Traduction | Recueil posthume de poèmes (2/5) de Michizo Tachihara

Voyage de l’été

I. Le chanson au bout de la village

Était en fleur, un Lotier corniculé, et
Je cueillais par doigts, il disais moi à travers le lumière–
Le droit est le chemin du nord à Echigo
La gauche est le Nakasendo à Kiso
À la belle soirée après la pluie, nous resterons en regardant distraitement le ciel
Et, je marchais droit à l’opposé de la soirée, ma village natal miteuse
Par la touffe d’herbe du Batohcannon, nous nous tenions debout sans mots par le première fois de nos vies

II. Pour la chèvre

Le petit pont, disait que la route entrait la village par ici
À l’ombre d’une arbre du podocarps du côte, une très ancienne maison noire….. à ce jardin
Une vieille chèvre était mis par la chaîne, comme le joie gentil d’un garçon pitoyable
À tout le monde, la chèvre répondait par le voix qui tremblait–
Toujours toujours des voyageurs, passaient et voyaient vers toi en un instant

III. Bucolique

Le moulin seul dans la village
Dans l’été, fumait le toit
Il chantait des chansons joyeux toute la journée et ne se fatiguait de chanter
Qu’est-ce que le moulin faisait
Au ruisseau, au soleil, elle harmonisait de chanter tes marches ralentis
Qu’est-ce que le moulin tournoyer à quoi

IV. Repos – Une lettre personnelle à I.T.

Autrefois, quand je croisait la rêve était belle, il n’avait pas la chose plus belle que la rêve dans ce monde. Mais, aujourd’hui, si des choses qui plus belles que le rêve me entoure, c’est combien je suis heureux. Sur le plateau de Shinano, les fleurs de sarrasin commun s’épanouit dans l’air clair, et les herbes des pampas flotte, les raies des lignes de montagne étaient comptées, il y a l’existence des belles nuages incroyable au ciel très bleu. Je ouvris l’oreille vers le ton subtil de vent, mais il chuchote les mots corrects dans ce monde. Enfin, je ne veux pas dire à exprimer qui mon cœur sens par mes mots. Comment, je dis, et je demands. C’est raisonnable, que je pense telle chose avec zèle. T, être comme ça est agréable. Le ciel très haut insondable. Je suis petit tellement, aussi je suis grand tellement.

V. Vers le cimetière

Au chemin mince dans le brouillard épais, le voix très sonorise m’invitait, le fond du bois j’arrivais premier fois.
À la côte des arbres de bouleu– ah, ma fantasme! (Les branches, chantaient le chanson du ciel qui volait par le vent)

VI. Décès de l’été

L’été passait précipitamment au loin
Pour nouvelle voyage encore

Nous comptions les jours restaient peu mombreux
Regardions les nuages et le vapeur qui pèsent sur le volcan
Nous restions une chambre froide un peu, de la plupart du temps
Passions à bavarder des histoires des fleurs triviales et des rumeurs des gens de la ville

Une journée de crachin je raccompagnais à la personne à la garé
À l’entrée de la village, les petites feuilles des pins chutaient par le vent froid, sans arrêt
…… Une auberge avait des chambres libres, depuis ce nuit, je écrivais les lettres toujours, seulement sur la lampe faible

VII. Le fin de la voyage

La nuit dernière, la lune qui voit le lever de lune
Devenait le lune à midi, flottait le ciel de matin
Le blue outremer vif courait dans le ciel
On disait qu’il se dispersait et changer à les nuages blanches, aussi cette lune
Plusieurs des fois je regardais en arrière, plusieurs des fois je regardais en arrière
Le voyageur, levait les yeux au ciel, avait le ressentiment inépuisable aux gens restaient
Et sentait le mensonge triste sans limite

Mots de la pluie

Je suis froid peu
Parce que je parcourais seulement tout
Dans un crachin
Mes paumes, mon front, restaient humides
Avant de le savoir je devenais sombre
Je m’appuie sur ici comme ça
Et attends la lampe allume

Dehors la pluie faible sans son continue à pleuvoir
Sur un vivier sans homme, sur toit
Sur les parapluies des hommes
Elle erre pour toujours
Avant longtemps elle changera un brouillard enfumé……

Je ne connassait pas et je n’espère pas
Elle dit quelque chose d’une journée
À propos du silence et la matinée chaude
Le murmure subtil de la pluie, de la sorte
Et elle change diversement
En écoutant ça
Je m’endormis à mon insu comme toujours

Enterrement de l’été

Comme une paume, c’était un beau temps calme. Je pensais quelque où je avais vu le dimanche comme ça.

Dans la nuit, le brouillard descendait hors du fenêtre. Nous nous rassemblions. Autour de la bougie. Nous tricotions même mots quelquefois, autour le bavardage restait un peu.

Sur nos mains, le bouquet du matin ne restaient pas. …..Il était comme le colour du pays loin mon mère et famille.

Insectes chantaient. Les grillons continuaient à chanter qui est le singe du fin de l’été. Un person écoutait mais il s’ennuyait et sortait à quelque où.

Je pensais du lendemain. À la chose qui je ne peux nullement écouter et parler. ……La fenêtre ouvrait. Le lever de la lune brillait clairement à la fenêtre, à travers le brouillard courait sans son.

Carnet du voyage: Cette journée, à Tsutomu Ikuta

Cette ville, une devanture d’une bibliothèque — Je écoutais, le voix de une Turque jeune. Je recevais une livre de chanson avec la couverture rouge et belle. Comme des enfants chantent.

Et je penchais ma parapluie quelque fois, et je voyais le ciel. Le ciel était gris pleinement, mais c’est haut insondable. Le jour de la pluie tranquille.

Les gens chuchotaient à le voyageur jeune. Qu’est-ce que vous regardiez?
Oui. Je regardais une Turque jeune, par la suite à un parc, à bout de la ville peu sombre.
— Un de ces jours, je vendrai Novalis et Rilke. Le jour finissait comme telle, la fille du ciel embrasé….. Ma rêverie était comme un fruit dur et aigre.

Je prépare les bougies n’ont pas brûlées entièrement à la fille. Pour je n’oublis pas memoirs du voyage. — Le fin de l’été, à la ville a chateau ancien, je recevais, par la fille, cette livre de chanson, je continuais à voyager.

Le midi d’un jour solitaire

En me cachant une touffe d’herbe mouillée
Je, répétais
Divers, positions étroites
Quelles étaient misérablement agréables

Le conviction que j’étais vu par aucun
Tout à l’heure, une invite à la confession et–
Ce temps, le midi
Semblaient sentir
Le soleil faisait la coquette doucement
Tumulte cessait pendent je ignorais
Seule le chanson des oiseaux, chantaient au loin

Ah, innocent
Une moment était nouée, qui sera parti
À la justesse de ce désir

Requiem

Au fenêtre de carreau, elle réfléchissait
Passait, une ombre inclinée de personne
S’entassait, s’entassait et s’enchevêtrait, effaçait
effaçait……

Ce moment, ce moment
Comme une ombre, elle surirait comme ça
Toujours, toujours
Elle écrivait caractères qui ses gaussaient
Quand elle décédait, elle surirait un peu–
Mais, ce voix, moi
Par une autre, je était écouté seulement

Sur une table, l’ombre d’un fleur tombait, l’ombre de plat
Si je elles touchait par mes doits
Mes memoirs effaçaient un par un, un bruit faible aura effacé

Panier du ciel

Une campagnarde, montrait à train
Et faisait cours à la ville voisine
En ayant un grand panier par son mains
–Le retour….. Le panier
Fruits, pains et fleurs, était plein
Le fille, était ensevelie dans le parfum
Elle sommeillait court

Toujours même complètement
Tout à l’heure quand le soleil se couchait
Chez moi, le panier était vide–
Je ne connaissais pas pourquoi
La campagnarde, du four
En était brûlant feu
Cette fois pour elle-même seule
Elle chantait le chanson du panier
Beaucoup des oisillons, des perles et des fleurs

Papier découpé

Le soleil se couchait, ainsi le ciel se déshabillait
Et il disait « Bientôt c’set nuit » à le coucou

Les petites étoiles tombaient de la lampe
Chacun éclairaient les chambres de la ville

Comme « Ma chambre, bon nuit! »
Les enfants disparaissaient un par un

Le nuit, est cette histoire
Ce triste fait plaisir à moi

À l’été

Il attendait ici et comme ça, un temps
Mon garçon, mon secret……
Puis, une personne je ne connais pas
Je oublie, une departure lointaine, de quelqu’un

Il, agitait un mouchoir
Il, surirait d’une fenêtre
Il, saluait
Enfin il allais au quelque part–
(Oui, je, préparais un chapeau
Et un T-shirt plus blanc que le papier
Aussi je aurai cherché)

Je agitait la main au quai, un temps
Mon hier, mon garçon…… Après cela
Cet homme seul n’était pas là, bien des departures passaient

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.

Übersetzen | Posthume Gedichtsammlung (2/5) von Michizo Tachihara

Sommerreise

I. Das Lied am Ende des Dorfes

.

War in Blüte, ein Hornklee, und
Ich pflückte nach Fingern, er sagte mir durch das Licht–
Die rechte ist der Nordweg nach Echigo.
Der linke ist der Nakasendo in Kiso.
Am schönen Abend nach dem Regen bleiben wir und schauen zerstreut in den Himmel.
Und, ich ging geradeaus in die entgegengesetzte Richtung des Abends, mein schäbiges Heimatdorf.
Durch die Grasbüschel des Batohcannon standen wir wortlos beim ersten Mal in unserem Leben.

II. Für die Ziege

Die kleine Brücke, sagte, dass die Straße hier das Dorf betrat.
Im Schatten eines Baumes des Podocarps der Küste, ein sehr altes schwarzes Haus….. zu diesem Garten.
Eine alte Ziege war an die Kette gelegt, als die freundliche Freude eines bemitleidenswerten Jungen.
Auf jeden antwortete die Ziege mit zitternder Stimme–.
Immer immer Reisende, kamen vorbei und sahen zu dir in einem Augenblick.

III. Bukolisch

Die Mühle allein im Dorf
Im Sommer rauchte das Dach
Sang fröhliche Lieder den ganzen Tag und wurde nicht müde zu singen.
Was tat die Mühle
Am Bach, in der Sonne harmonisierte sie, deine verlangsamten Schritte zu singen.
Was wirbelt die Mühle zu was

IV. Rast – Ein persönlicher Brief an I.T.

.

Früher, wenn ich dem Traum begegnete, war er schön, es gab in dieser Welt keine Sache, die schöner war als der Traum. Aber wenn mich heute Dinge umgeben, die schöner sind als der Traum, dann bin ich sehr glücklich. Auf dem Shinano-Plateau blühen die Blumen des gewöhnlichen Buchweizens in der klaren Luft, und die Gräser der Pampas schweben, die Streifen der Berglinien waren gezählt, es gibt die Existenz der schönen Wolken unglaublich am sehr blauen Himmel. Ich öffnete mein Ohr für den subtilen Ton des Windes, aber er flüstert die richtigen Worte in dieser Welt. Schließlich will ich nicht zum Ausdruck bringen, wen mein Herz mit meinen Worten meint. Wie, sage ich, und ich verlange. Es ist vernünftig, dass ich so und so eifrig denke. T, so zu sein, ist angenehm. Der Himmel sehr hoch unergründlich. Ich bin so klein, auch bin ich so groß.

V. Auf dem Weg zum Friedhof

.

Am dünnen Weg im dichten Nebel lud mich die sehr klangvolle Stimme ein, den Waldboden erreichte ich zum ersten Mal.
An der Küste der Birkenbäume – ah, meine Fantasie! (Die Äste sangen das Lied des Himmels, der durch den Wind flog)

VI. Tod des Sommers

.

Der Sommer verging eilig in der Ferne
Für neue Reise wieder

Wir zählten die Tage blieben dunkel.
Betrachteten die Wolken und den Dampf, der auf dem Vulkan lastet.
Wir blieben ein kalter Raum ein wenig, von der meisten Zeit
Plauderten über triviale Blumengeschichten und die Gerüchte der Stadtbewohner.

An einem Tag mit Nieselregen begleitete ich die Person zum Parkplatz.
Am Dorfeingang fielen die kleinen Blätter der Kiefern durch den kalten Wind, immer wieder.
…… Ein Gasthaus hatte freie Zimmer, seit dieser Nacht schrieb ich die Buchstaben immer, nur auf der schwachen Lampe.

VII. Das Ende der Reise

.

Letzte Nacht, der Mond, der den Mondaufgang sieht.
Wurde der Mond am Mittag, schwebte der Morgenhimmel.
Das helle Ultramarinblau lief über den Himmel.
Man sagte, dass es sich zerstreute und zu den weißen Wolken wechselte, auch dieser Mond.
Viele Male blickte ich zurück, viele Male blickte ich zurück.
Der Reisende blickte zum Himmel auf, hatte einen unerschöpflichen Groll gegen die Menschen, die blieben.
Und spürte die grenzenlose traurige Lüge

Wörter vom Regen

.

Ich bin kalt wenig
Weil ich nur alles durchwanderte
In einem Nieselregen
Meine Handflächen, meine Stirn, blieben feucht.
Ehe ich mich versah, wurde ich dunkel
Ich lehne mich hier so an
Und warte auf die Lampe leuchtet

Draußen regnet der schwache Regen ohne Ton weiter.
Auf einen männerlosen Fischteich auf Dach
Auf den Regenschirmen der Männer
Er wandert für immer
Vor langer Zeit wird er sich in einen rauchigen Nebel verwandeln…….

Ich wusste nicht und ich hoffe nicht
Sie sagt etwas über einen Tag
Über die Stille und den warmen Morgen
Das feine Flüstern des Regens, der Art.
Und sie verändert sich vielfältig
Während ich dem zuhörte
Ich schlief ohne mein Wissen ein, wie immer

Sommerliche Entrückung

.

Wie eine Palme war es ein schönes, ruhiges Wetter. Ich dachte an etwas, wo ich den Sonntag so gesehen hatte.

In der Nacht sank der Nebel aus dem Fenster. Wir versammelten uns. Um die Kerze herum. Wir strickten manchmal sogar Wörter, um das Geplauder ein wenig zu halten.

Auf unseren Händen blieb der Morgenstrauß nicht zurück. …..Il war wie die Colour des Landes weg von meiner Mutter und Familie.

Die Insekten sangen. Die Grillen sangen weiter, was der Affe des Spätsommers ist. Ein Mensch hörte zu, aber er langweilte sich und ging irgendwohin.

Ich dachte an den nächsten Tag. An die Sache, die ich nicht hören und sprechen kann. ……Das Fenster öffnete sich. Der Mondaufgang leuchtete klar am Fenster, durch den Nebel lief es tonlos.

Reisetagebuch: Ein tag, für Tsutomu Ikuta

.

Diese Stadt, die Vorderseite einer Bibliothek — Ich lauschte der Stimme einer jungen Türkin. Ich erhielt ein Liederbuch mit einem schönen roten Einband. Wie die Kinder singen.

Und ich neigte meinen Regenschirm ein paar Mal und sah den Himmel. Der Himmel war voll und ganz grau, aber er ist hoch und unergründlich. Der Tag des stillen Regens.

Die Leute flüsterten dem jungen Reisenden zu. Was haben Sie sich angesehen?
Ja, ich beobachtete eine junge Türkin, später in einem Park am Ende der dunklen Stadt.
— Eines Tages werde ich Novalis und Rilke verkaufen. Der Tag endete als solche, die Tochter des brennenden Himmels…… Meine Träumerei war wie eine harte, saure Frucht.

Ich bereite die Kerzen nicht vollständig zu dem Mädchen brannten. Damit ich die Erinnerungen an die Reise nicht vergesse. — Am Ende des Sommers, in der Stadt mit dem alten Schloss, erhielt ich von dem Mädchen dieses Buch mit Liedern, ich reiste weiter.

Der Mittag eines einsamen Tages

.

Mich versteckend ein Büschel nasses Gras.
Ich, wiederholte
Verschiedene, enge Stellungen
Welche elendiglich angenehm waren

Die Überzeugung, dass ich von keinem gesehen wurde
Vorhin, eine Einladung zur Beichte und–
Diese Zeit, der Mittag
Schienen zu riechen
Die Sonne kokettierte sanft
Die Tumulte hörten auf, ich wusste nicht
Nur das Lied der Vögel, sang in der Ferne.

Ach, du Unschuldiger
Ein Moment war geknüpft, der weg sein wird
An die Richtigkeit dieses Wunsches

Requiem

.

Am Karofenster dachte sie nach
Ging vorüber, ein geneigter Schatten einer Person
Sich türmte, sich türmte und verwickelte, löschte.
löschte……

Dieser Augenblick, dieser Augenblick
Wie ein Schatten, so würde sie surren
Immer, immer
Sie schrieb Schriftzeichen, die ihr spotteten
Als sie starb, würde sie ein wenig über—.
Doch, diese Stimme, ich
Von einer anderen, ich wurde nur angehört

Auf einem Tisch fiel der Schatten einer Blume, der Schatten einer Platte.
Wenn ich sie mit meinen Fingern berührte.
Meine Memoiren löschten eine nach der anderen, ein leises Geräusch wird gelöscht haben

Korb des Himmels

.

Ein Landmädchen, zeigte zu Zug
Und hielt Unterricht in der nahen Stadt
Indem sie einen großen Korb durch ihre Hände hatte.
-Die Rückkehr….. Der Korb
Früchte, Brote und Blumen, war voll.
Das Mädchen, war in Parfüm begraben.
Sie schlummerte kurz

Immer sogar ganz
Vorhin, als die Sonne unterging
Bei mir zu Hause, war der Korb leer—
Ich wusste nicht, warum
Die Landfrau, aus dem Ofen
Daraus war brennendes Feuer
Diesmal für sich allein
Sie sang das Lied vom Korb
Viel von den Küken, den Perlen und den Blumen

Geschnittenes Papier

.

Die Sonne ging unter, so zog sich der Himmel aus.
Und er sagte “Bald ist es Nacht” zum Kuckuck.

Die kleinen Sterne fielen aus der Lampe
Jeder erleuchtete die Zimmer der Stadt

Wie “Mein Zimmer, gute Nacht!”
Die Kinder verschwanden eines nach dem anderen

Die Nacht ist diese Geschichte
Diese Traurigkeit macht mir Freude

Auf den Sommer

.

Er wartete hier und so, eine Zeit lang.
Mein Junge, mein Geheimnis……
Dann, eine Person ich nicht kenne
Ich vergesse, eine entfernte Partitur, von jemandem.

Er, schwenkte ein Taschentuch
Er, schaute aus einem Fenster
Er, grüßte
Schließlich ging er zu etwas–
(Ja, ich, bereitete einen Hut vor
Und ein T-Shirt, das weißer als Papier war.
Auch ich würde gesucht haben)

Ich wackelte mit der Hand zum Bahnsteig, eine Zeit lang.
Mein Gestern, mein Junge…… Danach
Dieser Mann allein war nicht da, viele Abfahrten gingen vorbei.

Liste der Übersetzungen von Gedichten
(Deutsch, English, Français, Español, Italiano)

Jean-Michel Serres Apfel Cafe Apfelsaft Cinema Music QR-Kodes Mitte Deutsch 2024.

Translation | Posthumous collection of poetry (2/5) by Michizo Tachihara

Summer travel

I. The song at the end of the village

Was in bloom, a Bird’s-foot trefoil, and
I picked by fingers, it told me through the light–
The right is the path from the north to Echigo
The left is the Nakasendo at Kiso
On the fine evening after the rain, we’ll stay looking absent-mindedly at the sky
And, I’d walk straight across the evening, my dingy home village
By the tussock grass of Batohcannon, we stood wordless by the first time of our lives

II. For the goat

The little bridge, said the road entered the village this way
In the shade of a tree on the coastal podocarps, a very old black house….. to this garden
An old goat was put by the chain, as the nice joy of a pitiful boy
To everyone, the goat answered with a voice that trembled–
Always travellers, would pass and see to thee in a moment

III. Bucolic

The mill alone in the village
In summer, the roof smoked
It sang merry songs all day long and never tired of singing
What was the mill doing
To the stream, to the sun, it harmonised to sing your slowed steps
What was the mill spinning at

IV. Rest – A personal letter to I.T.

Formerly, when I came across the dream was beautiful, there was not the thing more beautiful than the dream in this world. But, today, if things that more beautiful than the dream surrounds me, that’s how happy I am. On the Shinano plateau, the flowers of common buckwheat bloom in the clear air, and the grasses of the pampas float, the stripes of the mountain lines were counted, there is the existence of beautiful clouds incredible to the sky very blue. I opened my ear towards the subtle tone of wind, but it whispers the correct words in this world. Finally, I do not want to express who my heart means by my words. How, I say, and I demand. It is reasonable, that I think such and such with zeal. T, to be like that is pleasant. The sky very high unfathomable. I am small so, also I am great so.

V. Towards the cemetery

To the thin path in the thick fog, the very sonorous voice invited me, the bottom of the wood I arrived first time.
To the hillside of the birch trees– ah, my fantasy! (The branches, sang the song of the sky which flew by the wind)

VI. Death of summer

Summer passed hastily away
For yet another journey

We counted the days that remained unshadowed
Watching the clouds and the steam weighing on the volcano
We stayed a cold room a little, most of the time
Chatting about trivial flowers and the gossip of the townsfolk

On a drizzly day I’d walk the person to the car park
At the entrance to the village, the small leaves of the pine trees were falling in the cold wind, non-stop
…… An inn had free rooms, since that night, I wrote the letters always, only on the weak lamp

VII. The end of the journey

Last night, the moon that sees the moonrise
Became the moon at noon, floated the morning sky
Bright ultramarine blue ran across the sky
It was said to disperse and change to white clouds, also this moon
Many times I looked back, many times I looked back
The traveller, raising his eyes to the sky, had an inexhaustible resentment to the people left behind
And felt the sad lie without limit

Words from the rain

I’m cold little
Because I was only going through everything
In a drizzle
My palms, my forehead, stayed wet
Before I knew it I was going dark
I lean on here like this
And wait for the lamp to light

Outside the weak rain without sound continues to rain
On a manless fish tank, on a roof
On the umbrellas of men
It wanders forever
Before long it will turn into a smoky fog……

I don’t know and I don’t hope
She says something about a day
About the silence and the warm morning
The subtle murmur of the rain, of a kind
And it changes variously
Listening to it
I unknowingly fell asleep as always

Entering summer

Like a palm, it was beautiful calm weather. I thought some where I’d seen Sunday like this.

In the night, the fog descended out of the window. We were gathering. Around the candle. We even knitted words sometimes, around the chatter remained a little.

On our hands, the morning bouquet didn’t stay. …..Il was like the colour of the country away from my mother and family.

Insects sang. The crickets continued to sing, which is the monkey of late summer. A person was listening but he got bored and went out somewhere.

I was thinking about tomorrow. About the thing I can’t listen to or talk about. ……The window was open. The moonrise shone clearly through the window, through the fog ran soundlessly.

Travel diary: The day, to Tsutomu Ikuta

This city, a front of a library — I was listening, the voice of a young Turkish woman. I received a song book with a beautiful red cover. Like children singing.

And I tilted my umbrella a few times, and I saw the sky. The sky was completely grey, but it’s unfathomably high. The day of quiet rain.

People whispered to the young traveller. What were you looking at?
Yes. I was looking at a young Turkish woman, later at a park, at the end of the little dark city.
— One of these days I’ll sell Novalis and Rilke. The day ended as such, the girl of the blazing sky….. My reverie was like a hard and sour fruit.

I prepare the candles did not burn entirely to the girl. For I do not forget memoirs of the trip. — The end of the summer, to the city has ancient castle, I received, by the girl, this book of song, I continued to travel.

The noon of a lonely day

Hiding from me a tuft of wet grass
I repeated
Various, narrow positions
How miserably pleasant they were

The conviction that I was seen by none
Earlier, an invitation to confession and…
This time, midday
Seemed to feel
The sun made the coquette gently
Tumult ceased while I ignored
Only the song of the birds, singing in the distance

Ah, innocent
A moment was knotted, that will be gone
To the rightness of this desire

Requiem

At the tiled window, she reflected
Passed, an inclined shadow of a person
Piled up, piled up and tangled, erased
erased……

This moment, this moment
Like a shadow, she would go on like that
Always, always
She wrote characters that laughed at her
When she passed away, she’d smile a little…
But this voice, me
By another, I was heard only

On a table, the shadow of a flower fell, the shadow of a dish
If I touched them with my fingers
My memories would fade one by one, a faint sound would erase

Basket of the Sky

A country girl, showed to train
And gave lessons to the neighbouring town
With a big basket in her hand
–Le retour….. The basket
Fruit, bread and flowers, was full
The girl was buried in perfume
She was fast asleep

Always, even completely
Just now when the sun was setting
At home, the basket was empty
I didn’t know why
The country girl, from the oven
Was burning with fire
This time for herself alone
She sang the song of the basket
Many birds, pearls and flowers

Paper cut-outs

The sun was setting, so the sky was undressing
And it said “Soon it will be night” to the cuckoo clock

Little stars fell from the lamp
Each one lit up the rooms of the town

Like “My room, good night!
One by one the children disappeared

The night is this story
This sad makes me happy

To summer

He waited here and like this, for a while
My boy, my secret……
Then, a person I do not know
I forget, a distant departure, from someone

He waved a handkerchief
He would look out of a window
He, waved
Finally he was going somewhere…
(Yes, I, prepared a hat
And a T-shirt whiter than paper
So I would have looked)

I waved my hand at the dock for a while
My yesterday, my boy…… After that
This man alone was not there, many departures passed by

List of Poetry Translations
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