Traduction | « L’enfance » Chansons d’une chèvre de Chuya Nakahara

L’enfance

La lumière du soleil d’été a brûlé une pierre bleu foncé,
Le champ du jardin dormait en rouge.

Au-delà de l’horizon, une vapeur s’est produite,
Alors que le monde périt, cela ressemble à un présage.

Le vent soufflait doucement sur un champ de blé,
Il était flou et gris.

Comm’une ombre de vent tomba,
Passant la surface du champ, l’apparence d’un ancien géant…

A l’heure de l’après-midi
Tout le monde a fait la sieste,
J’ai couru sur un champ sauvage……

J’ai mordu mon espoir à pleines dents
J’abandonnais avec mes yeux louches…..
Ah, je vivais, je vivais!

Un automne aveugle

I

Le vent a soufflé, et la vague a roulé
_ Je balançais mon bras devant l’éternité.

Pendant ce temps, je voyais des petites fleurs rouges,
_ Mais elles seraient bientôt écrasées aussi.

Le vent a soufflé, et la vague a roulé
_ J’ai balancé mon bras devant l’éternité.

Je pensais qu’il reviendrait éternellement
_ J’ai été pris dans un soupir plusieurs fois……

Mon adolescence est déjà devenue un vaisseau sanguin dur,
_ Une grappe d’amaryllis et un sombre sont passés par là.

Il était silencieux, et brillant, débordant de lui,
_ Comme une femme qui passait a donné un sourire au dernier,

Significatif, aisé, morne aussi
_ Non orthodoxe, ver et il repose dans mon cœur brillamment……

_ _ Ah, il repose dans mon cœur……

Le vent a soufflé, la vague a roulé
_ J’ai balancé mon bras devant l’éternité.

II

Ce qu’il y aura, ce qu’il y aura,
Ce n’est pas un problème pour moi.

Comment ceci va-t-il se passer, comment cela va-t-il se passer,
Ce n’est pas un problème pour moi, encore moins.

Tout ce qu’il faut, c’est une fierté pour les humains !
Je peux m’obéir par mon propre ordre……

L’orgueil, l’orgueil, l’orgueil, l’orgueil,
Seulement, cela ne rend pas les activités humaines coupables.

Insouciant, vif, et comme un tas de paille malheureusement,
Je mets une brume matinale dans un pot bouilli, et c’est bien que je puisse sauter pour me réveiller seulement !

III

Au moins dans le temps de la disparition,
La fille montrerait sa poitrine pour moi ?
_ Je souhaite qu’elle ne porte pas de fond de teint blanc à ce moment-là,
_ Je souhaite qu’elle ne porte pas de fond de teint blanc à ce moment-là.

J’espère qu’elle n’ouvrira que sa poitrine,
Et jetterait une ombre sur mes yeux.
_ Je souhaite qu’elle ne pense à rien,
_ Je souhaite qu’elle ne pense à rien pour moi aussi.

Seulement verser silencieusement des larmes,
Et respirer chaudement.
–Si les larmes coulent,

C’est bien que soudainement elle s’étende sur mon corps,
Et elle pourrait me détruire.
Ensuite, je me sentirais à l’aise, et je monterais au ciel.

La fumée de mes cigarettes

Ton, deux traces blanches,
_ Crépuscule, crépuscule froid dans une ville portuaire,
L’une après l’autre, marchait au-dessus de la vape.
_ Les lumières étaient allumées dans le magasin, les lumières étaient allumées,
Et je marchais en voyant la,
_ Tu m’as appelé,
Et d’aller quelque part et de me reposer.

Alors j’ai surplombé le pont et les dockers,
_ And I entered the restaurant–
Un brouhaha a retenti wow wow, une vapeur mécontente,
_ Il y avait un autre monde.
Puis j’ai regardé ton visage joyeux qui ne correspondait pas,
_ J’ai tiré une bouffée de cigarette tristement.
Une bouffée, une bouffée, je l’ai bouffée……

De ma sœur

La nuit, un bel esprit a jailli,
_ –The girl was the very right–
La nuit, un bel esprit s’est levé,
_ It’s good to pass away by now…… Elle a dit.

Sur la terre noire d’un champ humide, au-dessus des herbes courtes
_ Une brise nocturne soufflait,
C’est bon de passer, c’est bon de passer, que
_ Un bel esprit a jailli.

La nuit, le ciel est haut, le vent qui souffle est délicat.
_ –Prier, pour moi, c’était la seule chose à faire……

Portrait dans une nuit froide

Ce n’était pas magnifique
Je n’ai pas lâché cette corde
Et passé cette zone sombre !
La volonté était évidente
Je n’ai pas regretté la nuit d’hiver
Les chagrins d’impatience des gens et
Les ronronnements des filles tentées par les désirs
J’ai senti ma punition insignifiante
Elle, ne faisait que piquer ma peau.

En titubant et en me taisant,
Ayant l’esprit comme une langue un peu littéraire
Je calmais mon oisiveté
Et je marchais sous une lune froide.

Être gai, être indifférent, et me vendre, c’est,
C’est ce que mon esprit espérait !

L’ombre d’un arbre

Reflétant la lumière du soleil, la porte du sanctuaire
Les feuilles d’un orme ont frémi
Un midi d’été, l’ombre bleue d’un arbre
Calme mes regrets

Des regrets sombres, des regrets toujours hantés
Mon passé était plein de rires ridicules
Et il était devenu une réflexion larmoyante
Puis s’est transformé en une ferme fatigue.

Alors, maintenant, du matin au soir
Dans ma vie endurer est l’acte que je possède
Comme un deuil sans rancune
Mes yeux regardent le ciel

Reflétant la lumière du soleil, la porte du sanctuaire
Les feuilles d’un orme ont frémi
Un midi d’été, l’ombre bleue d’un arbre
Calme mon regret

L’espoir perdu

Disparaissant dans le ciel noir
_ L’espoir brûlant de mon adolescence.

Les étoiles de la nuit d’été encore maintenant
_ Elles apparaissent et se cachent dans le ciel, toujours maintenant.

Disparaître dans le ciel noir
_ Le rêve et l’espoir de mon adolescence.

Maintenant, je m’allonge ici
_ Comme un animal, avec un sentiment de tristesse.

Ce sentiment lugubre dans un de ces jours
_ Je ne sais pas s’il s’égayera,

comme si je me noyais dans la mer,
_ Regarde la lune dans le ciel.

La vague est si haute
_ La lune est si pure,

Le pitoyable espoir brûlant de mon adolescence
_ S’évanouit dans le ciel sombre maintenant.

Eté

Comme le vomissement du sang, la langueur, le relâchement
Aujourd’hui aussi le soleil sur un champ, et le blé
Par la tristesse comme endormie, le ciel est loin
Comme le vomissement du sang, la langueur, le relâchement

Le ciel brûle, le champ aussi
Les nuages coulent, et la lumière brille
Le soleil brûle aussi aujourd’hui, et la Terre dort
Pour un sentiment douloureux comme un vomissement.

Une histoire de mon esprit comme une tempête
Comme une chose déjà terminée
Comme une chose que l’on ne peut pas comprendre
Elle dort au-delà du soleil brûlant.

Je me repose, comme un corps perdu…
Comme un vomissement de sang, un sentiment douloureux, de la tristesse.

Imagerie

I

J’ai soufflé un arbre de pin,
Le bruit du sable que je foulais était solitaire.
Un vent chaud a lavé mes joues
Mon esprit était loin, et bon vieux.

Je me suis assis,
Alors je peux entendre le bruit des vagues pour le moment.
Il n’y avait pas d’étoile
Le ciel était d’un coton sombre.

Sur un petit bateau qui passait par là
Le batelier dit quelque chose à sa femme.
— Je n’ai pas pu entendre les mots.

J’ai entendu le bruit des vagues pendant un certain temps.

II

Toutes les choses du passé seront ruinées
Je pleure.
Le mur d’un château s’est asséché
Un vent souffle

Les verres se tordent
Au-delà d’une colline, à travers un champ
Sans repos
Je souhaite qu’un ange blanc vienne ici

Je veux pitoyablement essayer de passer,
Je veux essayer de rester vivant, c’est pitoyable
Pitoyablement, car toutes les choses du passé seront ruinées
Je pleure.
Du ciel vain,
Un vent souffle

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

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Traduction | Poèmes tendres, Tome II de Michizo Tachihara

Le poème de la préface

Un poème tranquille, doucement
Est-ce que tu, viens, de où
À où, passer moi
Et venir, à effacer?

Un embrasement du soleil couchant termine un jour
Et, Quand il ferait–
Les étoiles, sans pouvoir, sont pleines du ciel
Quand elles commencent à étinceler faiblement
Et, montent plus haut, et sanglotent
Comme une chaîne, toi, poème tendre
Tu habite, quand, dans mon cœur?

De quelle façon, à ton cœur
Je, rends, au milieu de la nuit
Quand il est pleine, de noir clair?

I À mai rafraîchissant

Comme la lumière de lune déborder, à ta joue
Elles déborderaient, des grandes larmes de pleure, qui ont dessiné les lignes
Moi, comment, je aurai elles soutenu?
Tu, m’as, fait taire……

« Les étoiles, vous avez été radieuses
« Les fleurs, vous avez été beaux
« Les oisillons, vous avez été gentils
…… Je parlerais, à ta oreille, quelque-temps
Mais, je n’ai jamais dit, un fois.
« Comme quoi, je, t’aime
« Comme quoi, est-ce tu, m’aime

Comme une rose, éclôt premier fois
J’ai arrêté de pleurer, si on faisait un sourire, sur ta joue
Je aurai mis mon cœur, de où?

II Dans un boi des arbres à feuilles caduques

Comme ça
La nuage, rougissait
Dans la lumière
Elle s’étendait

Moi, je m’appuyais
Toi, gardais le silence, était dehors de moi
Regarde, était en retard à retourner
Un oiseau, volait en bas
Pour nous, un jour
Était longue, comme infini

De la nuage, du oiseau
Et, des fleurs de ce crépuscule

Notre, vies courtes
Combien, de envier, est-ce qu’ils pensaient

III Une campagne triste

Maintenant, quelqu’un, à moi
A chuchoté un nom d’un fleur, et a quitté
Aux mes oreilles, le vent, a annoncé
Comme un jour du souvenir

Maintenant, quelqu’un, silencieusement
Son corp révélait, à côté de moi
Tomberaient embrouillement, des petits papillons
Comme tendre la main
Ah, et, « mais »
Pourquoi, j’ai dit
À ce midi, que, « c’est bien de quiconque »

Maintenant, quelqu’un, lointain
Appelle, mon nom…… ah, mais
Je ne réponds pas, toi, une femme n’est pas quelqu’un

IV Après une rêve

« Ton, cœur
Je n’ai pas compris
« Mon, cœur
Je n’ai pas compris

La lune manquante, dans le milieu du ciel
Apparaît, entre des cimes–
Déjà, le vent, est tombé
Je peux écouter vaguement, une voix d’un moustique
Elle, telles quelles, passera
Environs nous, cette, nuit silencieuse

Certainement un jour, que (c’est la chose d’autrefois)
Si nos, cœurs ses rappelèrent, je veux ! ……

« Ton, cœur, je n’ai pas compris
« Mon, cœur, je n’ai pas compris

V Dans un boi des arbres à feuilles caduques, encore

Sans je m’en aperçois, déjà l’autumn!, hier
Était l’été…… Un joyeux et calme
Rayonnement, dans le bois, murmure
Une place, environs des feuilles d’herb en ballottant

Quand tu as départi chez moi
Environs ça, une fleur violette claire s’épanouit
Et maintenant, toi, v vient et dits
Que, nous nous endurons certainement
Dans le ciel transparent, un grand timbre
Résonne, comme un depart
Je regarde nuages, je regarde un massif montagneux loin

Tu regardes nuages, tu regardes un massif montagneux loin
Mais déjà, commencent à quitter, deux regards
Tu reviendras de moi, le jour de contentement, quand est-il viendra?

VI Au matin

Ton cœur, des fleurs claires
Comme une gerbe, toujours
Parles au mon cœur, qui se réveille
« Un moment au matin, ce ciel limpide, ciel bleu

Meurtri, de mon cœur
C’est toi, tu a retiré une écharde
Innocent, sourire, et
Futile, de ton cœur, babillage
Ah, le vent souffle, c’est le vent frais
Des herbs, des fouilles, et murmure d’un ruisseau
Comme elles répondent, qui parlaient

À nouveau, toutes les choses, naissent!
Une rosée tombe, et va sécher
Des oisillons, et des papillons, vont ses soulever haut

VII Au midi encore

Je, sur le ciel lointain et nuages coulent
Ne fait plus un poème……
Au midi, dans la lumière blanche
Toi, tu est debout à côté de moi

Ni fleur, ni oisillon
Illimité, votre amour
Je veux croire, c’est bien
Je, te, regarde tout le temps
Pour toujours, comme ça, il vaut mieux tu suris

Il n’y a pas de barrière, dans la lumière
Toi, et moi, nous vivons
Ici est toutes les choses! …… Notre circonférence bornée

VIII Dans l’après-midi

Cadencer le pas solitaire
Des chèvres, calmement, des herbes, mangent
Cet aliment vert, plus que votre
Quel, est beau repas!

Ma faim, mais, à lui
Ne peut pas arriver
Mon cœur, est plus solitaire, tremble
Par je commettrais, fautes, et faussetés
Des yeux des doux animaux, se reflète
Le couleur du ciel, regarde!

« Je, possède, quel-que chose?
« Je, possède, quel-que chose?

Cadencer le pas solitaire
Des chèvres, calmement, des herbes, mangent

IX À l’ombre d’un arbre

Dans les jours
Pitoyable, il n’était pas apparent
Le mot, maintenant, il
Est devenu grand!

Dans ton côte
Et dans moi, il a grandi
…… Dehors la lumière remplit
Mais, et encore, brille
Maintenant, nous nous reposons
Toi et moi attendent, Aux oreilles profondes
Significatif, le vent chuchote et passe

Sur une fontaine, cette petites vagues
Ne s’arrêtent pas de frémir…… Nos
Mains elle capturent, pour cette lumière

X La chose que j’ai rêvé……

La chose que j’ai rêvé, est un bonheur
La chose que j’ai souhaité, est une amour
Quelques places des montagnes, des villages silencieux étaient
Du dimanche clair, il y avait le ciel bleu

Tiennent des ombrelles, des filles campagnardes
Se parent, et chantent
Tracent un grand rond
Les filles campagnardes, dansent une chanson
Dit, et chante
Des ailes bleues, un oisillon
Sur une branche basse, chante

La chose que j’ai rêvé, est un bonheur
La chose que j’ai souhaité, est une amour
Ces choses toutes, il y a ici, je veux dire

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Traduction | « Poèmes de la première pédiode » Chansons d’une chèvre de Chuya Nakahara

Soir d’un jour de printemps

Une tôle galvanisée mange un biscuit
Soir d’un jour de printemps est calme
Cendres est lancées vers la bas qui pâlissent
Soir d’un jour de printemps est silencieux

Ah! Il y a épouvantail?… Il n’y a pas
Un cheval aboie… Il n’aboie pas aussi
Comme la ciscosité du clair de la lune
Que-ce qu’Il est soumis? Soir d’un jour de printemps

Une cathédrale rougit comme le feu dans des champs
Roues des wagons sont à court d’huile
Quand je dites sur le maintenat historique
Rient et rient, Le ciel et montagnes

Une tôle galvanisée, Elle s’égare
Soir d’un jour de printemps par maintenant
Sans dire, Il marchra
À soi-même, Dans leur vaisseau sanguin veineux

Lune

Ce nuît, La lune devient triste de plus en plus
Regardent le suspection du père adoptif.
Le temps envoie des vagues d’argent dans le désert
Une oreille du vieille brille d’une fluorescence.

Ah, une digue du canal est oublié
Un grondement du char grave dans mon cœur
Un tabac d’une boîte rouillée
La lune fume languissant.

Autour de ça septs des nymphes célestes
Font danse de la tête d’orteil encore, Mais
À le cœur de la lune est trempé d’humiliation
Elles ne donnent pas l’âme de pitié.
Les étoilles ses dispersent dans le ciel lointain !
La lune attend ses deux mains

Cirque

Il y avait des quelles époques
_ Et il y avait la guerre brune

Il y avait des quelles époques
_ Et le vent violent soufflait

Il y avait des quelles époques
_ Un banquet de cette nuit et ici
_ _ Un banquet de cette nuit et ici

Le cabane de cirque d’une poutre haute
_ Il y avait une balançoire
La balançoire que on peut pas regarder

Avec sa tête à l’envers et ses mains pendantes
_ Sur le toit de coton sales
Dang dang daaangun

Lampes blanches dans les environs
_ Expirait un peu et un ruban à bas prix

Touts les spectateurs étaient sardines
_ Ronronnraient avec les coquilles d’huîtres
Dang dang daaangun

_ _ L’extérieur était tout sombre, sombre de sombre
_ _ La nuit s’avancait peu à peu
_ _ Avec la nostalgie de prachute
_ _ Dang dang daaangun

Une nuit de printemps

Calmement dans un châssis d’une fenêtre
_ Un rameau de fleur, Un fleur rose.

Il était reçu le clair de lune et était évanoui
_ La surface de la terre d’un jardin était mouches.

Ah, Il n’y a rien là rien là
_ Soyez ses promener et rirez les arbres.

Ces bruits ennuis
_ Il n’y a pas d’espoir, c’est pourquoi, pas de confession aussi.

Un menuisier modeste seul,
_ Dans sa rêve, les pas des soldats marchands se balancent doucement.

Dans la fenêtre, rafraîssant et flou
_ Une robe de soie beige

Tons du piano vaste sonneraient
_ Il n’y a de ancêtres et parents disparaissaient.

Quelque part que un chien était enterré,
_ Elle fleurait comme le colour du safran
_ _ Une nuit de printemps.

Chanson du matin

Au plafond, Colour rouge apparaissait
_ Entre un interstice d’une fenêtre, Fuit à entre lumière.
Rustique, Le souvenir de la musique militaire
_ Jouait, Il n’y a rien.

Oisillons, Je n’écoutais pas
_ Dans le ciel aujourd’hui, Le colour est onduleux,
Il tenait à distance, Des cœurs des gens
_ Donnait un avertissement, Il n’y a rien.

Par le parfum de résine, Le matin est voluptueux
_ J’ai perdu, Rêves diverses,
Rangée de la forêt, Elle serait être sonnée par le vent

Elles s’étendraient, Sur le ciel plat et vast,
_ Suivant la berge, Disparaissait
Belles, Rêves diverses.

Dernier moment

Le ciel d’automne est terne
Les yeux d’un cheval noir brillent
_ Les fleurs de lys tombent en se desséchant
_ Ah, mon esprit les reflète

Il n’y a pas de Dieu ni de poste de chant
Sous la fenêtre, une dame s’éteint
_ Le ciel blanc n’est pas clair
_ Il y a un ciel blanc froid

Du côté de la fenêtre, elle s’est lavé les cheveux
Et les bras sont beaux
_ Le soleil du matin est mouillé
_ Le ton de l’eau ne goutte pas

Les villes s’agitent
Les voix des enfants s’agitent aussi
_ Mais quel sera l’esprit ?
_ Deviendra-t-il mince, puis deviendra-t-il ciel?

Une nuit d’été en ville

La lune dans le ciel comme une médaille,
Les bâtiments dans les rues comme un orgue,
Les hommes fatigués par les loisirs, rentrent chez eux.
-Le col d’Ikamune est plié-

La déchirure s’ouvre
Son esprit est chagrin.
La tête est devenue une motte d’argile,
Il va chanter lah lah seulement.

Des choses sur les affaires et les ancêtres
Ils ne les oublient pas,
Un minuit d’été dans la ville–
Noyé avec une poudre d’arme morte
Les lumières des rues me piquent les yeux
Je vais chanter lah lah only.

Une journée d’automne

Comme un matin, les hommes se réveillent ces derniers temps
Par le bruit d’un vent qui bat une porte et des voitures,
Noyés dans la mer où souffle une sirène.

Parlant dans les tribunes dans la nuit d’été,
La conscience de l’architecte n’est déjà plus rien.
Toutes les choses sont l’histoire ancienne et
La couleur des yeux de l’horizon lointain des granits.

En ce matin, tout obéit au drapeau du consulat,
Je ne connais qu’un spectre, un palais et un tambour d’ange.
Je ne fais pas attention à la voix rauque d’un mullusk,
Avec une ombre violette s’accroupir dans un parc, un bébé mis dans des sables dans sa bouche.

Il n’y a pas d’autre solution que d’aller à l’école et de se rendre à l’école.
♪ Les filles sont excitées et les méchants garçons se moquent ♪
Je déteste, je déteste).

Les mains dans les poches
A travers les rues, j’ai atteint la baie
Concidez avec l’esprit d’aujourd’hui
Et je chercherai un morceau de tissu.

Crépuscule

A la surface d’un lac aux eaux troubles,
Les fleurs de lotus se rapprochent et se balancent.
Les feuilles du lotus, sont audacieuses,
font du bruit sournoisement seulement.

Le son fait osciller mon esprit,
Mes yeux suivent le petit horizon lumineux…
Je ne vois que des montagnes noires et sombres
–Les choses perdues ne reviennent jamais.

Quelle est la chose la plus triste, voici la chose la plus triste
Je sens l’ascension des racines,
La terre d’un champ m’observe avec une pierre.
–Enfin, je ne veux plus cultiver !
Je me tiens tranquillement au crépuscule,
Et d’une certaine manière, je rappelle l’image de mon père et je commence à marcher pas à pas seulement.

Vœu de minuit

C’est, du culcium pétillant
Qui va sécher
Trop vite – la voix d’une fille est têtue
Le nez qui coule de la femme d’un marchand de sacs.

Le soir de Dieu
Est la mère frottée.
Autour des branches, des insectes volent,
Danse d’un pierrot obsolète.

Je ne vois pas les chiens de chasse dont les poils s’agitent,
Un chasseur ramène son coude par là.
La prairie avant la forêt
Devient une pente!

Margarete marche sur une plage noire
Alors que son voile se découpe en morceaux.
Son corps doit plonger dans,
La mer comme le père d’un Dieu sévère.

Elle, sur la colline
Un esprit dessine des rayures mystérieuses.
Sa mémoire est un blancket de chagrin d’un atelier d’écriture
Elle doit s’éteindre tout de suite.

Une nuit pluvieuse d’hiver

♪ En raison de la nuit noire de l’hiver
Une pluie drue tombait.
–La misère du radis blanc, était jetée sous le masque,
C’était encore mieux…
La lumière maintenant, à cause de la nuit noire de l’hiver
Une forte pluie tombait.
J’ai cherché la voix d’une fille qui s’était éteinte
aé ao aé ao, éo, aéo éo !
_ Je me promenais sous la pluie
Dès qu’elle disparaissait, cette banquise blanche et laiteuse…
Légère maintenant à cause de la nuit noire de l’hiver
Une pluie drue tombait,
La bande du kimono de ma mère
S’est brisé sous l’effet de l’eau de pluie,
Les nombreuses pitiés des humains
N’étaient que la couleur de l’orange finalement……

Retour à la maison

Le pilier et le jardin sont secs
Aujourd’hui, il fait beau
♪ A spiderweb under the rim ♪
Il n’y a pas d’autre solution que de se balancer en se sentant impuissant

Sur la montagne, les arbres morts ont pris leur souffle
Ah, aujourd’hui il fait beau
_ _ Les ombres des herbes sur la route
_ _ La tristesse de l’enfant

C’est ma vieille maison
Le vent a aussi soufflé modestement
_ _ Balayer sans se soucier de rien
_ _ Raconté par la voix grave d’un vieil homme

Ah, pourquoi viens-tu ici et que faire……
Le vent soufflant m’a été raconté

Un crépuscule terrifiant

L’heure du vent était aussi mélancolique.
Les herbes ne volaient pas, je ne voyais rien,
L’ancien hayato lointain etc.

D’une flèche de bambou couleur papier argenté,
Le long d’une plage, il a continué.
–Je m’appuyais sur un esprit de petit poisson.

Le vent soufflant n’a pas tempéré, sur le sol
Des cadavres allongés–
Le ciel s’élevait jusqu’au podium.

Les maisons, étaient d’habiles conservateurs,
Les dents sales, par la nicotine, étaient cachées.

Le chant de l’été proche

Les branches des arbres du bord de la route respiraient profondément,
Le ciel de plus en plus haut, les observait.
Les fragments de verres sur un sol brûlé brûlé,
Un voyageur qui marchait l’a trouvé soudainement.

La fin d’une montagne, claire et nette,
Purifiait les bouches des poissons d’or et d’une fille.
Cet avion s’est envolé pour venir,
J’ai frotté des larmes d’insectes.

Le vent a envoyé un ruban vers le ciel,
Je pensais que j’allais raconter
Les vagues de la mer ont été déclinées dans le passé.

A propos d’une compagnie de cavalerie et de la monification de la partie supérieure des jambes,
Les chaussures rouges d’un jeune fonctionnaire,
Un vélo allait sur la route le long de la montagne sans cavalier.
Je pensais que j’allais raconter.

Matin triste

Un bruit de rivière arrive sur une montagne,
Lumière du printemps, comme une pierre.
L’eau de Kakehi, a raconté une histoire
Elle ressemble aussi à une vieille femme aux cheveux gris.

J’ai chanté la bouche comme un mica,
Je me suis allongé et j’ai chanté,
Mon coeur s’est asséché et est devenu rauque,
Au-dessus des rochers, funambule.

Le feu inconnu est monté au ciel !

Pluie de sons, j’ai été soigné !

……………….

J’ai applaudi de différentes manières.

Le chant d’un jour d’été

Le ciel bleu ne bouge pas,
Il n’y a même pas un bout de nuage.
_ Par le silence d’un midi d’été
_ Aussi une lumière de goudron devient pure.

Il y a quelque chose dans le ciel d’été,
Ce quelque chose m’irrite.
_ Burned bold sunflowers
_ Fleurissent à la gare d’un pays.

Comme une mère élève un enfant,
Le sifflet d’une locomotive à vapeur retentit.
_ Quand elle passe près d’un moumtain.

La locomotive passe près de la montagne,
Le sifflet retentit comme une mère.
_ Quand il fait très chaud à la mi-journée en été.

La lueur du soir

Collines, mains sur la poitrine
Retraite.
Le coucher de soleil, c’est la couleur de l’affection
Couleur or.

Il y a des herbes sur le terrain,
Chantent une chanson rustique
Des arbres sur la montagne,
Un esprit vieux et frugal se souvient de moi.

En une telle occasion, mon cœur s’est égaré
Un garçon a marché sur
de la viande de crustacés.

En une telle occasion solide,
Quelle modeste résignation
S’en aller les bras croisés.

L’automne du bazar du port

Sur une falaise de pierre, le soleil matinal brûle.
Le ciel d’automne est extrêmement beau.
Je peux voir l’autre côté du port,
C’est une corne d’escargot

Sur la ville les gens balaient leurs pipes.
Les dauphins s’étirent
Le ciel est séparé.
Les vacances des fonctionnaires – ils portent des robes de chambre rembourrées.

“Si je naissais à nouveau….”
dit le marin.
“GANG GANG, flutter It…..”
Une vieille sorcière raton laveur chante.

_ Un jour d’automne au bazar du port,
_ Est une folie tranquille.
_ Le jour où j’ai perdu,
_ La chaise de ma vie.

Soupir : Pour Tetsutaro Kawakami

Un soupir ira jusqu’à un étang de nuit,
et clignotera dans les miasmes.
Le clin d’œil sera coulé avec le ressentiment, et claquera un son de bang.
Les arbres seront comme des lignes de cou de ses amis académiciens.

A l’aube, la fenêtre s’ouvrira.
Un paysan portant une charrette, se rendrait à la ville.
Le soupir deviendrait plus profond,
Il faut que ce soit le bruit d’une charrette sonnant sur une colline.

Des douleurs dépassant le champ du bord d’une montagne, s’occuperaient de moi.
Il sera facile mais il ne sourira pas, comme un oncle.
Comme un dieu prend des poissons, au fond d’une atmosphère.

Si le ciel se couvre, des yeux de sauterelles se retrouvent dans le sable.
Une ville lointaine, ressemble à une pierre calcaire.
Les globes oculaires de Pierre le Grand, brillent dans un nuage.

Un souvenir de printemps

Fleurs de lotus piétinées
_ Le temps de rentrer à la maison au crépuscule
Au cimetière ambulant du printemps
_ _ Je l’ai battu sur le sol sablonneux

Une fois de plus, je regarde à regret
_ Avec je me chie méticuleusement les mains
Je viens courir sur la route
_ _ (Le ciel s’assombrit, c’est ça !)

Quand je rentre chez moi
_ Des jeux en toute tranquillité
Est-ce la colline d’un jour d’automne ou la fumée d’un cuiseur de riz ?
_ Il y a une chose qui m’éblouit ♪

_ _ _ D’un riche palais de l’ancien temps
_ _ _ _ Quadrille _ Échappée de l’écharpe
_ _ _ Quadrille _ Foulard à balancier
_ _ _ _ Il sera fini un jour… Quadrille !

Un ciel de nuit d’automne

Oh là là, c’était florissant,
Tout le monde disait des choses étranges
Mais la grâce antipathique
Les dames se rassemblaient.
Le monde inférieur était dans une nuit d’automne
Mais quel était l’épanouissement de ce monde céleste.

Sur le sol très lisse,
Une lanterne d’or était allumée.
Petite tête, longues manches,
Il n’y avait pas de chaise.
Il n’y avait pas de chaise. Néanmoins le monde inférieur était dans une nuit d’automne
Ce qu’était l’éclat du monde céleste.

Le monde céleste a été légèrement éclairé.
La fête de l’ombre du passé lointain,
Un épanouissement silencieux et silencieux
Le banquet d’une nuit du monde céleste.
Je l’ai vu depuis le monde inférieur,
Elle s’est terminée quand j’étais absent.

Gueule de bois

Le matin, un soleil terne brille.
_ Un vent souffle.
Mille anges
_ Jouent au basket-ball.

Je ferme les yeux,
_ C’est une triste ivresse.
Un poêle est déjà inutile
_ S’est rouillé blanc.

Le matin, un soleil terne brille
_ Un vent souffle.
Mille anges
_ Jouent au basket-ball.

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

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