Mémoradom des rêves, et cahier des événements impressants ou menues #02 de fèvrier à mars 2023

« Un jour de 2012 »

Dans une petite salle à manger blanche, sympathique et simple, et pas de lumière au plafond, il y a une bougie parfumée à l’eucalyptus.

Deux garçons japonais et deux filles japonaises des vingtaines ses assoient autour de la petite table beige de bois, et chuchotent.

Devant un garçon, il y a un MacBook Air, et devant autre garçon, il y a un MacBook. Devant un fille, il y a un ordinateur portable de ASUS, et devant autre fille, il y a un iPad avec un clavier.

Chaque lumières par des écrans des ordinateurs portables et la bougie parfumée brillent mystiquement.

Et, on joue l’album de Akira Kosemura, « How My Heart Sings ».

C’est une scène facile et miteuse, mais très belle et sentimentale.

« Jours de décembre 2022 »

Je suis dans une terrible dépression. Et, pour une raison quelconque, je suis écouté, par musique, mélodies précédents, cette de la tonalité relative ou la Tonalité homonyme, harmonies 3ème, 5ème ou 7ème échelle ascendante.

Ryuichi Sakamoto, sa musique ne peut pas apporter d’acmé.

Debussy est un petit héros, sa musique est masculine et héroïque.

Ravel a un sens féminin, et sa musique est flou et coulant éternellement.

Glenn Gould, Samson François et leurs vitesses me conviennent bien maintenant.

Steve Reich apporte une espace ou un bâtiment de la lumière et couleurs.

« 9 février 2023 »

J’ai appris l’écrivain et poète coréen du dadaïsme et du surréalisme, Yi Sang.

« 14 février 2023 »

J’apprendre…

Quand je regarde un cauchemar et je me réveille.

Je peux dormir encore par boire un verre de vin rouge.

Et le vin rouge est le sang du Christ…

« 24 mars 2023 »

Maintenant, les rues de Paris sont brûlées.

Citoyens et citoyennes sont brillantes, bonnes, beaux et braves.

Et, policiers et policières, reporters et reporterins, aussi.

Mémoradom des rêves #01 de janvier 2023

un jour de 2007

Les grains du bois de mon bureau et de mon ameublement, ills coulent. Mon iMac et mes cinq synthétiseurs brillent, et je pense ils sont respectable et très beaux. La lumière paraît le kaleidoscope ou les œuvres de l’animation experimentale abstracte par Oskar Fischinger. Et, le bruit est atteint de delay effects, il devient comme une musique, j’écoute la musique comme Steve Reich ou Terry Riley.

un jour de 2011

À Milano, je compose la musique avec le MacBook Pro, KORG Microkeys et SONY MDR CD-900ST, dans un nouveau café brilliant avec une grande vitre très claire.

le printemps de 2013

Une femme chinoise mignonne tourne ou danse ayant une vieille étoffe, avec une musique sentimentale mais sympathique du piano coulent. Je pense cette étoffe et le vieille Roland Juno-106 pourri qui pose à côte de moi, elles sont belles et précieux absolument.

un jour de 2015

L’airplane s’est écrase et explode chez moi.

La flamme s’approche chez moi.

Je veux m’enfuir de ma apartment.

Mais la psychologue feminine stupide et obstinée de L’Université de Tsukuba et des gens japonais me gênent.

Et, elles disent « Calmez-vous, calmez-vous! », « Ce n’est pas si pressé! » et « C’est votre responsabilité ou “self-responsibility” !!! ».

C’est pourquoi, je ne peux pas m’enfuir. Et je suis…

(Je regardes toujours les rêves de la sorte même.)

un jour de 2016

J’ai été séparé de ma classe lors de la fête de culture de l’école primaire.

L’économiste Akira Asada s’apparaître, se serre contre moi et m’aide.

Ensuite, Ryuichi Sakamoto, Steve Reich, Hideki Azuma, Jacques Derrida, Jean Baudrillard et Julia Kristeva, elles ses apparaissent et m’aident.

l’été de 2021

Je suis une belle fille française active, sauvage, haute avec cheveux blonds longues. Je m’habille un T-shirt rose, un jean bleu, Adidas Stan Smith et ( blanc / vert ) et un sac à dos vert foncé. Je vais à la petite maison blanc au centre régional, d’une madame célibataire et d’âge cinquante qui je rencontrais par une service d’hôtellerie du Net. Elle est normale, mais, charmante, merveilleuse, noble et intelligente avec cheveux mi-longs chics et s’habille une robe bleue navy franche. Sa salle à manger est petite, blanche, simple, propre et sympathique. Elle sert un thé de Darjeeling Dimbula chaud qu’est incroyablement délicieux, savoureux et doux naturellement, cependant sans sucre. Nous jouissons bavardage intéressante et agréable.

un autre jour de l’été, 2021

Dans la région agricole du Var. Un jeune homme aux lunettes rondes avec la barbe, qu’est en train de cultiver la terre avec ses amis à midi.

Soir, il écrit un roman sur son iMac, fait des illustrations sur son iPad bavardent en vidéo chat avec ses amies à Lyon sur son iPhone.

un jour de 2022

Je entre à une chambre d’un vieux apartment dans Paris.

Il y a un KORG synthétiseur analogue de 1981, Mono/Poly.

Je touche ces claviers, et très beau son de pad coule.

31 janvier 2023

Je suis dans le McDonald sur l’arrondissement de Ménilmontant.

Sous mes yeux, un Kamen Rider récent brandit une sabre large et se bat, comme un spectacle mais réellement, contre l’ennemi en coulant la trans musique, vulgaire et intense.

Je ressens beaucoup de peur.

(Cependant, je n’ai jamais vu du Kamen Rider.)

Je suis dans le rayon du sac du Bon Marché Rive Gauche.

Emma Sheen (une personage de féminin pilote dans Z GUNDAM) et Kai Shiden (un pilote dans the First GUNDAM) revoient moi, par un congé àpres leur triomphe.

Nous regardons une télévision. Elle retransmet une bataille dans une zone du univers.

Un cuirassé d’espace est tiré par un coup de feu de un mobile suit. Le cuirassé se troue et est explosé. Notre compagnon d’armes engage dans le explosion et leur corps s’évapore dans l’espace du univers…

7 février

À Nantes, je vais un night-club pour jouer DJ, en train.

Dans ce train, je rencontre un sociologue japonais de la sociologie urbaine, Mikio Wakabayashi.

Il dit « Il n’y a pas de piano dans ce club, n’est-ce pas ? »

Je réponse « Non, non… mais, je joue mes morceaux du piano comme Musique Minimale de Steve Reich principalement, par DJ. »

Je descendre du train, et je me perds dans la ville…

Œuvre poétique #01, de janvier à fèvrier 2023

« Meg »

Meg…

Tu es mignonne et amusante.
Et, tu n’est pas très belle…
Mias, tu portes bon humeur unique.
Ainsi, tu as cœur généreux.

Ton corps magnifique est un bienfait de la nature.
Tes grands yeux nous reprennent courage.
Ta épaule vaste nous rassures.
Tu es une existence radieuse.

Meg…

Nous t’aimons. Et, la terre félicites toi !

« L’Ânesse bleue »

L’Ânesse bleue, tu es anéantie, anecdotière, anémiée, anémique et anesthésique.

L’Ânesse bleue, tu es blême, blessante, blessé, blette et bleuâtre.

L’Ânesse bleue, tu es dans l’anesthésie bleuâtre.

« Nino Miya »

Mademoiselle Nino Miya…

Vous êtes banale, ordinaire, quelconque, sérieuse et mignonne.

Vous n’êtes pas belle, gentille, brillante, intéressante et chouette.

Ainsi, vous êtes confiance, tranquille, paisible, aimable et respecte.

Mais, mademoiselle…

Vous êtes très médiocre. Donc, il y a des beaucoup des femmes comme vous dans des villes, je les regarde toujours et souvent. Je ne peux pas distinguer vous et les femmes qui ressemblent à vous…

Et, néanmoins, la société fonctionne et marche grâce au gens comme vous !

« Hier, aujourd’hui, demain et cet après-midi »

Apprendre par le hier

Vivre dans l’aujourd’hui

Regarder au demain

Et, reposer en cet après-midi

« L’air du avril »

L’air du avril est doux et blanc.

Mais, il est sentimental et rose.

Aussi, ennui et jaune.

Cependant, sympatique et vert.

J’aime cette atmosphere brilliante du printemps.

Ainsi, j’attends l’avril chaque année.

Et, je vais sentir l’affaire joyeux.

« Un petit café blanc »

Un petit café blanc à l’extrémité de Kichijoji, je vais toujours qui est une place intimée, précieuse, brillante et merveilleux.

Le café est banale et simple, mais beau, noble et tendue.

Cette place est une espace éternelle.

Dans ce café, je peux devenir innocent et sentir quelques choses inspirées.

Cette place nous donnes beaucoup des idées , des motifs et des histoires belles.

Le café est un micro-cosmos à moi et mon cerveau, et aux nous et notre cœurs.

« La berceuse japonaise »

La berceuse japonaise,

elle est sentimental et douloureuse,

mais, sympathique et douce.

« La berceuse japonaise en mode mineur »

La berceuse japonaise en mode mineur,

c’set le chant mystique, ésotérique et de la peur,

mais, il y a gentillesse et douceur dans la peur.