Lexique des mots philosophiques, éthiques et autres

A

âme : L'âme est souvent perçue comme l'essence immatérielle et éternelle d'un être humain, ce qui constitue son identité profonde. En philosophie et en religion, l'âme est immortelle et distincte du corps. On parle de "mettre toute son âme" dans quelque chose pour indiquer un engagement total. Principe vital ou spirituel de l’être humain (selon les croyances).

autorité : Pouvoir de commander, de faire respecter des règles.

B

C

chargé : En tant qu'adjectif ou participe passé, chargé signifie être investi d'une mission, porteur d'une responsabilité, ou simplement portant un poids (littéral ou figuré).

chose : Tout ce qui existe, indépendamment du fait qu’on puisse le nommer ou le connaître. C’est un terme très large et vague. Ce qui existe en soi, par opposition au sujet qui pense. Chez Descartes, par exemple, une "chose étendue" (la matière) s’oppose à la "chose pensante" (l’esprit).

cœur : Le cœur est d'abord l'organe biologique qui fait circuler le sang, mais dans le langage courant, il symbolise surtout les émotions, l'affectivité, et la capacité à aimer. Nuances : Avoir "le cœur brisé" signifie une grande tristesse émotionnelle ; "agir avec le cœur" veut dire agir avec générosité et sincérité.

compte à rendre : Expression pour dire qu'on doit justifier ses actions devant quelqu'un.

connaissance : Ensemble des choses que l'on sait ou comprend, acquises par l’étude, l'expérience, l'observation ou l'apprentissage. Cela peut aussi désigner l’état de conscience ou la reconnaissance de quelque chose.

conscience : Faculté de percevoir le monde et soi-même. Capacité de se percevoir soi-même et son environnement.

conscience morale : Faculté de distinguer intérieurement ce qui est bien ou mal.

corps : Ensemble organisé de matière, souvent vivant. Un volume de matière, solide, liquide ou gazeux, soumis à des lois. Le corps est la partie matérielle de l’être, souvent distinguée de l’âme ou de l’esprit.

D

déontologie : Ensemble des règles morales propres à une profession.

devoir : Ce qu'une personne considère comme une nécessité imposée par la morale ou la société.

droit : Le droit peut désigner à la fois ; l'ensemble des règles qui organisent la vie en société (le droit civil, pénal, etc.) ; une prérogative individuelle (par exemple : "avoir le droit de s'exprimer").

E

émotion : Réaction affective intense et brève face à un événement.

engagement : Acte de se lier à une cause, à une action, ou à des responsabilités.

entité : Toute chose qui a une existence propre, concrète ou abstraite.

ésprit : L'esprit désigne la faculté de penser, de raisonner, d'imaginer, ou d'avoir conscience. Il représente aussi l'intellect et parfois la personnalité mentale d'une personne. Il peut désigner tantôt l'intelligence pure (un "esprit vif"), tantôt l'âme immatérielle (dans le sens religieux ou philosophique). On parle aussi d'esprit critique, d'esprit d'équipe, ou d'esprit brillant.

essence : Ce qu’est une chose en soi, indépendamment de ses manifestations accidentelles.

éthique : L’éthique est l'ensemble des principes qui guident la conduite humaine en déterminant ce qui est bien ou mal. C'est une réflexion rationnelle sur les valeurs et les normes de comportement. L'éthique peut être personnelle (propres choix de vie) ou professionnelle. On parle d'éthique philosophique quand on réfléchit de manière abstraite sur les fondements du bien et du mal.

existence : Le fait d’être, d’exister ; réalité du fait d’être présent dans le monde. Peut aussi désigner le mode de vie d'un individu, ses conditions de vie.

F

G

H

homme : Par extension, le terme peut désigner l’être humain en général, sans distinction de sexe, notamment en littérature, philosophie ou anthropologie.

honneur : Respect de principes élevés de conduite morale, souvent lié à l'estime de soi.

humain : Relatif à l’espèce Homo sapiens, caractérisé par la pensée, la conscience, et la capacité d’émotion. Peut aussi qualifier ce qui manifeste des qualités de cœur.

I

information : Fait ou ensemble de faits communiqués ou appris à propos d’un sujet. Désigne aussi les données ou contenus permettant de comprendre une situation ou un phénomène.

intellect : Faculté de penser, de comprendre rationnellement.

J

K

L

M

mandat : Mission confiée à quelqu'un par une autorité supérieure (par exemple un mandat politique).

matériel : Qui est fait de matière, par opposition à ce qui est spirituel, intellectuel ou immatériel. Ce qui appartient au monde physique.

matière : Substance dont sont faits les corps ; ce qui constitue le monde physique.

mœurs : Les mœurs désignent les habitudes de vie, pratiques sociales, et règles de comportement propres à une société ou une époque. Ce terme est lié à la culture et peut évoluer dans le temps.

morale : L'ensemble des règles de conduite, souvent inspirées par la tradition, la religion, ou la philosophie. La morale est souvent considérée comme plus codifiée ou plus collective que l'éthique. On parle d'enseignement moral (enseigner ce qui est considéré comme bien).

N

O

objet : Une entité concrète ou abstraite que l’on peut percevoir, définir ou étudier. Ce qui est visé ou perçu par un sujet. L’objet est ce sur quoi porte la pensée ou la perception. Un élément défini avec des propriétés (ex. : objet mathématique, objet physique).

obligation : Ce qu'on est tenu de faire, moralement ou légalement.

P

passion – Définition : Une passion est une émotion très forte, violente, qui peut dominer la raison. Elle désigne aussi un intérêt ou un amour intense pour une activité ou une personne. En philosophie antique (notamment chez les stoïciens), les passions sont vues comme des perturbations de l'âme. Aujourd'hui, elles sont souvent valorisées dans la culture populaire (ex : "vivre sa passion").

phénomène : Ce qui apparaît à la conscience, souvent par les sens.

pouvoir : Capacité d'agir ou d'imposer sa volonté.

psyché – Définition : Le mot psyché est emprunté directement du grec ψυχή (psukhê), qui veut dire « âme » ou « souffle vital ». En français moderne, il désigne l'ensemble des processus mentaux conscients et inconscients. Terme plus technique que "esprit" ou "âme", utilisé surtout en psychologie et psychanalyse (Freud, Jung).

Q

R

réel : Ce qui existe effectivement, par opposition à ce qui est imaginé ou fictif.

responsabilité : La responsabilité est l'obligation de répondre de ses actes ou de ceux des autres, d'en assumer les conséquences, que ce soit moralement, juridiquement ou socialement.

S

savoir : Résultat de l’apprentissage ou de l’expérience, désignant ce que l’on connaît de manière théorique ou pratique. Il peut aussi désigner la capacité de faire quelque chose.

sentiment : État affectif moins violent que la passion, mais durable.

subconscient / inconscient : Parties de la psyché non directement accessibles à la conscience.

substance : En philosophie, ce qui existe par soi, ce qui est porteur des attributs.

sujet : Celui qui agit, pense ou perçoit. L’être conscient qui se distingue de l’objet. C’est le "je" pensant.

T

U

V

valeurs : Principes jugés importants par une personne ou une société (ex : justice, liberté, respect).

vertu : Disposition habituelle à faire le bien (ex : la générosité, la patience).

vie : durée entre la naissance et la mort ; ensemble des phénomènes vitaux.

volonté : Capacité de se fixer des objectifs et de s'y tenir.

W

X

Y

Z

Notes sur les pensées et les principes philosophiques et éthiques (Fragments philosophique pour l’unité)

#### Principes philosphiques

Il y a des limites sur toutes les choses, des matériels, l’espace, l’endroit, la puissance, le pouvoir, le temps, le savoir, la connaissance et la possibilité. Ma, aussi on devrait reçu la limité de la possibilité.

La tempérance du christianisme ou du monothéisme est la principe du monde après pre-moderne et la société après pre-moderne, aussi c’est même dans le mode contemporain.

L’amour est une des principes grave de la vie.

#### Principes de l’éthique

La morale et l’éthique est connaissance que on doit faire, on détermine et juge quelle chose est bon ou mal. Comme la difference de le pensée et la philosophie.

On doit diviser choses ou pensée qu’est éthique ou morale. Humain devrait penser par l’éthique.

On doit faire comportements ou choses bonnes, meilleures et/ou supérieures, en rafraîchissant la totalité et le sens commun.

Cette totalité signifie le macro bon entier, le meilleur pour touts les gens de/et la terre et l’univers, pas de chose personnelle, temporelle et insignifiante. On doit se comporter et agir des choses pour/par entières, éternelles, et du sens commun.

#### Principes de la vie

Le vie est l’un, un fois. On ne peut pas reprendre la vie propre et dois vivre la vie propre. C’est destin.

La vie est un fois, donc nous devons vivre la vie un fois, et nous devons obtenir un bonheur ou une chose précieuse de chacun propre, au mois.

Il y a de(s) méthode(s) de pensée. Ainsi des méthodes et chemins pour vivre.

#### Méthodes de pensée

On peut diviser chose une chose à contenu et forme ou méthode.

#### La connaissance et le savoir

La connaissance et le savoir sont pouvoir et puissance. Ils faisait l’homme devenir forte en l’intelligence.

La position, la composition, les positions sont composées.

Nous devons retrace les racines de l’origine des mots dans nos paroles et textes.

#### La raison et le sens commun

Nous devons parler et penser par le sens-commun et la raison, inclus l’anti-intellectualisme et/ou l’anti-science. Parler par réaction, par contre-question est mauvais.

Il faut on ne pensée pas par la connaissance quotidienne inférieure, mauvaise et incorrecte.

Après je regardes ou connais une vrai, je ne sais pas de vrai. Dernière je regardes ou connais une vrai, je sais cette vrai.

#### La communication

Ne direz pas facilement! La science est un départ de la communication. Fermez la bouche. Tenez votre parole. Ces sont choses importantes. Nous devons penser et réfléchir avant parler, un moment. Penser et réfléchir par la raison, le sens commun et l’esprit sont essentiels pour la communication. Et on lit livres dans chambre propre seulement qu’est autre départ important et essentiel de communication, et c’est la communication des autours, et du gens du passe.

La conversation et mots ne sont pas sûrs. Toutes les conversaient ne sont pas droits et certains. On n’est pas toujours bon de converser et de parler.

#### Le cœur, l’esprit et l’âme

On doit diviser comportement ou pensée psychologiques, à le cœur, l’esprit et l’âme. Aussi il y a des le cœur, l’esprit et l’âme simultanément dans un pensée. La question est sa proportion.

Le cœur est le noyau. L’esprit est la chose movement. L’âme est fonction de la passion, la chose psychologique entre un humain et autre humain ou autre phenomenon.

Je ne me sens pas de stress. Le stress est l’état du cœur ou de l’âme dans la double contrainte, ou l’état dans le très grave danger ou lourd.

#### La paix et la violence

La paix est le plus chose précieuse et grave dans l’histoire humaine. Je ne m’oppose pas toutes les guerres et toutes les rébellion et violences par la justice et la demande à la paix.

#### La mode

Dans la mode et le style, la coordination des couleurs et cette balance le plus importante, je pense.

La principe de mode est minus et balance.

La marque n’est pas chose superficielle et vaine. Les vêtements et marchandises avec marques sont bonnes généralement. Elle est la élémentaire qui garantit la qualité et la valeur de quelque chose, pas de pour le marketing seulement. Par exemple, Hermès, Burberry, Comme des garçons, Champion, Hanes, Adidas, Puma, Mercedes-Benz, Citroën, Toyota, Mazda, Apple, Braun, Sony, Panasonic, Anker, Moleskine, ROHDIA, Bic et ainsi de suite.

#### Autre

Je ne veux pas, je ne deux pas dire que « j’aime » ou « je déteste ». Parce que je ne sense pas « j’aime » ou « je déteste » vraiment et certainement qu’est très rare.

L’anti-violence est une sorte de la violence, en certains cas.

Mais, c’est si mal? Je dis que je déteste choses le plus fortes, le plus grandes et le plus populaires, ou choses j’a mal au cœur terrible.

Mémo | La pensée et les concepts (existentialiste) d’Arimasa Mori

La pensée (existentialiste) d’Arimasa Mori

La pensée unique d’Arimasa Mori s’est formée au contact direct de la ville et de la nature pendant ses vingt-six années de vie “solitaire” à Paris, où il est allé étudier Descartes et Pascal, en acceptant les événements tels qu’ils se présentaient à ses sens et en voyant les choses avec ses propres yeux, en rejetant les idées préconçues. Affronter seul la solitude est une méthode philosophique, comme la “réflexion” de Descartes ou la “réduction” de Husserl. En rencontrant la “dureté dense” de Paris, le “désespoir” ressenti face à la grandeur de la civilisation européenne, et en repensant à lui-même et au Japon, Mori a appris à se connaître et à apprendre “ce qui ne peut être appris qu’au Japon”.

Après avoir décidé de s’installer à Paris, Mori a commencé à écrire des essais philosophiques, contemplant les concepts quotidiens tout en leur donnant leur propre sens et en formant sa propre pensée existentialiste, basée sur les problèmes de Dieu et de l’esprit de Descartes, mais s’éloignant de sa philosophie, du rationalisme et de la raison.

L’élément central de la pensée de Mori Arimasa est son éveil, à Paris, aux concepts d'”expérience” et de “sensation”. L’éveil à la “sensation” à Paris, où des relations empreintes de passion et d’érotisme et de riches négociations humaines ont été créées et accumulées au fil du temps, signifie que les “sensations” et les “expériences” créées par moi et les choses sont des choses qui me sont données par la nature et le monde. Les “sens”, selon Mori, sont la manifestation de tout ce que nous vivons dans les sens. Les villes, les bâtiments, les paysages et les œuvres d’art deviennent des “choses” qui nous donnent un but et un sens, plutôt que de simples objets. L’expérience est l’enrichissement et la maturation de ces “sens”, qui peuvent être exprimés en un seul mot. En étant placée en Europe, dans un lieu où existent différentes cultures, la forêt a pu redéfinir le contenu de l’expérience. Et c’est l'”esprit” qui a le pouvoir de réfléchir et de relier le “mot” défini et l'”expérience” qui le définit, tout en transcendant l’expérience. Nous cherchons ce qui est au-delà de nous-mêmes, la transcendance, mais en fin de compte nous revenons à nous-mêmes. Nous devons créer une pensée sur la base de la vie et de la pensée. En créant cette pensée, l’être humain doit construire son propre monde individuel.

Nous devons vivre par l’utilisation pratique de mots et de concepts qui relient le personnel à l’universel. Il est important d’utiliser réellement les mots, de relier l’expérience individuelle à l’universel et de donner un nom à l’expérience, qui est de penser et de vivre réellement. Si nous voulons vivre de manière originale, nous devons donner à notre expérience un mot qui a une longue histoire. Il y a vie humaine lorsque les mots et les concepts philosophiques ne sont pas séparés de la vie, mais y sont liés de manière pratique. Bien vivre, c’est bien penser, et bien penser, c’est bien vivre. En d’autres termes, il s’agit de vivre en tissant son “expérience” en combinant la réalité et le langage.

Concepts d’Arimasa Mori

Sensation : le point de départ de tout, la base de l’expérience et de la pensée, donnée à l’individu par le monde et les choses, et mûrie naturellement. C’est le lieu où se manifeste tout ce que je vis. Le monde de la sensation directe est la seule chose que nous puissions toucher en ce monde, sans laquelle il ne peut y avoir d’opération abstraite. Les sens et les choses sont le lieu de rencontre de tout ce que nous vivons. La sensation est personnelle et les sensations d’autrui ne peuvent être les nôtres. Les sens ne sont pas perçus par l’ego, mais les sens épanouis sont la racine à partir de laquelle l’ego est précipité.

Virginité de la sensation : la nature de la sensation en tant que contact direct entre l’individu et une chose, sans nominalisme, proposition ou conception.

L’expérience : tout un domaine particulier de l’homme, une manière spéciale de vivre, une façon de concentrer son attention sur une chose, son moule unique, la base du tout, la vraie réalité d’une personne. La maturation du sens éveillé jusqu’à ce qu’il soit capable de le couronner d’un seul mot. L’ensemble de l’expérience est le sens d’une personne, qui fait l’expérience de l’expérience, ou notre réalité est en fait l’expérience elle-même, c’est-à-dire moi-même. Le monde de l’expérience n’est que subjectif, mais il est relié aux autres par le langage. Lorsqu’une situation d’expérience est donnée à un individu, c’est en l’exprimant avec des mots que l’expérience individuelle prend un sens universel. Le contenu est continuellement décomposé et reformé en quelque chose de nouveau. Aussi, l’expérience forme une personne, et de plus, la relation composée de l’expérience forme deux ou plusieurs personnes. D’autre part, lorsque l’on s’engage véritablement dans l’expérience, un état de véritable objectivité et de désintéressement subjectif émerge. (La définition de l’expérience donnée par Mori est un concept unique, différent de l’expérience à laquelle se réfèrent les philosophies conventionnelles telles que l’empirisme).

Solitude : l’ambivalence d’être libre, d’avoir un moi libre et indépendant. La solitude est ce qui conditionne l’expérience. Dans la solitude, chacun doit retrouver la beauté et les idéaux normaux de l’art.

Solitude fondamentale : la mort, qui est la solitude fondamentale à l’intérieur de soi.

Expérience : ce qui a de la valeur dans l’expérience est accumulé et fixé, et fonctionne dans le présent comme quelque chose de passé. Fixation de l’expérience à un point du passé. Pastification de l’expérience. La “forme fermée” de l’expérience.

Chose : une chose perçue ou un état mental avant qu’il ne soit verbalisé. En outre, il ne s’agit pas seulement d’une chose, mais de la dernière chose atteinte par notre raison. Les œuvres musicales et littéraires sont une chose globale.

Langage : nous devons utiliser un langage commun et non original pour décrire l’expérience originale d’un individu. L’expérience nous donne également le contenu de notre langage. Grâce à un langage commun, l’expérience individuelle devient universelle à travers ce langage. Les mots deviennent des mots réels à travers des expériences qui correspondent aux conditions d’une histoire de conscience d’obstacle et de résistance qui se produit entre la chose et le moi.

Définition : le monde subjectif et pur de l’expérience est relié par le mot au monde communautaire et universel des mots.

Pensée : les mots acquis par l’expérience forment eux-mêmes un système. Il est possédé par tous les hommes. Pilier de la pensée et de l’action.

L’incitation : l’appel de l’Autre qui rend toute expérience possible.

Incitation interne : une culture ou un monde déjà existant qui précède l’individu et l’oriente dans une certaine direction. Les orientations traditionnelles et sociales nous poussent à nous dépasser, à sortir de nous-mêmes. L’envie ou la motivation de “faire quelque chose” avant l’expérience.

Coagulation : l’acte par lequel l’expérience définit toujours le nominal d’une nouvelle manière. C’est ainsi que l’expérience devient expérience.

Transformation : non seulement la transformation du monde, mais aussi la transformation de l’expérience individuelle, qui ouvre de nouvelles perspectives. La définition d’un mot dans notre esprit est approfondie et un sens nouveau et plus profond lui est ajouté. La transformation entraîne également de nouvelles transformations.

Le temps : la seule chose terminale. Nous nous approchons d’une fin à travers le temps.

Transformation/transformation : changements qui se produisent dans nos sens et notre constitution au fur et à mesure que nous vivons notre vie dans le temps.

Réalité : faits perçus par l’expérience. Il ne s’agit pas d’une réalité subjective.

Dignité : ce qui fait de nous des êtres humains.

Personnalité : le fait qu’un être humain ait de la dignité. Personnalité. On ne peut pas démanteler une personnalité en essayant de la démanteler par la psychologie ou l’éthique ; la personne que l’on démantèle est aussi une personnalité. Une expérience représente une personnalité. Les trois éléments de la personnalité dans les relations humaines sont l’hostilité, la responsabilité et la sympathie. La personnalité ne se forme pas à partir de l’expérience naturelle, mais à partir de l’expérience de la négociation avec les autres.

La mort : nous vivons pour mourir. Pour mourir de manière respectable à la fin, nous devons vivre de manière respectable.

La foi : la simple croyance en la réalité de Dieu, l’attitude que cette réalité exige de l’homme. (Avant de venir en France) Ce qui fait que l’expérience s’ouvre et avance vers l’avenir, vers un avenir inconnu, à l’insu de chacun. (Période parisienne)