Sonnet 4-7-3, Romanesque sans romance & Scènes séquentielles #001 (L’œuvre poètique frivole en décembre 2024)

Une chose, la chose

Quelque chose qui je dois faire? Ça pourrait une chose universelle et perpétuelle. Est-ce que je vivre pour quelle chose? Ces sont la Terre, l’univers, tout le monde et Dieu.

Autrefois, maintenant…

Autrefois, il y a des appartements blancs et plaines vertes seuls
Les gens vivait heureux et optimistique
Ils avaient espoir sans conscient
Le ciel était grand, on connaissait une ville entière

Et la Paine beige vase nulle
Qui agrandit à l’horizon très loin
Nous pouvions voir l’horizon et le grand ciel des touts azimuts!…
Le temps passait, l’ère était changée
Les gens perdait l’espoir et la tendresse
Nous vivons chaque vie dans chaque maison et chambre
Nous ne connaissons pas près des touts hommes

Le temps nostalgique et paisible était passé
On perdait quelque choses précieuses aussi insignifiantes
Elles ont perdues définitivement

Odeur, parfum

Il y a l’odeur commun de la ville. Ça pourrait nous sentirons aussi. Il y a a le parfum de Natur ou savage. Certain, il doit exister. Les hommes avaient un odeur chacun, et, avaient parfums des l’eau de toilet et la savon. Les consignations et mingles des ces choses sont une magique entre chose nature et artificielle. Aussi des combinations entre le Natur et les humains sont un trésor magnifique de notre monde.

Le soleil est l’énnemi

Le soleil se ne couche pas jamais
Le soleil se lever encore, toujours

Il brille et éclate maintenant aussi
Il brule fortement moi et mon peau

Je veux le soleil se couche par maintenant
Et je déteste le soleil qui reste encore
Aujourd’hui dans l’été, le soleil est notre ennemi

Mémoire d’une rêve, 24 décembre

J’étais dans un magasin. Il y avaient des quantités formidables des bretons marines ou marinières seuls. Ces marques étaient Saint James, Le Minor, Orcival, agnès b., MUJI, Uniqlo, et ce qui vendu dans le Carrefour, etc.. Elles étaient types de l’Ouessant, de le Naval et d’agnès b.. Plus de la moitié d’entre eux, ses colours étaient blanc et bleu marine ou cobalt. Autres étaient blanc et vert, vert clair, rouge, rose et violet, etc. J’aime beaucoup la breton marine. J’étais très heureux dans ce magasin.

Les Feuilles mortes

Maintenant est l’autumn. Feuilles vertes deviennent jaunes, oranges et rouges. C’est la beauté de usere et disparition. Elles sont feu de fin des ses vies en devenant rouge dense sur le beau ciel blue clair et le vent frais mais peu fort et froid. Et elles deviendront brunes comme des corps…

Drônes

Un drône blanc prend une vidéo de la beau paysage verte de la forêt la Grande Chartreuse.

Autre drône gris tire une missile sur un soldat sur terre en Ukraine.

L’Iran a fait voler plus de 200 drones à Jérusalem. Cette scène était brillanté mais horrible et terrible…

Sonnet pour Solo Piano Pieces for an Ordinary Life 01

Ordinaire, tout les jours je lis livres de poche
Et, ordinaire je bois thé darjeeling
Aussi, ordinaire, je joue piano
Avec en regardant le CNEWS

Comme cala vie ordinaire marche
Elle est en temps une temps ennuie
Mais elle est précieuse et douce
Aussi elle est forte et élémentaire
Ainsi des fêtes sont importantes
Elles augmentent la valeur de la vie ordinaire
Le Noël est existé par la vie ordinaire

Donc je fait la blonde sonore pour elle
Elle est la musique triviale mais douce
Ce album cadeau du Noël par moi pour vous (pluriel)

Tous les jours, jours différents

Tous les jours sont différents
Il n’y a pas de même jour complètement
Nous apprécions des jours différents de chacune vie

Tous les jours sont mêmes
L’agenda et le routine sont les mêmes dans la vie ordinaire
C’est ennui, mais, nous passons en nous rassurant et calmement

Tous les jours, au jour le jour
Nous vivons entre les jours différents et mêmes
Comme ça dans ce mouvement de la société et de la nature

Noël

Noël est le jour naissance de Jesus. Nous reflétons son amour, sa réussite et sa vie.

Messe de Noël à Notre-Dame de Paris est le plus belle et précieuse chose dans le monde.

Et, Noël est le jour fête, famille assemble et famille fait la fête, et célèbre Jésus.

Aussi, Noël est la date de donner cadeau. Montant des gains commerciaux durant la fête.

Par Noël, je veux faire les gens et le monde, plus heureux, meilleur, meilleur et meilleur…

Joyeux Noël!… Noël est la chose joyeuse, c’est une joie pour moi, par nous, pour nous.

Le soleil de l’hiver

Le soleil de l’hiver est beau et blanc, claire et tendre.

(Il n’est pas comme lumière du LED, blanc et claire excessivement par la technologie artificielle.)

Je sense la graduate et l’amour de la nature et de Dieu, parce que l’hiver et froid et sombre. Et le soleil éclaircit plus clairement et précieusement.

Chatte dans le nuit de l’hiver froid

La chatte dans le nuit l’hiver froid qui s’enroulait
Dans le herbe seulement, solitaire

Ce nuit d’hiver était
Longue, severe, triste et mystérieux

La chatte miaulait pour demander à
Un chat courageux, gentil, et solitaire aussi

Mais il n’y avait pas de réponse
Ni hommes ni chats écoutait les miaulements

Puis, la chatte miaulait souvent sans raison
Le nuit froid durait longue temps et tristement…
Elle restait tout le temps et tristement sur la terre froid…
À côté du festival de la fête…
Mais son cœur était chaleureux et forte…

décembre 2024

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)
W. B. Yeats, Rupert Brooke, Paul Éluard, Anna de Noailles

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Eine Sache, die Sache

Etwas, das ich tun muss? Es könnte eine universelle und immerwährende Sache sein. Für was soll ich leben? Das sind die Erde, das Universum, jedermann und Gott.

Früher, heute…

Früher gab es nur weiße Wohnungen und grüne Ebenen.
Die Menschen lebten glücklich und optimistisch.
Sie hatten Hoffnung ohne Bewusstsein
Der Himmel war groß, man kannte eine ganze Stadt.

Und die Paine beige Schlamm null
Der sich am Horizont sehr weit vergrößerte.
Wir konnten den Horizont und den großen Himmel aus allen Richtungen sehen….
Die Zeit verging, das Zeitalter hatte sich verändert.
Die Menschen verloren die Hoffnung und die Zärtlichkeit.
Wir leben jedes Leben in jedem Haus und Zimmer.
Wir kennen nicht die Nähe aller Menschen.

Die nostalgische und friedliche Zeit war vorbei
Wir verloren wertvolle und unbedeutende Dinge.
Sie sind für immer verloren

Geruch, Duft

Es gibt den allgemeinen Geruch der Stadt. Er könnte uns auch riechen. Es gibt den Duft von Natur oder Savage. Sicherlich muss er existieren. Die Männer hatten jeweils einen Geruch, und, hatten Parfüms des Toilettenwassers und der Seife. Die Aufzeichnungen und Mingles dieser Dinge sind ein Zauber zwischen natürlichen und künstlichen Dingen. Auch die Kombinationen zwischen Natur und Menschen sind ein wunderbarer Schatz unserer Welt.

Die Sonne ist der Feind

Die Sonne geht nie unter
Die Sonne geht immer und immer wieder auf

Sie leuchtet und blitzt auch jetzt
Sie brennt stark mich und meine Haut

Ich will, dass die Sonne jetzt untergeht
Und ich hasse die Sonne, die noch bleibt
Heute im Sommer ist die Sonne unser Feind.

Erinnerung an einen Traum, 24. Dezember

.

Ich war in einem Geschäft. Es gab riesige Mengen an bretonischen Marines oder Marinières allein. Die Marken waren Saint James, Le Minor, Orcival, Agnès B., MUJI, Uniqlo, und was in Carrefour verkauft wurde, etc. Sie waren Typen von Ouessant, le Naval und agnès b.. Mehr als die Hälfte von ihnen, ihre Farben waren weiß und marineblau oder kobalt. Andere waren weiß und grün, hellgrün, rot, rosa und violett, etc. Ich mag die Breton Navy sehr. Ich war sehr glücklich in diesem Geschäft.

Die toten Blätter

Jetzt ist der Herbst. Grüne Blätter werden gelb, orange und rot. Das ist die Schönheit von usere und verschwinden. Sie sind das Feuer des Endes ihrer Leben, indem sie sich vor dem schönen klaren blauen Himmel und dem kühlen, aber nicht sehr starken und kalten Wind dicht rot färben. Und sie werden braun wie Leichen …

Drohnen

Eine weiße Drohne macht ein Video von der schönen grünen Landschaft des Waldes La Grande Chartreuse.

Eine andere graue Drohne schießt eine Rakete auf einen Soldaten in der Ukraine.

Der Iran lässt über 200 Drohnen in Jerusalem fliegen. Diese Szene war brillant, aber schrecklich und furchtbar…

Sonnet für Solo Piano Pieces for an Ordinary Life 01

Gewöhnlich, jeden Tag lese ich Taschenbücher.
Und, gewöhnlich trinke ich Darjeeling-Tee
Auch, gewöhnlich, spiele ich Klavier
Mit während ich CNEWS schaue

Wie cala gewöhnliches Leben geht
Sie ist in der Zeit eine Zeit langweilig
Aber sie ist wertvoll und süß
Auch ist sie stark und elementar
So sind Feste wichtig
Sie erhöhen den Wert des gewöhnlichen Lebens
Das Weihnachtsfest wird durch das gewöhnliche Leben bestimmt

Also mache ich die Blondine für sie klangvoll
Sie ist die triviale, aber süße Musik
Dieses Album Weihnachtsgeschenk von mir für Sie (Plural)

Alle Tage, verschiedene Tage

Jeder Tag ist anders
Es gibt keinen gleichen Tag vollständig
Wir genießen verschiedene Tage in jedem Leben

Alle Tage sind gleich
Der Tagesablauf und die Routine sind im normalen Leben gleich.
Es ist langweilig, aber wir gehen beruhigend und ruhig daran vorbei.

Alle Tage, von Tag zu Tag
Wir leben zwischen den Tagen anders und gleich
So in dieser Bewegung der Gesellschaft und der Natur.

Weihnachten

Weihnachten ist der Tag der Geburt von Jesus. Wir spiegeln seine Liebe, seinen Erfolg und sein Leben wider.

Weihnachtsmesse in Notre-Dame de Paris ist die schönste und wertvollste Sache auf der Welt.

Und, Weihnachten ist der Tag, an dem die Familie feiert, zusammenkommt und feiert, und Jesus feiert.

Auch ist Weihnachten der Tag des Schenkens. Betrag der Geschäftsgewinne während des Festes.

Mit Weihnachten möchte ich die Menschen und die Welt glücklicher, besser, besser und besser machen…

Frohe Weihnachten! Weihnachten ist die freudige Sache, es ist eine Freude für mich, für uns, für uns.

Die Wintersonne

Die Wintersonne ist schön und weiß, hell und zart.

(Sie ist nicht wie LED-Licht, weiß und hell übermäßig durch künstliche Technologie).

Ich fühle die Graduierung und die Liebe der Natur und Gottes, weil der Winter kalt und dunkel ist. Und die Sonne hellt heller und kostbarer auf.

Katze in der Nacht des kalten Winters

Die Katze in der Nacht den kalten Winter, die sich einrollte.
Im Gras nur, einsam

Diese Winternacht war
Lang, severe, traurig und geheimnisvoll.

Die Katze miaute, um nach
Eine mutige, freundliche und auch einsame Katze.

Doch es gab keine Antwort
Weder Mensch noch Katze lauschte dem Miauen.

Dann miaute die Katze oft ohne Grund
Die kalte Nacht dauerte lange Zeit und traurig …
Sie blieb die ganze Zeit und traurig auf der kalten Erde…
Neben dem Fest des Festes…
Aber ihr Herz war warm und stark…

Dezember 2024

Liste der Übersetzungen von Gedichten
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)
Paul Éluard, Anna de Noailles, W. B. Yeats, Rupert Brooke, etc.

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Translation | Pour la musique by Léon-Paul Fargue

To Francis Jourdain

Dreams

A little child
Around the marbles..
A dull voice
Of high surroundings..

The eyes if heavy
Of those which loves you
Reflecting and passing
Among the trees..

At the big organ
Of what station
Make big the wave
By old departures..

In an old dream
To the far lands
Of brave things
They break sages.

Arbors

Saps of stained glass flash the silence
On the arbors to green eyes where smiles Marie…
Passed under the green arch…

A arm of swing incenses the silence
With an end of robe which watch et which sing!
Those which it is spoken cause by old Sundays
In the honour of the past.

The glow of his hands reflect the silence
Which streak
On the root, at the outside, cyclists who make
A noise de dragonfly – which point et which fold…

Under the green arch which turns pale, she smiles…

My heart bangs the door
In the darkness..
I like very horrible the saying…
It passes in my glass,
Like the clear wings,
Its gestures, its smile…

Organ on the Window

Those who was able to embroider your heart, at the window
Long time, against his cœur, you will not see more…

… A child plays and cry
In the corner hot and blond
Where the sun described
The things they existe…

The organ shows its complaint where dance a heart burns
Like on nozzles of water shooting
Targeted lots of eggs…

This waltz must pleased to the archduke Rodolphe…
Spectacles was open in the shadow their crossing…

A braking gesture lights up
The lump to eyes closes,
A redness outcrops to walkings of the night…

On that Sable d’Olonne ou in that Dieulouard
Did I find the forget de her pale face…

At lands

A name: Cromac, we makes us talk
At a dark golfe… Oh passing away of love,
Be less sad of having tear
For other names, for other days

Or you were like blind,
Who watch on red shadow
And play with his hands scratched
On the old bench of his childhood…

Like blind, when he consider
And grumbles, and that his heart growl
Against the beauty of lukewarm body
Who watch it, all of tears…

Cromac. The house under the branches,
Where the window with the flowering eyes
Move his long white hands,
Gently, without noise, on his heart…

Interior

Canvases, dry things during at sun beams…
The old rifle stares off
At the wall clear..
Dream to grey tone. All is like past time. Listen…
The high chimney
Make its ancient complaint and its odour erase
And cup its backbone de old black bird…
It has still at the front its images of cruel soul
And its vases of lottery to first name of gold..
And the click recluse in the shadow et the box
Hogweed its heart with a obscure gentleness…

Equal to the rond faces of spectators
The plates bend over at balconies of old dresser
Where the lines of fruit that makes chain, bloom
In their alley of shadow colour of aubergine..
I open a drawer where I see empty nuts,
And the shadow of my hands which slide on the things…
And there are colours living, chilled…
And there are smells of sure intimacies…
This smells the box, and the pepper of old departures,
And the book of class, and the chapel vanished..

A tight window pushes wasps
Frapping to the blue skylight…
A big cat passed gently like it whispers,
And you lift a look where watch the wise ennui
By the sun in the fluke to golden green lens..

Would be calm. All is there like past time. Listen…

In vacation

The nice round branch of the way
Lead to the church of village,
Where Camélia pulls on hands
Oldness and coldness of the harmonium
For the mass of tomorrow…

Je listen it singing
Of here, where I was,
Like I will left from the chestnut grove
By the way covered where argynnes plan
Which chase le noise of the windmill…

It made so good, this hail chant,
Like a pleasure overlapping to old,
Which arrived rounding slowly,
Cut the thin cries of birds,
In the perfumes et in the noises,
Till at the green hallow many horrible insects which stitch
Where I forgot my town, where I forgot my nights

Mr de Beaufort who is a dreamer
Like me, I think,
Listen it too, at his window,,,
Him, tomorrow, Sunday, he will play the French horn
Till the noon…

Romance

Certains we loved you,
Marie… You know it,
Aren’t you? You remember?…

A evening
(We left on the night
Arthème and me), we went without noise you see
On the apse of the summer sky, like to the church…

There was light and you read…

We kept the dessins
By three pencils, et the birds by blue ink
That you made…

Ah! Marie, you sang so good!
It was at the time
Where you were happy at the sisters’ school,
Where the Parade all pale flowers
Sang dans the desert of the Sunday…,
Trembling
I was with you were all in white…
The organ spoke at shadow at the church…
On shine during the day blue…
By the wounds fu stained glass, the call of blow
Where melt a large onyx bumblebee! chased the fire
Of candles, to you were grey
By the light and the wise cats…

As the Pale Hour Goes by

A day, at dusk, it passes, before the rain,
Along the walls of a park where dreams the beauty trees..
It follows them long time, the time passes
Which the hands of the night sneak up on old walls…

But what are trouble you as the pale hour goes by
Who curls to black hands of grilles?
This afternoon, the calm after the rain has something
Which make consider of the exile et to the night
It hears many noises
Of leaves everywhere
Like a fire which take..
Branches flashing. The silence
Love
Et it passes of odours if penetrate
That it forgot there were others
And they made the odour same as the life…

More after, bit of the golden Sun
A leaf, et two, et then all!
Then, the new bird which dare it the first
After the rain

Sing!
And like a pungent flower comes out of the lamp turn off
It appears in my heart the gift of a old dream…

A lurking ray again at the ridge of the wall,
Glide to calm hand et we lead to the shadow…
Is it the rain? Is it the rain?
At far, of no old and black
Going away
Along the walls of the park or the old trees dream…

Sundays

On fields like the sea, the odour hoarse of herbs,
An wind of bell on the flowers before the rain,
Of clear voices of children in the park of rain blue

A gloomy sun opened to miseries, all there
Vogue on the languor of this afternoon..
The hour of singing. It must be sweet. Them who love me are there…

I hear the words of children, calm like the noon.
The table put simple and happy with the things
Pure like a silent of candles here…

The sky gives its sadly fever like a benefit…
A grand day of village enchant the windows…
People keep the lamp it’s festival and of flowers…

At far a organ joue its honey sob..
Oh, I want to say for you…

Dawns

That the dawn take new wind
And which it plays at four corners
With nostalgy in the towns
At crossroad decorated mirrors
Which attract de old sights
Subtly at bottom of the far tombs..

That rats which drive without noise
By a tree to a tree, out of their grids
At the stream that the time faded
Through your big shadow.
When the things look at you
The same quickly that look at them..

Which opened by self by terrible bad
The corollas des butchers
Where drip of the blood which lays
And which the sky rises to muffled blows
Where a remarker moors and smokes
Of a shadow of the nose against the sun…

Which the mechanist close the oven
Where brew the old ash
And which an woman watchful
To eyes de father et of servant
On a door where the wind swells
Blow their smoking which sing
And verse the Black of slow hands.

Which the dawn tangles the rough wind
In the tree where combs the moon
Et which she dreams the beach
Cover to an orybe down
Where of foreigners insects tremble
Sensible like the scales
On a old cloud which sleep.

It blows — for which you sing yourself
A low song, misplaced
Where it’s question to women,
Of blues returns to the countryside,
Of promise and of poems,
— And which your heart go ahead and weep
Of weep of ancient tears.

Song

The manufacturers set
For our using, the objects
Usually — The objects loves…

The noise of cristal evoked
The same to a shallow sleep
Haven’t troubled, haven’t troubled
People — of their prosperity..

They do in the quantities
Without be moving de their beauty
And, for satisfy to the sales,
Our little sister the lamp,
The lamp which see our embrases…

Our little sister the lamp
To the round see our embrases.
Like the passing aways she slept
Without noise, at the hollow of the green mound..

Everyday she was closed
On her roll and gathered herself
And was silent like is silent
A hive, without noise of the winter…

But it’s the time. A small
Star aspen and periclite…
To the blue sadness of crossing
The fly silences its noise..

And the lamp make its light
Gentle and pale, colour of beaches,
Colour of wheat, colour of sands,
Colour of sands of the desert..

In a house which it ignore
The evening rise beam of danger
And wait on a landing
In the front of a marked door.

1898

List of Poetry Translations
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)

Jean-Michel Serres Apfel Café Music QR Codes Center English 2024.

Translation | Ludions (1886 – 1933) by Léon-Paul Fargue

Air du poète

At the nations of Papua
I caressed the Papua…
The grace which I hope you
It’s not to be Papuan.

The Bronze Statue

The frog
Of the barrel game
Bored, the evening, under the arbor…
She is in enough!
Of being the statue
Which screams in silence a great word : The Word!

She loved better being with the others
Who made bubbles of music
With the soap of the moon
With the edge of golden washhouse
That we see, there, brilliant among the branches…

It throw him heat of the day
A pasture of pistoles
Which crosses it without him enjoy

And is going to ring
In the cabinets
Of its pedestal numbered?

And the evening, the insects lie down
In its edge…

Though she is tied to the grandstand,
Open to the love, open the forceps
Towards the moon which sigh, of turning of sense,
From the indigestion thermogenic wadding…

At the far an wisp seek something
That it lost in the reeds
And wake up at the bottom of the closed pond
The black hydrophilic in her castle of water…

My sad childhood, to the lookout for charms,
The evening I will see you stargaze,
Invite for you to listen, on the edge of your teardrops,
Gobbler of time, covers and blames,
Like me, poet, in my orchard…

Song of the Rat

Abi Abirounère
Who which you aren’t don?
A white miners
A pre
A pretty goulifon
An eye
An eye to his goulifon
A pre
A pretty goulifon
An eye

_ _ _ _Spoken.

Tilibeet, my ti fifi!

Song of the Cat

He is a small beast
Ti Li small child
Tirelan
The bit Tinan faon
It’s a ti white-white
A little potasson
It’s my piglet
It’s my pun
My little potasson.

He leap on the window
And rumple of the muzzle
Because he see on the ridge
Cut out the birds
Tirelo
The little doesn’t need it
It’s un ti bloblo
A little Potaçao
It’s my piglet
It’s my swine
My little potash.

Lanterne

The organ of Barbarism et the draw of lottery
Sleeping in the night of cars.
It doesn’t hear more thunder, filed like the Death,
Batiplantes – garden of Gnolles.

Air of Julienne

The apaches settled
On camping fire of panouilles.
The daggers were swinging
With their weight of socket.

Julienne found worse
That I seek the happiness
And in a field of trips
Checked the Indicator.

The furry brassieres
Support the swings
And the navels wormy
Looked like the strainers.

American Frog

The American frog
Watch me above
Their glasses of fustian.
Their eyes are grogs massus
Deprived of pretty.
I think to Casadesus
Who doesn’t play music
On this scene of love
On which the nostalgic perfume
Sort of a box the armour

Argus of table you guard
The soul of toad Vanglor
O stock which watch me
With your glasses of gold.

Pebbles

Flower of three phrases, errors, Vespasian
Et the women, et these worms apaisants
Who pick the pleasure on his old shrub
And who take a worm for a boa.
Enough suffered. That the love is the glamorous rose
Who faces to the palm tree. That the wall is close.
Touch me. But don’t risk a little more who touch me.
Kiss me.
_ _ _ _ Oh, like he make darkness in his mouth…

Madrigal

In my heart in your presence
Bloom of salt herrings.
My sanity, it’s your absence,
And when you appear, I leave.

Dance

The escarole salads
Danse in pannier dress
On the blond and soft moon
Which rise for dinner.

A lovers couple isolates
Gracious liken an oiler
And go under a mitten
See push the croquignoles.

The escarole salads
Tomorrow they will dance
In their funeral urn
On the lunar faces
Which eat a eat of minnow
And will do on their frisians
The escalation of talks
And without spittles…

Although, the earth growls
Et in the blond woman
Et in the man who lies,
The pass away, lamp of bones,
Consume the oil which vanish…

Spleen

In a old square of side of the sea
Of bad time put his sit up
On a sad bench at eyes of tear
It’s of a blond
Red and beautiful
That I bored
In this cabaret of Nothing
That is our life.

Kiosk

In vain the sea does travel
At the bottom of the horizon kisses your wise feet.
_ _ You withdraw them
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Always on time.

You shut up, I say nothing,
We don’t think more about it, maybe.
But the fireflies from close by close
Fire their light of pocket
Very strongly pour make light
On your calm eyes their tears
Which je was forced to drink someday.
The sea is very dry enough.

A blue and blond jellyfish
Which want to instruct getting sad
Cross the stages denses by the sea,
Right and clear like an elevator,
And remove the shade of the lamp to flower of water
For see you pretending on the sand
With your umbrella, in raining
The three cases of equality of triangles.

List of Poetry Translations
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)

Jean-Michel Serres Apfel Café Music QR Codes Center English 2024.