décalages d’accents. N’hésitez pas à les exagérer légèrement pour créer cet effet de “danse” ou de marche irrégulière.

Tempo : Le tempo est vif. Maintenez une pulsion stable, mais soyez flexible. Ravel ne donne pas de tempo métronomique, ce qui vous laisse de la liberté pour des rubatos légers, surtout dans les passages lyriques.

L’harmonie : L’harmonie est audacieuse pour l’époque.

Dissonances : Ravel utilise beaucoup de dissonances et d’accords polytonaux. Ne cherchez pas à les “adoucir”. Jouez-les avec confiance, en mettant en évidence leurs couleurs et leurs tensions.

Clarté : Malgré les dissonances, la musique de Ravel est toujours très claire et précise. Même dans les passages les plus complexes, veillez à ce que chaque note soit audible.

La texture : La texture est dense et polyphonique.

Superposition des voix : Identifiez les différentes voix dans le morceau. Par exemple, la main gauche peut jouer une ligne de basse rythmique tandis que la main droite a une mélodie plus chantante ou percussive. Mettez en valeur ces différentes lignes sonores.

Le toucher : Variez votre toucher pour faire ressortir ces voix. Un toucher staccato et percussif pour les rythmes, un toucher plus lié et chantant pour les mélodies.

Tutoriel pas à pas

Début de la pièce (Mesures 1-8) : L’introduction est percussive et énergique. Mettez l’accent sur les rythmes syncopés de la main gauche. La main droite doit être claire et précise, avec un son presque “métallique” pour imiter les cuivres.

Passages contrastés (Mesures 9-16) : Ces sections peuvent être jouées avec une touche plus lyrique et délicate, offrant un contraste avec l’énergie du début. Ravel utilise de nombreuses pédales douces, donc n’hésitez pas à les utiliser pour adoucir le son.

Les passages de virtuosité (vers la fin) : La pièce devient plus complexe et demande une certaine agilité. Travaillez ces passages lentement, en vous concentrant sur la clarté de chaque note. N’oubliez pas de garder le rythme stable.

La fin : La fin est une culmination de l’énergie et du dynamisme de la pièce. Le tempo s’accélère, la texture devient plus dense. Jouez-la avec une grande énergie et de l’assurance.

En résumé

Esprit : Capturer la fantaisie et l’énergie de la jeunesse de Ravel.

Technique : Précision rythmique (syncopes), clarté des notes, et variation du toucher.

Musicalité : Mettez en valeur les dissonances et les textures polyphoniques, et n’hésitez pas à user de couleurs sonores pour imiter différents instruments.

Enregistrements célèbres

Étant donné que La Parade de Ravel est une œuvre de jeunesse qui n’a été publiée que récemment (en 2008), il n’existe pas d’enregistrements historiques au sens strict du terme, c’est-à-dire des enregistrements de l’époque de la composition ou des premiers interprètes de Ravel. Cependant, la pièce a été intégrée aux intégrales de l’œuvre pour piano de Ravel, et on peut identifier quelques interprètes qui ont marqué cette œuvre.

Enregistrements de référence et interprétations notables

Alexandre Tharaud (harmonia mundi) : L’enregistrement d’Alexandre Tharaud est souvent cité comme une référence. Il a enregistré la pièce dans son intégrale de l’œuvre pour piano de Ravel, publiée avant même la première édition officielle de la partition. Son interprétation est réputée pour sa clarté, son élégance et son sens de la couleur, des qualités qui correspondent parfaitement à l’univers de Ravel.

François-Joël Thiollier (Naxos) : Thiollier a également enregistré une intégrale des œuvres pour piano de Ravel, incluant La Parade. Son interprétation est appréciée pour son tempérament et sa virtuosité. Elle est un bon exemple d’une approche plus énergique et directe.

Aiko Okamoto (ALM Records) : Dans son enregistrement de l’œuvre pour piano de Ravel, Aiko Okamoto propose une interprétation qui met en lumière la richesse et la complexité de l’écriture de Ravel, y compris pour ses premières œuvres.

Interprétations modernes et contemporaines

La Parade étant une découverte relativement récente, les interprétations actuelles constituent la “tradition” de la pièce. De nombreux jeunes pianistes l’incluent désormais dans leurs programmes d’enregistrement, contribuant à son histoire interprétative. Ces enregistrements sont souvent des explorations de la pièce, cherchant à en extraire l’essence de jeunesse et l’esprit d’avant-garde. Des pianistes comme Florian Uhlig ont également contribué à la popularité de cette œuvre, offrant une interprétation techniquement irréprochable et musicologiquement informée.

Episodes et anecdotes

Étant une œuvre de jeunesse qui n’a été publiée que récemment, La Parade de Ravel a une histoire riche en rebondissements, même si elle n’est pas remplie d’anecdotes publiques comme d’autres œuvres célèbres. Voici quelques épisodes et anecdotes qui éclairent son parcours fascinant :

Le “projet inachevé” de Ravel : Ravel avait initialement l’intention de regrouper plusieurs de ses pièces de jeunesse pour piano sous un recueil intitulé Sérénade grotesque. La Parade devait en être la première pièce. Cependant, le compositeur a abandonné le projet et a laissé la partition de côté. Cela montre à quel point Ravel était exigeant avec lui-même, écartant même des œuvres qui, avec le recul, étaient déjà très prometteuses.

L’oubli pendant un siècle : Après avoir été abandonnée par Ravel, La Parade est restée dans les limbes pendant près de cent ans. Le manuscrit, conservé dans la Bibliothèque nationale de France, était connu des spécialistes de Ravel, mais il n’avait jamais été publié pour le grand public. Ce n’est qu’en 2008 que la partition a été éditée, permettant aux pianistes du monde entier de découvrir enfin cette œuvre de jeunesse.

L’édition critique : La publication de La Parade n’a pas été sans difficulté. Le manuscrit de Ravel contenait des ratures et des passages inachevés. Les musicologues ont dû faire un travail minutieux pour déchiffrer l’écriture du compositeur et décider des meilleures options pour une version jouable. Ce travail a été accompli par les musicologues Douglas Woodfull-Harris et Roger Nichols, qui ont réussi à restituer une partition fidèle à la vision initiale de Ravel.

Une “pièce pour les collectionneurs” : Avant sa publication officielle, la partition de La Parade était un Graal pour les spécialistes et les collectionneurs de Ravel. Des copies manuscrites circulaient de manière confidentielle dans des cercles restreints. L’édition de 2008 a mis fin à ce “marché secret” et a rendu l’œuvre accessible à tous.

Un aperçu de la genèse du style de Ravel : Bien qu’il s’agisse d’une œuvre de jeunesse, La Parade est une anecdote en soi. Elle montre que Ravel, à seulement 21 ans, avait déjà un style unique. Les harmonies chromatiques, les syncopes complexes et la texture orchestrale du piano sont des caractéristiques qui deviendront des marques de fabrique de son style mature. La pièce est la preuve que le génie de Ravel n’était pas le fruit d’une illumination soudaine, mais d’une exploration et d’un travail continus depuis ses débuts.

En somme, l’histoire de La Parade est moins une histoire d’anecdotes liées à des interprètes qu’une histoire d’oubli, de redécouverte et de consécration posthume, qui nous permet de mieux comprendre l’évolution du génie de Ravel.

Compositions similaires

En raison de sa nature unique, La Parade de Ravel est difficile à comparer directement à d’autres œuvres, même du même compositeur. Cependant, on peut citer quelques pièces qui partagent certaines de ses caractéristiques stylistiques ou qui sont issues de la même période de la carrière de Ravel.

Œuvres pour piano de Ravel

Sérénade grotesque (1893) : C’est la pièce sœur de La Parade. Les deux œuvres devaient faire partie du même recueil. La Sérénade grotesque partage avec La Parade un esprit de jeu et une écriture polytonale, montrant la même exploration audacieuse des limites de l’harmonie classique par le jeune Ravel.

Menuet antique (1895) : Composé un an avant La Parade, ce Menuet montre déjà un style d’écriture très personnel, avec une clarté de la texture et une harmonie qui s’éloignent du romantisme. Il partage avec La Parade une écriture pour piano qui sonne presque orchestrale.

Jeux d’eau (1901) : Bien que plus tardive et plus clairement impressionniste, cette œuvre est un tournant majeur pour Ravel. Comme La Parade, elle est une exploration de la couleur sonore du piano et de la virtuosité. Elle montre à quel point Ravel avait progressé dans sa capacité à évoquer des images par le son.

Autres compositeurs

Erik Satie : Certaines pièces de Satie, notamment les Gymnopédies ou les Gnossiennes, partagent avec La Parade un esprit de simplicité apparente, sous laquelle se cachent des structures et des harmonies complexes. Satie, comme Ravel, a cherché à rompre avec les conventions romantiques de son temps.

Igor Stravinsky : Les œuvres de jeunesse de Stravinsky, comme la Symphonie en mi bémol majeur ou certaines de ses pièces pour piano, montrent un intérêt similaire pour les rythmes percussifs et les harmonies non-conventionnelles qui caractérisent La Parade.

Emmanuel Chabrier : Ravel a été un grand admirateur de Chabrier. On peut trouver des similarités avec l’énergie et l’exubérance de certaines pièces de Chabrier, comme la Bourrée fantasque, qui partagent avec La Parade un rythme vif et une couleur orchestrale.

(Cet article est généré par Gemini. Et ce n’est qu’un document de référence pour découvrir des musiques que vous ne connaissez pas encore.)

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