Traduction | Recueil posthume de poèmes (2/5) de Michizo Tachihara

Voyage de l’été

I. Le chanson au bout de la village

Était en fleur, un Lotier corniculé, et
Je cueillais par doigts, il disais moi à travers le lumière–
Le droit est le chemin du nord à Echigo
La gauche est le Nakasendo à Kiso
À la belle soirée après la pluie, nous resterons en regardant distraitement le ciel
Et, je marchais droit à l’opposé de la soirée, ma village natal miteuse
Par la touffe d’herbe du Batohcannon, nous nous tenions debout sans mots par le première fois de nos vies

II. Pour la chèvre

Le petit pont, disait que la route entrait la village par ici
À l’ombre d’une arbre du podocarps du côte, une très ancienne maison noire….. à ce jardin
Une vieille chèvre était mis par la chaîne, comme le joie gentil d’un garçon pitoyable
À tout le monde, la chèvre répondait par le voix qui tremblait–
Toujours toujours des voyageurs, passaient et voyaient vers toi en un instant

III. Bucolique

Le moulin seul dans la village
Dans l’été, fumait le toit
Il chantait des chansons joyeux toute la journée et ne se fatiguait de chanter
Qu’est-ce que le moulin faisait
Au ruisseau, au soleil, elle harmonisait de chanter tes marches ralentis
Qu’est-ce que le moulin tournoyer à quoi

IV. Repos – Une lettre personnelle à I.T.

Autrefois, quand je croisait la rêve était belle, il n’avait pas la chose plus belle que la rêve dans ce monde. Mais, aujourd’hui, si des choses qui plus belles que le rêve me entoure, c’est combien je suis heureux. Sur le plateau de Shinano, les fleurs de sarrasin commun s’épanouit dans l’air clair, et les herbes des pampas flotte, les raies des lignes de montagne étaient comptées, il y a l’existence des belles nuages incroyable au ciel très bleu. Je ouvris l’oreille vers le ton subtil de vent, mais il chuchote les mots corrects dans ce monde. Enfin, je ne veux pas dire à exprimer qui mon cœur sens par mes mots. Comment, je dis, et je demands. C’est raisonnable, que je pense telle chose avec zèle. T, être comme ça est agréable. Le ciel très haut insondable. Je suis petit tellement, aussi je suis grand tellement.

V. Vers le cimetière

Au chemin mince dans le brouillard épais, le voix très sonorise m’invitait, le fond du bois j’arrivais premier fois.
À la côte des arbres de bouleu– ah, ma fantasme! (Les branches, chantaient le chanson du ciel qui volait par le vent)

VI. Décès de l’été

L’été passait précipitamment au loin
Pour nouvelle voyage encore

Nous comptions les jours restaient peu mombreux
Regardions les nuages et le vapeur qui pèsent sur le volcan
Nous restions une chambre froide un peu, de la plupart du temps
Passions à bavarder des histoires des fleurs triviales et des rumeurs des gens de la ville

Une journée de crachin je raccompagnais à la personne à la garé
À l’entrée de la village, les petites feuilles des pins chutaient par le vent froid, sans arrêt
…… Une auberge avait des chambres libres, depuis ce nuit, je écrivais les lettres toujours, seulement sur la lampe faible

VII. Le fin de la voyage

La nuit dernière, la lune qui voit le lever de lune
Devenait le lune à midi, flottait le ciel de matin
Le blue outremer vif courait dans le ciel
On disait qu’il se dispersait et changer à les nuages blanches, aussi cette lune
Plusieurs des fois je regardais en arrière, plusieurs des fois je regardais en arrière
Le voyageur, levait les yeux au ciel, avait le ressentiment inépuisable aux gens restaient
Et sentait le mensonge triste sans limite

Mots de la pluie

Je suis froid peu
Parce que je parcourais seulement tout
Dans un crachin
Mes paumes, mon front, restaient humides
Avant de le savoir je devenais sombre
Je m’appuie sur ici comme ça
Et attends la lampe allume

Dehors la pluie faible sans son continue à pleuvoir
Sur un vivier sans homme, sur toit
Sur les parapluies des hommes
Elle erre pour toujours
Avant longtemps elle changera un brouillard enfumé……

Je ne connassait pas et je n’espère pas
Elle dit quelque chose d’une journée
À propos du silence et la matinée chaude
Le murmure subtil de la pluie, de la sorte
Et elle change diversement
En écoutant ça
Je m’endormis à mon insu comme toujours

Enterrement de l’été

Comme une paume, c’était un beau temps calme. Je pensais quelque où je avais vu le dimanche comme ça.

Dans la nuit, le brouillard descendait hors du fenêtre. Nous nous rassemblions. Autour de la bougie. Nous tricotions même mots quelquefois, autour le bavardage restait un peu.

Sur nos mains, le bouquet du matin ne restaient pas. …..Il était comme le colour du pays loin mon mère et famille.

Insectes chantaient. Les grillons continuaient à chanter qui est le singe du fin de l’été. Un person écoutait mais il s’ennuyait et sortait à quelque où.

Je pensais du lendemain. À la chose qui je ne peux nullement écouter et parler. ……La fenêtre ouvrait. Le lever de la lune brillait clairement à la fenêtre, à travers le brouillard courait sans son.

Carnet du voyage: Cette journée, à Tsutomu Ikuta

Cette ville, une devanture d’une bibliothèque — Je écoutais, le voix de une Turque jeune. Je recevais une livre de chanson avec la couverture rouge et belle. Comme des enfants chantent.

Et je penchais ma parapluie quelque fois, et je voyais le ciel. Le ciel était gris pleinement, mais c’est haut insondable. Le jour de la pluie tranquille.

Les gens chuchotaient à le voyageur jeune. Qu’est-ce que vous regardiez?
Oui. Je regardais une Turque jeune, par la suite à un parc, à bout de la ville peu sombre.
— Un de ces jours, je vendrai Novalis et Rilke. Le jour finissait comme telle, la fille du ciel embrasé….. Ma rêverie était comme un fruit dur et aigre.

Je prépare les bougies n’ont pas brûlées entièrement à la fille. Pour je n’oublis pas memoirs du voyage. — Le fin de l’été, à la ville a chateau ancien, je recevais, par la fille, cette livre de chanson, je continuais à voyager.

Le midi d’un jour solitaire

En me cachant une touffe d’herbe mouillée
Je, répétais
Divers, positions étroites
Quelles étaient misérablement agréables

Le conviction que j’étais vu par aucun
Tout à l’heure, une invite à la confession et–
Ce temps, le midi
Semblaient sentir
Le soleil faisait la coquette doucement
Tumulte cessait pendent je ignorais
Seule le chanson des oiseaux, chantaient au loin

Ah, innocent
Une moment était nouée, qui sera parti
À la justesse de ce désir

Requiem

Au fenêtre de carreau, elle réfléchissait
Passait, une ombre inclinée de personne
S’entassait, s’entassait et s’enchevêtrait, effaçait
effaçait……

Ce moment, ce moment
Comme une ombre, elle surirait comme ça
Toujours, toujours
Elle écrivait caractères qui ses gaussaient
Quand elle décédait, elle surirait un peu–
Mais, ce voix, moi
Par une autre, je était écouté seulement

Sur une table, l’ombre d’un fleur tombait, l’ombre de plat
Si je elles touchait par mes doits
Mes memoirs effaçaient un par un, un bruit faible aura effacé

Panier du ciel

Une campagnarde, montrait à train
Et faisait cours à la ville voisine
En ayant un grand panier par son mains
–Le retour….. Le panier
Fruits, pains et fleurs, était plein
Le fille, était ensevelie dans le parfum
Elle sommeillait court

Toujours même complètement
Tout à l’heure quand le soleil se couchait
Chez moi, le panier était vide–
Je ne connaissais pas pourquoi
La campagnarde, du four
En était brûlant feu
Cette fois pour elle-même seule
Elle chantait le chanson du panier
Beaucoup des oisillons, des perles et des fleurs

Papier découpé

Le soleil se couchait, ainsi le ciel se déshabillait
Et il disait « Bientôt c’set nuit » à le coucou

Les petites étoiles tombaient de la lampe
Chacun éclairaient les chambres de la ville

Comme « Ma chambre, bon nuit! »
Les enfants disparaissaient un par un

Le nuit, est cette histoire
Ce triste fait plaisir à moi

À l’été

Il attendait ici et comme ça, un temps
Mon garçon, mon secret……
Puis, une personne je ne connais pas
Je oublie, une departure lointaine, de quelqu’un

Il, agitait un mouchoir
Il, surirait d’une fenêtre
Il, saluait
Enfin il allais au quelque part–
(Oui, je, préparais un chapeau
Et un T-shirt plus blanc que le papier
Aussi je aurai cherché)

Je agitait la main au quai, un temps
Mon hier, mon garçon…… Après cela
Cet homme seul n’était pas là, bien des departures passaient

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

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