Résumé et commentaire | La salle de bain de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1985

Résumé synopsis

Le narrateur était un homme de 28 ans qui résidait à l’apartment de Paris. Un jour, il habitait et passait à la salle de bain chez lui tout le temps. Edmondsson et leur maman ses occupaient lui. Les artistes polonais, Kabrowinski et Kovalskazinski arrivaient et peignaient les murs, et cuisaient les poules… Le couples dinaient chez le narrateur et quatre jouissaient le Monopoly…

Un jour, à l’improviste, le narrateur sortait de la salle de bain et Paris, se dirigeait vers Italia sans but, et il logeait un hôtel de Venise, et il passait des jours futiles. Enfin, Edmondsson venait chercher à lui, et elle passaient un certain temps à Venise. Mais le narrateur envoyait un flèche à Edmondsson par inadvertance et qui se plantait dans son front. Et Edmondsson retournait à Paris.

Il avait maladie d’une sinusite et entrait à un hôpital. Il se liait d’amitié avec leur médecin traitant. Le médecin invitait lui à diner et tennis. Par mal comportement du chef de service d’infirmière ou quelque choses, à l’improviste, il décidait retourner à Paris…

Commentaire de la livre

Ce roman décribes la vie contemporaine ordinaire de parisiens sans sense significant et événement grave. Les comportements et l’objet du narrateur sont aléatoire et étrange aussi léger et sans raison et stagnent de temps en temps. Le récit progresse légèrement dans la plupart de temps en temps il est arrêt. Et il est composé des choses miniatures et des épisodes banales.

Il y a une description importante dans la section 33 de la partie 1, par un monologue du narrateur. C'est la description ci-dessous.

33) Il y a deux manières de regarder tomber la pluie, chez soi, derrière une vitre. La première est de maintenir son regard fixé sur un point quelconque de l’espace et de voir la succession de pluie à l’endroit choisi ; cette manière, reposante pour l’esprit, ne donne aucune idée de la finalité du mouvement. La deuxième, qui exige de la vue davantage de souplesse, consiste à suivre des yeux la chute d’une seule goutte à la fois, depuis son intrusion dans le champ de vision jusqu’à la dispersion de son eau sur le sol. Ainsi est-il possible de se représenter que le mouvement, aussi fulgurant soit-il en apparence, tend essentiellement vers l’immobilité, et qu’en conséquence, aussi lent peut-il parfois sembler, entraîne continûment les corps vers la mort qui est immobilité. Olé. (pp. 37-38)

Cette description est important est éssence de ce roman, et c'est le pensée et la thème de ce roman. Et c’est le pensée du mouvement et de l'arrêt, ainsi ce roman est récit du courant et de l’arrêt.

Trois chambres ce qui le narrateur habitais et logeais, la salle de bain, la chambre de l’hôtel et la chambre à deux lits de l’hôpital sont les places et les points dont le narrateur regarde des choses mouvementes.

Trois nourritures, les pouples, la dame blanche et le flamber les rognons sont symboles du mouvement et du changement continu. Ils signifient le mouvement ou le courant de la matière entre l’espacement.

Et monopoly, fléchettes et tennis sont les chose ou les élément de l’arrêt. Ils sont des choses mouvement essentielles, mais ils cousent des arrêts dans ce roman, ou des développements de l’arrêt.

Le narrateur vis aléatoire et librement, causent des événements ou des phénomènes de l’arrêt, et demeure les points pour penser et réfléchir.

Les trois éléments, éposodes entre autre personnes et ces combinations font le rhythme et courant agréables, et compose jolies scènes blanches.

Ce roman est le roman de rythme et de courant, qui écris les gens vivent dans le rythme et le courant légers sans sense dans la ville contemporaine. C’est une belle vie. Il doit très sympathique, agréable et amusant pour les lecteurs.

Détails sur la livre

La salle de bain

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1985)

144 pages, €5.50

ISBN 978-2707319289

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Œuvre de Jean-Philippe Toussaint

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Résumé & Commentaire | La ville et ses murs incertains de Haruki Murakami, Shinchosha, 2023

Résumé synopsis

A l’âge de 17 ans, j’ai rencontré une jeune fille de 16 ans et nous avons correspondu. Je sortais avec elle une ou deux fois par mois, et nous parlions de la ville où vivait sa vraie substance. Je suis entré dans la Cité de son monde de rêve…

Dans la Cité, qui est entourée d’un mur très haut et très solide, mon travail consistait uniquement à lire les rêves. Je me rendais à la bibliothèque où travaillait l’esprit de la jeune fille et je lisais chaque jour trois vieux rêves. L’hiver est arrivé, mon ombre m’a demandé de quitter la ville dans la semaine…

À mon retour de la ville, alors que j’avais la quarantaine, j’ai démissionné de mon poste pour réfléchir à un emploi. J’ai obtenu le poste de bibliothécaire en chef de la bibliothèque de la ville de Z, dans une ville rurale située dans les montagnes de Tohoku. Mais ce travail est inhabituel, irréel et solitaire, comme celui d’un lecteur de rêves. J’ai alors appris que l’ancien bibliothécaire en chef, Koyasu, avait vécu dans la ville et qu’il était devenu un fantôme. Et j’ai fait la connaissance d’un mystérieux garçon de 16 ans qui se rendait à la bibliothèque tous les jours, et qui ne faisait que lire un grand nombre de livres et les mémoriser complètement. Au bout d’un moment, le garçon a dessiné une carte de la ville et me l’a apportée, et il m’a dit qu’il voulait…

Revue de livre

Le 14ème roman de Haruki Murakami a été publié le 10 avril 2023 au Japon. Le titre est le même que celui de son roman “La ville et ses murs incertains” paru en 1980 dans un magazine japonais “Bungakukai”. Mais il l’a rejeté, et une ou plusieurs parties du motif et de l’histoire du roman rejeté ont été adoptées dans “La fin du monde” de “Hard-Boiled Wonderland and the End of the World”. Un nouveau roman pour la première fois en six ans, dont il a publié “Killing Commendatore” (2016).

Il s’agit d’un roman long de 661 pages, composé de trois chapitres et de 70 sections courtes.

Le même titre de roman d’échelle moyenne de 150 manuscrits, publié en 1980. Murakami l’a ensuite rejeté, estimant que le roman était inachevé et n’avait pas atteint sa maturité. Il a donc écrit l’un de ses chefs-d’œuvre, Hard-boiled Wonderland and the End of the World, basé sur le roman rejeté. Mais il a décidé d’aider et de réécrire le roman récemment et il a commencé à écrire ce roman au début de l’année 2020, juste avant que la pandémie de Covid-19 ne commence à se répandre dans le monde entier.

À cause de la pandémie de Covid-19, il s’est enfermé dans sa maison et n’a pu écrire que pendant environ 3 ans. Murakami écrit dans la postface que la situation de la pandémie de Covid-19 a affecté l’histoire ou non, Murakami ne le sait pas, ne peut pas le savoir. Mais il y aurait une sorte de signification ou quelque chose comme ça.

Ce roman comporte quatre intrigues. A est l’adolescence de la jeune fille dans le monde réel et ils parlent de la ville dans laquelle elle dit avoir vécu. (chapitre 1) B est le temps passé dans la ville. Le narrateur ne fait que lire des rêves dans la bibliothèque de la Cité. Il lisait trois vieux rêves presque tous les jours. (chapitre 1) C est l’âge moyen après son retour de la Cité. Le narrateur a travaillé comme bibliothécaire en chef de la bibliothèque de la ville de Z. Il a rencontré le bibliothécaire en chef de la ville de Z et l’a vu. Il a rencontré et vu le bibliothécaire en chef, Tatsuya Koyasu, le bibliothécaire Soeda et un mystérieux garçon de 16 ans, M. (chapitre 2) D est le contenu du chapitre 3…

L’histoire de la ville et de la lecture des rêves dans le chapitre 1 est presque la même que celle de “La fin du monde”. Et Murakami a écrit le chapitre 1 en réécrivant un roman de taille moyenne portant le même titre et publié en 1980.

On y retrouve de nombreux éléments et motifs propres à Murakami, tels que le style fragmentaire, l’histoire à double monde, l’alter-monde, la séparation entre le corps et l’esprit, les livres, la lecture, la bibliothèque, le rêve, la solitude, l’amour étrange et maladroit mais doux avec une fille, la cuisine, les longues promenades, le café (et le thé), la mode, les fantômes (ou l’apparence d’un fantôme), la perte de personnes ou d’objets, et les expériences étranges.

Ce roman est une combinaison des histoires d’amour étranges de Murakami (par exemple Norwegian Wood et Sputnik Sweetheart) et de ses histoires d’aventures urbaines uniques (Wild Sheep Chase, The Wind-bird Chronicle, 1Q84 et Killing Commendatore). Ce roman est basé sur le même titre que le roman de moyenne envergure publié en 1980, puis rejeté et la fin du monde de Hard-boiled Wonderland and the End of the World (Le pays des merveilles et la fin du monde). (Ce roman est également la version modifiée de Hard-boiled Wonderland and the End of the World, écrit Murakami). De nombreux éléments et épisodes ressemblent à Hear the Wind Sing, Norwegian Wood, Sputnik Sweetheart, Killing Commendatore et Kafka on the Shore. Je pense qu’il s’agit là d’un fruit important et d’une des conséquences de sa carrière d’écrivain.

Une autre caractéristique de ce roman est le thème qui traite de la lecture, de la bibliothèque, des livres, de l’écriture, de l’histoire et de leurs significations. Ce roman raconte l’histoire de la lecture, du traitement, de la gestion et de la création d’une ou de plusieurs histoires. Le narrateur a d’abord été agent littéraire, puis bibliothécaire en chef d’une petite bibliothèque. Dans la ville, son travail consistait à lire de vieux rêves. La ville est créée par l’histoire de la jeune fille et les gens n’ont pas d’ombre. La bibliothèque de Z Town est un lieu de rêve pour M. Koyasu, qui aimait les livres et voulait devenir romancier. C’était un lieu de lecture idéal pour le narrateur et M. L’histoire se développe autour des bibliothèques, des livres et des histoires. Une histoire, c’est l’idée et le monde ou le microcosme de chacun, mais c’est aussi le monde, l’univers ou la nation. L’une des grandes questions et l’un des principaux thèmes de ce roman sont les liens et la signification entre ces deux éléments.

La lecture d’un livre ou d’une histoire est un moyen de traitement mental et de garder la raison, une méthode pour vivre dans le monde et communiquer avec des personnes perdues. Ce motif est le même que celui de Kafka sur le rivage. La plupart des personnages de ce roman aimaient les livres et la lecture, et voulaient donc passer leur temps à lire. La lecture est le moyen de s’évader du monde, elle est aussi la méthode pour résoudre les problèmes de ce monde réel, mais se plonger dans la lecture ou dans une histoire est un acte heureux mais dangereux.

Je pense que le message de Murakami dans ce roman est “comment nous traitons la réalité et les histoires, les liens qui les unissent”. Presque tous les personnages de ce roman, leurs activités et leurs emplois ne sont que très pratiques ou très irréels. Les personnes vivantes doivent vivre dans une ou plusieurs histoires, y compris des histoires ordinaires, vides ou superficielles produites par la télévision, le cinéma, les magazines, etc. Les gens sont obligés de suivre des histoires ordinaires telles que “Il faut continuer à travailler dans une grande entreprise stable”, “Il faut se marier jusqu’à l’âge mûr” ou “Il faut vivre dans ce monde réel (et son histoire ou le grand récit d’une nation)”. Certaines personnes s’enferment dans leurs histoires rêvées ou dans leur propre micro-cosmos. C’est aussi la question et le problème pour Murakami lui-même en tant que romancier. La conclusion et la conséquence de ce roman est qu’il a mis fin ou s’est enfermé…

Les questions relatives à la pandémie de Covid-19 ont clairement montré qu’il existait des clivages entre le grand récit d’une nation et les réalités individuelles, les administrateurs et les praticiens, les règles et les pratiques, les étudiants et les adultes, les patients et les non-patients. Murakami a donc mentionné la pandémie de Covid-19 dans la postface et ce roman doit être affecté par ces questions.

Les incidents survenus au Japon, par exemple le massacre d’Akihabara en 2008, l’incendie criminel du studio d’animation de Kyoto, l’assassinat de Shinzo Abe, devraient être causés par le problème de l’histoire. Il y a eu de nombreuses causes pour beaucoup de choses complexes, mais le problème de l’histoire est le plus important. Je pense que ces criminels ne peuvent pas faire face à leurs histoires, les histoires qu’ils ont suivies, qu’ils ont été forcés de suivre ou qu’ils veulent croire. Et les liens entre la réalité et une ou plusieurs histoires sont erronés, de sorte que chacun d’entre eux a commis un crime. Ils ne peuvent s’accommoder correctement d’une histoire qu’ils ont eux-mêmes inventée ou que d’autres ont inventée, et les raisons de commettre un meurtre sont irréelles, triviales et incohérentes.

Le mur de la Cité devrait être une coquille de l’esprit collectif des gens. Or, les habitants de la Cité n’ont pas de coquille d’esprit, mais il n’y a pas eu d’écoulement et de progression du temps, ni d’obligations et de responsabilités sociales complexes. Ils n’accomplissaient que de simples tâches personnelles. Ils ressemblent à des résidents du Paradis, mais aussi à des prisonniers. Cependant, une vie en prison pourrait être le mode de vie le plus formidable, le plus régulier, le plus stable, le plus propre et le plus heureux de la Terre… ?

Ce roman est l’un des romans de Murakami que je préfère, au même titre que La chasse au mouton sauvage, Hard-boiled Wonderland and the End of the World, Dance, Dance, Dance et le rôle de Kafka Tamura dans Kafka on the Shore. J’ai lu un grand roman qui vient d’être publié, pour la première fois depuis longtemps. C’est un chef-d’œuvre du 21e siècle et un grand récit philosophique et fantastique qui possède le sens commun, le sens de la vie, l’amour et sa compassion et une vérité, que je voulais lire. Murakami aime beaucoup les bibliothèques, les livres, la lecture, l’écriture, les histoires et la littérature.

Par ce roman, Murakami réussit magnifiquement à créer et à mettre en place son lieu et son monde idéal, ou deux utopies éternelles comme le paradis. Si doux, précieux et pur… Mais le narrateur…


Détails sur la livre

The City and Its Uncertain Walls
Haruki Murakami
Shinchosha, Tokyo, Japon, 13 avril 2023
pages, JPY 2970
ISBN: 978-4103554372
Contenu

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commentaire | Abandonner une chatte: Quand je parle de mon père de Haruki Murakami, Bungeishunju

Abandonner une chatte, quand je parle de mon père est un essai de Haruki Murakami, à propos de l’histoire de sa famille et surtout son père. Et il n’est pas un essai ordinaire seul, mais a une histoire et est comme une nouvelle traite l’histoire de sa famille et ses expériences de base. Le père de Murakami, Chiaki Murakami (1917 – 2008) était le seconde fils de une famille d’un temple bouddhiste, et était un professeur de japonais (littérature japonaise) d’une lycée. Teneur principal de cet essai est sa vivre et expérience dans la seconde guerre sino-japonaise.

Pourquoi est-ce que Murakami pensait qu’il doit écrire à propos de son père ? Il pense peut-être que son être et et sa partie d’origine de personnalité de Murakami sont fait et formé par son père directement ou indirectement. Père de Murakami était bon professor de (littérature de) japonais sérieux et dévoué, amoureux des livres qui avait beaucoup des livres et son hobby était haiku. Et il a renoncé à devenir un savant, ainsi il avait exception à réaliser son espoir à le fils unique, mais Murakami sentait répulsion à son espoir et le système éducative en uniforme du Japon. Ces éléments de son père faisait et formait caractère de Murakami inclut antipathies et réactions.

De plus, Murakami peut être existé par la guerre. Malheureusement sa père a été enrôlé par une erreur à l’armée quand la seconde guerre sino-japonaise se a passait., mais heureusement sans savoir pourquoi il n’a pas été enrôlé quand la guerre de Pacifique. Le fiancé de sa mère (un professeur du musique) meurt par la guerre, la maison des ses parents a brûlée par un bombardement. Afin que son père et sa mère ont rencontré et épousé, elle a donné naissance à Murakami. Voilà pourquoi la vie inclut accidents et est formée par accidents. Les gens sont vécu par accidents, et accidents font inévitabilités, nécessités et faits. Murakami énonce un précepte concernant l’épisode de un chaton a monté sur la partie plus haute d’un pin.

Un résultat engloutit une cause facilement, et fait l’impotence. (p. 94)

Et chattes dans ce essai sont dieux ou êtres divins de l’accident et le destin, apportent la nécessité et la vie. Le premiere épisode de une grande female tabby est une métaphore de la libération mystérieuse et incompréhensible de l’armée. La seconde épisode de un petit chaton blanc mignon est une métaphore de la résurrection du Christ. Le chaton a disparu sur sur la partie plus haute d’un pin, est allé au paradis. C’est un accident ou un miracle a apporté une nécessité ou une histoire à Murakami, et a devenu un fragment de lui.

Alors, je pense, une thème de ce essai est raisonner de l’accident et la nécessité de la vie.

D’un autre côté, un autre thème de cet essai est histoires et l’histoire. La personnalité et les œuvres de Murakami peuvent être affectées par ses expériences, son environment, sa famille et sa âge. Les deux episodes de chattes se composent des parties de Murakami. Un conversation par son père de qui a regardé un meurtre du prisonnier chinois ou a lui meurtrit, affectait à Murakami, et il reprend comme un trauma pourtant il est une expérience indirecte. Leur père a adoptait temporairement à un temple de Nara, pourrait affecter à Murakami comme une expérience inconsciente. Episodes personnels d’un homme forme sa personnalité et sa histoire. Et Murakami pense que chacune des histoires entre nous fait le grande histoire du monde ou « l’histoire ». Il écrit dans la postface.

L’histoire n’est pas une chose appartient au passe. C’est une chose passe comme sang vivant chaud à intérieur de la conscience et la inconscience, fait traverser à la prochaine génération par force. Dans un sense, ce essai est une histoire personnel, dans le même temps, il est une partie de la grande histoire forme le monde entier qui nous vivons. C’est une très petite taille de partie, malgré tout, on peut lui faire confiance, c’est un fragment comme un fait. (pp. 99 -100)

Les gens ont existé par accidents, ont vécu par faits, ont affecté par l’histoire. Mais nous vivons en société comme une personne, et devons penser, interpréter, decider et agir. Les choses associent entre accidents et nécessités, histoires et l’histoire sont la pensée, la conscience et la volonté. Je pense, ce essai raconte l’importance de chacune des façons de vivre, consciences et volontés des gens dans une époque, transforme histoires en l’histoire.

Details sur le livre

Abandonner un chat: Quand je parle de mon père
Haruki Murakami
Bungeishunju, Tokyo, Japon, 23 avril 2020
104 pages, JPY 1320
ISBN 978-4163911939
Contenu

  • Abandonner une chatte
  • Épilogue: Un fragment de l’histoire

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