Traduction | « Poèmes tendres, Tome I » La Bibliothèque d’hyacinthus Partie 4 de Michizo Tachihara

Chant de l’hirondelle

Un village lointain
Il se montre dans ma rêve, en gris et tout seul
En ce temps-là, gibōshi et fleurs peu aimables a été fleurs
Chèvres ont chantées, de jour en jours, il a passé

Il y a des beacoups des matins tendres…
Écoutes dans la montagne du ciel de printemps
Nuages qui tu ne connais pas brillent, éclairées, en ses effaçant
Un village lointain
Je m’attends tout le temps
En ce temps-là, aujourd’hui, au-delà
Je pense le gens s’attends comme moi

Ensuit un jour de l’été retouneras encore
Je vais viens chez toi, à ton rêve, chez moi
Nous regardions la mer déserte et le rêve était bleu et infini

Lentement comme réciter

Endroit ensoleillé, comme toujour, des ombres silencieuses
Tricotaint un motif minutieux, fable, mais claire
Des petals, des branches, des cimes… et tout
Touts les choses, ainsi, étaient tristes, et ses assoupiraient

J’attandrais avec ardereur
Je ragardrais, au-delà des montagne
Le bleu éclarant remplissait un ciel au-delà des montagne
Des nuages flottants éteient coulées, et des fumées
Un vieil ruisseau chantrais encore, et oisillons aussi
Ils chantraient joyeux, sans de gens écouterais
Les vins ses chuchotraient, mots faibles

Oh, l’avril mysterieux ! Je attendrais comme mon couer se déchire
Le femme peut faire mes jours affectueux
Je regardrais… les vents, et les ombres

Pour des filles aiment le chardon

I. Calme : Pour des filles aiment le chardon

Le vent, a coulé une fois
Comme un tableau, dans le vert pâle
Un mot seul par un homme
Qu’il a porté, et tout les gens ont reçu

En Sourirant comme, dire merci.
Entre des fleurs ont commencé à ses épanouir
Le ciel bleu ne changerais ce coulour jamais
Le chant d’une cloche a rempli, le vent était claire
Une honte de la sollicitude,
Endroit, par ses ailes légères
Volerais, en embaumant…

Il y a pas de péché, tout
Tout le monde, il y a pas de ni chasseur ni voleur
C’est le monde de la toute création, dans le vent et la lumière vastes

II. Anneau d’arc-en-ciel

Odour chaud embaumaient, du ciel
La main d’ange d’une fille éparpillait
On pouvait regarder, elle est douce comme la nuage
Tu t’a appuyé contre moi et elle regardait d’un air extasié.

Quand un nuit a arrivé, oiseaux chanteraient, quand un matin a arrivé,
Je regardrais des gouttes de rosée éclaircissaient dans une herbe… D’une perle
La herbe lissée comme du carillon et du tranchant de sabre, Les deux
Ses donnaient le bras comme des arbres gentilles, Tremblaient
Le vent a soufflé et a passé, Sa sourire, Sa touche
La brise humide au matin…… Encore
Un jour a se levé, et a tombé

Tes œils reflectaient mes œuils, dans là
Un ciel épais très loin et des étoilles brillantes qu’on peut voir au jour
Sympatique, elles ont répété à jouer des passages subtiles

III. Plaisir sur une fenêtre

L’hier soir, la nuit a tombé
Je me baladait, dans la ville
Une fenêtre a été fermée
Cette lumière était loin pour moi

Non! La lumière était la coté de moi
Une fenêtre a été fermée
Quelqu’un respirait paisiblement
Lointain, Comme un chant tendre!
Je imitais à chanter ce chant en cachette
C’était très maladroit
Vieux, Comme une flûte cassée

Je me suis enfui à toutes jambes
C’était très maladroit certainement
La lumière s’était entendu, Elle devenait où?

IV. De bon matin

Je peux bien écouter musique
Cependant nul personne écoute
Une petite fugue, Entre fleurs
Entre feuilles d’herbes, Coulent et colorent

Tu ouvris la fenêtre, Et tu ferais mieux t’appuyer sur elle
Il y a une ombre sur la terre, Tu ferais mieux elle regarder
Ah, toutes les choses sont belle! Outre mon corps
Qui m’entoure et m’embrasse chaleureusement et en m’embaumerant
Je chuchote, À toi un fois encore
… La fugacité, Ah, atteins avec ce moment
Choses changent, Anéantis avec la beauté!

Dans musique sans arrêt
Oisillons et fruits ses couchent au ciel haut
Ombres sont longues, Elles seront disparaître… Et, Elles se sépareront

V. Chanson folklorique

Une cord a était tendu, Déjà
Quelque un ne prendre pas de mélodie
Toucher ça, Tristesse vieil
Reviendrais silencieusement… Un petit contenant de chanson

Un jour, Le memoir qui un chanson doux vivre sur lui
Quelquefois les gens porte ça
Un archet invitait tons légers… Il a joué
(Ah, le temps en coule longuement et lointain.)
…… Depuis longtemps églantine eurent joué
Pigeons eurent chanté…… Cet temps là……
Ainsi ce chanson a reposé dans cœurs des gens

Le temps passe, Mélodies tendres ses réveillaient
Les doigts joignaient, Dans vieil chanson
…..Un moulin, Un ruisseau, Tu étais belle

Quand je écoutais un oiseau chantais

Un jour, Je écoutais un oisillon
Mon coeur, Etait palpitant
Mes oreilles plongeaient dans le silence
Quel est rire gentil!

Même des odeurs, Colours des fleurs
Nuages en tombant, Un moyen de couler
Monter du doigt, Regarder… Sans coeur
Entre des herbes, Il se reposait
Sans hésiter de m’extasier, Des insectes
J’écoute des ses grondements, Dessiner une petite courbe
Aussi cette chanson viendrais à disparaître tout comme

Disparaître, Nuages, Disparaître, La crainte
La porte de jeunesse a ouvert, Bleue et bleue
Colour du ciel, Il était étincelé par le soleil!

Un chanson trop doux et sentimental

Un jour, Il est fleurs sauvages joyeux
Le Pincushion, le Paulownia et le Gibōshi, touts les fleurs
Nous leurs cueillions en appelant noms
À nos grands cercles des bras.

Autre jour des fleurs qui nous ne connaît pas ses noms
Je faisais un bouquet pour toi
Comme une signe
Tu portais dans ta poitrine
Ces jours sont passé, Ce chemin-ci est ce chemin-là
Ce chemin-là est ce chemin-ci, Qui me dits, Déjà
Tu n’as pas été elle!

Comme de ma triste, une touffe d’herbe
Une herbe que n’a pas fleur un seul
Solitaire, Se ternit, En frémissant

Seul dans les dois

I. Seul dans des bois

Néanmoins, Regarde
S’epanouissent, Des fleurs et des fleurs
Néanmoins, Écoute
Chantent, Des oiseaux et des oiseaux

Des nuages restent, Sur les cimes des arbres
Haut du ciel, Sont levées
Là où est bleu et bleu, Un vent
Flou et flou, Va passer
Sur des feuilles des herbes, Des ombres des herbes
Il ne bouge pas des elles, Dans le profondeur
Une coccinelle, Dort

Silence comme quelqu’un chante, Trempe
Dans mon cœour, Il y a une fontaine débordante! Dur
Le son pulse, Qui avance le temps

II. À un souvenir d’hiver: Heinrich Vogeler gewidmet

Il ni poursuit, Ni est poursuivi, À une ombre d’un arbre mort
Il se lève, Et regarde, Des neiges toutes blanches
Sur la surface, Est coulé, Ma ombre…
(Triste, Ce forme bleue, Est apparue)

Je écoute, Oui!, Certain
Je, Écoute, Cette ombre, Chante…
De la voix nasillarde a les larmes aux yeux, Elle ne résonne pas
Passages des fleurs de l’été qui ont passés dans le passé, Chante
« C’est bruant, C’est oisillon, C’est, Arbre du sapin, C’set
Moi… Je suis oisillon, Je suis, Arbre du sapin… » Sans réponse
Moi et ma ombre, Ses regardent, Autre fois c’étaient comme ça

Ma ombre, écoute, Dans mon cœur, Il chante
Une passage, Comme un chuchotement d’un ruisseau vieux
Les larmes plurent, Qui chantent… Sur la surface des neiges toutes blanches

Pour le printemps léger

Maintenant, Février, C’est seulement
Environs, Je peux écouter le printemps déjà
Cependant, C’set seulement
Très ancienne, Une promesse ne reste plus

Maintenant, Février, C’est un fois seul
Dans des rêves, Qui chouchoutent, Ne restent pas
Cependant, C’est un fois seul
La fille, Pour moi, Sourient
Oui!, Des fleurs, S’épanouiraient encore
Ainsi des oiseaux, Chanteraient qui ne changeraient pas
Les gens ses souriront dans le printemps

Maintenant, Février, Entendaient sur surface de la nuage
Mes, Traces de pas dérangées… C’est seulement
C’est seulement sûr – À moi…

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

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traduction | Au voyage dans le Propos sur la vie de Kiyoshi Miki

Les gens partent en voyage par raisons diverses. Comme quelqu'un voyage pour affaires, un autre voyage pour inspection, pour repos, pour enterrement de parenté ou pour fêter marriage d’ami. Le voyage est divers comme la vie est diverse. Cependant, si on part voyage quelle raison, il y a le sentiment commun de voyage. Il y a le sentiment resemblant sur le voyage, à qui part en voyage pour un jour et à qui part en voyage pour un an. Comme, si la vie est diverse, mais il y a le sentiment commun dans toutes les vies, à une vie courte ou longe.

Partir en voyage est escapade de la vie quotidienne et fuir de la connection habituelle quotidienne. Le plaisir du voyage est plaisir de la libération comme ça. Même si un voyage poursuit la libération surtout, tous les gens ont sentiment de la libération dans le voyage. Certains de voyageur partent en voyage pour escapade par la vie. Même si un voyage poursuit la escapade surtout, tous les gens ont sentiment de la escapade dans le voyage. Je peux penser ces choses ont rapport à, plupart du cas, l’objet du voyage ce qui les gens préfère est la nature, et elle est la vie humaine, mais primitive et naturelle. Le sentiment de la libération ou la escapade dans le voyage accompagne toujours certain autre sentiment. Ainsi, plus ou moins, le voyage porte le sentiment du vagabondage aux tous les gens. La libération est le vagabondage aussi, et la escapade est le vagabondage aussi. Ici, il y a le sentimentalisme du voyage.

Le sentiment du vagabondage est certain sentiment du mouvement, et le voyage est né par le mouvement. Certainement, il est un sentiment du mouvement. Cependant nous sentons vivement le voyage comme le vagabondage quand nous restons à la auberge, n’est pas quand nous nous déplaçons par transports. Le sentiment du vagabondage n’est pas un sentiment du mouvement seul. Faire voyage est fuir d’une connection quotidienne, habituelle et stable, ainsi le sentiment du vagabondage vient de l’anxiété est né par cette raison. Le voyage est anxieux sans raison particulière. Tellement nous ne pouvons pas penser le sentiment du vagabondage sans le sentiment du lointain. Et dans le voyage, tous les voyages, nous sentions le lointain. Cet lointain n’est pas la distance comme qui est mesuré quelque kilomètres. Qui vas loin au travail par train de banlieue, mais il ne sent pas cette sorte de lointain, je pense. Pourtant, par exemple une distance est plus petit que cela, quand il voyage pour un jour, il éprouve cet lointain. Le sentiment du voyage est lointain, cet lointain fait du voyage le voyage. Tellement, nous sommes romantique plus ou moins dans le voyage. Cette sentiment romantique doit le sentiment de lointain. Demi de l’intérêt du voyage est crée par l’imagination comme ça. Je peux dire le voyage est une utopie de la vie. Cependant, le voyage n’est pas une chose lointaine seulement. Le voyage est trépidant. Si voyage facile qu’on parts avec un sac, il y a trépidation du voyage comme le voyage. Voyage qu’on monte train, voyage qu’on vient à pied, il y a trepidation du voyage. Le voyage est toujours loin, mais toujours trépidant. Donc le sentiment du vagabondage est venu. Le sentiment du vagabondage n’est pas seulement le sentiment du lointain. C’est loin et trépidant, donc, nous sentions le vagabondage. Une chose qui est évidement loin, pourquoi il est nécessaire on dois faire trépidant ? Ce n’est pas une chose loin, il pouvait une chose proche. Non, le voyage est toujours loin, en même temps, toujours proche. Puis, ce doit signifier le voyage est une processus. Parce que la voyage est processus, elle est le vagabondage. Le point de départ n’est pas le voyage, le point d’arrivée n’est pas le voyage, le voyage est continuellement une processus. Qui mets en question comme arriver seulement la destinaiton et ne peut pas éprouver processus, est dit qu’il ne connaît rien le plaisir du voyage. Dans la vie quotidienne, toujours, nous mettons en question la destination et le résultat seules. C’est la substance du agir et de la pratique. Tellement, le voyage est une chose de recueillement. Dans le voyage, nous sommes toujours observateurs. Le trait du voyage est nous pouvons être recueillis ou méditatifs purement par nous nous évadons de la vie quotidienne pratique. On peut penser le sens du voyage à la vie personnelle par ce trait.

Pourquoi est-ce que le voyage est lointain ? Parce que il se dirige vers choses inconnues. Dans l’experience quotidienne, on sent plus éloigné que un fait quand on marche un chemin inconnu pour la première fois. Provisoirement, si toutes les choses étais connu bien, il n’y aurait pas essentiellement le voyage, mais il y a aller au travail quotidien. Le voyage est une chose que les gens sont tiré par choses inconnues. Donc, le voyage accompagne le sentiment du vagabondage. On ne pourra pas toutes les choses sont bien connues. Parce que, processus est principal, mais destination et résultat ne sont pas en question. Gens qui fait attention à processus trouvent quelque nouvelle chose ou chose inattendue. Le voyage est une chose s’evade de la forme de vie habituelle, comme ça, nous avons eu la vue neuve et moderne plus ou moins, ainsi nous pouvons trouver choses neuves en tant que la chose matérielle plus ou moins. Dans la voyage, on senti nouveau une chose nous est familier habituellement. Un intérêt de la voyage n’est pas voir choses inconnues et neuves pour la première fois, — y a-t-il choses neuves complètement dans le monde ? — plutôt, il est dans un point que s’étonne et revoir choses ce que nous pensons évident, habituel et déjà connu. Notre vie quotidienne est pratique, et nous nous intéressons seulement à la destination et le résultat, en plus, supposons autre choses, choses à mi-chemins et processus que faits déjà connues. Homme qui va au travail habituellement ne pourra pas se rappeler qu’il rencontrait qui est faisait quoi entre de sa maison au bureau. Ainsi nous pouvons devenir purement réflexif et méditatif dans le voyage. Homme qui voyage est homme du regard, n’est pas homme de l’action. Comme ça, devenir réflexif et méditatif pur, nous sentons nouveau émerveillement ou curiosité à choses déjà connues habituelles et choses évidentes comme choses déjà connues. Par cette raison, le voyage est expérience et éducation.

On dit souvent que la vie est voyage. Cette opinion est une sensation réelle ce qui tout le monde senti plusiurs fois, ce n’est pas la peine qu’on citer « La Sente étroite du bout-du-monde » de Basho Matsuo. Notre sensation pour la vie se resemble à la sensation pour le voyage. C’est pourquoi ?

« Par où et vers où » est une question fondamentale de la vie. Par où vient-on, et où vient-on ? C’est l’énigme éternelle et fondamentale de la vie. Tant que c’est correct, notre sensation de vie comme nous sentons que la vie semble que le voyage, ne changera pas. Dans la vie, où allons-nous donc ? Nous ne connaissons pas. La vie est vagabondage aux choses inconnues. On dit que notre destination est le mort. Au moins, tout le monde ne peut pas répondre clairement ce qui est le mort. La question de « vers où », finalement, faire nous questionner « par où ». Consideration au passe naît par consideration au avenir. Dans le voyage vagabondage, on accompagne toujours nostalgie ambiguë ce qui on prends clairement. La vie est loin, et la vie est trépidant. La route de la vie est loin mais près. Parce que le mort s’approche petit à petit de notre vies. Pourtant l’humain ne cessera jamais de rêver dans la vie comme ça. Nous vivrons notre vies d’en suivront notre imaginations. Touts les gens sont plus ou moins utopiens. Le voyage est visage de la vie. Dans le voyage nous nous écartons des choses quotidiennes, et sommes réfléchi purement, ainsi nous avons nouveau sentiment pour la vie ce qui nous supposons évident et déjà connu dans la vie quotidienne. Nous sommes savouré la vie par le voyage. J’ai déjà dit ces sentiments du lointain, de la proche et du mouvement, que ne participe pas au lointain, à la proche et au mouvement objectives. On rencontre soi-même dans le voyage. Dans le voyage qu’on passe dans la nature, cependant on rencontre soi-même sans cesse. Le voyage n’est pas dehors de la vie, mais le voyage est le visage de la vie même.

J'ai jégà dit, les gens font le voyage pour chercher de la délivrance. Le voyage lui délivre surement. Mais, c’est une erreur que vous pensez il est libre vraiment. La délivrance est liberté d’une chose, cette liberté est seulement une liberté passive. En voyage, quiconque deviens curieux et capricieux. Le voyage fait hommes aventurés plus ou moins, mais cette adventure est curiosité et caprice. Le sentiment du vagabonde dans le voyage existe du bas de cette curiosité. Cependant, la caprice n’est pas la véritable liberté. Homme qui suit seulement curiosité et caprice ne peut pas faire l’expérience dans le voyage. Le voyage fait activer notre curiosité. Mais la curiosité est différente du vrai esprit de recherche et la soif de connaissance. La curiosité est la caprice, on passe à la suite sans cesse et ne regarde pas en se poser une place. Sans se poser une place et entrer profondément dans une chose, comment connaît-on une chose vraiment ? Une chose existe dans le bas de la curiosité est le sentiment du vagabonde même. Aussi le voyage fait l’homme sentimental. Cependant, baigner seulement sentiment, il abouti qu’on ne connaît profondément rien et on n’a rien le propre sentiment. La vraie liberté est liberté dans le chose. Ce n’est pas mouvement seul, s’arrêter en mouvoir et mouvoir en s’arrêter. C’set mouvement aussi immobilité, et immobilité aussi mouvement. On dit il y a le vert de plus parts ce qui l’homme va. Ce mot est plus sentimental, mais qui atteint cette valeur seul éprouve le voyage vraiment. Qui peut éprouver le voyage est l’homme vrai libre. À mesure qu’on fait voyage, l’homme sage deviens plus sage, l’homme stupide deviens plus stupide. Vous devez bien connaître comment personage d’un homme qui a relation quotidienne avec vous, quand vous faites le voyage avec lui. L’homme fait le voyage de chaque homme. L’homme vraie libre dans le voyage est l’homme vraie libre dans la vie. La vie même est vraiment le voyage.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4

Contenu

  • Propos sur la vie
  • La philosophie qui n'est rancontré jamais
  • Pour mes enfantes petites
  • Commentaire par Ichiro Kishimi

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« Le Propos sur la vie » de Kiyoshi Miki

Philosophy / Philosophie

traduction | À la condition humaine dans le Propos sur la vie de Kiyoshi Miki

Par n’importe quelle méthode, plus je me concentre à moi, plus je sens que je flotte sur quelque chose. Sur quelle chose flotte-je ? Je peut dire seulement sur le néant. Soi-même est un point dans le néant. Ce point peut réduire sans limite. Mais, il devient plus petit, il ne s’identifie pas avec le néant sur qui soi-même flotte. La vie n’eat pas le néant, plutôt le néant est la condition humaine. Cependant, comme une vague ou une écume n’est pas existé sans le mer, nous ne pouvons pas penser sur l’humain sans cette condition. Une idée « la vie est comme une écume. » est faute au cas où on ne penserait pas de une vague et une mer comme la condition d’une écume. Mais aussi, l’humain fait corps avec le néant de même que une écume et une vague font corps avec une mer. La vie est pouvoir ramasse du néant. Elle est pouvoir de formation par le néant. Une chose est formée par ramasser le néant n’est pas le néant. Le néant et l’humain sont différents comme la mort et la vie. Mais le néant est une condition humaine.


On peut penser autres plusieurs choses comme une condition humaine. Par exemple, cette chambre, ce bureau, cette livre ou la connaissance donné par ce livre, ou bien le jardin de ce maison, entière nature, ou ma famille et entière société,,, et le monde. Ces choses exprimées par quelque mots, on peut diviser aux innombrables éléments. Ces innombrables éléments concernent réciproquement. Aussi, sur l’humain, son corps et son esprit peuvent sont divisés infiniment à une chose du même ordre de ses éléments. Ainsi, pour une cellule autres toutes cellules sont une condition, pour un cœur autres touts cœurs sont une condition. Ces conditions concernent autres toutes conditions. Poursuivre diviser infiniment de cette façon, je pense on ne peut pas découvrir quelque chose humaine excepté sa condition. Je regarde soi-même est décomposé en un élément pareil que éléments du monde. Mais, cependant c’est certain je existe en tant que une chose diffère du monde. L’humaine et la condition humaine sont différentes bien. Comment est-ce affaire possible ?

La matière est la condition humaine, qui arrive par elle se montre cette matière pour la première fois dans le néant. C’est-à-dire, le monde — je lui pense comme il est grand à l’infini ou petit à l’infini — le néant est son a priori par il est la condition humaine. Le chose du monde est la condition humaine comme le chose est limitée par le néant au tant que le condition fondamentale du humain, le chose lui-même peut aboutir au néant, non, le chose au tant que le néant. Pour cette raison, d’abord, l’humain est décomposé à l’infini en un élément aussi le monde, relation entre ses éléments, mais distinctions peuvent exister à l’infini entre l’humain et le monde, et entre l’humain et la condition humaine. Si le néant n’était pas la condition de la condition humaine, comment-puisse mon soi-même être une chose divisée fondamentalement par les éléments du monde ?


Le néant est la condition humaine ou la condition comme une chose de la condition humaine, ainsi je peux dire la vie humaine est la formation. Le soi est pouvoir de formation, et l’humain est une chose formée, non seulement, le monde aussi peut avoir réellement pour la premiers fois le sens du milieu à la vie humaine, comme une chose formée. La vie fait forme comme une forme à l’extérieur de sa propre initiative, et donne une forme à elle-même par elle donne une forme à une chose. La formation comme ça est possible que la condition humaine est le néant. Le monde est décomposé en éléments, même, l’humain est décomposé dans le monde élémentaire, ainsi nous apercevons relations entre les éléments, et un élément lui-même peut se décompose en une relation. Nous pouvons définir ce relation par quelques règles. Mais, au monde comme ça, la vie ne peut pas être formée. Pourquoi ? La vie n’est ni règle abstraite ni relation seule ni somme ou produit de relation, mais la vie est forme, ainsi on ne peut pas penser la forme dans le monde comme ça. On doit pense la formation par autre côte, c’est-à-dire par le néant. La formation est toujours formation par le néant. On peut entendre seulement la formation de forme, les relations entre formes et le changement de une forme à autre forme, par le bas comme le néant. Il y a le caractère particulier essentielle du forme.


Les philosophes anciennes pensent par concepts substantiels, Les philosophes modernes pensent par concepts relationnels ou fonctionnels (de fonction mathématique). La nouvelle pensée doit être une pensée de forme. Le forme n’est ni substance seule ni relation ou fonction seules. C’est-à=dire, le forme est synthèse des deux. On peut penser une forme où une concept relationnel et une concept substantiel ses unir, ou où une concept fonctionnel et une concept substantiel ses unir.


Les gens passés vivaient dans le monde limité. Cette zone est ce qui on peut regarder d’un bout à l’autre. Ils comprends outil qu’ils emploient fait par quelqu’un, et ce technique est tellement. Aussi sur la nouvelle et la connaissance ce qu’il connais, on connaît ses sources et combien de confiance ce qu’hommes possèdent. Comme ça, la condition de la vie et le milieu des hommes était limitées, et ses formes était visible, ainsi l’homme lui-même, son esprit, sa expression et sa allure sont choses qu’ont formes précises. Donc l’homme passé a propre caractère.

Ainsi la condition humaine aujourd’hui est différent. Les contemporains vivent au monde illimité. Je ne connait pas un outil je utilise de qui quelqu’un fait, est je ne connait pas que nouvelles et connaissance sur qui je m’appuie apparent par quelque part.. Toutes les choses ne sont pas seulement anonyme. Toutes les choses sont amorphe. Les contemporains eux-mêmes vivent en la condition humaine comme ça, devient anonyme, amorphe et sans caractéristique.

Or le monde des contemporains est illimité, en fait, il a causé par la consequence d’être limité. Choses de tous les coins du monde sont concernées par le développement de la circulation. Je suis relié à choses invisibles et innombrables. Choses isolements sont devenus choses très limitées par entrer aux relations innombrables. Choses substantielles sont décomposées en relations et devenaient choses limitée le plus strictes. Je doit dire le monde passé étais illimité plutôt contre ce monde limité. Mais, cependant, le monde aujourd’hui est illimité. Il est limité relationnels ou fonctionnels, ou encore il est limité tout son possible comme ça, par conséquence, il est devenu illimité comme forme. Il y a de complexité particulière des contemporains dans cette illimitation était surgi en fait par la conséquence de développement de la méthode du limitation particulière.

Le plus grande problème des contemporains comment nous faisons forme par une chose sans forme. Cette problème n’est pas résolu par la position immanente. Parce que cette condition illimitée était surgi par par la conséquence que la limitation se développe en fait. La significance des toutes pensées transcendantales contemporaines existent là. Il faut la formation est la formation par le néant, et la formation au tant que l’art au-delà la science. Je peut dire il n’y a pas de salut, jusqu’à la conception du monde artistique en plus formative et sans theoria devra dominant.

Par la confusion contemporaine, toutes les choses sera en confondu. Choses qui sont opposées deviens être confondu est plus proche en réalité que choses qui sont opposées deviens être unifiées. Par cette confusion, nouvelle forme apparaîtra. La génération de la forme est la dialectique de confusion plutôt que la dialectique de forme. La logique d’imagination, je dis, deviendra caractérisée comme la dialectique de confusion. La confusion est combinaisons des choses indéfinies, fondement de cette caractéristique indéfinie est l’existence du néant. Toutes les choses sont par le néant, et chacun a particulièrement un néant, ainsi nous pouvons penser la confusion. Non seulement le néant possède l’être générale, mais aussi chacun possède un être particulier. La logique de confusion doit être formation par le néant. La philosophie ancienne qui disait formation par le chaos du cosmos, inclus la vérité profonde. C’est grave que on comprends ce sens de sa propre initiative à l’infini.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4

Contenu

  • Propos sur la vie
  • La philosophie qui n'est rancontré jamais
  • Pour mes enfantes petites
  • Commentaire par Ichiro Kishimi

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