Traduction | Crossways de W. B. Yeats (1889)

Le chant du berger heureux

Le forêt d’Arcadia est mort.
Et leur joie ancienne est fini;
De ancien le monde en rêvant disparaissait;
Le vrai gris est maintenant son jouet peinte;
Pourtant encore elle tournait sa tête sans reste:
Mais O, enfants maladies du monde,
De tout les beaucoup de choses changeant
Dans la passe chérie en dansant nous virevoltait,
À la mélodie fissurée ce qui Chronos chante,
Mots solitaires sont bon certain.
Là que maintenant les rois en guerre,
Le mot est-moqueurs? – Par le Rood,
Là que maintenant les rois en guerre?
Un mot vain est maintenant leur gloire,
Par le écolier bégayant dirait,
Lisant quelques histoires impliques:
Les rois du le temps ancien sont mortes;
La terre errante elle-même peut être
Seulement un mot flamboyant soudaine,
L’espace en changeant un moment écoutait,
Avec troublant la rêverie sans fin.

Puis nullement de adoration actes poussiéreux,
Ni recherche, à ceci est vrai aussi,
À faim violemment après la vérité,
De peur tout ton travailler dur faisait naître seulement
Nouvelles rêves, nouvelles rêves; il n’y a pas de vérité
Savourant dans ton propre cœur, Recherche, puis,
Pas de apprendre des hommes étoilés,
Qui suivent avec la verrière optique
Les voies tourbillonnantes des étoiles qui passe –
Cherche, puis, pour ceci est vérité aussi,
Aucun mot d’eux – le fléau des étoiles froides
A fendu et loue ses cœurs dans les deux,
Et mort est tout leur vérité humaine.
Va chercher près du mer du bourdonnante
Quelque coquille tordu, abritant l’écho,
Et à ses bords ta histoire dit,
Et ils deviendront tes consolateurs,
Tes mots agités un petit instant,
Vers ils doivent chanter disparaissant dans la pitié
Et une fraternité nacrée meurt;
Pour mots seuls sont bons certains:
Chante, puis, pour c’set le vérité aussi.

Je doit partir: il y a une tombe
Qù jonquille et lis ondulantes,
Et je voudrais plaire le faune malheureux,
Enterré dessous le sol somnolent,
Avec chansons joyeux avant l’aube.
Jours de sa cri avec joie étaient couronnés;
Et encore je rêve qu’il marche sur la pelouse
Marchant fantomatique dans la rosée.
Percé par mon chantant heureux partout,
Mes chansons de jeunesse rêveuse de la terre ancienne:
Mais ah! elle rêves rien maintenant; rêve toi!
Pour équitable sont les pavots sur le front:
Rêve, rêve, pour ceci est vérité aussi.

Le berger triste

Il y avait un homme ce qui appelé La Tristesse par son ami,
Et il, de grand camarade La Tristesse rêvant,
Allait marchant avec ses pas lents sur le brillant
Et sables bourdonnants, où les vagues de vent se propagent:
Et il appelle bruyamment aux étoiles pour pencher
De ses trônes pâles et le réconforte, mais ils
Entre eux-mêmes rient et chantent toujours:
Et puis l’homme ce qui appelé La Tristesse par son ami,
A crié, « Le mer sombre, écoute ma histoire le plus pitoyable! »
Le mer balayait et la criait crier ancien encore,
Avec roulement dans rêves de colline à colline.
Il fuyait la persécution de sa gloire.
Et, lointain, la vallée gentille arrêtant,
Criait tout sa histoire aux gouttes de rosée scintillantes.
Mais nullement ils entendraient, à ils sont en écoutant,
Les gouttes de rosée, pour la sonore de ses gouttes propres.
Et puis l’homme ce qui La Tristesse était nommé par se ami
Recherchait une fois encore la plage, et trouvait une coquille.
Et pensait, « Je serai dire ma histoire dure
Vers mes mots propres, resonant encore, devaient envoyer
Leur tristesse à travers du creux, cœur perlé,
Et ma conte encore pour moi devais chanter,
Et mes mots de chuchotement réconfortent
Et voilà! Ma charge de passe peut départir. »
Puis il chantait doucement près le bord perlé;
Mais le habitant trite côte des voies maritimes solitaires
Changeait tout qui il chantait à gémissement intriqué
Entre sa tour furieuse, l’oublier.

Le manteau, le bateau, les chaussures

« Qu’est-ce que tu fais tellement équitable et clair? »

« Je fais le manteau de Tristesse:
O charmant voir le vue des touts hommes
Est-ce que devais être le manteau de Tristesse,
Dans le vue des touts homme. »

« Qu’est-ce que tu construis avec voiles pour envol? »

« Je construit un bateau pour Tristesse:
O rapide sur les mers le jour et la nuit entières
Vogue le vagabond Tristesse.
Le jour et la nuit entières. »

« Qu’est-ce que tu tricotes avec la laine blanche? »

« Je tricotais les chaussures de Tristesse:
Silencieux doit être le bruit de pas léger
Dans œils des touts homme de Tristesse,
Soudainement et légers. »

L’indien sur Dieu

Je passais sur le bord d’eau dessus arbres humides,
Mon esprit secouait dans la lumière de soir, les ruées autour de mes genoux,
Mon esprit secouait dans le sommeil et soupirs: et voyait le rythme du mouchard
Toute égouttage sur une pente herbeuse, et leur voyait cesser de chasser
Chacun autre rond dans circles, et écoutait l’homme le plus âgé parlait:
« Qui tient le monde entre Sa fracture et fait nous forts et faibles
Est le mouchard éternel et il vit au-delà le ciel
Les pleures sont de Sa aile dégoulinante, les claires de lune de Ses yeux. »
Je passais une peu plus loin et écoutais la parole d’un lotus
« Qui faisait le monde et lui règne, il pendrait sur une tige,
Pour je suis dans Sa image faisait, et tout cette parole vaste. »
A petit chemin dedans l’ombre un chevreuil levait ses yeaux
Débordants de la lumière des étoiles, et il disait: « Le tamponneur des ciels,
Il est un antilope; pour quel d’autre, je priais, pouvais-t-il
Concevoir un chose tellement triste et douce, a chose gentile comme moi?
Qui faisait le verre et faisait les verset faisait mes plumes gaies,
Il est un paon monstrueux, et il flottait tout la nuit
Sa queue languissante au-dessus de nous, allumait avec myriade de taches de la lumière. »

L’indien à son amour

L’ile rêve sous l’aube
Et bonnes branches baissent la tranquillité;
Les paonnes dansent sur une pelouse lisse,
Un perroquet se balance une arbre,
Rage à sa image propre dans le mer émaillé.

Ici nous serons amarrer notre bateau solitaire
Et errons déjà avec les mains tissés
Murmurant doucement une bouche à une bouche,
Le long de la verre, le long de des sables.
Murmurant comment loin sont les terrains inquiets.

Comment nous sommes solitaires des mortels
Caché sous les branches séparées
Alors que nos amours grandissent une étoile indienne.
Une météore du cœur brûlant.
Un avec de la marée qui brille, les ailes qui brillent et dardent,

Les branches dures, la pigeon brunie
Ce gémit et soupir pendant cent jours:
Comment quand nous mourons nos ombres vagabonderont,
Où veille faisait le chemin rapide,
Avec la plante du pied vaporeuse par le bris somnolent d’eau.

La chute des feuilles

L’automne est fini les feuilles larges nous aiment,
Et sur les souris sur les gerbes d’orge;
Jaune les feuilles du sorbier des oiseleurs au-dessus de nous,
At jaune le feuilles mouillées de la fraise des bois.

L’heure de l’avertissement d’amour nous a assailli,
Et fatigués et chauds sont notre âme triste maintenant;
Laissons nous séparer, avant la saison de passion nous oublie,
Avec une embrasse et une larme sur ta souffle en tombant.

Éphémère

« Tes yeux qui est-ce qui n’étaient jamais ennuyeux du mien une fois
Sont courbés dans le triste sous couvercles pendants,
Parse que notre amour est d’avertissement. »
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Et puis elle:
« Bien que notre amour est d’avertissement, laisses nous nous levons
Par le frontier du lac une fois de plus
Ensemble dans cette heure du douceur
Quand l’enfant fatigué pauvre. Passion, s’endormit:
À quelle distance les étoiles semblent loins, et quelles loins
Est notre première embrasse, et ah, comment vieux mon cœur! »
Pensives ils dépassaient le long de les feuilles épuisées,
Pendant lentement lui ses mains détenait elles, répondait:
« Passion a éreinté souvent nos cœurs errants. »

Les arbres étaient autour eux, et les feuilles jaunes
Tomaient comme des météores fables dans l’ombre, et une fois
Un lapin vieux et boiteux boitaient sur le chemin:
L’automne était au-delà lui: et maintenant ils sont debout
Sur la frontière isolée de le lac un fois plus:
Tourner, il voyait qu’elle a poussé les feuilles mortes
Rassemblé dans le silence, rosée que elles yeux,
Sur poitrine et cheveux.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ « Ah, ne pas pleures » il dirait
« Alors nous sommes fatigues, pour autre amours nous attendaient;
L’haine sur et l’amour à travers de les heures sans réplique.
Avant nous on pose l’éternité; nos âmes
Sont l’amour, et un adieu permanent. »

La folie du roi Goll

Je me suis assis sur une peau de loutre matelassée.
Mon mots était bas de Ith à Emain,
Et j’ai secoué à Invar Amargin
Le cœurs des marins en difficulté dans le monde.
Et j’ai éloigné le tumulte et la guerre
Des fille et garçon et homme et bête;
Le terrain croîtrait plus riche par jour un jour,
La volaille savage de l’air agumenté
Et chacun Ollave ancienne disait,
Pendant il baissait sa tête qui s’est éteinte,
« Il fait fuir le froid du Nord. »
Ils ne apaiseront pas, les feuilles flottement autour moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Je me suis assis, j’ai réfléchi et j’ai bu du vin doux.
Un bouvier vient de la vallée intérieure,
Crier, les pirates drainaient ses porcs
À remplir ses hommes becquées-sombre
J’appelais mes hommes casse-bouteilles
Et mon voiture bruyant-effronté
Du val coulant et le glen riverain;
Et sous le clignotant des étoilés
Tomber sur les pirates du fond.
Et lueur lancer dans la gorgée de sommeil:
Leurs mains gagnaient beaucoup une torque d’or.
Ils ne chuchotaient pas, les feuilles flottement autour moi, le feuilles de hêtre vieilles.

Mais lentement, comme je criais pivotement
Et piétiné dans la fange bouillonnante,
Dans mon esprit le plus augmente
Un feu tourbillonnant et errant:
Je me lève: étoiles tranchantes brillaient dessus moi,
Autour moi, brillant tranchantes yeux des hommes:
Je riais tout haut et je me dépêchais
Par la rivage rocailleux et foin rustique;
Je riais parce que les oiseaux avaient a voltigé en passant,
Et les lumière des étoiles devenaient ombre, et les nuages volaient haut,
Et les joncs s’agitent et les eaux roulent.
Ils ne chuchoteront pas, les feuilles volent autour de moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Mais maintenant, je erre dans le forêt
Quand l’été fait fuir les abeilles d’or,
Ou dans la solitude d’autumn
Lèvent, les arbres aux couleurs de léopard
Ou quand long de les brins d’hiver
Les cormorants frissonnent sur ses pierres
Le loup gris savait moi; par une oreille
Je dirige long du cerf des bois;
Les lièvres passent à côté de moi grandissant hardiment.
Ils n’étaient pas silence, les feuilles volent autour de moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Je remontrais une petite ville
Qui s’endormis dans la lune de récolte
Et passait pointe du pied de haut en bas
Chouchouter, au air de circonstance
Est-ce que je a suivi, la nuit et le matin.
Le piétinement des pieds formidable,
Et voyait qui ce rayon tympan vieil
Descendre sur la siège de l’entrée
Et l’ennuyait à le forêt avec moi;
De quelque misère inhumaine
Nos voix mariés sauvagement trollés.
Ils ne chutera pas, les feuilles flottements autour moi, les feuilles de hêtre vieilles.

Je chantais comment, quand le labeur de jour terminait,
Orchil s’ébranlait ses cheveux longs et noirs
Il se cachait le soleil mourant
Et il s’agit d’une remise l’odours faiblesse à travers de l’air
Quand mes mains passaient de fil à fil
Il a éteint, avec le son comme le rosée tombante,
Le tourbillon et le feu errant
Mais augmente une bouchée ulalu
À le sorte des fils sont déchirés et encore.
Et je devais errer forêt et colline
À travers du chaud d’été et le froid d’hiver.
Ils ne seront pas chutés, les feuilles flottant autour moi, es feuilles de hêtre vieilles.

Descendre de le jardins de salley

Descendre de le jardins de salley mon amour et j’ai rencontré;
Elle passait le jardins de salley avec petit pieds blanc de la neige.
Elle me proposait prendre l’amour facilement, que les feuilles grandirent sur l’arbre;
Mais je, être jeune et idiot, avec elle ne serait pas d’accord.

Dans un champs par la rivage mon amour et je suis debout
Et sur ma épaule penchée elle a posé sa main blanc-neige.
Elle me proposait prendre l’amour facilement, que l’herbe grandis sur les seuils;
Mais je étais jeune et idiot, et maintenant je suis plein des pleurs.

La méditions du vieux pêcheur

Tu flottes, cependant tu danses par mes pieds comme des enfants dans le jeu.
Cependant tu brilles et tu regardez, cependant tu ronronnes et tu t’élances;
Dans le juin qui était plus chaud que eux, les ondes étaient plus gris,
Quand je étais un garçon sans une blessure dans mon cœur jamais.

Le hareng sont pas de dans les marées comme ils étaient de vieux;
Mon triste! pour beaucoup un craquement donnait la nasse dans le chariot
Qui portait la prise à ville de Sligo à vendre.
Quand je étais un garçon sans une blessure dans mon cœur jamais.

Et ah, toi fière vierge, tu es pas de tellement équitable quand son aviron
Est écouté sur l’eau, tels qu’ils sont, les orgueilleux et les marginaux,
Qui rythme à la veille par les filets sur le rivage des nounours,
Quand je étais un garçon sans une blessure dans mon cœur jamais.

La ballade de père O’Hart

Bon père John O’Hart
Dans jours pénaux a sortie
À un shoneen qui avait terrains libres
Et sa bécassine et sa truite propres

Par confiance prendrait il terrains de John.
Sleveens étaient tout sa course;
Et il leur donnait comme dot à ses filles,
Et ils se marient dehors leur place.

Mais père John est monté.
And père John est descendu.
Et il portait des petits trous dans ses chaussures,
Et il portait des grands trous dans sa robe.

Tout le monde lui aime, seuls les brillants,
Qui les diables avaient par les cheveux,
Des épouses, et les chats, et les enfants,
Aux oiseaux dans le blanc du ciel.

Les oiseaux, pour il ouvre leurs cages
Comme il, en montant et en descendant;
Et il disait avec une sourire, « A-t-il le paix maintenant »;
Et il venait sa chemin avec une fronce.

Mais si quand n’importe qui mort
Venu les keeners plus rauques que les rooks,
Il leur a demandé de cesser de gémir;
Pour il était un homme du livre.

Et ces étaient les œuvres de John,
Quand, pleurer score par score,
Les gens sont arrivés dans Coloony;
Pour il est mort quand quatre-vingt-quatorze.

Il n’y avait du gémissement humain;
Les oiseaux de Knocknarea
Venaient en gémissement dans ce jour.

Les jeunes oiseaux et vieilles oiseaux
Venaient en volant, durs et tristes;
Gémissement dans de Tiraragh,
Gémissement de Ballinafad;

Gémissement de Inishmurray,
Ni ne sont restés pour mordre ou manger
Ce chemin était réprouvé tout
Qui exhument les anciennes coutumes.

La ballade de Moll Magee

Viens autour de moi, petit enfant;
Là-bas, il n’y a pas des pierres volantes à moi
Parce que je murmure aussi je vais;
Mais pitié Moll Magee

Mon homme était un pêcheur pauvre
Avec lignes de rivage dans le dire;
Mon travail était harengs salés
Le entier du longue journée.

Et quelque temps du hangar à sel
Je pouvais à peine traîner les pieds.
Sur la lumière de la lune bénie,
Au long de de la rue piétonne.

Je étais faible toujours,
Et mon bébé était né justement;
Un voisin s’occupe d’elle pendant la journée,
Je m’occupes d’elle par la mère.

Je m’allonge sur mon bébé;
Oui, petits enfants chéris,
J’ai regardé mon bébé froid
Quand la lune a grandi glaciale et claire.

Une femme faible endormis très fortement!
Mon homme devenait rouge et pâle,
Et donnait moi l’argent, and me demandait de partir
À ma place propre, Kinsale.

Il m’a fait sortir et fermait la porte,
Et donnait son malédiction à moi;
Je net loin en silence
Rien de voisin pouvait voir.

La fenêtre et la porte étaient fermés.
Une étoile éclat fable et verte,
Les petites pailles tournaient
À travers le boreen nu.

Je suis parti dans silence:
Dehors le manoir de vieil Martin
Je vois une voisine avec bienveillance
Souffle sa feu de matin.

Elle tirait de moi, ma histoire–
Mon argent est épuisé,
Et encore, avec œil pitié et scrutateur,
Elle me donne morsure et sup.

Elle dit mon homme viendra surement.
Et pousse moi la maison encore;
Mais toujours, comme je me déplace,
Sans portes ou à l’intérieur.

Pilotes le bois ou pilotes le gazon,
Ou aller au le puit,
Je pense de mon bébé
Et enthousiaste à moi-même.

Et quelques temps je suis sûr elle connais
Quand, ouvrir large sa porte,
Dieu allume les étoiles, son chandler
Et il lève les yeux aux pauvres.

Donc maintenant, oui petits enfants
Oui ne voleront pas des pierres à moil
Mais rassembler avec votre apparence brillante
Et pitié Moll Magee.

La Ballade du chasseur de renards

‘Pose-mi sur une chaise rembourrée;
Porte-moi, oui quatre,
Avec coussins ici et coussins là-bas,
Voir le monde encore une fois.

‘Stabiliser et faire disparaître;
Apportes quel chose est là-bas apporter
Conduis mon Lollard à droite et à gauche
Ou gentil dans un anneau.

‘Mets la chaise sur l’herbe
Apportes Roby et ses chiens de chasse,
Qui je peux me contenter de passer
De ces frontières terrestres.’

Sa paupière tombante, sa tête s’abaisse,
Ses yeux vieilles pouvaient avec rêves;
Le soleil sur toutes les choses qui grandis
Les chutes dans les ruisseaux endormis.

Brown Lollard piétine la pelouse,
Et pour aller le fauteuil,
Et maintenant les rêves du vieil homme sont disparus,
Il lisse le long nez brun.

Et maintenant émeut bien des langues agréables
Sur ses mains décharnées,
Pour conduire les chiens âgés et un jeune
Le chasseur près de lui se tient debout

‘Chasseur Roby, souffle le corne
Faire les collins répondent.’
Le chasseur se détache le matin
Un plaisir de cri vagabond.

Feu est dans les yeux du vieillard,
Ses doigts bougent et se balancent,
Et quand la musique vagabonde disparaît
Ils écoutent qu’il dire faiblement,

‘Chasseur Roby, souffle le corne
Faire les collins répondent.’
‘Je ne peux pas souffle dans ma corne,
Je peux mais pleurer et soupirer.’

Serviteurs autour de sa place des coussins
Sont avec nouveau chagrin arraché;
Les chiens de chasse regardent sur sa visage,
Chiens de chasse âgés et jeunes.

Un chien aveugle se sépare seulement
Sur l’herbe gorgée de soleil ;
Il tient commune profonde avec son cœur:
Les moments passe et passe;

Le chien aveugle avec un vacarme de deuil
Lever lent sa tête hivernale;
Les serviteurs le corps dans le gémissement;
Les chiens pour les décès.

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)

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