Traduction | Recueil posthume de poèmes (2/5) de Michizo Tachihara

Voyage de l’été

I. Le chanson au bout de la village

Était en fleur, un Lotier corniculé, et
Je cueillais par doigts, il disais moi à travers le lumière–
Le droit est le chemin du nord à Echigo
La gauche est le Nakasendo à Kiso
À la belle soirée après la pluie, nous resterons en regardant distraitement le ciel
Et, je marchais droit à l’opposé de la soirée, ma village natal miteuse
Par la touffe d’herbe du Batohcannon, nous nous tenions debout sans mots par le première fois de nos vies

II. Pour la chèvre

Le petit pont, disait que la route entrait la village par ici
À l’ombre d’une arbre du podocarps du côte, une très ancienne maison noire….. à ce jardin
Une vieille chèvre était mis par la chaîne, comme le joie gentil d’un garçon pitoyable
À tout le monde, la chèvre répondait par le voix qui tremblait–
Toujours toujours des voyageurs, passaient et voyaient vers toi en un instant

III. Bucolique

Le moulin seul dans la village
Dans l’été, fumait le toit
Il chantait des chansons joyeux toute la journée et ne se fatiguait de chanter
Qu’est-ce que le moulin faisait
Au ruisseau, au soleil, elle harmonisait de chanter tes marches ralentis
Qu’est-ce que le moulin tournoyer à quoi

IV. Repos – Une lettre personnelle à I.T.

Autrefois, quand je croisait la rêve était belle, il n’avait pas la chose plus belle que la rêve dans ce monde. Mais, aujourd’hui, si des choses qui plus belles que le rêve me entoure, c’est combien je suis heureux. Sur le plateau de Shinano, les fleurs de sarrasin commun s’épanouit dans l’air clair, et les herbes des pampas flotte, les raies des lignes de montagne étaient comptées, il y a l’existence des belles nuages incroyable au ciel très bleu. Je ouvris l’oreille vers le ton subtil de vent, mais il chuchote les mots corrects dans ce monde. Enfin, je ne veux pas dire à exprimer qui mon cœur sens par mes mots. Comment, je dis, et je demands. C’est raisonnable, que je pense telle chose avec zèle. T, être comme ça est agréable. Le ciel très haut insondable. Je suis petit tellement, aussi je suis grand tellement.

V. Vers le cimetière

Au chemin mince dans le brouillard épais, le voix très sonorise m’invitait, le fond du bois j’arrivais premier fois.
À la côte des arbres de bouleu– ah, ma fantasme! (Les branches, chantaient le chanson du ciel qui volait par le vent)

VI. Décès de l’été

L’été passait précipitamment au loin
Pour nouvelle voyage encore

Nous comptions les jours restaient peu mombreux
Regardions les nuages et le vapeur qui pèsent sur le volcan
Nous restions une chambre froide un peu, de la plupart du temps
Passions à bavarder des histoires des fleurs triviales et des rumeurs des gens de la ville

Une journée de crachin je raccompagnais à la personne à la garé
À l’entrée de la village, les petites feuilles des pins chutaient par le vent froid, sans arrêt
…… Une auberge avait des chambres libres, depuis ce nuit, je écrivais les lettres toujours, seulement sur la lampe faible

VII. Le fin de la voyage

La nuit dernière, la lune qui voit le lever de lune
Devenait le lune à midi, flottait le ciel de matin
Le blue outremer vif courait dans le ciel
On disait qu’il se dispersait et changer à les nuages blanches, aussi cette lune
Plusieurs des fois je regardais en arrière, plusieurs des fois je regardais en arrière
Le voyageur, levait les yeux au ciel, avait le ressentiment inépuisable aux gens restaient
Et sentait le mensonge triste sans limite

Mots de la pluie

Je suis froid peu
Parce que je parcourais seulement tout
Dans un crachin
Mes paumes, mon front, restaient humides
Avant de le savoir je devenais sombre
Je m’appuie sur ici comme ça
Et attends la lampe allume

Dehors la pluie faible sans son continue à pleuvoir
Sur un vivier sans homme, sur toit
Sur les parapluies des hommes
Elle erre pour toujours
Avant longtemps elle changera un brouillard enfumé……

Je ne connassait pas et je n’espère pas
Elle dit quelque chose d’une journée
À propos du silence et la matinée chaude
Le murmure subtil de la pluie, de la sorte
Et elle change diversement
En écoutant ça
Je m’endormis à mon insu comme toujours

Enterrement de l’été

Comme une paume, c’était un beau temps calme. Je pensais quelque où je avais vu le dimanche comme ça.

Dans la nuit, le brouillard descendait hors du fenêtre. Nous nous rassemblions. Autour de la bougie. Nous tricotions même mots quelquefois, autour le bavardage restait un peu.

Sur nos mains, le bouquet du matin ne restaient pas. …..Il était comme le colour du pays loin mon mère et famille.

Insectes chantaient. Les grillons continuaient à chanter qui est le singe du fin de l’été. Un person écoutait mais il s’ennuyait et sortait à quelque où.

Je pensais du lendemain. À la chose qui je ne peux nullement écouter et parler. ……La fenêtre ouvrait. Le lever de la lune brillait clairement à la fenêtre, à travers le brouillard courait sans son.

Carnet du voyage: Cette journée, à Tsutomu Ikuta

Cette ville, une devanture d’une bibliothèque — Je écoutais, le voix de une Turque jeune. Je recevais une livre de chanson avec la couverture rouge et belle. Comme des enfants chantent.

Et je penchais ma parapluie quelque fois, et je voyais le ciel. Le ciel était gris pleinement, mais c’est haut insondable. Le jour de la pluie tranquille.

Les gens chuchotaient à le voyageur jeune. Qu’est-ce que vous regardiez?
Oui. Je regardais une Turque jeune, par la suite à un parc, à bout de la ville peu sombre.
— Un de ces jours, je vendrai Novalis et Rilke. Le jour finissait comme telle, la fille du ciel embrasé….. Ma rêverie était comme un fruit dur et aigre.

Je prépare les bougies n’ont pas brûlées entièrement à la fille. Pour je n’oublis pas memoirs du voyage. — Le fin de l’été, à la ville a chateau ancien, je recevais, par la fille, cette livre de chanson, je continuais à voyager.

Le midi d’un jour solitaire

En me cachant une touffe d’herbe mouillée
Je, répétais
Divers, positions étroites
Quelles étaient misérablement agréables

Le conviction que j’étais vu par aucun
Tout à l’heure, une invite à la confession et–
Ce temps, le midi
Semblaient sentir
Le soleil faisait la coquette doucement
Tumulte cessait pendent je ignorais
Seule le chanson des oiseaux, chantaient au loin

Ah, innocent
Une moment était nouée, qui sera parti
À la justesse de ce désir

Requiem

Au fenêtre de carreau, elle réfléchissait
Passait, une ombre inclinée de personne
S’entassait, s’entassait et s’enchevêtrait, effaçait
effaçait……

Ce moment, ce moment
Comme une ombre, elle surirait comme ça
Toujours, toujours
Elle écrivait caractères qui ses gaussaient
Quand elle décédait, elle surirait un peu–
Mais, ce voix, moi
Par une autre, je était écouté seulement

Sur une table, l’ombre d’un fleur tombait, l’ombre de plat
Si je elles touchait par mes doits
Mes memoirs effaçaient un par un, un bruit faible aura effacé

Panier du ciel

Une campagnarde, montrait à train
Et faisait cours à la ville voisine
En ayant un grand panier par son mains
–Le retour….. Le panier
Fruits, pains et fleurs, était plein
Le fille, était ensevelie dans le parfum
Elle sommeillait court

Toujours même complètement
Tout à l’heure quand le soleil se couchait
Chez moi, le panier était vide–
Je ne connaissais pas pourquoi
La campagnarde, du four
En était brûlant feu
Cette fois pour elle-même seule
Elle chantait le chanson du panier
Beaucoup des oisillons, des perles et des fleurs

Papier découpé

Le soleil se couchait, ainsi le ciel se déshabillait
Et il disait « Bientôt c’set nuit » à le coucou

Les petites étoiles tombaient de la lampe
Chacun éclairaient les chambres de la ville

Comme « Ma chambre, bon nuit! »
Les enfants disparaissaient un par un

Le nuit, est cette histoire
Ce triste fait plaisir à moi

À l’été

Il attendait ici et comme ça, un temps
Mon garçon, mon secret……
Puis, une personne je ne connais pas
Je oublie, une departure lointaine, de quelqu’un

Il, agitait un mouchoir
Il, surirait d’une fenêtre
Il, saluait
Enfin il allais au quelque part–
(Oui, je, préparais un chapeau
Et un T-shirt plus blanc que le papier
Aussi je aurai cherché)

Je agitait la main au quai, un temps
Mon hier, mon garçon…… Après cela
Cet homme seul n’était pas là, bien des departures passaient

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.

Traduction | Recueil posthume de poèmes (1/5) de Michizo Tachihara

Nature morte

Au bout d’une village avait un bastion
Feuilles larges ballotaient

Le ciel nuageux, et le chemin était sèche
Quand je tournais, le forêt se cachait par le forêt
Les branches ses compliquaient étaient comme fumée

Les nuages coulaient, et elles ses rompraient
Le vent se déplaçait en éclatant à une arbre loin
Moi seul, entre le forêt
Voyais une personne puisait de l’eau à un puit de pierre
Coqs chantaient de la village, un moment, comme une rêve

Chanson d’arbre mort et de vent

Je dirais un mensonge et faisait semblant
À toi qui me pardonnais tout
Je étais debut en silence
Justement comme un enfant qui se fâchait

Quelles sont embarrassantes, des branches
J’avais des distraction et elles trahissaient
Je jetais le mot d’haine
Et chuchotais à le vent

C’était une prière, à qui incitait
Et un fois encore tranquillement
Je regardais une ombre reflétait l’eau
Pour je ne ballotais pas pour toujours

*

Je courais comme ça
Quell’est triste es tu
Tu restais immobile, comme tu ne écoutais pas
Tu ballotais toujours seulement

— — — — —

Je allais l’arbre prochain
Il ressemblait à toi
Je jetais mon corps, à chose ballotais en éclatant
Il y a pas de porte, et apparence
Silencieusement, une obscurité commençait à rester

Vêtements de voyage

Combien de trop aveuglant, le soleil
Éclatait aux coins de la chambre, Éclatait
Rentrais chez moi, mon cœur……

Curieusement, je m’appuyais à une chase
Caressais les défauts d’un bureau
Le vent soufflait au bureau

–C’est soi-même, un souvenir
Je relisais mon cahier, encore oubliait nouvellement

–À moi, qui attendais le train pour quitter cette village
La ligne de la montagne de la plaine loin, les nuages mettraient traits……

Chanson qui le vent chantait

Partie 1

Au premiere jour de nuage je étais comme un petit feu
Me faisais du souci sur une chose, En murmurant
Ensuit je sortirais dehors

Les feuilles fermeraient les yeux et me évitaient
Entre mes doits ils tombaient en glissant et disparaissaient, les feuilles–
Depuis ce temps, je ne savais pas moi
Quand je rirais, mon corps restait tordu
Je criais le voix précipité et triste

Partie 2

Tout les gens sont petit animaux
D’air soucieux, ils allumaient des bougies honnêtes aux fenêtres et aux rues
Ne souffles pas le vent, ils priaient, je venais et écoutais en baissant ma tête

Mais je criais soudain, renonçais
Je me mettais en colère, sale, et je était tout seul, je courais
Je courais avec excès, je ne haïssais pas

Partie 3

Sur le bois qui égalisait son voix
Je chantais seulement par le voix fort
Et une arbre morte talonnait

Je chantais, sur l’été et l’autumn
L’arbre mort répondait, je chantais encore……
L’accordage d’un violin de chêne se détraquait

Au bout d’un certain temps le silence longue entrait profondément à moi
Je me souvenais en extase
Couché du soleil dans la musique, un journée passée
Je commençais à marcher silencieux en étant sourtenu

Partie 4

Une fumée allait à passer, sur le blanc
La forme disparait déjà
Surface des champs ne faisait pas du bruit
Je observais le petit enfant dans une fenêtre
Et dieu débordais

Partie 5

Je regardais, dedans d’une maison
La nuit des père, mère et enfant, Elle brillait comme dedans du fleur et était chauffée par la peu de lampe
Il semblait que une conversation silencieuse, mes oreilles écoutaient seulement mon voix
C’est la visage sourirait, et la visage endormie

Ce temps à moi, je suis triste tout de suite
Je passais frappais à la fenêtre de leurs porte

Partie 6

Je me serrais contre la lampe, mais je ne peux pas voir le lampe

La nuit s’avançait, je fessais venir un cœur mouvais et criais, Mes blessures continuaient à ses mettre en colère
Je tendais mes mains aux belles blanches, une blanche maigrie criait un mot et s’écroulait

Partie 7

Le chanson une oie sauvage sans-logis et était étourdie chantait
Elle s’était jeté dans un étang, et cassait son bec par la glace
Quand le printemps arrivera, je ferai comment
Une oie sauvage sans-logis et était étourdie pleurait à la baie qui se fondrait dans le matin tôt

Partie 8

La lumière de lune était gravée sur neige, sans mot
Laissait une chanson de séparation
À l’ombre de nuage quittait rapidement

Lever du soleil, à moi, mélodies fermée me revient à l’ésprit
Pour je n’écoutait pas
Dans la forêt, les arbre mortes
Passe le vert, passe le vert

Partie 9

Je continuais à crier, et quand je étais fatigué
Le soleil pâle gravait les characters invisibles aux mes paupières
Une poussière s’enchevêtrait, une ombre jouissait

Je ça regardais mais je s’enfuyais à toutes jambes–

Chanson qui le vent chantait (II)

Partie 1

Un jour, herbes parlaient seulement
Un jour, le ciel faisais du bruit seulement
On passait au endroit ensoleillé, au ombre
Ah, fleurs, colours, odeur et éclat

Très ancien, l’ancien temps
Enfants étaient, dans fleurs
Il y a le bonheur tout, des chansons toutes
Enfants, partaient en voyage au loin

À l’intérieur du bois tremblait
À l’intérieur du bois il oubliait
Il souriait tendrement, tendrement

En frémissant, en hésitant
Toute lea journée, il passait aux branches seulement
Toute lea journée, il effaçait au ciel seulement

Partie 2

La forêt se couvrait soudain, comme la rêve inconnue
L’eau et les branches se couvraient, je commençais à rire seulement
À la touffe d’herbe lointaine–

Plus tard une petite lumière fuyait, et toutes les feuilles tremblaient
Le forêt attendait le vent, je fermais mes yeux silencieuse
Pour je ne voyais pas le nuages cotonneux minces
Une grande lumière débordait dans le ciel, je commençais à rire de plus en plus

Partie 3

Si il se mouvait pour toujours, je étais triste

Le chanson s’effaçait

Le son était répétitions des mots mêmes
Il s’enfuyait à la nuit d’un pas chancelant
–Mais j’attendait la nuit

Je courait un peu

Et les feuilles retenaient, puis ils riraient indéfiniment

Au vent

Partie 1

Comme ça le murmure d’un ruisseau, parce que il y avait du vent
Tel amusant, murmurait
Ce étincellement de une petit ombre sur la surface
Tout, le vent seul……

Le murmure transportait et poussait des choses
Des déchets de paille, un feuillage de herbe, des chaussures antiques
Car le vent poussait le cours
L’eau n’arrêtait pas, et, le vent n’arrêtait pas

L’eau se tordrait soudain, le vent s’ecartait certain temps
Mais sur le ruisseau pour toujours, le vent
Avec le courant, répétait une causerie

Un long et long jour, de l’aube à l’aube, entre la rêve et le matin
Le vent chuchotait doucement, avec l’eau, l’aile d’eau et la paupière de vent
Il ne veux pas crier déjà, il aura couru

Partie II

Où était le vent, il était loin, il n’était pas
Tu étais dans le vent, moi, tu lui écoutais
……Il baissait la tête, le cœur gentil, un bouton
Moi, tu pleurais l’autre jour, il y avais des traits sur ta joue

Le vent soufflait, il chuchotait, il chantait, les gens écoutait
Un cœur soliste tendrait l’oreille, le chanson, son mélodie était triste, c’est amusant
C’est joyeux, on avais passé, le vent aurai chanté encore
Aux feuilles, à moi, aux pétales, rendrait un jour

Je attends, c’est probablement, proche, du côte de croissant
Tout seul, je aurait chanté encore un jour ou l’autre, aux mes oreilles

Où était le vent, le vent était loin, mais il ne revenait pas, déjà
Moi, un jour, tu souriais, il y a de bonne chose
Dans le vent, tu ne pleurais pas, tu ne souriais pas

Meurtri, comme un petit animal

Un cœur, une chanson, étaient assoiffées, moi, j’atteindais une femme
Mon cœur, au homme pauvre, ma chanson, au plaisir
Il tirait une ombre sinistre avec convoitise, je chercherais et errerais
Je criais cent des mots, chantais avec je me retournais

Comme une bête, durement aussi légèrement, je marchais seulement
Le sommeil ne couchait jamais, moi au lointain
Concevais le sentiment du malheur, je chercherais et suivrais
En chantant très chargé, criais avec répétition
Le nuage, le chemin, étaient secs, je apparais une femme……
Elle sera arrivée ici?, elle sera arrivée, un jour
Je restais côté d’une fenêtre sombre, je, apparais une femme

Aucun person répondait, sourirait, je marchais seulement
À la place de la dernière maison, moi sur lointain, le soleil ne se couchait à jamais
Je marchais seulement, je marchais au loin

Le jour férié du nuage

Quand le nuage de mouton passait
Chaque fois des nuages du vapeur tombaient
Le ciel, tu dispersais
Des lignes de coton blanc et blanc

Le nuage de voile et le nuage d’organ, le nuage de chaise
Le nuage de bosse flottait en morcelant
Nuages du ciel….. Le ciel des nuages, le ciel bleu
Tout le jour il y avait la troupe des vagues blanc et blanc
Sans appui, à la rouge de rose
Un nuage passait pâlissait brusquement, au crépuscule
Les pays au-delà du ciel……

Au moment l’arc-en-ciel de vapeur lui éclairait
Un pigeon blanc pur devenait une parapluie
Nuages de loin, tout le jour

Tristesse de séparation

Au jour séparation trépidante

Les sifflets, saluts tristes comme des oiseaux chantaient ses hélaient
Le tain qui embarquaient vous, descendrait le col

De l’autumn, à l’ombre d’un trottoir qui s’était infiltraitrée
Je restais planté sur place pour toujours
Et agitais mon chapeau pour toujours–

À la personne quittait
À l’enfant

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.

Traduction | « Poésie du lever fu jour et de la soirée » La Bibliothèque d’hyacinthus Partie 2 de Michizo Tachihara, 1937

I. Sur un vent

Mon cœur était plein de toi, le vent d’ouest
La chanson relâchée qui n’arrêtait pas encore, au matin de pluie
À la lumière de une fenêtre fermée
Pendant je mastiquais une sentiment triste

Je me souvenais, de tremblant, de une crainte
Nous ne connaissons pas des choses……
Chaque de soirée, il soufflait par le côté qui brillait
Il déjà, était plié, pesait sur mon cœur
La mélodie loin, qui tu chantais–
Est-ce qui lui tirait, qui
Lui oubliait…… Enfin

Quand chaque soirée changerait à la nuit, les nuage décédaient
Dans le noir pâle était versé et venait
Toi, le vent d’ouest, tu perdrais toutes les choses, tu dirais

II. L’autumn bientôt

Bientôt, l’autumn, sera venu
Le soirée bavardait avec nous intimement
Des arbres comme les gestes du vieille
Jetaient ombres découvertes et sombres sur la direction du nuit

Toutes les choses ballottaient incertaines
Plutôt comme un soupir silencieux et légère……
(Il n’est pas hier, c’est demain)
Nos sentiments, chuchotaient et esquivaient
–L’autumn, comme ça, revenait
Ensuite, encore l’autumn, restait immobile
Comme un homme qui demander la grâce……

Tôt ou tard le souvenir de je n’oubliais pas
Mais, il n’y pas avait de souvenir, on passait
L’autumn…… ainsi…… à un soir encore–

III. Petite ballade

Une personne pouvait allumer la lumière
À la côte, qui lire une livre était autre personne
Parce que une chambre silencieuse, une voix basse
Au coin, je peux écouter (Touts les gens écoutait)

Uue personne pouvait éteindre la lumière
À la côte, qui endormait était autre personne
Une femme qui filait et chantait
À dehors des fenêtres, on peut bien écouté (Touts les gens écoutait)
Beaucoup des nuits et beaucoup des nuits passaient semblables–
Le vent criais, et sur le tour, le cop faisait connaître
–Soldats hissaient drapeaux, ânes faisait sonner ses grelots–

Et puis, le matin arrivait, le vrai matin arrivait
Encore la nuit arrivait, encore, nouvelle nuit arrivait
Cette chambre, vide, restait à la suite

IV. Invitation du sommeil

Bonne nuit, les filles visages avaient visages gentiles
Bonne nuit, elles tricotaient ses cheveux noirs
À chevet des elles autour du chandelier qui allumait du couleur noyer
Quelque chose vive existait (Dan le monde entier il y a de poudre de neige)

Je voulais chanter indéfiniment
Dehors la fenêtre sombre, à dans le fenêtre
Puis, entrer dans les dormis, aux ses fonds des rêves
Ensuite, je répétais et répétais, je voulais chanter
Comme une bougie
Comme le vent, comme des étoiles
Mon voix allait çà et là comme des mélodies

Et elles, les fleurs blancs de la pomme fleuriraient
Et donnaient des petits fruits verts, ils mûrissaient en rouge avec vitesse sympathique
Dans un temps court, en dormant, elles pouvaient regarder les rêves

V. À la pluie de une nuit du plein hiver

Où est-ce qu’il allait?
Mais il n’avait rien
Tous, perdaient depuis longtemps
Quelque part, lointain, la place je ne savais pas

La nuit de la pluie du plein hiver, chantait
Même de l’air quand elle attendait
Mais cet air qu’elle ne revenait pas
Loin, lointain, la place je ne savais pas
Noms des choses qui perdaient, intolérable
D’une répétition froide–
Même ça, je, pensais nos oreilles

Au-delà du temps, ce ciel bleu est très clair!
Ces espoirs seuls restaient, et, pourquoi ils félicitaient
On ne savait pas qui, le fond d’œil de cette personne

VI. À la nuit perdait

La prunelle était brûlée, qui brûlait
Elle n’était pas, de papille bleue
Ou de prunelle brune, en brillant
Piquait, mon cœur

Comme elle me faisait pleure
Mais, elle ne faisait pas
En brillant, elle me caressait
Et félicitait mon cœur trop gentil
La prunelle était brûlée, qui ne bougeait pas
Elle n’était pas, de papille bleue
Comme elles existaient, indéfiniment

La prunelle était brûlée, qui était silencieuse
J’oubliais le soleil et des herbes avaient bon parfum
Tristement seule, en brillant, en brillant, qui brûlait

VII. À l’obscurité débordait et trempait

Si il était beau, faisait mieux de rire
Pleurs, pour toujours, étaient sécher
Le soleil, se couchait à la grande paysage là-bas
Très triste, cette lune s’enflammait

C’est froid! on était éclaté par la lumière
Le gens frêle errait et vaguait
Moi, je aurai vécu où– répondez
À la nuit, ou au matin, ou à la pénombre
Moi, autrefois je avais été qui?
(Je n’était pas qui, Je peux être n’importe qui, quelqu’un–)
Moi, je perdait l’ombre de la femme j’aimais

Était foulé et casée, mon espoir était gentil
Je m’endormirait seulement, dans le sommeil
Pour je me fondrait une aspiration

VIII. Au bord du sommeil

La silence, comme d’une nuage bleue
Gentille, s’abattrait sur moi
Moi, comme un petit animal sauvage était abattu
Dans un sommeil, je plongeais, sans mouvement tout à l’heure

Encore, chuchotais, la mélodie perdu
Les nuages flottants de printemps, oisillons, fleurs, et ombres, faisaient appeler
Mais, ils ne sont pas de mon possession déjà
Ce jour-là, ma apparence qui baissait mes bras et marchait seulement aussi
Je, à la nuit, allumais la lumière, avant le sommeil
À côte de la lumière brillant, et leurs fondrais simplement
Dans la rêve, n’étais pas compétent que la rêve

Vis sur l’ombre, et quand je m’épuisait le temps
Encore le memoir, comme soupir, plus faible que la silence
Aurai fait les mots chanter

IX. Errance

C’est nuit– toutes les fenêtres, prendraient les lampes
Chemins, seuls, clairs faibles, illimités
Enduraient…… qui allais sur ils
C’était moi, seul, tout seul, sans poursuivre

La lune, se couchait déjà, ces
Comme la musique gentile, il n’y avait pas de brise
Les paysages ses ébranlaient, et effaçaient avec la rêve
Je, simplement, dans le sommeil, suivrais le sommeil plus profond et l’oubli……
Maintenant encore, si on prendrait moi en grande affection
À elle, mes mains étaient très minces, pour soutenir
Par son poids, j’ai été soif à chanceler et tomber

Oh, l’embrasement du soleil levant! Viens vite– le sommeil! Se réveilles……
Fermé par la brume de cendre, gelait moi, un jour court
Quand il arrivait, la nuit en vaguant, la rêve, je regrettais seulement!

X. L’embrasement du soleil levant

Le sommeil de la nuit dernière, sur des cadavres sales
Qui, s’asseyait?
Des ces profondes, prunelles noirs, maintenant encore
Une chose je puisais, qu’est-ce que c’est?

Tellement, dans ma chambre comme une prison
Semblable, comme un temple, étincelait, ondoyait
Où était cette musique allée?
Où était cette forme passée?
Ah, cette place là, qui restait?
Vaine, vide, étais transférée, ma jeunesse!
À toi, je ne voulais pas attendre

Cependant immobile, t’asseyait au coin de mon lit
Regardait ça, qui es-ce?
Comme on savait, et prendrait, le secret du sommeil de la nuit dernière

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