Notes sur les pensées et les principes philosophiques et éthiques (Fragments philosophique pour l’unité)

#### Principes philosphiques

Il y a des limites sur toutes les choses, des matériels, l’espace, l’endroit, la puissance, le pouvoir, le temps, le savoir, la connaissance et la possibilité. Ma, aussi on devrait reçu la limité de la possibilité.

La tempérance du christianisme ou du monothéisme est la principe du monde après pre-moderne et la société après pre-moderne, aussi c’est même dans le mode contemporain.

L’amour est une des principes grave de la vie.

#### Principes de l’éthique

La morale et l’éthique est connaissance que on doit faire, on détermine et juge quelle chose est bon ou mal. Comme la difference de le pensée et la philosophie.

On doit diviser choses ou pensée qu’est éthique ou morale. Humain devrait penser par l’éthique.

On doit faire comportements ou choses bonnes, meilleures et/ou supérieures, en rafraîchissant la totalité et le sens commun.

Cette totalité signifie le macro bon entier, le meilleur pour touts les gens de/et la terre et l’univers, pas de chose personnelle, temporelle et insignifiante. On doit se comporter et agir des choses pour/par entières, éternelles, et du sens commun.

#### Principes de la vie

Le vie est l’un, un fois. On ne peut pas reprendre la vie propre et dois vivre la vie propre. C’est destin.

La vie est un fois, donc nous devons vivre la vie un fois, et nous devons obtenir un bonheur ou une chose précieuse de chacun propre, au mois.

Il y a de(s) méthode(s) de pensée. Ainsi des méthodes et chemins pour vivre.

#### Méthodes de pensée

On peut diviser chose une chose à contenu et forme ou méthode.

#### La connaissance et le savoir

La connaissance et le savoir sont pouvoir et puissance. Ils faisait l’homme devenir forte en l’intelligence.

La position, la composition, les positions sont composées.

Nous devons retrace les racines de l’origine des mots dans nos paroles et textes.

#### La raison et le sens commun

Nous devons parler et penser par le sens-commun et la raison, inclus l’anti-intellectualisme et/ou l’anti-science. Parler par réaction, par contre-question est mauvais.

Il faut on ne pensée pas par la connaissance quotidienne inférieure, mauvaise et incorrecte.

Après je regardes ou connais une vrai, je ne sais pas de vrai. Dernière je regardes ou connais une vrai, je sais cette vrai.

#### La communication

Ne direz pas facilement! La science est un départ de la communication. Fermez la bouche. Tenez votre parole. Ces sont choses importantes. Nous devons penser et réfléchir avant parler, un moment. Penser et réfléchir par la raison, le sens commun et l’esprit sont essentiels pour la communication. Et on lit livres dans chambre propre seulement qu’est autre départ important et essentiel de communication, et c’est la communication des autours, et du gens du passe.

La conversation et mots ne sont pas sûrs. Toutes les conversaient ne sont pas droits et certains. On n’est pas toujours bon de converser et de parler.

#### Le cœur, l’esprit et l’âme

On doit diviser comportement ou pensée psychologiques, à le cœur, l’esprit et l’âme. Aussi il y a des le cœur, l’esprit et l’âme simultanément dans un pensée. La question est sa proportion.

Le cœur est le noyau. L’esprit est la chose movement. L’âme est fonction de la passion, la chose psychologique entre un humain et autre humain ou autre phenomenon.

Je ne me sens pas de stress. Le stress est l’état du cœur ou de l’âme dans la double contrainte, ou l’état dans le très grave danger ou lourd.

#### La paix et la violence

La paix est le plus chose précieuse et grave dans l’histoire humaine. Je ne m’oppose pas toutes les guerres et toutes les rébellion et violences par la justice et la demande à la paix.

#### La mode

Dans la mode et le style, la coordination des couleurs et cette balance le plus importante, je pense.

La principe de mode est minus et balance.

La marque n’est pas chose superficielle et vaine. Les vêtements et marchandises avec marques sont bonnes généralement. Elle est la élémentaire qui garantit la qualité et la valeur de quelque chose, pas de pour le marketing seulement. Par exemple, Hermès, Burberry, Comme des garçons, Champion, Hanes, Adidas, Puma, Mercedes-Benz, Citroën, Toyota, Mazda, Apple, Braun, Sony, Panasonic, Anker, Moleskine, ROHDIA, Bic et ainsi de suite.

#### Autre

Je ne veux pas, je ne deux pas dire que « j’aime » ou « je déteste ». Parce que je ne sense pas « j’aime » ou « je déteste » vraiment et certainement qu’est très rare.

L’anti-violence est une sorte de la violence, en certains cas.

Mais, c’est si mal? Je dis que je déteste choses le plus fortes, le plus grandes et le plus populaires, ou choses j’a mal au cœur terrible.

Mémo | La pensée et les concepts (existentialiste) d’Arimasa Mori

La pensée (existentialiste) d’Arimasa Mori

La pensée unique d’Arimasa Mori s’est formée au contact direct de la ville et de la nature pendant ses vingt-six années de vie “solitaire” à Paris, où il est allé étudier Descartes et Pascal, en acceptant les événements tels qu’ils se présentaient à ses sens et en voyant les choses avec ses propres yeux, en rejetant les idées préconçues. Affronter seul la solitude est une méthode philosophique, comme la “réflexion” de Descartes ou la “réduction” de Husserl. En rencontrant la “dureté dense” de Paris, le “désespoir” ressenti face à la grandeur de la civilisation européenne, et en repensant à lui-même et au Japon, Mori a appris à se connaître et à apprendre “ce qui ne peut être appris qu’au Japon”.

Après avoir décidé de s’installer à Paris, Mori a commencé à écrire des essais philosophiques, contemplant les concepts quotidiens tout en leur donnant leur propre sens et en formant sa propre pensée existentialiste, basée sur les problèmes de Dieu et de l’esprit de Descartes, mais s’éloignant de sa philosophie, du rationalisme et de la raison.

L’élément central de la pensée de Mori Arimasa est son éveil, à Paris, aux concepts d'”expérience” et de “sensation”. L’éveil à la “sensation” à Paris, où des relations empreintes de passion et d’érotisme et de riches négociations humaines ont été créées et accumulées au fil du temps, signifie que les “sensations” et les “expériences” créées par moi et les choses sont des choses qui me sont données par la nature et le monde. Les “sens”, selon Mori, sont la manifestation de tout ce que nous vivons dans les sens. Les villes, les bâtiments, les paysages et les œuvres d’art deviennent des “choses” qui nous donnent un but et un sens, plutôt que de simples objets. L’expérience est l’enrichissement et la maturation de ces “sens”, qui peuvent être exprimés en un seul mot. En étant placée en Europe, dans un lieu où existent différentes cultures, la forêt a pu redéfinir le contenu de l’expérience. Et c’est l'”esprit” qui a le pouvoir de réfléchir et de relier le “mot” défini et l'”expérience” qui le définit, tout en transcendant l’expérience. Nous cherchons ce qui est au-delà de nous-mêmes, la transcendance, mais en fin de compte nous revenons à nous-mêmes. Nous devons créer une pensée sur la base de la vie et de la pensée. En créant cette pensée, l’être humain doit construire son propre monde individuel.

Nous devons vivre par l’utilisation pratique de mots et de concepts qui relient le personnel à l’universel. Il est important d’utiliser réellement les mots, de relier l’expérience individuelle à l’universel et de donner un nom à l’expérience, qui est de penser et de vivre réellement. Si nous voulons vivre de manière originale, nous devons donner à notre expérience un mot qui a une longue histoire. Il y a vie humaine lorsque les mots et les concepts philosophiques ne sont pas séparés de la vie, mais y sont liés de manière pratique. Bien vivre, c’est bien penser, et bien penser, c’est bien vivre. En d’autres termes, il s’agit de vivre en tissant son “expérience” en combinant la réalité et le langage.

Concepts d’Arimasa Mori

Sensation : le point de départ de tout, la base de l’expérience et de la pensée, donnée à l’individu par le monde et les choses, et mûrie naturellement. C’est le lieu où se manifeste tout ce que je vis. Le monde de la sensation directe est la seule chose que nous puissions toucher en ce monde, sans laquelle il ne peut y avoir d’opération abstraite. Les sens et les choses sont le lieu de rencontre de tout ce que nous vivons. La sensation est personnelle et les sensations d’autrui ne peuvent être les nôtres. Les sens ne sont pas perçus par l’ego, mais les sens épanouis sont la racine à partir de laquelle l’ego est précipité.

Virginité de la sensation : la nature de la sensation en tant que contact direct entre l’individu et une chose, sans nominalisme, proposition ou conception.

L’expérience : tout un domaine particulier de l’homme, une manière spéciale de vivre, une façon de concentrer son attention sur une chose, son moule unique, la base du tout, la vraie réalité d’une personne. La maturation du sens éveillé jusqu’à ce qu’il soit capable de le couronner d’un seul mot. L’ensemble de l’expérience est le sens d’une personne, qui fait l’expérience de l’expérience, ou notre réalité est en fait l’expérience elle-même, c’est-à-dire moi-même. Le monde de l’expérience n’est que subjectif, mais il est relié aux autres par le langage. Lorsqu’une situation d’expérience est donnée à un individu, c’est en l’exprimant avec des mots que l’expérience individuelle prend un sens universel. Le contenu est continuellement décomposé et reformé en quelque chose de nouveau. Aussi, l’expérience forme une personne, et de plus, la relation composée de l’expérience forme deux ou plusieurs personnes. D’autre part, lorsque l’on s’engage véritablement dans l’expérience, un état de véritable objectivité et de désintéressement subjectif émerge. (La définition de l’expérience donnée par Mori est un concept unique, différent de l’expérience à laquelle se réfèrent les philosophies conventionnelles telles que l’empirisme).

Solitude : l’ambivalence d’être libre, d’avoir un moi libre et indépendant. La solitude est ce qui conditionne l’expérience. Dans la solitude, chacun doit retrouver la beauté et les idéaux normaux de l’art.

Solitude fondamentale : la mort, qui est la solitude fondamentale à l’intérieur de soi.

Expérience : ce qui a de la valeur dans l’expérience est accumulé et fixé, et fonctionne dans le présent comme quelque chose de passé. Fixation de l’expérience à un point du passé. Pastification de l’expérience. La “forme fermée” de l’expérience.

Chose : une chose perçue ou un état mental avant qu’il ne soit verbalisé. En outre, il ne s’agit pas seulement d’une chose, mais de la dernière chose atteinte par notre raison. Les œuvres musicales et littéraires sont une chose globale.

Langage : nous devons utiliser un langage commun et non original pour décrire l’expérience originale d’un individu. L’expérience nous donne également le contenu de notre langage. Grâce à un langage commun, l’expérience individuelle devient universelle à travers ce langage. Les mots deviennent des mots réels à travers des expériences qui correspondent aux conditions d’une histoire de conscience d’obstacle et de résistance qui se produit entre la chose et le moi.

Définition : le monde subjectif et pur de l’expérience est relié par le mot au monde communautaire et universel des mots.

Pensée : les mots acquis par l’expérience forment eux-mêmes un système. Il est possédé par tous les hommes. Pilier de la pensée et de l’action.

L’incitation : l’appel de l’Autre qui rend toute expérience possible.

Incitation interne : une culture ou un monde déjà existant qui précède l’individu et l’oriente dans une certaine direction. Les orientations traditionnelles et sociales nous poussent à nous dépasser, à sortir de nous-mêmes. L’envie ou la motivation de “faire quelque chose” avant l’expérience.

Coagulation : l’acte par lequel l’expérience définit toujours le nominal d’une nouvelle manière. C’est ainsi que l’expérience devient expérience.

Transformation : non seulement la transformation du monde, mais aussi la transformation de l’expérience individuelle, qui ouvre de nouvelles perspectives. La définition d’un mot dans notre esprit est approfondie et un sens nouveau et plus profond lui est ajouté. La transformation entraîne également de nouvelles transformations.

Le temps : la seule chose terminale. Nous nous approchons d’une fin à travers le temps.

Transformation/transformation : changements qui se produisent dans nos sens et notre constitution au fur et à mesure que nous vivons notre vie dans le temps.

Réalité : faits perçus par l’expérience. Il ne s’agit pas d’une réalité subjective.

Dignité : ce qui fait de nous des êtres humains.

Personnalité : le fait qu’un être humain ait de la dignité. Personnalité. On ne peut pas démanteler une personnalité en essayant de la démanteler par la psychologie ou l’éthique ; la personne que l’on démantèle est aussi une personnalité. Une expérience représente une personnalité. Les trois éléments de la personnalité dans les relations humaines sont l’hostilité, la responsabilité et la sympathie. La personnalité ne se forme pas à partir de l’expérience naturelle, mais à partir de l’expérience de la négociation avec les autres.

La mort : nous vivons pour mourir. Pour mourir de manière respectable à la fin, nous devons vivre de manière respectable.

La foi : la simple croyance en la réalité de Dieu, l’attitude que cette réalité exige de l’homme. (Avant de venir en France) Ce qui fait que l’expérience s’ouvre et avance vers l’avenir, vers un avenir inconnu, à l’insu de chacun. (Période parisienne)

traduction | Au voyage dans le Propos sur la vie de Kiyoshi Miki

Les gens partent en voyage par raisons diverses. Comme quelqu'un voyage pour affaires, un autre voyage pour inspection, pour repos, pour enterrement de parenté ou pour fêter marriage d’ami. Le voyage est divers comme la vie est diverse. Cependant, si on part voyage quelle raison, il y a le sentiment commun de voyage. Il y a le sentiment resemblant sur le voyage, à qui part en voyage pour un jour et à qui part en voyage pour un an. Comme, si la vie est diverse, mais il y a le sentiment commun dans toutes les vies, à une vie courte ou longe.

Partir en voyage est escapade de la vie quotidienne et fuir de la connection habituelle quotidienne. Le plaisir du voyage est plaisir de la libération comme ça. Même si un voyage poursuit la libération surtout, tous les gens ont sentiment de la libération dans le voyage. Certains de voyageur partent en voyage pour escapade par la vie. Même si un voyage poursuit la escapade surtout, tous les gens ont sentiment de la escapade dans le voyage. Je peux penser ces choses ont rapport à, plupart du cas, l’objet du voyage ce qui les gens préfère est la nature, et elle est la vie humaine, mais primitive et naturelle. Le sentiment de la libération ou la escapade dans le voyage accompagne toujours certain autre sentiment. Ainsi, plus ou moins, le voyage porte le sentiment du vagabondage aux tous les gens. La libération est le vagabondage aussi, et la escapade est le vagabondage aussi. Ici, il y a le sentimentalisme du voyage.

Le sentiment du vagabondage est certain sentiment du mouvement, et le voyage est né par le mouvement. Certainement, il est un sentiment du mouvement. Cependant nous sentons vivement le voyage comme le vagabondage quand nous restons à la auberge, n’est pas quand nous nous déplaçons par transports. Le sentiment du vagabondage n’est pas un sentiment du mouvement seul. Faire voyage est fuir d’une connection quotidienne, habituelle et stable, ainsi le sentiment du vagabondage vient de l’anxiété est né par cette raison. Le voyage est anxieux sans raison particulière. Tellement nous ne pouvons pas penser le sentiment du vagabondage sans le sentiment du lointain. Et dans le voyage, tous les voyages, nous sentions le lointain. Cet lointain n’est pas la distance comme qui est mesuré quelque kilomètres. Qui vas loin au travail par train de banlieue, mais il ne sent pas cette sorte de lointain, je pense. Pourtant, par exemple une distance est plus petit que cela, quand il voyage pour un jour, il éprouve cet lointain. Le sentiment du voyage est lointain, cet lointain fait du voyage le voyage. Tellement, nous sommes romantique plus ou moins dans le voyage. Cette sentiment romantique doit le sentiment de lointain. Demi de l’intérêt du voyage est crée par l’imagination comme ça. Je peux dire le voyage est une utopie de la vie. Cependant, le voyage n’est pas une chose lointaine seulement. Le voyage est trépidant. Si voyage facile qu’on parts avec un sac, il y a trépidation du voyage comme le voyage. Voyage qu’on monte train, voyage qu’on vient à pied, il y a trepidation du voyage. Le voyage est toujours loin, mais toujours trépidant. Donc le sentiment du vagabondage est venu. Le sentiment du vagabondage n’est pas seulement le sentiment du lointain. C’est loin et trépidant, donc, nous sentions le vagabondage. Une chose qui est évidement loin, pourquoi il est nécessaire on dois faire trépidant ? Ce n’est pas une chose loin, il pouvait une chose proche. Non, le voyage est toujours loin, en même temps, toujours proche. Puis, ce doit signifier le voyage est une processus. Parce que la voyage est processus, elle est le vagabondage. Le point de départ n’est pas le voyage, le point d’arrivée n’est pas le voyage, le voyage est continuellement une processus. Qui mets en question comme arriver seulement la destinaiton et ne peut pas éprouver processus, est dit qu’il ne connaît rien le plaisir du voyage. Dans la vie quotidienne, toujours, nous mettons en question la destination et le résultat seules. C’est la substance du agir et de la pratique. Tellement, le voyage est une chose de recueillement. Dans le voyage, nous sommes toujours observateurs. Le trait du voyage est nous pouvons être recueillis ou méditatifs purement par nous nous évadons de la vie quotidienne pratique. On peut penser le sens du voyage à la vie personnelle par ce trait.

Pourquoi est-ce que le voyage est lointain ? Parce que il se dirige vers choses inconnues. Dans l’experience quotidienne, on sent plus éloigné que un fait quand on marche un chemin inconnu pour la première fois. Provisoirement, si toutes les choses étais connu bien, il n’y aurait pas essentiellement le voyage, mais il y a aller au travail quotidien. Le voyage est une chose que les gens sont tiré par choses inconnues. Donc, le voyage accompagne le sentiment du vagabondage. On ne pourra pas toutes les choses sont bien connues. Parce que, processus est principal, mais destination et résultat ne sont pas en question. Gens qui fait attention à processus trouvent quelque nouvelle chose ou chose inattendue. Le voyage est une chose s’evade de la forme de vie habituelle, comme ça, nous avons eu la vue neuve et moderne plus ou moins, ainsi nous pouvons trouver choses neuves en tant que la chose matérielle plus ou moins. Dans la voyage, on senti nouveau une chose nous est familier habituellement. Un intérêt de la voyage n’est pas voir choses inconnues et neuves pour la première fois, — y a-t-il choses neuves complètement dans le monde ? — plutôt, il est dans un point que s’étonne et revoir choses ce que nous pensons évident, habituel et déjà connu. Notre vie quotidienne est pratique, et nous nous intéressons seulement à la destination et le résultat, en plus, supposons autre choses, choses à mi-chemins et processus que faits déjà connues. Homme qui va au travail habituellement ne pourra pas se rappeler qu’il rencontrait qui est faisait quoi entre de sa maison au bureau. Ainsi nous pouvons devenir purement réflexif et méditatif dans le voyage. Homme qui voyage est homme du regard, n’est pas homme de l’action. Comme ça, devenir réflexif et méditatif pur, nous sentons nouveau émerveillement ou curiosité à choses déjà connues habituelles et choses évidentes comme choses déjà connues. Par cette raison, le voyage est expérience et éducation.

On dit souvent que la vie est voyage. Cette opinion est une sensation réelle ce qui tout le monde senti plusiurs fois, ce n’est pas la peine qu’on citer « La Sente étroite du bout-du-monde » de Basho Matsuo. Notre sensation pour la vie se resemble à la sensation pour le voyage. C’est pourquoi ?

« Par où et vers où » est une question fondamentale de la vie. Par où vient-on, et où vient-on ? C’est l’énigme éternelle et fondamentale de la vie. Tant que c’est correct, notre sensation de vie comme nous sentons que la vie semble que le voyage, ne changera pas. Dans la vie, où allons-nous donc ? Nous ne connaissons pas. La vie est vagabondage aux choses inconnues. On dit que notre destination est le mort. Au moins, tout le monde ne peut pas répondre clairement ce qui est le mort. La question de « vers où », finalement, faire nous questionner « par où ». Consideration au passe naît par consideration au avenir. Dans le voyage vagabondage, on accompagne toujours nostalgie ambiguë ce qui on prends clairement. La vie est loin, et la vie est trépidant. La route de la vie est loin mais près. Parce que le mort s’approche petit à petit de notre vies. Pourtant l’humain ne cessera jamais de rêver dans la vie comme ça. Nous vivrons notre vies d’en suivront notre imaginations. Touts les gens sont plus ou moins utopiens. Le voyage est visage de la vie. Dans le voyage nous nous écartons des choses quotidiennes, et sommes réfléchi purement, ainsi nous avons nouveau sentiment pour la vie ce qui nous supposons évident et déjà connu dans la vie quotidienne. Nous sommes savouré la vie par le voyage. J’ai déjà dit ces sentiments du lointain, de la proche et du mouvement, que ne participe pas au lointain, à la proche et au mouvement objectives. On rencontre soi-même dans le voyage. Dans le voyage qu’on passe dans la nature, cependant on rencontre soi-même sans cesse. Le voyage n’est pas dehors de la vie, mais le voyage est le visage de la vie même.

J'ai jégà dit, les gens font le voyage pour chercher de la délivrance. Le voyage lui délivre surement. Mais, c’est une erreur que vous pensez il est libre vraiment. La délivrance est liberté d’une chose, cette liberté est seulement une liberté passive. En voyage, quiconque deviens curieux et capricieux. Le voyage fait hommes aventurés plus ou moins, mais cette adventure est curiosité et caprice. Le sentiment du vagabonde dans le voyage existe du bas de cette curiosité. Cependant, la caprice n’est pas la véritable liberté. Homme qui suit seulement curiosité et caprice ne peut pas faire l’expérience dans le voyage. Le voyage fait activer notre curiosité. Mais la curiosité est différente du vrai esprit de recherche et la soif de connaissance. La curiosité est la caprice, on passe à la suite sans cesse et ne regarde pas en se poser une place. Sans se poser une place et entrer profondément dans une chose, comment connaît-on une chose vraiment ? Une chose existe dans le bas de la curiosité est le sentiment du vagabonde même. Aussi le voyage fait l’homme sentimental. Cependant, baigner seulement sentiment, il abouti qu’on ne connaît profondément rien et on n’a rien le propre sentiment. La vraie liberté est liberté dans le chose. Ce n’est pas mouvement seul, s’arrêter en mouvoir et mouvoir en s’arrêter. C’set mouvement aussi immobilité, et immobilité aussi mouvement. On dit il y a le vert de plus parts ce qui l’homme va. Ce mot est plus sentimental, mais qui atteint cette valeur seul éprouve le voyage vraiment. Qui peut éprouver le voyage est l’homme vrai libre. À mesure qu’on fait voyage, l’homme sage deviens plus sage, l’homme stupide deviens plus stupide. Vous devez bien connaître comment personage d’un homme qui a relation quotidienne avec vous, quand vous faites le voyage avec lui. L’homme fait le voyage de chaque homme. L’homme vraie libre dans le voyage est l’homme vraie libre dans la vie. La vie même est vraiment le voyage.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4

Contenu

  • Propos sur la vie
  • La philosophie qui n'est rancontré jamais
  • Pour mes enfantes petites
  • Commentaire par Ichiro Kishimi

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« Le Propos sur la vie » de Kiyoshi Miki

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