Mémoires sur Michizo Tachihara et ses ouvrages

Aperçu

Michizō Tachihara (1914–1939) était un poète et architecte japonais connu pour sa poésie poignante et lyrique. Il est souvent associé au « Shinkankakuha » (nouvelle école sensationnelle) et est connu pour avoir capturé des émotions et des moments fugaces dans son œuvre. Malgré sa courte vie (il est décédé à l’âge de 24 ans de la tuberculose), Tachihara a laissé une empreinte durable sur la littérature japonaise moderne.

Principaux aspects de sa vie et de son œuvre :
Jeunesse : Né à Tokyo, Tachihara a montré très tôt un talent pour la littérature et les arts. Il a étudié l’architecture à l’Université de Tokyo, équilibrant ses activités artistiques avec une formation universitaire rigoureuse.

Style littéraire : La poésie de Tachihara est connue pour sa sensibilité raffinée et son imagerie vivante, reflétant souvent les thèmes de la fugacité, de la nature et de la nostalgie. Il s’est inspiré de l’esthétique traditionnelle japonaise et des mouvements littéraires modernes.

Lien avec Shinkankakuha : ce mouvement littéraire mettait l’accent sur de nouvelles perceptions et des descriptions innovantes d’expériences ordinaires. Tachihara a écrit des poèmes et des essais pour des revues liées à ce mouvement, mettant en valeur sa voix unique.

Carrière d’architecte : Parallèlement à ses réalisations littéraires, Tachihara s’est montré prometteur en tant qu’architecte. Ses créations reflétaient souvent sa sensibilité poétique, alliant fonctionnalité et beauté.

Thèmes : Sa poésie traite souvent de l’impermanence et du désir, trouvant un profond écho auprès des lecteurs. Ses œuvres évoquent le sens du mono no awareness (la conscience de l’impermanence des choses), un concept central de la culture japonaise.

Héritage : Malgré sa brève carrière, les œuvres de Tachihara restent célèbres au Japon. Son recueil, Michizō no Uta (道造の詩), continue d’être lu et admiré. Sa vie et son œuvre sont souvent considérées comme un mélange de culture japonaise traditionnelle et de sensibilités modernes.

Histoire

Michizō Tachihara est né le 30 juillet 1914 à Tokyo, au Japon, dans une famille cultivée qui a nourri ses penchants artistiques dès son plus jeune âge. Son père, érudit en littérature chinoise, et sa mère, femme aux goûts raffinés, l’ont initié à l’esthétique traditionnelle japonaise et classique chinoise. Cette immersion précoce dans la littérature et l’art a façonné la sensibilité de Tachihara, qui définira plus tard à la fois sa poésie et son approche de l’architecture.

Durant son adolescence, Tachihara se passionne à la fois pour la littérature et le design. Il fréquente la prestigieuse First Tokyo Middle School, où il excelle sur le plan académique tout en cultivant son amour pour la poésie. Il s’inscrit ensuite au département d’architecture de l’université de Tokyo, démontrant un double talent pour la précision technique de l’architecture et l’imagination lyrique d’un poète. Cette dualité deviendra la marque de fabrique de sa courte mais remarquable vie.

Dans les années 1930, Tachihara s’est imposé comme une voix prometteuse de la littérature japonaise, contribuant à des revues littéraires associées au Shinkankakuha (nouvelle école sensationnelle). Ce mouvement cherchait à s’affranchir des styles littéraires conventionnels, en mettant l’accent sur une imagerie innovante et de nouvelles perspectives sur la vie quotidienne. La poésie de Tachihara capturait des moments fugaces de beauté, souvent inspirés par la nature, la nostalgie et le caractère éphémère de l’existence. Ses œuvres étaient profondément ancrées dans l’esthétique japonaise traditionnelle, en particulier le concept de mono no awareness, une profonde conscience du caractère éphémère de la vie.

Parallèlement à ses activités littéraires, Tachihara excellait dans l’architecture. Il considérait l’architecture comme une extension de sa vision poétique, combinant un design fonctionnel avec un sens de l’harmonie et de la beauté. Ses études d’architecture furent cependant fréquemment interrompues par sa santé déclinante. Diagnostiqué atteint de tuberculose, il eut du mal à équilibrer ses ambitions avec les limitations physiques imposées par sa maladie.

En 1939, la santé de Tachihara se détériora et il mourut le 29 mars à l’âge de 24 ans. Sa mort prématurée mit fin à une vie extraordinairement prometteuse, mais son héritage perdure à travers sa poésie, qui continue d’être célébrée pour son imagerie délicate et sa profondeur émotionnelle. Son recueil publié à titre posthume, Michizō no Uta (Poèmes de Michizō), consolida sa réputation comme l’un des poètes japonais les plus poignants et les plus doués du début du XXe siècle.

Chronologie

1914 : Né le 30 juillet à Tokyo, au Japon, dans une famille très attachée à la littérature et à l’art.
Années 1920 : Il fréquente le premier collège de Tokyo, où il commence à cultiver son intérêt pour la littérature et la poésie.
1932 : Il s’inscrit au département d’architecture de l’université de Tokyo.
1934 : Il commence à publier des poèmes et des essais dans des revues littéraires associées à la Shinkankakuha (nouvelle école sensationnelle).
1936 : On lui diagnostique une tuberculose, qui commence à limiter ses activités mais n’arrête pas son travail créatif.
1939 : Il décède le 29 mars à l’âge de 24 ans des suites de la tuberculose. Son recueil de poèmes, Michizō no Uta, est publié à titre posthume et devient largement admiré.

L’école(s)

Michizō Tachihara est principalement associé à deux écoles ou influences importantes en poésie :

Shinkankakuha (Nouvelle école sensationnelle) :

Tachihara s’inscrit dans la lignée de ce mouvement littéraire moderniste, qui émergea dans les années 1920 et 1930 au Japon. Le Shinkankakuha cherchait à rompre avec les styles littéraires traditionnels et la narration naturaliste, en se concentrant plutôt sur des manières innovantes et nouvelles de percevoir et de décrire le monde. Le mouvement mettait l’accent sur les expériences sensorielles, les images vives et les impressions subjectives. La poésie de Tachihara reflétait souvent cette volonté de capturer des moments et des sensations fugaces, en utilisant un langage précis mais évocateur.

Esthétique traditionnelle japonaise :

Bien qu’influencée par les idéaux modernistes, la poésie de Tachihara entre également en résonance avec les formes et thèmes poétiques traditionnels japonais. Ses œuvres embrassent souvent des concepts tels que le mono no awareness (la beauté de l’impermanence) et reflètent l’influence de la poésie japonaise classique, comme le waka et le haïku. Ce mélange d’innovation moderne et de sensibilité traditionnelle confère à sa poésie une profondeur émotionnelle et une richesse culturelle uniques.

Ces deux influences – l’expérimentation avant-gardiste du Shinkankakuha et l’élégance intemporelle de l’esthétique traditionnelle japonaise – ont défini la voix poétique et l’héritage de Tachihara.

Genre, style, forme et technique

Genre:

Les œuvres de Michizō Tachihara sont principalement classées dans la catégorie des poèmes lyriques, centrés sur les émotions personnelles, les réflexions et les moments fugaces. Ses poèmes explorent souvent les thèmes de la nature, de l’amour, de la nostalgie et de l’impermanence de la vie, capturant des émotions subtiles et éphémères.

Style:

Innovation moderniste :
la poésie de Tachihara a été profondément influencée par la Shinkankakuha (nouvelle école sensationnelle), caractérisée par une approche moderniste. Son style privilégie les images vives, les perspectives nouvelles et une sensibilité accrue aux expériences sensorielles.

Sensibilité traditionnelle :
il a su allier harmonieusement l’esthétique traditionnelle japonaise aux techniques modernes, faisant écho à l’esprit du waka et du haïku classiques. Son travail dégage souvent un ton calme et contemplatif, reflétant le concept de mono no awareness, la conscience de l’impermanence de la vie.

Ancien (Influences) :

Tachihara s’est inspiré de diverses sources :

Shinkankakuha : mouvement qui met l’accent sur de nouvelles façons de percevoir la réalité et innove dans l’expression.
Poésie japonaise traditionnelle : les formes classiques comme le waka et le haïku, avec leur accent sur la nature et l’imagerie saisonnière, ont fortement influencé ses thèmes et son ton.
Poésie romantique et symboliste : les influences occidentales, telles que les œuvres de Rainer Maria Rilke et d’autres poètes modernistes, ont probablement influencé son approche lyrique et son introspection.

Technique:

Langage axé sur l’imagerie :
Tachihara a élaboré des descriptions vivantes et sensorielles qui évoquaient de fortes impressions émotionnelles et visuelles.

Se concentrer sur la fugacité :
il a souvent utilisé des métaphores et des images pour souligner la nature éphémère de la vie, reflétant les fondements philosophiques du mono no awareness.

Économie d’expression :
Comme le waka et le haïku traditionnels, sa poésie utilisait un minimum de mots pour obtenir une résonance émotionnelle maximale.

Précision architecturale :
Sa formation en architecture a influencé la clarté structurelle de ses poèmes, avec un sens aigu de la forme, de l’équilibre et des proportions dans ses vers.

Thème et contenu

Thèmes dans les œuvres de Michizō Tachihara

Éphémère et éphémère :
la poésie de Tachihara est imprégnée de l’esthétique japonaise du mono no awareness, une profonde sensibilité à la nature éphémère de la vie et de la beauté. Il explore souvent l’impermanence de l’amour, de la nature et de l’existence elle-même, capturant des moments éphémères mais profondément significatifs.

Nature et imagerie saisonnière :
la nature est au cœur de son œuvre, avec des descriptions vivantes de paysages, de fleurs et de saisons. Tachihara utilise ces éléments naturels pour symboliser les émotions, le temps et les cycles de la vie.

Nostalgie et nostalgie :
ses poèmes expriment un profond sentiment de nostalgie du passé et d’un monde idéalisé. Ce thème de la nostalgie se mêle à sa conscience du caractère éphémère de la vie, créant un ton doux-amer.

Solitude et fragilité :
Tachihara s’interroge souvent sur la solitude, la vulnérabilité et la fragilité des émotions humaines. Sa poésie transmet une introspection tranquille et une profondeur émotionnelle, probablement influencées par ses luttes personnelles contre la maladie.

Amour et intimité émotionnelle :
Les liens romantiques et personnels apparaissent fréquemment dans ses œuvres, mais souvent de manière nostalgique ou inassouvie. L’amour est décrit à la fois comme une source de joie et une reconnaissance d’une séparation inévitable.

Contenu de ses œuvres

Recueils de poésie :

Les poèmes de Tachihara sont courts, lyriques et vivants, capturant souvent un moment ou une émotion unique. Son recueil le plus connu, Michizō no Uta (Poèmes de Michizō), contient des poèmes reflétant ses thèmes principaux, notamment la beauté de la nature, le temps qui passe et le désir personnel.
Parmi les exemples d’images récurrentes, on peut citer les cerisiers en fleurs (beauté éphémère), les vents d’automne (mélancolie) et les ciels crépusculaires (transition et impermanence).

Réflexions architecturales :
Bien que Tachihara soit avant tout un poète, sa formation d’architecte a influencé sa poésie. Ses œuvres évoquent parfois un sentiment de structure et d’espace, mêlant l’émotion humaine à une imagerie soigneusement élaborée.

Perspectives modernistes :
L’engagement de Tachihara dans le mouvement Shinkankakuha l’a conduit à utiliser des métaphores et des impressions sensorielles innovantes. Ses poèmes ressemblent souvent à des instantanés d’un moment émotionnel ou sensoriel, abstraits mais résonnants.

Relations avec d’autres poètes

Michizō Tachihara faisait partie d’un réseau littéraire lié au Shinkankakuha (école du nouveau sensationnalisme) et interagissait avec des poètes contemporains qui partageaient des idéaux artistiques similaires. Voici quelques relations directes et réelles qu’il a eues avec d’autres poètes :

1. Yasushi Nagata

Relation : Yasushi Nagata était un ami proche et collaborateur de Tachihara. Les deux hommes partageaient un lien littéraire profond et échangeaient souvent des idées sur la poésie et l’esthétique.
Impact : Nagata a encouragé le développement poétique de Tachihara et a partagé son intérêt pour la capture de moments et d’émotions fugaces. Leurs œuvres reflètent toutes deux une sensibilité à la nature et une approche minimaliste du langage.

2. Rofu Miki

Relation : Rofu Miki, un poète reconnu, était une figure influente pour Tachihara. Bien que leur lien personnel n’ait peut-être pas été direct, le lyrisme de Miki et son utilisation de la nature dans sa poésie ont servi d’inspiration au style de Tachihara.

Influence : Le mélange de thèmes japonais traditionnels et de sensibilités modernes de Miki a trouvé un écho chez Tachihara et a influencé son orientation thématique.

3. Poètes Shinkankakuha

Liens avec le groupe : Tachihara était lié à des poètes et écrivains impliqués dans le Shinkankakuha, tels que Riichi Yokomitsu et Yasunari Kawabata (mieux connu comme romancier). Bien que ces figures aient été plus importantes dans la prose, l’accent qu’elles ont mis sur l’expérience sensorielle et les techniques innovantes a influencé l’approche poétique de Tachihara.

4. Poètes occidentaux (influence indirecte)

Tachihara s’est également inspiré de paroliers occidentaux tels que Rainer Maria Rilke et de poètes symbolistes français. Bien qu’il n’ait eu aucun contact direct avec eux, leur influence se manifeste dans son style introspectif et son utilisation de thèmes métaphysiques.

Les relations de Tachihara avec les poètes japonais contemporains, en particulier Nagata, ont joué un rôle essentiel dans la formation de sa voix poétique. En même temps, ses liens indirects avec les prédécesseurs littéraires japonais et les influences occidentales lui ont permis de mêler tradition et modernisme.

Poètes similaires

Poètes japonais

Yasushi Nagata

Similitudes : Nagata était un contemporain et un ami proche de Tachihara. Sa poésie se concentre également sur les émotions fugaces, la nature et le caractère éphémère de la vie, ce qui rend ses œuvres thématiquement similaires.
Style : minimaliste et émotionnellement introspectif, avec des images vives et un langage délicat.

Rofu-Miki

Similitudes : Précurseur de Tachihara, la poésie lyrique de Rofu Miki explore la nature et l’impermanence, mêlant l’esthétique japonaise traditionnelle aux sensibilités modernistes.
Œuvres à découvrir : Akatombo (Libellule rouge) est l’un de ses poèmes les plus célèbres.

Hakushu Kitahara

Similitudes : La poésie de Kitahara intègre des thèmes de nature, de nostalgie et une profonde appréciation de la beauté, en adéquation étroite avec la sensibilité de Tachihara.
Style : Ses œuvres combinent l’expérimentation moderniste avec les formes poétiques japonaises classiques.

Shiki Masaoka

Similitude : Bien que principalement connu pour revitaliser le haïku et le tanka, l’accent mis par Masaoka sur la nature et la capture de moments éphémères résonne avec les thèmes de Tachihara.
Style : Précision et clarté dans la représentation des expériences sensorielles.

Poètes occidentaux

Rainer Maria Rilke

Similitude : La poésie lyrique et introspective de Rilke sur l’impermanence, la beauté et la métaphysique reflète étroitement l’orientation thématique de Tachihara.
Style : Élégamment méditatif avec des images vives et des nuances philosophiques.
Œuvres à découvrir : Les Élégies de Duino ou Le Livre d’heures.

Paul Verlaine

Similitude : Poète symboliste français, la poésie musicale et émotionnelle de Verlaine reflète souvent la mélancolie et la beauté éphémère, tout comme celle de Tachihara.
Style : Accent sur le son et l’atmosphère, souvent avec un air de nostalgie.
Œuvres à découvrir : Romances sans paroles.

Tagore

Similitude : La poésie de Tagore partage une sensibilité spirituelle et centrée sur la nature, méditant souvent sur la beauté éphémère de la vie et sa profondeur émotionnelle.
Œuvres à découvrir : Gitanjali (Offrandes de chansons).

Influences modernistes

Hideo Yoshino

Similitude : La poésie de Yoshino est profondément introspective, mettant l’accent sur la profondeur émotionnelle et la beauté de la nature. Ses œuvres sont souvent parallèles à celles de Tachihara dans le ton et le thème.

Yasunari Kawabata

Similitude : Bien qu’il soit avant tout un romancier, la prose lyrique de Kawabata et son intérêt pour les émotions fugaces, la beauté et la nature s’accordent avec les valeurs esthétiques de Tachihara. Ses romans se lisent comme de la poésie.

Relations avec des personnes appartenant à d’autres genres

La vie de Michizō Tachihara a croisé celle de personnes issues d’autres domaines artistiques et intellectuels, reflétant ses intérêts multiples en tant que poète et architecte. Voici quelques-unes des relations directes et réelles notables qu’il a eues avec des individus appartenant à d’autres genres :

1. Yasushi Nagata – Littérature et connexion personnelle

Genre : poésie et littérature
Relation : Nagata, lui-même poète, partageait une profonde amitié et des échanges littéraires avec Tachihara. Bien que tous deux aient travaillé dans la poésie, leurs discussions ont probablement influencé leurs perspectives plus larges sur l’art et l’esthétique.
Impact : les thèmes de la fugacité et de la beauté naturelle de Tachihara ont souvent été soutenus et repris dans leurs collaborations.

2. Rōkō Sasaki – Architecture

Genre : Architecture
Relation : Sasaki était un architecte et collègue de Tachihara pendant ses études au département d’architecture de l’université de Tokyo.
Impact : Leurs échanges en matière de conception et de théorie architecturales ont été essentiels à la vision artistique holistique de Tachihara, où la poésie et l’architecture convergeaient vers des thèmes de forme, de beauté et d’impermanence.

3. Bunroku Shishi – Romancier et essayiste

Genre : Littérature (fiction et essais)
Relation : Tachihara a connu Shishi par le biais des cercles littéraires de la Shinkankakuha (nouvelle école sensationnelle).
Impact : La narration moderniste de Shishi et son exploration de l’expérience sensorielle étaient parallèles aux expériences poétiques de Tachihara, lui fournissant une inspiration intergenre.

4. Yasunari Kawabata – Romancier

Genre : Littérature (prose)
Relation : Faisant partie du mouvement moderniste plus large, Kawabata et Tachihara étaient en contact via des revues littéraires et des réseaux intellectuels.
Impact : La prose lyrique et minimaliste de Kawabata et son exploration de la beauté éphémère résonnaient profondément avec les idéaux poétiques de Tachihara, bien que leur relation fût plus intellectuelle que personnelle.

5. Ses collègues du mouvement New Sensational

Genre : Littérature et art
Relation : Tachihara a collaboré avec des écrivains et des artistes de tous genres qui faisaient partie du Shinkankakuha, tels que Riichi Yokomitsu (romancier) et Yōjirō Ishizaka (dramaturge).
Impact : Ces individus ont façonné le contexte artistique plus large dans lequel Tachihara a travaillé, encourageant son exploration de thèmes modernistes dans différentes disciplines.

6. Chūya Nakahara – Poète aux influences musicales

Genre : poésie et musique
Relation : bien qu’il n’existe aucune trace directe d’un lien personnel, l’influence de Nakahara en tant que poète moderniste et son utilisation du rythme et du son dans la poésie ont probablement fait écho au style lyrique de Tachihara.
Impact : leurs idéaux esthétiques communs, mêlant innovation moderniste et sensibilités traditionnelles, révèlent une parenté dans la vision artistique.

7. Influence des architectes et des penseurs occidentaux (indirecte)

Personnages : Le Corbusier, Frank Lloyd Wright
Genre : Architecture
Relation : En tant qu’étudiant en architecture, Tachihara a été exposé aux idées architecturales modernistes de personnalités telles que Le Corbusier et Wright.
Impact : L’accent mis par ces architectes sur la simplicité, l’harmonie avec la nature et l’intégration de l’art dans la conception correspondait à l’approche poétique de Tachihara en matière d’espace et de forme.

La capacité de Tachihara à relier la poésie, l’architecture et l’esthétique moderniste l’a placé à la confluence de différents genres, lui permettant de s’engager directement avec des individus à travers les disciplines.

Michizo Tachihara en tant qu’architecte

Michizō Tachihara n’était pas seulement un poète talentueux, mais aussi un architecte accompli, faisant preuve d’une rare synthèse entre art et habileté technique. Son travail d’architecte reflétait sa sensibilité poétique, mêlant fonctionnalité et beauté et une conscience de l’espace en tant qu’expérience émotionnelle et esthétique.

Formation et expérience architecturale

Université de Tokyo : Tachihara a étudié au département d’architecture de l’université de Tokyo, l’une des institutions les plus prestigieuses du Japon. Il y a été exposé à la fois aux principes de l’architecture traditionnelle japonaise et aux philosophies du design moderniste.
Son éducation s’est ancrée dans un équilibre entre la précision technique et les aspects artistiques de la conception architecturale, qui influenceront plus tard ses œuvres professionnelles et poétiques.

Philosophie architecturale

Sensibilité poétique dans le design :
Tachihara considérait l’architecture comme une extension de sa vision poétique. Tout comme sa poésie capturait des moments fugaces et la beauté de l’impermanence (mono no awareness), ses conceptions architecturales visaient à créer des espaces en harmonie avec leur environnement et suscitant une réponse émotionnelle.

Intégration de la tradition et de la modernité :
Son travail architectural reflète un effort visant à fusionner l’esthétique japonaise traditionnelle avec les approches modernistes. Influencé par les lignes épurées et le minimalisme de l’architecture moderne, Tachihara a cherché à honorer les matériaux naturels et l’harmonie inhérente au design japonais.

L’accent sur l’espace et la forme :
Tachihara avait un sens aigu de l’organisation et de l’équilibre spatial, probablement influencé par sa compréhension poétique du rythme et des proportions. Il croyait en la création d’espaces qui non seulement remplissaient un rôle fonctionnel, mais qui résonnaient également avec l’esprit de ceux qui les habitaient.

Projets et contributions

Production professionnelle limitée :
Malheureusement, en raison de sa mort prématurée à l’âge de 24 ans et de sa lutte contre la tuberculose, la carrière d’architecte de Tachihara a été écourtée, ne laissant derrière lui que quelques projets réalisés ou conceptions documentées.

Œuvre conceptuelle :
Bien que ses contributions architecturales aient été minimes, ses idées et ses études reflètent son profond engagement envers la philosophie architecturale. Certaines de ses créations conceptuelles ont pu être inspirées par des formes naturelles et par l’interaction de la lumière et de l’ombre, faisant écho à ses thèmes poétiques.

Influences

Architecture traditionnelle japonaise :
Tachihara s’est inspiré du design minimaliste des salons de thé japonais, de l’utilisation de matériaux naturels et de l’intégration fluide des espaces intérieurs et extérieurs.

Penseurs modernistes :
Il a été influencé par des personnalités telles que Le Corbusier et Frank Lloyd Wright, dont le travail a acquis une renommée internationale à son époque. Le travail de Wright au Japon, en particulier l’hôtel impérial, a peut-être eu une influence significative sur sa vision architecturale.

L’héritage en architecture

Si Tachihara est surtout connu pour sa poésie, ses études et ses idéaux en architecture demeurent un aspect important de son identité artistique. Son double engagement envers la poésie et l’architecture met en évidence sa capacité à voir la beauté à la fois dans les mots et dans les espaces, incarnant une unité rare entre ces deux formes d’art.

(Cet article est généré par ChatGPT. Et ce n’est qu’un document de référence pour découvrir des poèmes que vous ne connaissez pas encore.)

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)
Michizo Tachihara, W. B. Yeats, Rupert Brook, Anna de Noailles, etc.

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Notes on Michizo Tachihara and His Works

Overview

Michizō Tachihara (1914–1939) was a Japanese poet and architect known for his poignant and lyrical poetry. He is often associated with the “Shinkankakuha” (New Sensationist School) and is remembered for capturing fleeting emotions and moments in his work. Despite his short life—he died at the age of 24 from tuberculosis—Tachihara left a lasting impact on modern Japanese literature.

Key Aspects of His Life and Work:
Early Life: Born in Tokyo, Tachihara displayed an early talent for literature and art. He studied architecture at the University of Tokyo, balancing his artistic pursuits with rigorous academic training.

Literary Style: Tachihara’s poetry is known for its refined sensitivity and vivid imagery, often reflecting themes of transience, nature, and nostalgia. He was inspired by traditional Japanese aesthetics and modern literary movements.

Connection to Shinkankakuha: This literary movement emphasized fresh perceptions and innovative descriptions of ordinary experiences. Tachihara contributed poems and essays to journals aligned with the movement, showcasing his unique voice.

Architectural Career: Alongside his literary achievements, Tachihara showed promise as an architect. His designs often reflected his poetic sensibilities, blending functionality with beauty.

Themes: His poetry often deals with impermanence and longing, resonating deeply with readers. His works evoke a sense of mono no aware (the awareness of the impermanence of things), a concept central to Japanese culture.

Legacy: Despite his brief career, Tachihara’s works remain celebrated in Japan. His collection, Michizō no Uta (道造の詩), continues to be read and admired. His life and work are often seen as a blend of traditional Japanese culture and modern sensibilities.

History

Michizō Tachihara was born on July 30, 1914, in Tokyo, Japan, into a cultured family that nurtured his artistic inclinations from an early age. His father, a scholar of Chinese literature, and his mother, a woman of refined tastes, exposed him to traditional Japanese and classical Chinese aesthetics. This early immersion in literature and art shaped Tachihara’s sensibility, which would later define both his poetry and his approach to architecture.

During his adolescence, Tachihara developed a passion for both literature and design. He attended the prestigious First Tokyo Middle School, where he excelled academically while cultivating his love for poetry. He later enrolled in the Department of Architecture at the University of Tokyo, demonstrating a dual talent for the technical precision of architecture and the lyrical imagination of a poet. This duality became a hallmark of his short but remarkable life.

In the 1930s, Tachihara emerged as a promising voice in Japanese literature, contributing to literary journals associated with the Shinkankakuha (New Sensationist School). This movement sought to break free from conventional literary styles, emphasizing innovative imagery and fresh perspectives on everyday life. Tachihara’s poetry captured fleeting moments of beauty, often inspired by nature, nostalgia, and the ephemerality of existence. His works were deeply rooted in traditional Japanese aesthetics, particularly the concept of mono no aware—a profound awareness of life’s transience.

Parallel to his literary pursuits, Tachihara excelled in architecture. He viewed architecture as an extension of his poetic vision, combining functional design with a sense of harmony and beauty. His architectural studies, however, were frequently interrupted by his declining health. Diagnosed with tuberculosis, he struggled to balance his ambitions with the physical limitations imposed by his illness.

In 1939, Tachihara’s health worsened, and he passed away on March 29 at the age of just 24. His untimely death cut short a life of extraordinary promise, but his legacy endures through his poetry, which continues to be celebrated for its delicate imagery and emotional depth. His posthumously published collection, Michizō no Uta (Michizō’s Poems), solidified his reputation as one of Japan’s most poignant and gifted poets of the early 20th century.

Chronology

1914: Born on July 30 in Tokyo, Japan, into a family with a deep appreciation for literature and art.
1920s: Attended First Tokyo Middle School, where he began to cultivate his interest in literature and poetry.
1932: Enrolled in the Department of Architecture at the University of Tokyo.
1934: Began publishing poetry and essays in literary journals associated with the Shinkankakuha (New Sensationist School).
1936: Diagnosed with tuberculosis, which began to limit his activities but did not stop his creative work.
1939: Passed away on March 29 at the age of 24 due to tuberculosis. His poetry collection, Michizō no Uta, was published posthumously and became widely admired.

The School(s)

Michizō Tachihara is primarily associated with two significant schools or influences in poetry:

Shinkankakuha (New Sensationist School):

Tachihara was closely aligned with this modernist literary movement, which emerged in the 1920s and 1930s in Japan. The Shinkankakuha sought to break away from traditional literary styles and naturalistic storytelling, focusing instead on innovative and fresh ways to perceive and describe the world. The movement emphasized sensory experiences, vivid imagery, and subjective impressions. Tachihara’s poetry often reflected this focus on capturing fleeting moments and sensations, using precise yet evocative language.

Traditional Japanese Aesthetics:

While influenced by modernist ideals, Tachihara’s poetry also deeply resonated with traditional Japanese poetic forms and themes. His works often embraced concepts like mono no aware (the beauty of impermanence) and reflected the influence of classical Japanese poetry, such as waka and haiku. This blending of modern innovation with traditional sensibilities gave his poetry a unique emotional depth and cultural richness.

These two influences—the avant-garde experimentation of the Shinkankakuha and the timeless elegance of traditional Japanese aesthetics—defined Tachihara’s poetic voice and legacy

Genre, style, forme et technique

Genre:

Michizō Tachihara’s works are primarily categorized as lyric poetry, focusing on personal emotions, reflections, and fleeting moments. His poems often explore themes of nature, love, nostalgia, and the impermanence of life, capturing subtle and ephemeral emotions.

Style:

Modernist Innovation:
Tachihara’s poetry was deeply influenced by the Shinkankakuha (New Sensationist School), characterized by a modernist approach. His style prioritized vivid imagery, fresh perspectives, and a heightened sensitivity to sensory experiences.

Traditional Sensibility:
He seamlessly blended traditional Japanese aesthetics with modern techniques, echoing the spirit of classical waka and haiku. His work often exudes a quiet, contemplative tone, reflecting the concept of mono no aware—the awareness of life’s impermanence.

Former (Influences):

Tachihara drew inspiration from various sources:

Shinkankakuha: A movement emphasizing new ways of perceiving reality and innovating in expression.
Traditional Japanese Poetry: Classical forms like waka and haiku, with their focus on nature and seasonal imagery, heavily influenced his themes and tone.
Romantic and Symbolist Poetry: Western influences, such as the works of Rainer Maria Rilke and other modernist poets, likely informed his lyrical approach and introspection.

Technique:

Imagery-Driven Language:
Tachihara crafted vivid, sensory-driven descriptions that evoked strong emotional and visual impressions.

Focus on Transience:
He often employed metaphors and imagery to emphasize the fleeting nature of life, mirroring the philosophical underpinnings of mono no aware.

Economy of Expression:
Like traditional waka and haiku, his poetry used minimal words to achieve maximum emotional resonance.

Architectural Precision:
His background in architecture influenced the structural clarity of his poems, with a keen sense of form, balance, and proportion in his verses.

Theme and Content

Themes in Michizō Tachihara’s Works

Impermanence and Transience:
Tachihara’s poetry is imbued with the Japanese aesthetic of mono no aware—a profound sensitivity to the fleeting nature of life and beauty. He often explores the impermanence of love, nature, and existence itself, capturing moments that are ephemeral yet deeply meaningful.

Nature and Seasonal Imagery:
Nature is central to his work, with vivid descriptions of landscapes, flowers, and seasons. Tachihara uses these natural elements to symbolize emotions, time, and the cycles of life.

Nostalgia and Longing:
His poems express a deep sense of longing for the past and an idealized world. This theme of nostalgia intertwines with his awareness of life’s transience, creating a bittersweet tone.

Solitude and Fragility:
Tachihara often reflects on solitude, vulnerability, and the fragility of human emotions. His poetry conveys a quiet introspection and emotional depth, likely influenced by his personal struggles with illness.

Love and Emotional Intimacy:
Romantic and personal connections appear frequently in his works, but often in a wistful or unfulfilled way. Love is portrayed as both a source of joy and an acknowledgment of inevitable separation.

Content of His Works

Poetry Collections:

Tachihara’s poems are short, lyrical, and vivid, often capturing a single moment or emotion. His best-known collection, Michizō no Uta (Michizō’s Poems), features poems reflecting his core themes, including nature’s beauty, fleeting time, and personal longing.
Examples of recurring imagery include cherry blossoms (ephemeral beauty), autumn winds (melancholy), and twilight skies (transition and impermanence).

Architectural Reflections:
Though primarily a poet, Tachihara’s architectural background influenced his poetry. His works sometimes evoke a sense of structure and space, blending human emotion with carefully crafted imagery.

Modernist Perspectives:
Tachihara’s engagement with the Shinkankakuha movement led him to use innovative metaphors and sensory impressions. His poems often feel like snapshots of an emotional or sensory moment, abstract yet resonant.

Relations to Other Poets

Michizō Tachihara was part of a literary network connected to the Shinkankakuha (New Sensationist School) and interacted with contemporary poets who shared similar artistic ideals. Here are some direct and real relations he had with other poets:

1. Yasushi Nagata

Relation: Yasushi Nagata was a close friend and collaborator of Tachihara. The two shared a deep literary bond and often exchanged ideas about poetry and aesthetics.
Impact: Nagata encouraged Tachihara’s poetic development and shared his interest in capturing fleeting moments and emotions. Their works both reflect a sensitivity to nature and a minimalist approach to language.

2. Rofu Miki

Relation: Rofu Miki, an established poet, was an influential figure for Tachihara. Although their personal connection may not have been direct, Miki’s lyricism and use of nature in his poetry served as an inspiration for Tachihara’s own style.

Influence: Miki’s blending of traditional Japanese themes with modern sensibilities resonated with Tachihara and influenced his thematic focus.

3. Shinkankakuha Poets

Group Connection: Tachihara was linked to poets and writers involved with the Shinkankakuha, such as Riichi Yokomitsu and Yasunari Kawabata (better known as a novelist). While these figures were more prominent in prose, their emphasis on sensory experience and innovative techniques influenced Tachihara’s poetic approach.

4. Western Poets (Indirect Influence)

Tachihara was also inspired by Western lyricists such as Rainer Maria Rilke and French Symbolist poets. Although he had no direct contact with them, their influence can be seen in his introspective style and use of metaphysical themes.

Tachihara’s relationships with contemporary Japanese poets, particularly Nagata, played a critical role in shaping his poetic voice. At the same time, his indirect connection to both Japanese literary predecessors and Western influences allowed him to blend tradition with modernism.

Similar Poets

Japanese Poets

Yasushi Nagata

Similarity: Nagata was a close contemporary and friend of Tachihara. His poetry also focuses on fleeting emotions, nature, and the transience of life, making his works thematically similar.
Style: Minimalist and emotionally introspective, with vivid imagery and delicate language.

Rofu Miki

Similarity: A precursor to Tachihara, Rofu Miki’s lyrical poetry explores nature and impermanence, blending traditional Japanese aesthetics with modernist sensibilities.
Works to Explore: Akatombo (Red Dragonfly) is one of his most famous poems.

Hakushū Kitahara

Similarity: Kitahara’s poetry incorporates themes of nature, nostalgia, and a deep appreciation of beauty, aligning closely with Tachihara’s sensibility.
Style: His works combine modernist experimentation with classical Japanese poetic forms.

Shiki Masaoka

Similarity: While primarily known for revitalizing haiku and tanka, Masaoka’s focus on nature and capturing transient moments resonates with Tachihara’s themes.
Style: Precision and clarity in depicting sensory experiences.

Western Poets

Rainer Maria Rilke

Similarity: Rilke’s lyrical and introspective poetry about impermanence, beauty, and the metaphysical closely mirrors Tachihara’s thematic focus.
Style: Elegantly meditative with vivid imagery and philosophical undertones.
Works to Explore: Duino Elegies or The Book of Hours.

Paul Verlaine

Similarity: A French Symbolist poet, Verlaine’s musical, emotional poetry often reflects melancholy and transient beauty, much like Tachihara’s.
Style: Emphasis on sound and atmosphere, often with an air of longing.
Works to Explore: Romances sans paroles (Songs Without Words).

Tagore

Similarity: Tagore’s poetry shares a spiritual and nature-focused sensibility, often meditating on life’s fleeting beauty and emotional depth.
Works to Explore: Gitanjali (Song Offerings).

Modernist Influences

Hideo Yoshino

Similarity: Yoshino’s poetry is deeply introspective, focusing on emotional depth and the beauty of nature. His works often parallel Tachihara in tone and theme.

Yasunari Kawabata

Similarity: Although primarily a novelist, Kawabata’s lyrical prose and focus on fleeting emotions, beauty, and nature align with Tachihara’s aesthetic values. His novels read like extended poetry.

Relations with Persons in Other Genres

Michizō Tachihara’s life intersected with people from other artistic and intellectual fields, reflecting his multifaceted interests as both a poet and an architect. Here are some notable direct and real relations he had with individuals in other genres:

1. Yasushi Nagata – Literature and Personal Connection

Genre: Poetry and Literature
Relation: Nagata, a poet himself, shared a deep friendship and literary exchange with Tachihara. While both worked in poetry, their discussions likely influenced their broader perspectives on art and aesthetics.
Impact: Tachihara’s themes of transience and natural beauty were often supported and echoed in their collaborations.

2. Rōkō Sasaki – Architecture

Genre: Architecture
Relation: Sasaki was a fellow architect and colleague of Tachihara during his time at the University of Tokyo’s Department of Architecture.
Impact: Their exchanges in architectural design and theory were pivotal to Tachihara’s holistic artistic vision, where poetry and architecture converged in themes of form, beauty, and impermanence.

3. Bunroku Shishi – Novelist and Essayist

Genre: Literature (Fiction and Essays)
Relation: Tachihara was acquainted with Shishi through the literary circles of the Shinkankakuha (New Sensationist School).
Impact: Shishi’s modernist storytelling and exploration of sensory experience paralleled Tachihara’s poetic experiments, providing cross-genre inspiration.

4. Yasunari Kawabata – Novelist

Genre: Literature (Prose)
Relation: As part of the broader modernist movement, Kawabata and Tachihara were connected through literary journals and intellectual networks.
Impact: Kawabata’s lyrical, minimalist prose and exploration of fleeting beauty deeply resonated with Tachihara’s poetic ideals, though their relationship was more intellectual than personal.

5. His Colleagues in the New Sensationist Movement

Genre: Literature and Art
Relation: Tachihara engaged with writers and artists across genres who were part of the Shinkankakuha, such as Riichi Yokomitsu (novelist) and Yōjirō Ishizaka (playwright).
Impact: These individuals shaped the broader artistic context in which Tachihara worked, encouraging his exploration of modernist themes across disciplines.

6. Chūya Nakahara – Poet with Musical Influences

Genre: Poetry and Music
Relation: While there’s no direct record of a personal connection, Nakahara’s influence as a modernist poet and his use of rhythm and sound in poetry likely resonated with Tachihara’s lyrical style.
Impact: Their shared aesthetic ideals, blending modernist innovation with traditional sensibilities, reveal a kinship in artistic vision.

7. Influence of Western Architects and Thinkers (Indirect)

Figures: Le Corbusier, Frank Lloyd Wright
Genre: Architecture
Relation: As a student of architecture, Tachihara was exposed to modernist architectural ideas from figures like Le Corbusier and Wright.
Impact: These architects’ emphasis on simplicity, harmony with nature, and integration of art into design paralleled Tachihara’s poetic approach to space and form.

Tachihara’s ability to bridge poetry, architecture, and modernist aesthetics placed him at the confluence of different genres, allowing him to engage directly with individuals across disciplines.

Michizo Tachihara as a Architect

Michizō Tachihara was not only a gifted poet but also an accomplished architect, demonstrating a rare synthesis of artistry and technical skill. His work as an architect reflected his poetic sensibilities, blending functionality with beauty and an awareness of space as an emotional and aesthetic experience.

Education and Architectural Background

University of Tokyo: Tachihara studied at the Department of Architecture at the University of Tokyo, one of the most prestigious institutions in Japan. Here, he was exposed to both traditional Japanese architectural principles and modernist design philosophies.
His education was rooted in a balance between technical precision and the artistic aspects of architectural design, which would later influence both his professional and poetic works.

Architectural Philosophy

Poetic Sensibility in Design:
Tachihara viewed architecture as an extension of his poetic vision. Just as his poetry captured fleeting moments and the beauty of impermanence (mono no aware), his architectural designs aimed to create spaces that harmonized with their environment and evoked an emotional response.

Integration of Tradition and Modernity:
His architectural work reflected an effort to merge traditional Japanese aesthetics with modernist approaches. Influenced by the clean lines and minimalism of modern architecture, Tachihara sought to honor the natural materials and harmony inherent in Japanese design.

Emphasis on Space and Form:
Tachihara had a keen sense of spatial organization and balance, likely informed by his poetic understanding of rhythm and proportion. He believed in creating spaces that not only served a functional purpose but also resonated with the spirit of those who inhabited them.

Projects and Contributions

Limited Professional Output:
Unfortunately, due to his premature death at the age of 24 and his struggle with tuberculosis, Tachihara’s architectural career was cut short, leaving behind only a few realized projects or documented designs.

Conceptual Work:
While his built contributions may have been minimal, his ideas and studies reflected his deep engagement with architectural philosophy. Some of his conceptual designs might have been inspired by natural forms and the interplay of light and shadow, echoing his poetic themes.

Influences

Japanese Traditional Architecture:
Tachihara drew inspiration from the minimalist design of Japanese tea houses, the use of natural materials, and the fluid integration of indoor and outdoor spaces.

Modernist Thinkers:
He was influenced by figures such as Le Corbusier and Frank Lloyd Wright, whose work was becoming internationally recognized during his time. Wright’s work in Japan, particularly the Imperial Hotel, may have had a significant impact on his architectural perspective.

Legacy in Architecture

While Tachihara is better known for his poetry, his architectural studies and ideals remain an important aspect of his artistic identity. His dual engagement with poetry and architecture highlights his ability to see beauty in both words and spaces, embodying a rare unity between these two art forms.

(This article is generated by ChatGPT. And it’s only a document of refenrence.)

List of Poetry Translations
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch, Nederlands, Svenska)
Michizo Tachihara, W. B. Yeats, Rupert Brooke, Anna de Noailles, etc.

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Traduzione | Raccolta di poesie postuma (3/5) di Michizo Tachihara

Vacanza

Scuola elementare in una foresta. Nuvole fluttuanti, attraversano il cielo, fischiano, pensano a qualcosa.

Nel giardino della scuola elementare, sotto un’altalena, c’è un’ombra vuota. Un girasole stava sbocciando, come una meridiana per api e vermi del cavolo.

Per caso, l’ombra di qualcosa di grande.

……Che breve momento.

Le cose felici sono passate. Come nuvole fluttuanti, che rassicurano tutti.

Canzone sul sentimento del viaggio di agosto

Sull’erba dura di una vetta, un pasto modesto
Sull’ombrellone, è sbocciato
Ah, gita d’estate, mi arrampicavo con il dito
Una linea di cielo chiaro
Questa nuvola bianca, come un sogno

Nel viaggio, un mezzo sonno del giorno, si rifletteva nel mio cuore
Si cancellava silenziosamente, come il legno di un albero deciduo
Ah, questo colore, penetrato fino in cima
Alla fine delle catene di montaggio si vedevano in lontananza
Una nostalgia ancora sconosciuta

Canzone notturna del viaggiatore: FRÄULEIN A. MUROHU GEWIDMET

Continuava a piovere, una pioggia fredda
La lampada che portavo con me
Che illuminava un po’ i miei piedi
La notte era lontana ma io camminavo e camminavo

Perché stavo andando a camminare
Nonostante mi sia arreso, ho incluso il mio letto
Anche le storie calde e la candela, tuttavia
Perché ho camminato
Quando arriverà la manutenzione, allora dormirò
Cammino fino a dove …… così
Cosa faccio

Mi bagno completamente, mi bagno
Il ricordo felice, lo sto ancora cercando……
Di mia madre, verso la città, con rimpianto nel nero profondo solo

Alla bella donna che stava per morire

A volte davanti ai miei occhi appariva l’ombra
A questo mondo, da un fantasma, dimenticato
Una terra che non conosco, quando i meli profumavano
Non familiare, sul cielo stellato della lontana notte chiara

Gli scambi tra l’estate e la primavera non erano frenetici sul cielo
–Il tuo sorriso di un tempo non era per me
–La tua voce non risuonava per me
La tua malattia e la tua morte silenziose, come una canzone in un sogno
Ho acceso un fuoco a questa tristezza arrivata questa sera
Ho dedicato a te le povere rose appassite
Con la luce della luna ferita, era la veglia da me

Probabilmente non ci sono segni nella tua memoria
Ma anche chi la tristezza non ha permesso, sono io…
“I resti sul melo diventati verdi, dovevano dormire in eterno”.

Piacere immaginario nella notte

Il giovane fogliame profumato dal vento mi pungeva gli occhi
Ma il mio pensiero correva, quale cosa si nascondeva in esso
La bambina mi cantò
-Una sera nel cuore dell’inverno, era

La luce del ruvido sentiero era coperta di neve
Il piacere del mio cuore
aveva rubato attraverso il labbro di qualcuno
Allora cercai di consolare
La mia bocca secca cantò una canzone per chiamare
Passai così…
Nella luce nevosa della sera di metà inverno…

Di chi era il cuore nascosto?
E così il desiderio della bambina si trasformò in un duro presentimento.
Che cosa è stato rubato? Dimmelo, bambina

Elenco delle traduzioni di poesie
(Italiano, Français, Español, English, Deutsch)

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