Mémoires sur Kenji Miyazawa en tant que et ses œuvres

Aperçu

Kenji Miyazawa (1896-1933) était un poète et auteur de littérature pour enfants japonais originaire de la préfecture d’Iwate. Son œuvre est cependant restée largement méconnue durant sa courte vie. Aujourd’hui, il est considéré comme l’un des écrivains modernes les plus importants du Japon. Son œuvre se distingue par son style unique, mêlant sa profonde connaissance de l’agriculture et des sciences naturelles à ses profondes convictions religieuses.

Thèmes clés et style

La poésie de Miyazawa met souvent l’accent sur l’interdépendance de toute vie. S’appuyant sur son expérience d’agronome et sa foi dans le bouddhisme de Nichiren, il a créé une vision où l’humanité et la nature sont inextricablement liées. Il écrivait avec un sens aigu de l’observation, transformant souvent son environnement local d’Iwate – une région sujette aux catastrophes naturelles et aux mauvaises récoltes – en une utopie fantastique qu’il appelait « Ihatov ». Son style se caractérise par un « rythme de marche » et l’utilisation d’onomatopées, créant une expérience sonore vibrante pour le lecteur. Il intégrait également fréquemment des termes scientifiques et étrangers, comme l’espéranto, à ses œuvres.

Œuvres remarquables

Bien qu’il ait écrit abondamment, Miyazawa n’a auto-édité que deux livres de son vivant : le recueil de poésie Haru to Shura (Printemps et Asura) et le recueil de contes pour enfants Chumon no ooi ryoriten (Le Restaurant aux multiples ordres). Son poème le plus célèbre, « Ame ni mo Makezu » (Ne sois pas vaincu par la pluie), a été retrouvé à titre posthume dans son carnet. Ce poème, devenu un chef-d’œuvre reconnu, décrit les idéaux d’un individu compatissant et altruiste. Parmi ses autres œuvres célèbres publiées après sa mort, citons le roman fantastique Ginga tetsudo no yoru (Nuit sur le chemin de fer galactique) et le poème « Départ sur une autre route » (également connu sous le nom de « La Séparation »), écrit après la mort de sa sœur.

Histoire

Le parcours poétique de Kenji Miyazawa a débuté dès sa jeunesse, avec la forme classique japonaise du tanka, alors qu’il était encore écolier. Dès 1918, il commença également à écrire des contes pour enfants. Ses premières expériences, notamment ses études de chimie agricole et son profond attachement à la nature de sa ville natale d’Iwate, ont fortement influencé son œuvre. Sa poésie reflétait souvent ses observations scientifiques de la terre et sa profonde compassion pour les agriculteurs qui la cultivaient.

En 1924, Miyazawa auto-publia son premier et unique recueil de poésie de son vivant, Haru to Shura (Printemps et Asura). Ce livre passa largement inaperçu à l’époque. Un an plus tard, il rejoignit un cercle de revues poétiques, mais son œuvre resta largement méconnue du public. Il continua d’écrire abondamment tout au long de sa vie, explorant les thèmes de la nature, de la science et de ses croyances bouddhistes de Nichiren.

La véritable histoire de la reconnaissance de sa poésie commença après sa mort en 1933. Ses nombreux poèmes et nouvelles inédits furent découverts, dont ce qui allait devenir son œuvre la plus célèbre, le poème « Ame ni mo Makezu » (« Ne sois pas vaincu par la pluie »), retrouvé à titre posthume. Ses œuvres, imprégnées d’une sensibilité linguistique vibrante et d’une imagination débordante, commencèrent peu à peu à gagner un public fidèle. Aujourd’hui, il est considéré comme l’un des écrivains modernes les plus importants du Japon, ses œuvres étant largement lues et traduites, et sa poésie est perçue à la fois comme l’expression personnelle de ses idéaux et comme une exploration puissante de l’interdépendance de toute vie.

Chronologie

La vie et l’œuvre de Kenji Miyazawa peuvent être retracées à travers une série d’événements marquants. Né en 1896 à Hanamaki, dans la préfecture d’Iwate, il était le fils aîné d’un riche prêteur sur gages. Jeune homme, il étudia la chimie agricole à l’École supérieure d’agriculture et de foresterie de Morioka, dont il sortit diplômé en 1918. Il y resta deux ans comme étudiant-chercheur, se concentrant sur la pédologie.

Début de carrière et conversion religieuse

La carrière d’écrivain de Miyazawa débuta au début de la vingtaine et il commença à composer des poèmes et des contes pour enfants vers 1918. En 1921, il devint professeur dans un lycée agricole local à Hanamaki. À cette époque, sa sœur cadette, Toshi, tomba malade. Après un bref séjour à Tokyo pour s’occuper d’elle, il continua à écrire abondamment. La mort de sa sœur en 1922 fut un événement traumatisant pour lui et un thème majeur de ses œuvres ultérieures. En 1924, Miyazawa auto-publia son premier et unique recueil de poésie de son vivant, Haru to Shura (Printemps et Asura), ainsi qu’un recueil de contes pour enfants, Le Restaurant aux multiples ordres. Ces œuvres passèrent largement inaperçues à l’époque.

Dévouement aux agriculteurs et à la vie future

En 1926, Miyazawa démissionna de son poste d’enseignant pour se consacrer à l’aide aux agriculteurs démunis de sa ville natale. Il mena une vie simple, cultiva ses propres terres et fonda la Société Rasuchijin, où il donna des conférences sur les sciences et l’art agricoles aux agriculteurs locaux. Ses efforts pour améliorer leurs conditions de vie furent considérables, ce qui lui valut le surnom affectueux de « Kenji, le bodhisattva ». Cependant, son travail acharné et son dévouement eurent des conséquences néfastes sur sa santé. Il souffrit d’une pleurésie et d’une pneumonie, qui le laissèrent presque toujours alité. Il connut une brève convalescence en 1931, au cours de laquelle il accepta un emploi dans une entreprise de concassage de pierres pour améliorer la qualité des sols, mais sa maladie réapparut. Miyazawa mourut le 21 septembre 1933, à l’âge de 37 ans.

Reconnaissance posthume

La réputation littéraire de Miyazawa s’accrut après sa mort. Son frère cadet, Seiroku, organisa et préserva avec soin sa vaste collection de manuscrits. Cela conduisit à la publication en 1934 des Œuvres complètes de Kenji Miyazawa, en plusieurs volumes, qui comprenaient nombre de ses poèmes et nouvelles les plus célèbres, comme « Ame ni mo Makezu » (Ne sois pas vaincu par la pluie) et le roman fantastique « Une nuit sur le chemin de fer galactique ». Au fil du temps, son œuvre devint un élément précieux de la littérature japonaise, et il est aujourd’hui reconnu comme l’un des écrivains modernes les plus importants du pays.

Caractéristiques de la poésie

La poésie de Kenji Miyazawa se caractérise par une fusion unique de science, de spiritualité et d’un profond amour pour la nature. Contrairement à nombre de ses contemporains, il a allié son expérience d’agronome à ses profondes croyances bouddhistes de Nichiren pour créer une œuvre singulière. Ses poèmes dépeignent souvent le monde naturel, notamment les paysages de sa préfecture natale d’Iwate, avec une précision et un respect qui découlent de sa formation scientifique.

Caractéristiques principales

Interdépendance de toute vie : Un thème central est la croyance selon laquelle toutes choses – l’humanité, les animaux, les plantes, et même les roches et les étoiles – sont fondamentalement liées. Son œuvre explore souvent cette idée d’un réseau cosmique et interconnecté de l’existence.

Terminologie scientifique et étrangère : Miyazawa utilisait fréquemment des termes scientifiques comme « pléochroïsme », « asura » et « carbone » à côté de mots japonais. Il incorporait également des mots de langues étrangères, notamment l’espéranto, pour créer un vocabulaire unique et souvent complexe.

« Ihatov » : Il a créé une version fictive et utopique de sa préfecture natale, Iwate, qu’il a baptisée « Ihatov » (un mot dérivé du nom espéranto d’Iwate). Ce pays imaginaire a servi de décor à une grande partie de sa poésie et de sa prose, lui permettant d’explorer ses idéaux et sa vision d’un monde harmonieux.

Onomatopées et sons : La poésie de Miyazawa est réputée pour son sens aigu du rythme et des sons. Il a largement utilisé les onomatopées, créant une expérience sonore vivante qui rend son œuvre vivante et dynamique.

Mélange de prose et de vers : Nombre de ses poèmes brouillent les frontières entre vers libres et prose, adoptant souvent une tournure narrative. Cela confère à son œuvre une dimension conversationnelle et immédiate.

Œuvres posthumes : Bien qu’il n’ait publié qu’un seul recueil de poésie au cours de sa vie, la plupart de ses poèmes célèbres, dont « Ame ni mo Makezu » (« Ne soyez pas vaincu par la pluie »), ont été découverts et publiés après sa mort, consolidant ainsi son héritage.

Style(s), Genre(s), Thème(s) et Technique(s)

La poésie de Kenji Miyazawa est unique, tant sur le plan stylistique que thématique, et puise dans la diversité de ses centres d’intérêt et de ses expériences. Son œuvre échappe à toute classification, mais ses caractéristiques peuvent être réparties en plusieurs domaines clés.

Style et forme

La poésie de Miyazawa est écrite dans un style distinctif qui mêle divers éléments. Sa forme principale est le vers libre, qui s’éloigne des formes poétiques japonaises traditionnelles comme le tanka et le haïku. Ses vers ont souvent un rythme rythmé et utilisent de nombreuses onomatopées, ce qui les rend dynamiques et vivants. Il utilise également un vocabulaire varié, incluant des termes scientifiques (par exemple, « pléochroïsme », « asura »), des mots étrangers et même l’espéranto, qu’il considère comme une langue universelle. Cela crée une texture linguistique riche, parfois complexe. Ses poèmes prennent souvent la forme de poèmes en prose ou de poésie narrative, brouillant la frontière entre vers et récit.

Thèmes et sujets

La poésie de Miyazawa est profondément influencée par sa vie de scientifique agricole et sa dévotion au bouddhisme de Nichiren.

Nature et cosmos : Il a beaucoup écrit sur le monde naturel, des paysages de sa préfecture natale d’Iwate aux étoiles et aux planètes. Ses poèmes dépeignent souvent la nature avec une précision scientifique, mais aussi avec un sens de l’émerveillement et de la spiritualité.

Interdépendance de toute vie : Un thème central est la croyance selon laquelle tous les êtres vivants, et même la matière inorganique, sont fondamentalement connectés. Son œuvre illustre fréquemment cette idée d’un réseau cosmique et interdépendant d’existences.

Humanité et compassion : La poésie de Miyazawa exprime souvent une profonde empathie pour la souffrance d’autrui, en particulier celle des paysans pauvres avec lesquels il travaillait. Son poème le plus célèbre, « Ame ni mo Makezu » (« Ne sois pas vaincu par la pluie »), en témoigne, exposant les idéaux d’un individu compatissant et altruiste.

Spiritualité et lutte personnelle : Nombre de ses poèmes reflètent ses luttes spirituelles personnelles et son cheminement vers l’illumination. Son œuvre intègre souvent des images bouddhistes, et il considérait la poésie comme un moyen d’explorer la relation entre soi et l’univers.

Mouvements et périodes

L’œuvre de Miyazawa ne s’inscrit pas clairement dans un mouvement littéraire unique. Bien qu’il fût contemporain des modernistes japonais, son mélange unique de science, de spiritualité et d’engagement social le distingue. Sa poésie est le plus souvent associée à la fin de l’ère Taishō et au début de l’ère Shōwa (1912-1945), une période de grands changements sociaux et d’effervescence intellectuelle.

Techniques

Les techniques de Miyazawa sont d’une grande originalité. Il utilisait la synesthésie pour évoquer une expérience sensorielle intense, mêlant vue et son, et donnait souvent à ses descriptions une dimension temporelle géologique, comme si le paysage lui-même était une entité vivante et évolutive. Son recours à la personnification est également remarquable, donnant une voix aux animaux, aux plantes, et même au vent et aux rochers.

Impacts et influences

L’influence de Kenji Miyazawa sur la littérature et la culture japonaises est profonde, d’autant plus qu’il était largement méconnu de son vivant. Son influence tient à son mélange unique de science, de nature et de spiritualité, qui a trouvé un écho auprès des lecteurs bien après sa mort.

Impact littéraire et culturel

L’œuvre de Miyazawa, découverte et publiée à titre posthume, a contribué à son essor et a consolidé sa réputation comme l’un des plus grands écrivains modernes du Japon. Son influence s’est manifestée dans plusieurs domaines :

Un écologiste pionnier : Miyazawa était en avance sur son temps en insistant sur l’interdépendance de toute vie et sur l’importance de vivre en harmonie avec la nature. Ses écrits sur les effets catastrophiques de la destruction de l’environnement et sa croyance en une vision cosmique du monde ont fait de lui une figure emblématique de l’écologisme moderne.

Influence sur la fantasy et la littérature jeunesse : Ses univers imaginaires et fantastiques, comme celui de son roman Une nuit sur le chemin de fer galactique, ont eu une influence considérable sur les auteurs et créateurs japonais de fantasy. Nombre de ses histoires pour enfants, comme Gauche le violoncelliste, sont désormais des incontournables des programmes scolaires primaires japonais.

Adaptations en anime et au cinéma : Les œuvres de Miyazawa ont été largement adaptées en anime et au cinéma, faisant découvrir ses histoires aux nouvelles générations et consolidant sa place dans la culture populaire. Parmi ses adaptations notables, citons les films Une Nuit sur le Chemin de Fer Galactique et Gauche le Violoncelliste.

Symbole de compassion : La philosophie de service désintéressé de Miyazawa et son engagement à aider autrui, exprimés dans son célèbre poème « Ame ni mo Makezu » (« Ne sois pas vaincu par la pluie »), ont fait de lui un symbole de compassion et de résilience. Ce poème est devenu une source de force pour beaucoup, notamment après des tragédies nationales comme le grand tremblement de terre de l’est du Japon en 2011, qui a touché sa région natale.

Influence philosophique et intellectuelle

L’héritage intellectuel de Miyazawa est aussi important que son héritage littéraire. Ses écrits incarnent une vision sociale avant-gardiste.

Vision cosmopolite : Malgré une vie retirée, Miyazawa était un penseur cosmopolite. Il intégrait à son œuvre des concepts scientifiques, étrangers et spirituels, croyant en un ordre universel et bienveillant. Ses idéaux de bonheur collectif, exprimés dans la célèbre devise « Tant que tous ne sont pas heureux, il n’y a pas de bonheur individuel », constituent un thème majeur de son œuvre et un principe directeur pour nombre de ses lecteurs.

Croissance spirituelle et personnelle : Ses œuvres reflètent souvent son cheminement personnel et ses luttes spirituelles. Ce portrait sincère et intime du développement personnel a eu un impact durable, permettant aux lecteurs de se connecter à sa quête d’une vie pleine de sens et de service.

Relations avec les poètes

Les relations directes de Kenji Miyazawa avec d’autres poètes étaient limitées et largement unilatérales au cours de sa vie, mais son travail a plus tard gagné l’admiration de deux personnalités importantes.

Shinpei Kusano : Après que Miyazawa eut auto-publié son recueil de poésie, Haru to Shura (Printemps et Asura), en 1924, Shinpei Kusano fut très impressionné. Kusano invita plus tard Miyazawa à rejoindre le cercle de la revue de poésie Dora (« Gong »), et son intérêt contribua à faire connaître l’œuvre de Miyazawa à un cercle littéraire plus large.

Kōtarō Takamura : Takamura, éminent poète et sculpteur, était un autre admirateur de l’œuvre de Miyazawa. Avec Shinpei Kusano, il a contribué à faire connaître la poésie de Miyazawa au public après sa mort, contribuant ainsi à assurer sa réputation posthume. Takamura est reconnu comme une figure clé dans le choix des œuvres de Miyazawa destinées à être publiées à titre posthume.

Relations

Famille

Miyazawa entretenait une relation complexe mais significative avec son père, Masajirō Miyazawa, un riche prêteur sur gages. Fils aîné, Kenji était censé hériter de l’entreprise familiale. Cependant, il rejeta cette voie en raison de ses convictions religieuses et de sa profonde empathie pour les agriculteurs pauvres qui étaient les clients de la famille. Cela créa un profond conflit avec son père, mais Masajirō finit par soutenir la voie choisie par Kenji. Il lui donna les moyens financiers nécessaires pour poursuivre ses études, travailler comme agronome et vivre une vie consacrée aux agriculteurs.

Agriculteurs et étudiants

Les relations les plus importantes de Miyazawa, en dehors de sa famille, étaient celles qu’il entretenait avec les agriculteurs et les étudiants de sa ville natale. Il enseignait dans un lycée agricole local, où il enseignait des matières comme l’agronomie et la fertilité des sols. Il créa également sa propre école privée, la Société Rasuchijin, où il donnait des conférences sur les sciences et les arts agricoles aux agriculteurs locaux. Son objectif était d’améliorer leurs conditions de vie en partageant des techniques agricoles modernes et une éducation culturelle plus large, notamment la musique classique. Bien que certains agriculteurs aient été sceptiques quant à ses méthodes, son dévouement lui valut le surnom de « Kenji, le bodhisattva » pour son dévouement désintéressé.

Autres professionnels

Miyazawa entretenait également des liens avec un ingénieur d’une entreprise de concassage de roches. En 1931, pendant une brève convalescence, il travailla pour cette entreprise, dont les produits étaient destinés à améliorer la qualité des sols. Ce travail était directement lié à ses efforts constants pour aider les agriculteurs locaux.

Poètes similaires

Aucun poète n’est véritablement identique à Kenji Miyazawa, mais plusieurs partagent des caractéristiques qui les rendent comparables. Son mélange unique d’observation scientifique, de thèmes spirituels et de vers libres le distingue, mais son œuvre trouve un écho auprès d’autres poètes qui explorent également la relation entre l’humanité, la nature et le cosmos.

Poètes japonais similaires

Shinpei Kusano (1903-1988) : Contemporain de Miyazawa, Kusano était lui-même un poète important et un admirateur de son œuvre. À l’instar de Miyazawa, il développa un style poétique unique et intégra souvent des images rurales et naturelles, notamment des grenouilles. Son œuvre possède également un côté enfantin et imaginatif qui fait écho au style de Miyazawa.

Kōtarō Takamura (1883-1956) : Bien que son œuvre soit plus variée, Takamura, sculpteur et poète, partage le profond respect de Miyazawa pour la nature et l’importance qu’il accorde à son cheminement spirituel personnel. Son recueil le plus célèbre, Le Ciel de Chieko, est une exploration poignante de sa relation avec sa femme et de leur lien avec la nature. Il a également joué un rôle déterminant dans la promotion de l’œuvre de Miyazawa après sa mort.

Shuntarō Tanikawa (1931- ) : Poète moderne très prolifique, l’œuvre de Tanikawa partage l’accessibilité et les profondes convictions philosophiques de Miyazawa. Il utilise souvent un langage simple pour explorer les thèmes complexes de l’existence, de la solitude et de l’échelle cosmique de la vie humaine. Son œuvre, comme celle de Miyazawa, est largement lue et appréciée par un public de tous âges.

Poètes internationaux similaires

Walt Whitman (1819-1892) : Les Feuilles d’herbe de Whitman partagent une vision vaste et globale avec l’œuvre de Miyazawa. Tous deux écrivaient en vers libres, célébraient l’interdépendance de toute vie et percevaient une présence divine dans la nature. Leurs poèmes regorgent de listes et de catalogages, créant ainsi le sentiment d’un monde vaste et inclusif.

Rabindranath Tagore (1861-1941) : Ce polymathe bengali, contemporain de Miyazawa, a exploré les thèmes de la spiritualité, de la nature et de l’humanisme. L’œuvre de Tagore, comme celle de Miyazawa, est imprégnée d’un profond sentiment de la présence divine dans la nature et d’une profonde empathie pour les luttes de l’humanité.

Œuvres poétiques

L’œuvre poétique de Kenji Miyazawa se caractérise notamment par le contraste entre ce qui a été publié de son vivant et ce qui a été découvert et célébré après sa mort. Il n’a auto-édité qu’un seul recueil de poésie.

Publié de son vivant

Haru to Shura (春と修羅, Printemps et Asura) : Publié en 1924, ce recueil est le seul que Miyazawa ait publié de son vivant. Il est passé largement inaperçu à l’époque. Les poèmes de ce recueil se caractérisent par un style unique et moderne, mêlant thèmes scientifiques et religieux à une structure en vers libres.

Œuvres posthumes

La grande majorité des célèbres poèmes de Miyazawa ont été retrouvés dans des carnets et des manuscrits après sa mort en 1933. Ces œuvres sont à l’origine de sa réputation comme l’un des poètes modernes les plus importants du Japon.

« Ame ni mo Makezu » (雨ニモマケズ, « Ne sois pas vaincu par la pluie ») : c’est son poème le plus connu. Retrouvé dans un carnet après sa mort, il exprime avec force ses idéaux de service désintéressé et de résilience.

« Départ sur une route différente » : un poème poignant et célèbre écrit après la mort de sa sœur cadette, Toshi.

Poèmes divers : Une grande partie de son œuvre a été rassemblée à titre posthume dans ses Œuvres complètes de Kenji Miyazawa. Celles-ci comprennent un large éventail de poèmes explorant son cheminement spirituel, ses observations scientifiques et son lien profond avec la nature d’Iwate.

Printemps et Asura (1924)

Haru to Shura (春と修羅, Printemps et Asura) est le premier et unique recueil de poésie de Kenji Miyazawa publié de son vivant. Publié en 1924, il fut largement ignoré du public et des critiques littéraires de l’époque, mais il est depuis devenu une œuvre majeure de la littérature japonaise moderne.

Ce recueil se caractérise par le style novateur et unique de Miyazawa, qu’il décrit comme des « esquisses mentales modifiées ». Les poèmes sont une exploration directe et brute de son monde intérieur, brouillant les frontières entre réalité objective et perceptions subjectives, et reflètent souvent ses luttes avec la vie, sa foi et sa relation au monde qui l’entoure.

Caractéristiques clés de « Printemps et Asura »

Le personnage « Asura » : Le titre lui-même est essentiel pour comprendre les thèmes du recueil. Dans la cosmologie bouddhiste, un asura est un demi-dieu ou un démon querelleur et combatif. Miyazawa s’identifie à cette figure, l’utilisant pour incarner son propre trouble intérieur, sa colère et son sentiment d’impuissance face à un monde chaotique. Les poèmes sont empreints d’un sentiment de conflit intérieur, alors qu’il lutte avec sa foi religieuse et les difficultés dont il est témoin, notamment celles des agriculteurs locaux.

Fusion scientifique et spirituelle : Ce recueil est célèbre pour son mélange unique de terminologie scientifique et d’imagerie spirituelle. Miyazawa, agronome et bouddhiste fervent, mêle les concepts de géologie, d’astronomie et de biologie à la philosophie bouddhiste. Il perçoit le monde comme un système dynamique en constante évolution, et ses poèmes reflètent cette vision en utilisant un langage scientifique pour décrire le monde naturel.

Langage et forme uniques : Les poèmes de Printemps et d’Asura sont écrits dans un style de vers libres, très peu conventionnel pour l’époque. Souvent denses, ils mêlent des mots japonais, étrangers et scientifiques, créant une lecture complexe et parfois déroutante. Miyazawa utilise également de nombreuses onomatopées et des sauts de vers irréguliers pour saisir le rythme et la sonorité de ses pensées.

Un Paysage du Cœur : À travers ce recueil, Miyazawa crée un monde personnel et imaginaire qu’il appelle « Ihatov », une version fantastique de sa préfecture natale d’Iwate. Ce décor devient un « paysage du cœur », où la nature extérieure et ses luttes spirituelles intérieures ne font plus qu’un. Les poèmes sont profondément ancrés dans les paysages ruraux du nord du Japon, mais sont aussi une fenêtre ouverte sur une réalité vaste, universelle et cosmique.

Bien que son accueil initial ait été mitigé, Printemps et Asura est aujourd’hui considéré comme un chef-d’œuvre du modernisme japonais et une œuvre essentielle pour comprendre la vision artistique complexe de Miyazawa.

Œuvres sauf poésie

Au-delà de la poésie, les œuvres les plus marquantes de Kenji Miyazawa sont ses contes pour enfants, ou « contes de fées » (dōwa). Souvent lus par les enfants japonais, ces récits abordent les mêmes thèmes philosophiques et spirituels profonds que ceux de sa poésie. Nombre de ses œuvres, publiées ou posthumes, sont devenues des classiques.

Publié de son vivant

Chumon no ooi ryoriten (注文の多い料理店, Le restaurant aux nombreuses commandes) : Il s’agissait de son premier et unique recueil d’histoires pour enfants publié de son vivant. L’histoire principale, qui raconte l’histoire de deux chasseurs arrogants qui deviennent la proie d’un mystérieux restaurant, est un conte allégorique bien connu.

Œuvres posthumes

La plupart des œuvres en prose de Miyazawa, comme sa poésie, ont été découvertes et publiées après sa mort, consolidant ainsi son héritage.

Ginga tetsudo no yoru (銀河鉄道の夜, Une nuit sur le chemin de fer galactique) : Considéré comme son chef-d’œuvre, ce roman fantastique inachevé suit deux garçons dans un voyage magique en train à travers la Voie lactée. C’est une œuvre profondément allégorique qui explore les thèmes de la vie, de la mort et de la quête du bonheur.

Kaze no Matasaburo (風の又三郎, Matasaburo le lutin du vent) : Cette histoire, qui se déroule dans une école rurale, se concentre sur un mystérieux élève transféré et sur la relation entre les enfants et les forces naturelles qui les entourent.

Sero Hiki no Goshu (セロ弾きのゴーシュ, Gauche le violoncelliste) : L’histoire d’un violoncelliste en difficulté qui s’inspire des animaux de la forêt.

Yodaka no Hoshi (よだかの星, L’Étoile du faucon de nuit) : Ce conte sur la lutte d’un faucon de nuit avec son identité et sa transformation éventuelle en étoile est une histoire puissante sur la recherche de son but.

Épisodes et anecdotes

Épisodes

Un « Bodhisattva » pour les agriculteurs : Après avoir quitté son poste d’enseignant, Miyazawa s’est consacré à aider les agriculteurs pauvres de sa région natale d’Iwate. Il a fondé l’Association des agriculteurs de Rasu pour leur enseigner les sciences agricoles et leur a également transmis son amour pour l’art et la musique, leur faisant découvrir des compositeurs classiques comme Beethoven et Wagner en écoutant des disques sur son gramophone. Son dévouement lui a valu le surnom de « Kenji, le bodhisattva ».

La dernière conversation : La veille de sa mort, la santé de Miyazawa semblait s’améliorer. Un groupe d’agriculteurs locaux s’est approché de sa maison et, malgré sa fragilité, Miyazawa a engagé une discussion d’une heure avec eux au sujet des engrais. Il est décédé le lendemain, épuisé par son dernier acte de service envers les personnes dont il prenait soin.

Une vision d’« Ihatov » : Miyazawa a créé une version personnelle et utopique de sa préfecture natale d’Iwate, qu’il a baptisée « Ihatov » (un mot dérivé du nom espéranto d’Iwate). Ce pays imaginaire, mélange de réalité et de fantaisie, a servi de cadre à une grande partie de sa poésie et de sa prose, où il a pu explorer ses idéaux d’harmonie entre l’humanité et la nature.

Chef-d’œuvre posthume : Son poème le plus célèbre, « Ame ni mo Makezu » (« Ne sois pas vaincu par la pluie »), a été découvert dans son carnet après sa mort. Il s’agissait d’une note personnelle, décrivant ses idéaux pour une vie altruiste et bienveillante. Cette œuvre, jamais destinée au public, est devenue depuis l’un des poèmes les plus appréciés et les plus célébrés du Japon.

Anecdotes

Un poète scientifique : Miyazawa était un agronome passionné de géologie et de pédologie (l’étude des sols). Il emmenait souvent ses étudiants en excursion et baptisa un lieu sur la rivière Kitakami « Côte anglaise » d’après les falaises blanches de Douvres, qu’il n’avait vues qu’en photo. Ses poèmes contiennent fréquemment des termes et des observations scientifiques.

Passionné d’espéranto : Miyazawa croyait en l’idée d’une langue universelle et apprit l’espéranto en autodidacte. Il intégra des mots espérantophones à sa poésie et traduisit même certains de ses poèmes dans cette langue.

Difficultés financières : Malgré son origine aisée, Miyazawa a connu des difficultés financières. Il a auto-édité son premier recueil de poésie, Haru to Shura, et son recueil de contes pour enfants, Le Restaurant aux multiples commandes, qui n’ont pas rencontré de succès commercial. On dit qu’il n’a gagné que cinq yens grâce à ses écrits de son vivant.

(Cet article a été généré par Gemini. Et c’est juste un document de référence pour découvrir des poètes et des poésies que vous ne connaissez pas encore.)

Liste de notes sur les poètes et les mouvements de poésie
(Français, Deutsch, English, Español, Italiano)

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)

Notes on Kenji Miyazawa as a Poet (1896-1933) and His Works

Overview

Kenji Miyazawa (1896-1933) was a Japanese poet and author of children’s literature from Iwate Prefecture, though his work was largely unrecognized during his short lifetime. Today, he is considered one of Japan’s most important modern writers. His work is notable for its unique style, blending his deep knowledge of agriculture and natural science with his profound religious beliefs.

Key Themes and Style

Miyazawa’s poetry often focuses on the interdependence of all life. Drawing on his background as an agricultural scientist and his faith in Nichiren Buddhism, he created a vision where humanity and nature are inextricably linked. He wrote with an acute sense of observation, often transforming his local environment in Iwate—a region prone to natural disasters and crop failures—into a fantastical utopia he called “Ihatov.” His style is characterized by a “walking rhythm” and the use of onomatopoeia, creating a vibrant, aural experience for the reader. He also often incorporated scientific and foreign terms, such as Esperanto, into his work.

Notable Works

While he wrote prolifically, Miyazawa self-published only two books during his lifetime: the poetry collection Haru to Shura (Spring and Asura) and the children’s story collection Chumon no ooi ryoriten (The Restaurant of Many Orders). His most famous poem, “Ame ni mo Makezu” (Be not Defeated by the Rain), was found posthumously in his notebook. This poem, which has become a celebrated masterpiece, outlines the ideals of a compassionate and selfless individual. Other renowned works published after his death include the fantasy novel Ginga tetsudo no yoru (Night on the Galactic Railroad) and the poem “Departure on a Different Road” (also known as “The Parting”) written after his sister’s death.

History

Kenji Miyazawa’s poetic journey began in his youth, starting with the classical Japanese form of tanka as a schoolboy. By 1918, he had also begun writing children’s stories. His early experiences, particularly his studies in agricultural chemistry and his deep connection to the nature of his hometown of Iwate, heavily influenced his work. His poetry often reflected his scientific observations of the land and his deep compassion for the farmers who worked it.

In 1924, Miyazawa self-published his first and only poetry collection during his lifetime, Haru to Shura (Spring and Asura). This book was largely unnoticed at the time. A year later, he joined a poetry magazine coterie, but his work remained largely obscure to the public. He continued to write prolifically throughout his life, exploring themes of nature, science, and his Nichiren Buddhist beliefs.

The true history of his poetry’s recognition began after his death in 1933. His many unpublished poems and stories were discovered, including what would become his most famous work, the posthumously found poem “Ame ni mo Makezu” (“Be not Defeated by the Rain”). His works, infused with a vibrant linguistic sensibility and unfettered imagination, gradually began to gain a devoted following. Today, he is considered one of Japan’s most important modern writers, with his works being widely read and translated, and his poetry is seen as both a personal expression of his ideals and a powerful exploration of the interconnectedness of all life.

Chronology

Kenji Miyazawa’s life and work can be viewed through a series of key events. Born in 1896 in Hanamaki, Iwate Prefecture, he was the eldest son of a wealthy pawnbroker. As a young man, he studied agricultural chemistry at the Morioka Higher Agricultural and Forestry School, graduating in 1918. He remained at the school for two more years as a research student, focusing on soil science.

Early Career and Religious Conversion

Miyazawa’s writing career began in his early twenties, and he started composing both poetry and children’s stories around 1918. In 1921, he became a teacher at a local agricultural high school in Hanamaki. During this period, his younger sister, Toshi, became ill. After his return from a brief time in Tokyo to care for her, he continued to write prolifically. Her death in 1922 was a traumatic event for him and a major theme in his later works. In 1924, Miyazawa self-published his first and only poetry collection during his lifetime, Haru to Shura (Spring and Asura), along with a collection of children’s stories, The Restaurant of Many Orders. These works went largely unnoticed at the time.

Dedication to Farmers and Later Life

In 1926, Miyazawa resigned from his teaching position to dedicate himself to helping the impoverished farmers of his hometown. He lived simply, worked his own land, and founded the Rasuchijin Society, where he gave lectures on agricultural science and art to local farmers. His efforts to improve their lives were significant, earning him the affectionate nickname “Kenji, the bodhisattva.” However, his hard work and dedication took a toll on his health. He suffered from pleurisy and pneumonia, which left him largely bedridden. He had a brief recovery in 1931, during which he took a job with a rock-crushing company to help improve soil quality, but his illness returned. Miyazawa died on September 21, 1933, at the age of 37.

Posthumous Recognition

Miyazawa’s literary reputation soared after his death. His younger brother, Seiroku, painstakingly organized and preserved his vast collection of manuscripts. This led to the publication of the multi-volume Complete Works of Kenji Miyazawa in 1934, which included many of his most famous poems and stories, such as “Ame ni mo Makezu” (Be not Defeated by the Rain) and the fantasy novel Night on the Galactic Railroad. Over time, his work became a cherished part of Japanese literature, and he is now recognized as one of the country’s most important modern writers.

Characteristics of Poetry

Kenji Miyazawa’s poetry is characterized by a unique fusion of science, spirituality, and a deep love for nature. Unlike many of his contemporaries, he blended his background as an agricultural scientist with his devout Nichiren Buddhist beliefs to create a distinctive body of work. His poems often depict the natural world, particularly the landscapes of his native Iwate Prefecture, with a precision and reverence that stems from his scientific training.

Key Characteristics

Interconnectedness of All Life: A central theme is the belief that all things—humanity, animals, plants, and even rocks and stars—are fundamentally linked. His work often explores this idea of a cosmic and interconnected web of existence.

Scientific and Foreign Terminology: Miyazawa frequently used scientific terms like “pleochroism,” “asura,” and “carbon” alongside Japanese words. He also incorporated words from foreign languages, particularly Esperanto, to create a unique and often challenging vocabulary.

“Ihatov”: He created a fictionalized, utopian version of his home prefecture, Iwate, which he called “Ihatov” (a word derived from the Esperanto name for Iwate). This imaginary land served as the setting for much of his poetry and prose, allowing him to explore his ideals and vision for a harmonious world.

Onomatopoeia and Sound: Miyazawa’s poetry is known for its strong sense of rhythm and sound. He made extensive use of onomatopoeia, creating a vivid, aural experience that makes his work feel alive and dynamic.

Blend of Prose and Verse: Many of his poems blur the lines between free verse and prose, often taking on a narrative quality. This gives his work a conversational and immediate feel.

Posthumous Works: While he published only one poetry collection during his lifetime, most of his famous poems, including “Ame ni mo Makezu” (“Be not Defeated by the Rain”), were discovered and published after his death, solidifying his legacy.

Style(s), Genre(s), Theme(s) and Technique(s)

Kenji Miyazawa’s poetry is stylistically and thematically unique, drawing from his diverse interests and experiences. His work defies a single classification, but its characteristics can be broken down into several key areas.

Style & Form

Miyazawa’s poetry is written in a distinct style that blends various elements. His primary form is free verse, which was a departure from traditional Japanese poetic forms like tanka and haiku. His verses often have a “walking rhythm” and use extensive onomatopoeia, making them feel dynamic and alive. He also employed a wide range of vocabulary, including scientific terms (e.g., “pleochroism,” “asura”), foreign words, and even Esperanto, which he believed was a universal language. This created a rich, sometimes challenging, linguistic texture. His poems often take on the form of prose poems or narrative poetry, blurring the line between verse and storytelling.

Themes & Subjects

Miyazawa’s poetry is deeply influenced by his life as an agricultural scientist and his devotion to Nichiren Buddhism.

Nature and the Cosmos: He wrote extensively about the natural world, from the landscapes of his native Iwate Prefecture to the stars and planets. His poems often depict nature with scientific precision, but also with a sense of wonder and spirituality.

Interconnectedness of All Life: A central theme is the belief that all living things—and even inorganic matter—are fundamentally connected. His work frequently portrays this idea of a cosmic, interdependent web of existence.

Humanity and Compassion: Miyazawa’s poetry often expresses a profound sense of empathy for the suffering of others, particularly the poor farmers he worked with. His most famous poem, “Ame ni mo Makezu” (“Be not Defeated by the Rain”), is a testament to this, outlining the ideals of a compassionate and selfless individual.

Spirituality and Self-Struggle: Many of his poems reflect his personal spiritual struggles and his path toward enlightenment. His work often contains Buddhist imagery, and he saw poetry as a means of exploring the relationship between the self and the universe.

Movements & Periods

Miyazawa’s work doesn’t neatly fit into a single literary movement. While he was a contemporary of Japanese modernists, his unique blend of science, spirituality, and social activism sets him apart. His poetry is most often associated with the late Taishō and early Shōwa periods of Japanese history (1912-1945), a time of great social change and intellectual ferment.

Techniques

Miyazawa’s techniques are highly original. He used synesthesia to evoke a vivid sensory experience, blending sight and sound, and often gave a sense of geological time to his descriptions, as if the landscape itself were a living, evolving entity. His use of personification is also notable, as he gave a voice to animals, plants, and even the wind and rocks.

Impacts & Influences

Kenji Miyazawa’s impact on Japanese literature and culture is profound, especially considering he was largely unknown during his lifetime. His influence stems from his unique blend of science, nature, and spirituality, which has resonated with readers long after his death.

Literary and Cultural Impact

Miyazawa’s work, discovered and published posthumously, led to a boom in his popularity and solidified his reputation as one of Japan’s greatest modern writers. His influence can be seen in several areas:

Pioneering Environmentalism: Miyazawa’s emphasis on the interconnectedness of all life and the importance of living in harmony with nature was ahead of its time. His writings on the catastrophic effects of environmental destruction and his belief in a cosmic worldview have made him a celebrated figure for modern environmentalism.

Influence on Fantasy and Children’s Literature: His imaginative and fantastical worlds, like the one in his novel Night on the Galactic Railroad, have had a significant influence on Japanese fantasy writers and creators. Many of his children’s stories, such as Gauche the Cellist, are now staples in Japanese elementary school curricula.

Anime and Film Adaptations: Miyazawa’s works have been widely adapted into anime and films, introducing his stories to new generations and solidifying his place in popular culture. Notable adaptations include the film Night on the Galactic Railroad and Gauche the Cellist.

Symbol of Compassion: Miyazawa’s philosophy of selfless service and his commitment to helping others, as expressed in his famous poem “Ame ni mo Makezu” (“Be not Defeated by the Rain”), has made him a symbol of compassion and resilience. The poem has become a source of strength for many, particularly in the wake of national tragedies like the 2011 Great East Japan Earthquake, which affected his home region.

Philosophical and Intellectual Influence

Miyazawa’s intellectual legacy is as significant as his literary one. His writings embody a forward-thinking social vision.

Cosmopolitan Vision: Despite living a secluded life, Miyazawa was a cosmopolitan thinker. He incorporated scientific, foreign, and spiritual concepts into his work, believing in a universal, benevolent order. His ideals of communal happiness, famously expressed in the motto “Until all people are happy, there is no individual happiness,” are a major theme in his work and a guiding principle for many of his readers.

Spiritual and Personal Growth: His works often reflect his personal journey and spiritual struggles. This honest and intimate portrayal of self-improvement has had a lasting impact, as readers connect with his quest for a life of meaning and service.

Relationships with Poets

Kenji Miyazawa’s direct relationships with other poets were limited and largely one-sided during his lifetime, but his work later gained the admiration of two significant figures.

Shinpei Kusano: After Miyazawa self-published his poetry collection, Haru to Shura (Spring and Asura), in 1924, Shinpei Kusano was greatly impressed by it. Kusano later invited Miyazawa to join the poetry magazine coterie Dora (“Gong”), and his interest helped to introduce Miyazawa’s work to a wider literary circle.

Kōtarō Takamura: Takamura, a prominent poet and sculptor, was another admirer of Miyazawa’s work. He, along with Shinpei Kusano, was instrumental in bringing Miyazawa’s poetry to public attention after the writer’s death, helping to secure his posthumous reputation. Takamura is noted as a key figure in the selection of Miyazawa’s works for posthumous publication.

Relationships

Family

Miyazawa had a complex but significant relationship with his father, Masajirō Miyazawa, a wealthy pawnbroker. As the eldest son, Kenji was expected to inherit the family business. However, he rejected this path due to his religious beliefs and his deep-seated empathy for the poor farmers who were the family’s clients. This created a profound conflict with his father, but Masajirō ultimately supported Kenji’s chosen path. He provided him with the financial means to pursue his studies, work as an agricultural scientist, and live a life dedicated to the farmers.

Farmers and Students

Miyazawa’s most important relationships outside of his family were with the farmers and students of his hometown. He worked as a teacher at a local agricultural high school, where he taught subjects like agronomy and soil fertility. He also created his own private school, the Rasuchijin Society, where he lectured on agricultural science and art to local farmers. His goal was to improve their lives by sharing modern farming techniques and a broader cultural education, including classical music. Though some farmers were skeptical of his methods, his dedication earned him the nickname “Kenji, the bodhisattva” for his selfless service.

Other Professionals

Miyazawa also had a connection with an engineer from a rock-crushing company. In 1931, during a brief period of recovery from illness, he worked for this company, whose products were intended to improve soil quality. This work was directly related to his ongoing efforts to aid local farmers.

Similar Poets

No poet is truly identical to Kenji Miyazawa, but several share characteristics that make them comparable. His unique blend of scientific observation, spiritual themes, and free-verse style sets him apart, but his work resonates with others who also explore the relationship between humanity, nature, and the cosmos.

Similar Japanese Poets

Shinpei Kusano (1903-1988): A contemporary of Miyazawa, Kusano was a significant poet in his own right and an admirer of Miyazawa’s work. Like Miyazawa, he developed a unique poetic style and often incorporated rural and natural imagery, particularly focusing on frogs. His work also has a childlike, imaginative quality that echoes Miyazawa’s style.

Kōtarō Takamura (1883-1956): Though his work is more varied, Takamura, a sculptor and a poet, shares Miyazawa’s deep reverence for nature and a focus on personal spiritual journey. Takamura’s most famous collection, Chieko’s Sky, is a poignant exploration of his relationship with his wife and their connection to the natural world. He was also instrumental in promoting Miyazawa’s work after his death.

Shuntarō Tanikawa (1931- ): A highly prolific modern poet, Tanikawa’s work shares Miyazawa’s accessibility and deep philosophical underpinnings. He often uses simple language to explore complex themes of existence, loneliness, and the cosmic scale of human life. His work, like Miyazawa’s, is widely read and beloved by people of all ages.

Similar International Poets

Walt Whitman (1819-1892): Whitman’s Leaves of Grass shares a similar expansive, all-encompassing vision with Miyazawa’s work. Both poets wrote in free verse, celebrated the interconnectedness of all life, and saw a divine presence in nature. Their poems are filled with lists and cataloging, creating a sense of a vast, inclusive world.

Rabindranath Tagore (1861-1941): This Bengali polymath, who was a contemporary of Miyazawa, explored themes of spirituality, nature, and humanism. Tagore’s work, like Miyazawa’s, is infused with a deep sense of the divine presence within nature and a profound empathy for humanity’s struggles.

Poetry Works

Kenji Miyazawa’s poetic works are most notably defined by the contrast between what was published during his life and what was discovered and celebrated after his death. He self-published only one poetry collection.

Published During His Lifetime

Haru to Shura (春と修羅, Spring and Asura): Published in 1924, this was the only collection of poetry Miyazawa released during his life. It was largely unnoticed at the time. The poems in this collection are characterized by a unique, modern style that blends scientific and religious themes with a free-verse structure.

Posthumous Works

The vast majority of Miyazawa’s famous poetry was found in notebooks and manuscripts after his death in 1933. These works are what established his reputation as one of Japan’s most important modern poets.

“Ame ni mo Makezu” (雨ニモマケズ, “Be not Defeated by the Rain”): This is his most widely known poem. It was found in a notebook after his death and is a powerful statement of his ideals of selfless service and resilience.

“Departure on a Different Road”: A poignant and famous poem written after the death of his younger sister, Toshi.

Miscellaneous Poems: A large body of his work was posthumously collected into his Complete Works of Kenji Miyazawa. These include a wide range of poems that explore his spiritual journey, his scientific observations, and his deep connection to the natural world of Iwate.

Spring and Asura (1924)

Haru to Shura (春と修羅, Spring and Asura) is Kenji Miyazawa’s first and only collection of poetry published during his lifetime. Released in 1924, it was largely overlooked by the public and literary critics at the time, but it has since become a seminal work in modern Japanese literature.

The collection is characterized by Miyazawa’s highly innovative and unique style, which he described as “mental sketches modified.” The poems are a direct and raw exploration of his inner world, blurring the lines between objective reality and his subjective perceptions, and often reflecting his struggles with life, faith, and his relationship with the world around him.

Key Characteristics of “Spring and Asura”

The “Asura” Persona: The title itself is a key to understanding the collection’s themes. An asura is a type of quarrelsome, battling demigod or demon in Buddhist cosmology. Miyazawa identifies with this figure, using it to personify his own inner turmoil, anger, and feelings of helplessness in the face of a chaotic world. The poems are filled with a sense of internal conflict, as he grapples with his religious faith and the hardships he witnesses, particularly the suffering of the local farmers.

Scientific and Spiritual Fusion: The collection is famous for its unique blend of scientific terminology and spiritual imagery. Miyazawa, an agricultural scientist and devout Buddhist, weaves together concepts of geology, astronomy, and biology with Buddhist philosophy. He sees the world as a dynamic, constantly changing system, and his poems reflect this by using scientific language to describe the natural world.

Unique Language and Form: The poems in Spring and Asura are written in a free verse style that was highly unconventional for its time. They are often dense with a mix of Japanese, foreign, and scientific words, creating a complex and sometimes disorienting reading experience. Miyazawa also uses extensive onomatopoeia and irregular line breaks to capture the rhythm and sound of his thoughts.

A Landscape of the Heart: Through the collection, Miyazawa creates a personal, imaginative world that he calls “Ihatov,” a fantastical version of his home prefecture of Iwate. This setting becomes a “landscape of the heart,” where external nature and his internal spiritual struggles become one. The poems are deeply rooted in the rural landscapes of northern Japan but are also a window into a vast, universal, and cosmic reality.

While its initial reception was muted, Spring and Asura is now considered a masterpiece of Japanese modernism and an essential work for understanding Miyazawa’s complex artistic vision.

Works Except Poetry

Beyond poetry, Kenji Miyazawa’s most significant works are his children’s stories, or “fairy tales” (dōwa). While often read by children in Japan, these stories contain the same deep philosophical and spiritual themes found in his poetry. Many of his works, both published and posthumous, have become classics.

Published During His Lifetime

Chumon no ooi ryoriten (注文の多い料理店, The Restaurant of Many Orders): This was his first and only collection of children’s stories published during his lifetime. The title story, about two arrogant hunters who fall prey to a mysterious restaurant, is a well-known allegorical tale.

Posthumous Works

Most of Miyazawa’s prose works, like his poetry, were discovered and published after his death, cementing his legacy.

Ginga tetsudo no yoru (銀河鉄道の夜, Night on the Galactic Railroad): Considered his masterpiece, this unfinished fantasy novel follows two boys on a magical train journey through the Milky Way. It is a deeply allegorical work that explores themes of life, death, and the search for happiness.

Kaze no Matasaburo (風の又三郎, Matasaburo the Wind Imp): This story, set in a rural school, focuses on a mysterious transfer student and the relationship between children and the natural forces around them.

Sero Hiki no Goshu (セロ弾きのゴーシュ, Gauche the Cellist): A story about a struggling cellist who finds inspiration from the animals of the forest.

Yodaka no Hoshi (よだかの星, The Nighthawk Star): This tale about a nighthawk’s struggle with its identity and its eventual transformation into a star is a powerful story about finding one’s purpose.

Episodes & Trivia

Episodes

A “Bodhisattva” to Farmers: After quitting his teaching job, Miyazawa dedicated himself to helping the poor farmers of his home region of Iwate. He founded the Rasu Farmers Association to teach them about agricultural science and also shared his love for art and music, introducing them to classical composers like Beethoven and Wagner by playing records on his gramophone. His selfless efforts earned him the nickname “Kenji, the bodhisattva.”

The Final Conversation: On the day before he died, Miyazawa’s health seemed to be improving. A group of local farmers approached his house, and despite his frail condition, Miyazawa engaged in an hour-long discussion with them about fertilizer. He died the next day, having exhausted himself in his final act of service to the people he cared for.

A Vision of “Ihatov”: Miyazawa created a personal, utopian version of his home prefecture of Iwate, which he called “Ihatov” (a word he derived from the Esperanto name for Iwate). This imaginary land, a blend of reality and fantasy, served as the setting for much of his poetry and prose, where he could explore his ideals of harmony between humanity and nature.

The Posthumous Masterpiece: His most famous poem, “Ame ni mo Makezu” (“Be not Defeated by the Rain”), was discovered in his notebook after his death. It was a private note to himself, outlining his ideals for a selfless and compassionate life. This work, never intended for public view, has since become one of the most beloved and celebrated poems in Japan.

Trivia

A Scientific Poet: Miyazawa was an agricultural scientist and was deeply interested in geology and pedology (the study of soil). He often took his students on field trips and named a spot on the Kitakami River the “English Coast” after the white cliffs of Dover, which he had only seen in pictures. His poems frequently contain scientific terms and observations.

Esperanto Enthusiast: Miyazawa believed in the idea of a universal language and taught himself Esperanto. He incorporated Esperanto words into his poetry and even translated some of his own poems into the language.

Financial Struggle: Despite being from a wealthy family, Miyazawa struggled financially. He self-published his first poetry collection, Haru to Shura, and his children’s story collection, The Restaurant of Many Orders, which were not commercially successful. He is famously said to have earned only five yen from his writing during his lifetime.

(This article was generated by Gemini. And it’s just a reference document for discovering poet and poetries you don’t know yet.)

List of notes on poets and periods of poetry
(Français, Deutsch, English, Español, Italiano)

List of Poetry Translations
(English, Français, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)

Traducción | La primavera y el asura, tomo I de Kenji Miyazawa (1924)

Prólogo

El fenómeno como yo es
De la lámpara eléctrica alternativa orgánica
Una iluminación azul
_ (Complejo de todo tipo de fantasmas transparentes)
Con paisajes y todos
Parpadeando sin descanso
Mientras sigue iluminando ciertamente
De la lámpara eléctrica alternativa de la causalidad
Una iluminación azul
_ (La luz mantiene, esta lámpara se extiende)

Son veintidós meses
De la dirección como el pasado del que siento
Inscribo papeles y tinta
_ (Todo parpadea conmigo
_ Una cosa que todos sienten simultáneamente)
Por ahora guardando
Una de las cadenas de claroscuros alternados
Estos son bocetos de mi paisaje interior

Sobre estas cosas, gente, vía láctea, asura y erizo de mar
Comer polvo cósmico, y tomar aire y agua salada
Cada fresca teoría esencial pensaré
Pero cada uno es una escena del corazón al fin
En cualquier caso sólo estos paisajes se recuerdan
Quienes son estos paisajes se memorizan tal como son
Si son la nada, son la nada es verdad
Creo que podemos co-propietarios en cierta medida

(Como el todo es todos en mí
es todo en todos)

Sin embargo, del Holoceno
Esta acumulación de tiempo vasta y relampagueante
Sus palabras deben reflejar correctamente
También que un punto de claroscuro
_ (O miles de millones de años de asura)
Ya ha cambiado su composición y calidad
También a mí y a la imprenta
Hay una tendencia que
Sentimos que no ha cambiado
Probablemente sentimos nuestros órganos de los sentidos
Entonces sentimos creer en paisajes y personas
Para creer juntos solamente
Lo que llamamos memoria e historia, y la historia de la tierra
Con sus pocos documentos (datos)
(Sobre la base de la fatalidad de la restricción del tiempo-espacio)
Son las únicas cosas que creemos
Probablemente cuando pasen dos mil años
La geología diferente apropiada será contratada
También la evidencia apropiada aparecerá sucesivamente en el pasado
Pensamos en hace dos mil años
Hay un pavo real incoloro lleno en el cielo azul
Licencias de vigor son la capa más alta de aire
Alrededor del nitrógeno de hielo brillante
Podemos excavar fósiles encantadores
O en la superficie del lecho de arenisca del Cretácico
Puedes descubrir
No vastos pies transparentes de la humanidad
Todo lo anterior
Como la propia característica del paisaje interior y del tiempo
Proclama en la cuarta extensión

El índice de refracción

Uno de estos del Nanatsumori es
Más brillante en el agua
Y muy grande pero
Camino sobre una calle desigual congelada
Camino sobre esta nieve desigual
La nube de zinc que se riza
Como un cartero oscuro
_ (Aladino de nuevo, coge una lámpara)
¿Debo darme prisa?

Nieve del monte Kurakake

Una cosa que se puede marcar
Es la nieve de la cordillera del monte Kurakake solo
El prado y el bosque
Son vagos y oscuros
No puedo contar con ellos
Como la levadura en realidad
Una tormenta vacía pero
Envío mi débil esperanza
Sólo a la nieve del monte Kurakake

Deslumbramiento del montículo

Cada trozo brillante
Para que la nieve se haya hundido
Añil de la sombra de un poste telegráfico y
La reverberación del montículo deslumbrante

_ _ El borde de un mackintosh viajero
_ _ Ha sido golpeado con fuerza
_ _ Igual que en 1810
_ _ La edición de Sanokichi

El fin de este prado es el fin del mundo de Siberia
La junta turquesa brilla
_ _ (El sol
_ _ Fuego blanco en el cielo lejano
_ _ Quema mucho)

La nieve en un bambú enano
Arde para caer, arde para caer

El ladrón

Al amanecer la pálida constelación
Cruz reflejos irregulares de barro se gelificó
Posó ante la tienda
El hombre estaba robando esta jarra de celadón
De repente se detuvo caminando por sus largas piernas negras
Dos manos puestas en dos orejas
Escuchando una caja de música de cables eléctricos

Muelles y asuras (mental sketch modified)

Del color del acero gris, la imagen
Zarcillos de akebia quinata envolviendo las nubes
Matorrales de los campos y tierra húmeda de los suelos
Por todas partes, por todas partes había un aspecto de falso Cielo
_ _ (Era más tupido que la orquesta de cámara)
_ _ Cuando ondeaban fragmentos de ámbar)
Una amargura y un azul de ira
El fondo claro de la atmósfera de abril
Escupí y rechiné los dientes de nuevo
Soy un asura
_ _ (Paisaje mecido por las lágrimas)
Nubes rotas limitaban la visibilidad
_ El mar del cielo como esmeralda
_ _ El viento de cristal sagrado iba y venía
_ _ _ ZYPRESSEN una línea de primavera
_ _ _ _ Que extraña y extrañamente chupaba el éter
_ _ _ _ _ De la negra hilera de sus piernas
_ _ _ _ _ _ Encendió el lado de la nube en una montaña de cielo
_ _ _ _ _ _ _ (Ondas de espejismo y blanca polarización)
_ _ _ _ _ _ Se perdieron las palabras verdaderas
_ _ _ _ _ Las nubes se rasgaban y volaban por el cielo
_ _ _ _ Ah, el fondo del abril brillante
_ _ _ Me repetía a mí mismo, rechinando los dientes, yendo y viniendo
_ _ Soy un asura
_ _ _ _ (Nubes de calcedonia fluían
_ _ _ _ Un pájaro de esta primavera cantó no sé dónde)
_ _ El anillo de la luz del sol era azul y se desvanecía
_ _ _ Asura resonó con una madera
_ _ _ _ _ Del cuenco del cielo que era
_ _ _ _ _ Una reunión de árboles negros crecientes
_ _ _ _ _ _ Estas ramas crecen tupidas
_ _ _ _ _ Cada paisaje doble
_ _ _ _ _ De las copas del bosque del dios del luto
_ _ _ _ Un cuervo agitó sus alas
_ _ _ _ _ La atmósfera se hizo cada vez más clara
_ _ _ _ _ Cuando los cipreses se alzaron sobre el cielo)
Una cosa que pasó sobre el oro de la llanura
Una cosa de forma humana sin misterio
Un campesino en un mackintosh me miró
¿Estaba realmente mirando
En el fondo del mar de brillante atmósfera
_ _ (La tristeza es azul dura y azul)
ZYPRESSEN se balanceó en silencio
El pájaro subió de nuevo al cielo azul
_ _ (No hay palabra verdadera
_ _ Las lágrimas de Asura cayeron al suelo)

Volvería a recuperar el aliento
El pulmón un blanco se encogería
_ _ (Esparcía mi cuerpo en mil pedazos de cielo)
El eco del ginkgo aún brillaba
ZYPRESSEN cada vez más negro
Una chispa de la nube derramaría

Nieve del día

Nieve ondulada
Se derramaba el zumo de un melocotón
La luna aún se derretía en el cielo azul
Ronroneando tiernamente en el cielo
Tragó luz que se dispersó una vez más

Señal de la nube

Eso es bueno, me siento refrescado
El viento también sopla
Los aperos de labranza necesitan brillo
La montaña, vagamente
El cuello de roca, y la campana de roca
Todos sueñan cuando no hay tiempo
La señal de la nube de este tiempo
De pálido ascetismo
Cruzaría alto hacia el este
La montaña, vagamente
Sobre ciprés enorme seguramente
El ganso salvaje mostró esa noche también

El paisaje

Las nubes eran ácido carboxílico no es confianza
Flores de cerezo su floración y son reventados por el sol
Todavía el viento vino y sopló en el árbol de cerezo
El árbol de aralia elata es cortado que tembló
_ _ …… Al instante el fertilizante se roció en sable y el suelo
Ahora, un modelo un vaso de cobalto……
Los dumdums de alondras inconstantes
tomarían de pronto el cielo
_ _ El viento soplaba Tsukumogami
Sacudió las hierbas doradas
Las nubes eran ácido carboxílico no se confía
El cerezo iluminado de blanco por el sol

Descanso

Este espléndido espacio
En la cima florecieron ranúnculos
_ _ (Esta es la taza de mantequilla de buena calidad, pero
_ _ Era más azufre y miel que mantequilla)
Había sagina y apio debajo
Las libélulas de estaño revoloteaban
La lluvia crujía y crepitaba
_ _ (Menos mal que no había niebla, no había bruma)
_ _ Y no había árbol Elaeagnus)
Arrojé mi cuerpo a las hierbas
Y había una parte blanca y negra de las nubes
Todas las cosas brillaban
Lancé mi sombrero, y el sombrero era negro como una seta
Se talló y su cabeza se fue al otro lado de la orilla
Bostezaba
Entonces aparecía un demonio, venía y se iba
_ _ La hierba seca era suave
_ _ Ya se estaba convirtiendo en un excelente cojín
Todas las nubes fueron arrancadas
El cielo azul adivinaría las grandes mallas de una red
Son una placa del mineral que se rompió del fondo
_ _ Acrocephalidae voló sin cesar
_ _ La sequía ardía crepitante

El disolvente del vacío (Eine Phantasie im Morgen)

El cobre fundido nunca brilló
Las hojas blancas no se encendieron
El horizonte del color azul cobre solo
Se volvería claro y oscuro
La mitad se fundiría y se estancaría
Ballotait desde muy pasado
Crucé la calle de la nuez de ginkgo
Nuevo y duro
Una rama horizontal del árbol
Un hombre de cristal amarillo
Cambiado a un triángulo sobre
Que estaba suspendido en el cielo
Sin embargo seguro, no se estaba
De cosa misterio tanto
Pero silbaba
Y caminaba sólo con largas zancadas
Todos los árboles azules de la canción del ginkgo
Eran muy lúcidos y discutían
Por ahora, estos son el paisaje de una botella de alcohol
Las nubes blancas brillantes fueron cortadas por todas partes
Este azul del mar eterno apareció en parte
Todavía el olor de los pepinos frescos cielo
Pero balanceé el bastón demasiado lejos
Así que inmediatamente los árboles desaparecieron
La hierba chispeante se oía
Porque, la calle de la nuez de ginkgo
Retrocedió dos kilómetros detrás
En un reguero de verdín de la llanura
Entrenamiento militar por la mañana
El placer de la mañana me llegó poco a poco
Las alondras de hielo cantaron también
Esas orejas transparentes y hermosas
Incluso sobre todo el cielo
Tenían una vasta influencia
Es decir, las nubes se derretían gradualmente en el cielo azul vacío.
Por fin, ahora
Pellets fueron puestos de la parafina en una bola redonda
Flotando silenciosamente
El horizonte se mecía a menudo
Allá un caballero gris con la nariz roja
Llevaba un perro blanco igual en altura a un caballo
Quien caminaba es muy obvio
_ _ (Hey, buenos días)
_ _ (Sí, hace buen tiempo)
_ _ (¿Por dónde caminas?
_ _ Bien, uh uh, pero ayer
_ _ Sr. Sonnental parecía haber fallecido
_ _ ¿Lo sabes?)
_ _ (No, del todo
_ _ ¿Quién es el señor Sonnental? ¿Lo sabes?)
_ _ (Fue envenenado por una manzana)
_ _ (La manzana, ah, de hecho)
_ _ Supongo que la manzana está ahí)
De la profunda tierra azul de flores distantes
El árbol de estas manzanas doradas
Creció silenciosamente
_ _ (Se comería la piel dorada si no la pelara)
_ _ (Me compadezco de él
_ _ Es bueno que bebiera el eau régale de una vez)
_ _ (¿Agua gourmet? Es perjudicial
_ _ Sí, sí, en efecto.)
_ _ (No, el agua regia no es buena.
_ _ No es buena después de todo.
_ _ Todo lo que tenía que hacer era morir.
_ _ Es el destino.
_ _ Es la providencia.
_ _ ¿Es pariente?)
_ _ (Sí, es un pariente muy lejano)
Entonces, ¿por qué estaba bromeando?
Mira, un perro blanco estaba al lado de un carmesí
Se había escapado de allí muy lejos
Ahora era visible como una rata nanking con dificultad
_ _ (Ah, mi perro ya estaba huyendo)
_ _ (Es inútil que lo persigas)
_ _ (No, es caro
_ _ Debo atraparlo
_ _ Adiós)
Los manzanos crecieron en exceso
Y crecieron
Bajo un árbol carbonífero
Yo sólo era una hormiga
El perro y el hombre corrían mucho
El cielo oriental se extendía lleno de ámbar
Sobre un bosque de manzanos
Por esto, uno siente la inflamación de las amígdalas
De repente el día se volvió tormentoso
La cima del cielo y lejos está
Qué terrible es este borde del cielo
Las alondras felices fueron absorbidas al fin.
Es pobre que se encorven
Entre estas frías placas de lapislázuli
Es cierto que los delgados hombros temblaban
Ya no era broma
Los horribles fantasmas de los pintores
Rápidamente corrieron aquel lugar
Todas las nubes lanzaban rojas llamas de litio
Entonces la luz intensa vino y se fue
Las hierbas cambiaron a feofíceas
Aquí seguramente están los campos ardiendo con nubes tristes
Viento zigzagueante y torbellino amarillo
El cielo onduló con fuerza
Cuál es la tristeza agria
_ _ (Pastor, ¿qué te pasa?)
Estaba demasiado alto
_ _ (¿Estás enfermo?
_ _ Tu cara está pálida)
_ _ (No, gracias
_ _ No es nada grave.
_ _ ¿Qué hay de ti?)
_ _ (Soy un guardia)
Hay una mochila muy cuadrada
En ella una medicina líquida amarga y ácido de ladrillo
Parece que contenía varias cosas
_ _ (Bien.
_ _ Hoy tu tarea es difícil.)
_ _ (Gracias
_ _ Ahora, en el camino, un hombre se derrumbó)
_ _ (¿Qué persona es?)
_ _ (Es un apuesto caballero)
_ _ (¿Tiene la nariz roja?)
_ _ (Sí)
_ _ (¿Alguna vez atrapó un perro?)
_ _ (En su última hora dijo
_ _ Que el perro estaba a quince kilómetros
_ _ Era un perro muy bueno.)
_ _ (Entonces, ¿este hombre ya fue llevado?)
_ _ (Uh, se curará cuando caiga rocío
_ _ Ben, parece un pequeño letargo de tiempo amarillo
_ _ Oh, hay un viento fuerte, es molesto)
Es un viento fuerte realmente
Iba a disparar
Un huevo podrido de camello en el desierto
Sulfuro de hidrógeno y
Sulfito anhidro estaban contenidos
Finalmente hubo dos corrientes de aire de los gases del cielo
Y chocaron y se convirtieron en un vórtice y formaron una flor de sulfito.
_ _ Las corrientes de aire del gas eran dos, su formaron una flor del sulfito
_ _ _ _ Las corrientes de aire del gas eran dos, su formó una flor del sulfito
_ _ (Espera, espera)
_ _ Lo siento, espera.
_ _ Tú y molesto al fin
_ _ Ciertamente, es molesto.
(Así que me dan un reloj, por favor)
Esa mano puso en mi bolsillo
¿Qué está guardando?
No es necesario, no puedo hacer nada
_ _ _ _ No puedo hacer nada
_ _ _ _ _ _ No puedo hacer nada
_ _ _ _ _ _ _ _ No puedo……
El agua caía
Tanto mejor, felicitar a un dios servicial, es la lluvia
Disuelve todo el gas nocivo
_ _ (Coraje, coraje
_ _ No hay problema)
¿No hay ningún problema? Estaba cayendo a revelarme
_ _ (¡Cállate, tú!
_ _ El joven ladrón de tiempo
_ _ El ruidoso sargento Thénardier
_ _ ¡Tú!
_ _ No te burles demasiado de mí.
_ _ ¿Eres un guardia? ¡Usted!)
Está bien hecho, él estaba abajo.
Se estaba quedando pequeño
Se estaba secando
Seguíamos siendo una mochila negra cuadrada
Se convirtió en un fragmento de turba
Esto le enseñará que él era un pedazo muy feo de turba
¿Qué pondrías en la mochila?
El guardia, que es lamentable por completo
Una lata de cangrejo de Kamchatka
Una bolsa de semillas de arroz de secano
Un par de zapatos grandes mojados
Y la cadena de oro del caballero de la nariz roja
No importa, en realidad es aire puro.
Es aire como líquido
_ _ (Sí, es necesario Dios es alabado
_ _ ¿Se alaba su poder?
_ _ Sí, es aire puro)
La clara luz del cielo, toda la basura fue lavada.
Esa luz se detuvo en nada
Así que todo está oscuro
A pesar del sol girando y moviéndose
Vi las innumerables estrellas titilando
Todas las hierbas estaban restaurando la clorofila
El líquido de la luz de la luna que incluye glucosa
Aún así, latiría con placer también
La turba refunfuñaba algo
_ _ (Disculpe, Pastor
_ _ Mira esas nubes empezar a moverse
_ _ Como el pura sangre de la carrera de caballos en el cielo)
_ _ (Sí, es hermoso
_ _ Nube, carrera de caballos
_ _ pura sangre en el cielo, nube)
Mostró todos los colores de la fantasía sinfónica
… Ya era tarde, no hay tiempo felicito
El iris es la luz y su efecto sinfónico es débil
Ahora se convirtió en un grupo de vapor
El disolvente vacío de dos mil grados bajo cero
Fue tomado de repente y borrado en ella
Sino más bien, mi palo
¿A dónde fue?
Mi chaqueta desapareció en un instante
Mi chaleco ya no está
El disolvente vacío muy afligido
Caminó hacia mí esta fe
Como en el estómago de un oso
Sin embargo por el principio de conservación de masas
No cambió
Si dijera así
Del claro conocimiento de este pastor
Las cosas estaban desapareciendo rápidamente, es lamentable
_ _ (¡Ah, qué agradable sorpresa!)
_ _ (Oh, caballero Nariz Roja
_ _ Por fin atrapa al perro)
_ _ (Muchas gracias
_ _ ¿Qué te pasa?)
_ _ (Tengo mucho frío porque he perdido mi chaqueta)
_ _ (Vale, la tuya
_ _ Tu chaqueta es esa)
_ _ (¿Cuál es mi chaqueta?)
_ _ (La chaqueta que llevas)
_ _ (Lo es, sí
_ _ ¿Es una cosa vacía?)
_ _ (Sí, ciertamente lo es
_ _ Pero es raro.
_ _ ¿Es mi cadena de oro?)
_ _ (Sí, es una función de guardia de carbón de todos modos)
_ _ (Bueno, es una cosa de carbón)
_ _ (Por supuesto
_ _ El perro estornuda mucho, ¿estás bien?)
_ _ (Es siempre)
_ _ (Es grande)
_ _ (Este es el perro del Ártico)
_ _ (¿Él usa como un caballo?)
_ _ (Así es, él usa como él, ¿Cómo lo hace?
_ _ ¿Tratas a mi perro?)
_ _ (Muchas gracias
_ _ Así lo trato)
_ _ (Por favor)
Ciertamente
Montaría el perro ártico
Caminó hacia el este como el dios perro
Había hierba verde brillante
Nuestras sombras eran viajeros azules en la arena
Luego la calle instantánea del ginkgo
En cuya frágil rama horizontal
Un admirable joven de cristal
Se convirtió en triángulo y quedó suspendido

Annelida Tänzerin

_ _ (Er, es el agua de Sol
_ _ Es la ola de agua de escarcha)
El sol es una rosa dorada
Una pequeña annelida roja
Llevaba agua y luz en su cuerpo
Bailó sola
_ _ (Er, ocho, gamma, E, seis, alfa
_ _ En particular, hay letras decoradas con el arabesco)
Restos de alas de insecto
Una capa de hojas muertas
Burbujas de perlas
Los tallos de musgo se rompieron
_ _ (Señor pequeño sol rojo
_ _ Ahora, en una sombra del fondo del agua
_ _ Con sombra amarilla
_ _ Los suaves bailan
_ _ Oye, pero enseguida
_ _ Pronto flotan)
La Annelida roja Tänzerin
Tenía dos orejas puntiagudas
Un anillo de coral fosforescente
Botones de perlas brillaban adecuadamente
Giraban y giraban
_ _ (Er, ocho, gamma, E, seis, alfa)
_ _ En particular, hay letras decoradas con el arabesco)
La espalda brillaba
giraba con todas sus fuerzas pero
Las cuentas eran imitaciones
Balas de aire mucho menos vidrio
_ _ (No, sin embargo
_ _ Ocho, gamma, E, seis, alfa
_ _ En particular, hay letras adornadas con el arabesco)

La espalda brillaba
Con toda su fuerza
Dijo que estaba bailando, pero
En realidad, estaba atormentado por las burbujas de su cuerpo.
No es nada fácil
_ _ Así que el sol se metió en las nubes
_ _ Y me sentaba en una piedra y me entumecía
_ _ Un trozo de madera en el fondo del agua es como una oruga y un pepino de mar.
_ _ Y al principio no veo su forma.
_ _ Se derrite, ¿no?
O desde el principio todo
Fue el sueño azul vago
_ _ (No, ella está llegando, ella está llegando
_ _ Princesa, ella está aquí
_ _ Ocho, gamma, E, seis, alfa
_ _ En particular, hay letras adornadas con el arabesco)
Huh, el agua era vaga
La luz era besada
Los insectos eran ocho, gamma, E, seis, alfa
_ _ En particular, hay letras adornadas con el arabesco es?
_ _ Ah, eso me hace cosquillas
_ _ (Sí, es cierto exactamente
_ _ Ocho, gamma, E, seis, alfa
_ _ Particularmente, hay letras adornadas con el Arabesco)

La granja Koiwai – segunda parte

Una pandereta maligna golpeaba también en el cielo lejano
La lluvia, ciertamente no llovía hoy
Pero un coche iba a toda velocidad
No es maravilloso mucho
Por ahora, por fin hasta allí
Iba a una parte del camino de cenizas volcánicas
Hay precisamente una vuelta
De las espigas de hierba su marchito que temblaba
_ _ (Una montaña esta llena de nubes azules, y brillaba
_ _ Es hermoso cuando el coche de caballos negro empieza a correr)
La alondra, la alondra
En el cielo en que mil piezas de plata su esparciría
Es la alondra que ahora sube
Negra, rápida y dorada
El movimiento browniano hecho en el cielo
También sus alas
Eran cuatro como el escarabajo
Una era marrón claro y la otra dura lacada
Era doblemente segura
Cantaba mucho mejor
Se tragó la luz del cielo
Por supuesto a lo lejos
No cantaban mucho
Pero eran el fondo
Entonces desde allí
Este parecía poco valiente
En su día
Que vestido con un largo abrigo negro
El hombre como un médico venía
A menudo me miraba
Es un acontecimiento muy banal
Cuando fui el camino directo sin tenedor todo solo
También en el invierno es la misma situación así
Venía un Macfarlane negro
Es conveniente para el centro
Él estaba lanzando una boya de palabras desde lejos
Caminaba como si masticara dolorosamente
Por un camino desigual
Dijo, es conveniente para el centro
Preguntó preocupado.
Yo sólo decía “Sí” bruscamente
Y me sentía muy mal
Hoy ha recorrido un largo camino

Vigilando el paisaje

Esta madera
Se estaba poniendo demasiada pátina
Sin embargo un árbol así no sirve para nada
Y a través de un poco del efecto Purkinje
Fue enviada una línea de ámbar a través de las nubes.
¿No es así?

Ah, qué buen espíritu
En la Bolsa o en el Parlamento
Uno se viste sólo con levita
Más bien una tarde de limón
Entre espigas de arroz azul oscuro
Cuando diriges una banda de Holstein
Es muy apropiado y eficiente
Qué buen espíritu
Aunque tuviera el color del yokan y estuviera andrajoso
O hiciera un poco de calor
Qué postura erguida tan seria
El hombre piadoso en el paisaje
No había mirado en ese momento

Monte Iwate

En el reflejo esparcido por el cielo
Algo viejo y negro atravesó
En la profundidad de los fragmentos su empuje
Una cosa estancada sucia y blanca

Meseta

Tek que el mar, yo, pienso
A pesar de todo es la montaña brilla

Cabellos, Son soplados por el viento
Un ciervo comienza a bailar

Serie Harataiken (boceto mantal modificado)

_ _ dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah
Esta noche, en la cuerda de la luz de la luna
Decorado un bonete con la cola negra de un gallo
Balanceó una espada de un solo filo
Bailarinas de la aldea Haratai
Los pechos reboisaient amarillo
Arrojando amargura de la agricultura de los Alpes
Las mejillas regordetas estallaron
Deseaban el viento y la luz del plato
Vestían cuero de loto y cordones
Eran soldados de la atmósfera de la tierra, mis amigos
Comprendió el aire azul de todas partes
Recogiendo la tristeza del roble y el haya
Llevando antorchas de serpentinita
Golpeado y temblado con el pelo del ciprés
Al cielo del aroma del membrillo
Quemó una nueva nebulosa
_ _ dah-dah-sko-dah-dah
Hizo la piel cortada por el húmico y la tierra
Los músculos heridos por el ácido carbónico frío
Su preocupó la luz del sol y el viento a la luna
Los maestros envejecieron piadosos
Esta noche la fiesta de la Galaxia y el bosque
De la silueta de una penillanura
Tocaron sus tambores
Resonaron en las nubes de la delgada luna
_ _ ¡Ho! ¡Ho! ¡Ho!
_ _ _ _ Érase una vez el Rey Akuro de Takoku
_ _ _ _ Una caverna de dos millas de largo y negra…
_ _ _ _ Un sueño y un dios negro de la noche pasó a través de ella.
_ _ _ _ Se cortó la nariz y se sumergió en ella.
Y la Andrómeda fue sacudida por las antorchas
_ _ _ _ Las gruesas máscaras azules
_ _ _ _ Fueron cortadas por los sables y se arrastraron
_ _ _ _ Pondría una araña al final del viento nocturno
_ _ _ _ Entró en el estómago se convirtió en barro
_ _ _ _ dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah
También cortaron duro con sus sables
Invitaron a los ogros de la noche por todas partes
Era de noche cuando caía la savia
Una erosión se esparcía roja por el suelo
¡Celebra la nube que cae granizo y viento!
_ _ dah-dah-dah-dah
El viento sonaba y el ciprés estaba en desorden
La luna era flechas de plata siendo disparadas
Disparar y acabar eran también la vida de las chispas
Un chirrido de sables aún no se borraban
_ _ dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah
Las espadas susurraban espigas de arroz
Llanto de fuego esparcido sobre el León
El lecho de la Vía Láctea extendido y borrado
Disparar y acabar eran también una vida
_ _ dah-dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah

El gran poste eléctrico

Una lluvia y nubes goteaban sobre un suelo
Las espigas rojas de la hierba de la pampa se lavaban
Un campo se estaba poniendo bonito así que
Los gorriones juntaron los cien pedazos de vidrio
Del gran poste eléctrico de Hanamaki

Enterraron campos de arroz para saquear
Volando como “uru uru uru uru”.
A la luz de las nubes y la lluvia
Los gorriones se retiraron de los cien trozos de vidrio
En la gran bifurcación del camino de Hanamaki

El trabajador del cable eléctrico

Un reparador del caprichoso cristal del poste eléctrico
Te aconsejo, estás en las nubes, la lluvia y este pino
Así es la forma de Las mil y una noches
Su cuerpo se curva negro y claramente mucho como una llave
El fondo de su mackintosh es mojado y toma preocuparse
Que reparar no meneas bien sus manos
Así que es la forma de Las mil y una noches
Usted es un miembro del grupo de ladrones negros?
Llorar en este lugar
Plantea, se me transmite, pero
¿Por qué, cómo eres muy difícil?

Masaniello

Sobre hierba de la pampa al castillo
Hay el cielo hecho en Italia
En este lugar bailaba una bandada de pájaros
Fragmentos de la nube moscovita
_ _ (Cedro del foso y terciopelo de canario)
Árbol de elaeagnus donde algo brillaba y temblaba con fuerza
Siete hierbas de la pampa plateada
_ _ (En el campo de paulownia al final del castillo, se mece y se mece, la paulownia)
También se movían las flores de knotweed
Gorrión, gorrión
Voló lentamente hacia los cipreses, entró en el arroz
Estaba a la sombra de un banco y no había corriente de aire
Podían muy lentamente
_ _ (Me ahogo con el viento y la tristeza)
El nombre de la mujer varias veces
Repetí en el viento, no hay problema?
Repetí el nombre de la mujer en el viento, no hay problema?
_ _ (Ya toda la gente tiene palas y cuerdas.
_ _ En un momento están bajando por una orilla)
Ahora no hay pájaros en el cielo
De nuevo un cuervo entró por un lado
El tejado era rectangular y la pendiente brillaba blanca
Dos niños corrían
Llevaban abrigos y corrían, niños japoneses
Otra vez las parábolas de los gorriones marrones
Aquí hay moreras de metal
Otro niño corría lentamente
Rojas y rojas eran las espigas
_ _ (Es Rusia, es Chejov)
Un álamo negro se mecía con fuerza
_ _ (Es Rusia, es Rusia)
Los pájaros caían para montar
El grupo cayó en el aparato de Kipp
Esta vez el cielo sobre el castillo era un cielo blanco chino
Tres pájaros planeaban hacia el ciprés
Cuatro volaban en círculos

La mañana de la separación eterna

En el día de hoy
Mi hermana pequeña se irá lejos
Caía aguanieve y afuera estaba misteriosamente claro
_ _ (No llueve nada a la ligera)
A nubes poco rojas y más miserables
El aguanieve caía suavemente
_ _ (No llueve a gusto de todos)
Adjunto al patrón de la brasenia azul
Estos dos cuencos de cerámica astillados
Empecé a tomar la nieve que comiste
Como una bala curva
Estaba cayendo en esta nieve negra
_ _ (No llueve nada a la ligera)
Las nubes oscuras de plomo azul
La nieve derretida se hundió suavemente
Ah, Toshiko
Por ahora estás empezando a morir
Para estar alegre a mí toda la vida
Este un tazón de nieve fresca mucho
Me pides
Gracias por mi digna hermana
También caminaré recto
_ _ (No llueve nada a la ligera)
Entre la fiebre más fuerte y estertores
Me preguntaste
El mundo se llamaba la Vía Láctea, el sol y la atomósfera
La última nieve que cayó del cielo…

……Sur dos trozos de piedra Mikage
Fue la nieve derretida acumulando tristemente
Fui el primero inestable en esto
Mantuvo el sistema de dos fases de ingenuo y agua
Las gotas transparentes frías desbordaron
Por ramas de este pino pulido
De mi dulce hermanita
Obtuve el alimento del fin
En el tiempo que habíamos crecido juntos
Nos acostumbraríamos a ver ese cuenco azul
Finalmente te irías hoy también
_ _ (Yo, sólo, me iré)
Realmente hoy debes irte
Ah, la sala cerrada del hospital
En el compartimiento oscuro y mosquitero
Te quemas suave y pálida
Mi hermana merecedora
Toda la nieve
Era muy blanca en alguna parte
Del cielo se desborda tan terrible
Esta hermosa nieve venía
_ _ (Cuando nacerás de nuevo
_ _ Tus muchas dificultades y enfermedades
_ _ Nacerás y no sufrirás)
A la nieve en los dos cuencos que comes
Deseo por ahora y aquí
Cambiar la comida del paraíso
Pronto para ti y para nosotros
Traen la comida sagrada
Ojala me ayudara a mi

Agujas de pino

_ _ Justo ahora estoy cogiendo aguanieve
_ _ Estas hermosas ramas de pino
O tú, como saltar sobre esta hoja verde
Te la pones en la piel
Estas agujas azules
Tu piel se pinchó fuerte
Cómo te absorbías
Cómo nos asombraste
Como querías ir al bosque
Te quemó el fuego
Cuando te retorcías de sudor y dolor
Trabajaba alegremente en el lugar iluminado por el sol
Paseaba por el bosque pensando en los demás
_ _ “Ah bueno, que bonito
_ _ Cómo viene el sentido en el bosque”
Como un pájaro, como una ardilla
Admiraste el bosque
Y me envidias como
Ah, mi hermanita se irá lejos hoy
Sólo podías ir, de verdad
Tenías que pedirme que fuera conmigo
Dime así
_ _ De tu piel, sin embargo
_ _ Qué bonito es hoy
_ _ En la cama verde
_ _ Lo cubro con ramas de pino
_ _ Ahora caen las gotas
_ _ El cielo
_ _ Refrescante
_ _ Puedes oler la trementina

El tren de Karafuto

Tiras de fireweed y trébol púrpura
Había humo de los trocitos de retinita
La línea del monte Suzuya, no sabía que es una niebla brillante o nubes
_ _ (Un cráneo negro quemado de un burro
_ _ En la grava roja al lado de la pista
_ _ Pon muy piadoso)
_ Miradas furtivas
_ El sauce se puso azul y tembló
_ Seguramente era el sauce de polaris
Oh, la flor de angélica ursina del baluarte de la marina
Un alfiler del color de la luna
Era un franco koropokkuru
El sublime pelo blanco de la nube Vanf Hoff
Lo que hacía la cola era la santa betula alba

El arroyo cruzaba un campo azul brillante
Cortaba la tundra
_ _ (Brillaba el cristal de un poste de telégrafo)
Lo vigilaba la transparencia del sol poniente
Esta hoja de crisoberilo
Y las venas una a una muy precisas
_ _ (La belleza oscilante de los abedules)
Se construyó una valla de madera
Una red de luz de trébol púrpura
_ _ (Los abedules alrededor
_ _ Crecieron en los campos quemados
_ _ Así que todo tenía el pensamiento de mahayana)
Todo el falso mahayana budista se desdibujó
El sol palideció un poco
Superpuesto a las nubes que rozaban la línea de la montaña
El marco de la ventana del tren
Se convirtió en un prisma y el sol se reflejó
Y arrojó el espectro a un campo
_ _ (Las nubes llevan un rato moviéndose lentamente)
El sol pronto se puso también
Antes lo ponía la estima
Luego se puso por el prestigio
Se hizo el anillo de platino
_ _ `Canon budista`
Seguramente el sol intentaba entrar en la nube de lana
El aire claro de la luna de agosto de Sakhalin
Finalmente como el jugo de la razón
Donde fermentó suavemente como los freps
Para que la flor de angélica ursina viera más brillante
La gran montaña fue comida y marchitada por una polilla de pino
Y el rayo de sol rosa brilló
Del señor Naturaleza, el ingeniero del cielo
El todo es su plan muy nuevo
La sombra de un pliegue de la montaña
Era un cuadrilátero izquierdo azul verdoso
En esta modesta bola transparente
Se pueden ver cuervos volando
Desde lo alto Todomatsu de un ánodo
Era un blanco-negro había tallado y se mantuvo
_ _ `Canon budista`
El país montañoso de piezas de cristal
Nube polvos de cobre quemado
_ _ (Allí arden y arden y arden
_ _ Aquí, abedul y sauce crecen oscuros)
Qué hermoso dosel de lapis
Dentro de nubes de fuego ardían en jirones
Una habitación estaba terminando el proceso de la alquimia
Comenzó a casarse de un momento a otro
_ _ (Un trozo de cielo azul se difumina y calma)
Alrededor, alrededor el fleo del mar azul
Las cosas fueron alrededor, es el alerce nervioso de Dahurian
Y un estante de angélica y caoba
Entre betula alba muy azul
Construyó una magnífica casa con llave
Este es mi hogar
Este campesino feliz con la cara roja
Escribió “Inoue” en letras grandes en la pared

Planicie Suzuya

Una abeja salió volando
La máquina de primavera para dar forma al ámbar
Una Ammophilinae con la cara azul
_ _ (Esta abeja se me apareció
_ _ Obedecería en orden la ley de la parábola
_ _ Cayó al solitario mundo desconocido)
Las espinas de Timoteo eran azules y alegres
Como la masa majestuosa y el anillo de nubes
No se oponían a la preocupación y la tristeza
Así que una nueva abeja voló
Vagaba a mi alrededor
La arañaban de nuevo zarzas y arbustos
Me picaba en el pie
Se mojó tanto un día que las nubes de otoño volaron
A los escombros de un incendio en el extremo arrasado de la meseta de Suzuya
Me senté muy feliz.
Estos todomatsus están realmente quemados.
Se elevaría al cielo y se balancearía como un globo canadiense
Donde el betula alba crecería alto más allá del sueño
Le crecían hojas nuevas
Y fue empujado por la ola de tres direcciones
_ _ (Por fin está muy verde
_ _ Quiero servirle ese árbol de Navidad
_ _ Pino azul, todomastu azul
_ _ Creció mucho)
Alrededor de la tropa de trébol púrpura
Florecieron flores púrpuras de luz y niebla
Fumaban de cerca y de lejos
_ _ (Los escolopácidos también cantan
_ _ Probablemente el motor de los escolopácidos)
Aquella noche llevaba un montón de algas
Estaba cruzando el estrecho de Souya
Entonces el sonido del viento era como una locomotora de vapor
Las cosas fluían era dos golpes de tee
No era una serpiente, sino una ardilla.
Me miró con desconfianza
_ _ (Ahora el viento
_ _ Escucho como un ruido parlanchín
_ _ Dentro de las montañas distantes
_ _ Mientras caía del cielo azul del invierno de Kouma
_ _ Hay un gran sonido de tos
_ _ Es alguien viejo de Sakhalin)

Sin avaricia ni remordimiento al deseo

Cabalgaba un caballo vestido de papel engrasado
En un paisaje frío, la sombra del bosque negro
La ladera de un suave anillo de ablación, Entre los juncos rojos
Es bueno caminar despacio
Sostuve un paraguas de polígono negro
También compre azúcar en polvo
Era muy nuevo dibujo
_ _ (Chirakero chirakero, parus minor)
Un grupo de hierbas ásperas llamado arroz
Como el Sr. Turner incluso deseaba
Se convirtió en el color de la ensalada
Seguido por el monje Jiun
Fue la aparición de no absorber y el deseo
_ _ (Chirakero chirakero, parus minor
_ _ Un rico ocioso de este momento
_ _ Es un cónsul firme)
La montaña sopló tristeza como koto koto
Y el gris de una línea de fuego se balanceaba
Siguiendo al monje Jiun
Era la apariencia de no absorber y el deseo

Paisaje y la caja de música

Estaba lleno del refrescante olor de la fruta
El arco del crepúsculo en plata fría
Las nubes cubrían más y más
En la obsidiana obtusa Chamaecyparis y cipreses
Un caballo vendría lentamente
Un campesino montaría en el caballo
Seguramente la mitad de las cosechas del campesino
Se fundirían en átomos de árboles y plata
Y yo también, pensé que es bueno que se derritió
Llegó lentamente con un caballo peludo con un gran cerebro
El caballo de Nanbu bajó su cabeza dócil y agrietada
Colina del monte Matukura negra y alta
Un punto del complejo de la dalia
El plan de esta lámpara era
La gema de septiembre
Al planificador de esta lámpara
Le ofrecí un tomate azul
Algunos mojaron esos caminos y
Un parapeto se pintó con creosota en este momento
Dos cables eléctricos brillaban a través de la nada impostora
No sabía que el paisaje era transparente
Por encima el agua fluía con estruendo
La refrescante plata y manzana del arco crepuscular
La mata de pelo en el pecho de un cisne negro flotante
_ _ “Ah, la luna se eleva”
A los polvos afilados del otoño
Fueron pulidos por los polvos de cristal de la nube
La luna del sexto día era puntiaguda de billante de color plata pulida púrpura
El parapeto del puente tenía adheridas muchas gotas de lluvia
Lo que se levanta de esta nostalgia
El agua era silenciosa adhesiva
En el paisaje muy transparente
Del Monte Matsukura y el bosque Goken y grandes dacitas
El intrépido asesino fue fusilado
Dejé que me asesinaran
_ _ (Seguramente estaba talando este árbol)
_ _ (La copa del cedro pinchó en negro un cuenco de cielo)
El viento rasgó y llevó la mitad del silbato
_ _ (Lamentable máquina de dos vías)
Miraba viejas hierbas verdes de la India
Las aguas circundantes chocaron contra un escarpe
Girado de lado como un puerro
El viento soplaba bien cómo
La superficie de la luna dicotómica se fue volando
Por eso mi paraguas
Crujió por un momento
Y cayó por el lugar del puente que se mojaba
El monte Matsukura, el monte Matsukura era agudo y se elevaba hacia el cielo gris azulado oscuro del diablo
Una lámpara eléctrica estaba muy caliente
El viento soplaba de nuevo
Realmente venía silbando, el primer viento de Kalba
Un pedazo de un patrón del amanecer flotaba
Cuerdas eléctricas y terribles trozos de calcedonia
Por allí flotaba una gran estrella azul que uno no hizo
_ _ (Qué veces compensaciones del amor)
Nubes de que terrible color del sapo y
Mi chaqueta revoloteaba
_ _ (Se puso la caja de música)
La luna de repente se convirtió en dos
Un grupo de nubes pasando por delante de la superficie luminosa, creando un halo negro cegador
_ _ (Silencio, silencio Gokenmori
_ _ Si usted fue cortado de blanco, pero se calme)

El cuarto trapecio

_ _ Un deseo azul y mimoso
_ _ Un labio insatisfecho en la lluvia clara
_ _ Se fundiría en el cielo bien
_ _ La atmósfera de septiembre de Japón
El cielo era una telaraña de niebla
La marea alta de las espigas de la pampa
_ _ _ (El triángulo montañoso se empañaba en la luz)
Una segadora del cristal del cielo
Descendió de las nubes blancas
Inmediatamente cortó pinos y árboles varios
Del primer trapecio del Nanatsumori
Y la parnassia del pantano y la leche de cabra
_ _ Cuando uno estaba muy triste era tormentoso por el olor de lode
_ _ La velocidad del tren era mayor
_ _ Con la escarpa estaba mojado y algunas cosas
Del segundo trapecio de Nanatsumori
La superficie de fresa fue cortado y eliminado
Una alta meseta azul como un diario
Fumaba un sueño de maitn
Del escarpe terrible de laterita
Horribles helechos del tercer trapecio
Un roble dentado y un escualo se deslizaban
_ _ (Oh la soledad del primero de azul oscuro)
Nubes rizadas y brillantes
Las libélulas volaban como espigas de pampa
_ _ (Las espigas de las pampas son marea alta
_ _ Las espigas de las pampas son marea alta)
De un castaño rojo quemado
La cuarta ladera azul de Berlín de Nanatsumori
Subió y bajó sobre las nubes de perfume de pera
El sol cuando estaba un poco ciego
Donde lo cortó la segadora
_ _ (Un camino de humus y un grafito del cielo)
La noche futura y su descendencia sobordonada
Su sombrero fue arrastrado por el viento
La marcha inquieta de los pinos al caer las hojas
Haz que el caballo corra a menudo
Un libereit oscuro del sexto trapecio
Fue cortado como Hackney
El rayo ámbar estallaba torcido
_ _ (Al fin calculé mal
_ _ Me engaño en cuarto o quinto el hábil cielo)
Pues no, no es eso
Un trozo de un campo de perlas que empezaban a brillar
Algo acechaba más allá de un cruce de claroscuros
Probablemente trapecio speti
Lo último flotaba en las nubes
El pino feo escupió verdín y
Se encogió y lloró, la lana de las nubes
_ _ (El triángulo montañoso se empañaba por la luz)

Polvo y nota

Rodaban las espigas de la pampa
Las nubes eran más frías que la pulpa de fruta de Kashgar
Los pájaros caían al mismo tiempo
Las notas de trapo se dispersaban
_ _ Hechas por viejos durmientes brumosos
_ _ En el otoño de una negra choza de mantenimiento de vías
_ _ Un trabajador de la forma tetraédrica
_ _ En una lata al estilo americano
_ _ Amasaba harina de trigo
Los pájaros una pizca, esparcidos del cielo bruscamente
Sus nubes se desarrollaban frías sobre una habitación

Lista de traducciones de poesía
(Español, Français, Italiano, English, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music Códigos QR Centro Español 2024.