Sonnet 4-7-3, Scènes séquentielles & Fragments pour l’unité #005 (juin 2025)

Soleil couchant, un programme divin

Ce soir-là, il y avait un soleil couchant magnifique dans ma ville
C’était un dégradé d’orange vers le bleu foncé ou le violet
Le rose, le bleu clair et le jaune y étaient présents
Elle était belle, merveilleuse et mystérieuse

Elle paraissait être une grâce de Dieu
Elle est aussi un phénomène de la nature
Et la nature est créée par Dieu
Les hommes ressentent le coucher de soleil comme précieux
C’est un phénomène temporel
Par une synchronisation de la grâce, de la nature et de la ville
Les hommes peuvent seulement la trouver belle

Le coucher du soleil doit être un programme divin de Dieu
Ce phénomène est entre la nature et les hommes
Dieu a écrit le code, ainsi elle apparaît différente, mais toujours semblable

join 2025

© 2025 Jean-Michel Serres

Sonnet 4-7-3, Scènes séquentielles & Fragments pour l’unité #004 (mai 2025)

Vert dans le ville

Le vent et le vert flottent dans ma ville
Le vent gentil
Et le vert brillant
Le monde est beau encore, certainement

Bâtiments et appartements blancs et gris
Voient éclats et mieux
Voitures de toutes sortes, leurs couleurs et leurs matériaux Sont plus beaux et pleins d’énergie
Les gens ses habillent vêtements blue, beige et gris
Ils sont bien combinés à ma ville
Le monde est beau encore, pourtant

Le vent flotte jusqu’à quand? Jusqu’à quand le vert brille-t-il ?
Je ne sais pas…
Mais, le monde est beau un certain temps ou éternel…?

Mes mots

Mes mots montent au ciel par mon Mac
Et ils coulent autour la Terre
Nos mots traversent le ciel sans arrêt
On ne peut pas regarder, mais ils flottent dans le monde

Mes pensées arrivent aux autres
Au-delà des montagnes et des mers
Les pensées sont révèlent
Dans ordinateurs et logiciels
Un nombre immense de mots et de pensées
Partent, tombent, et s’écrasent dans le ciel
Dans le large ciel entre les villes, l’éclat mystérieux du violet brille

Tes mots n’arrivent pas à moi
C’est un trouble ou un oubli de ta part
J’attends devant mon Mac, en tout cas

Mes mots (version alternative)

Mes mots montent au ciel par mon Mac
Et glissent autour de la Terre
Ils traversent l’espace sans trêve —
On ne les voit pas, mais ils flottent dans le monde

Mes pensées voyagent vers les autres
Par-delà les montagnes et les mers
Elles se révèlent, un jour
Dans les ordinateurs, les logiciels
Des flots de mots, de pensées innombrables
Partent, tombent, s’écrasent dans le ciel
Dans le ciel immense entre les villes
Brille un éclat mystérieux — violet

Tes mots, eux, ne viennent pas
Est-ce un oubli? Un silence? Un trouble?
J’attends, toujours, devant mon Mac

Le néant

Nous sommes nés du néant
Presque toutes choses s’étaient perdues
Le monde, pour nous, n’était déjà rien
La Terre, sale et brisée

Le néant est notre point d’ancrage
Nous y vivons
Et trouvons de nouvelles choses et événements
Pourtant, l’existence se manifeste
Le néant, notre point de départ
Nos vérités et réalités, sales et brisées
Nous pouvons vivre au XXIe siècle

Le néant est notre destination finale
L’état ultime : il n’y a ni bien ni mal
Nous devons retourner au lieu du néant, à la fin

mai 2025

© 2025 Jean-Michel Serres

Sonnet 4-7-3, Romanesque sans romance & fragments #003 (avril 2025)

Rêve de 5 avril 2025

Dans une chambre il avaient y des beaucoup de jeux du circuit de billes. Je jouait quelles sortes du ces jeux.

Dans la chambre d’à côté, il y avait un controller pour jouer musique, comme Ableton Push ou blocs LEGO. J’appuyais sur des boutons et je fais une session de House musique.

Rêve de 21 avril 2025

Dans une grande salle noire, Ryuichi Sakamoto était pendu par des câbles. Il jouait du synthétiseur, interprétait bonne mélodie unique. Ainsi, je voulais écrire cettes melodies et j’ai essayé, mais la rêve est fini… J’oubliais les melodies…

Dans une chambre très blanche, Ryuichi Sakamoto interprétait un piano, ces mélodie et harmonie sont belles et pures. Aussi, Je voulais écrire cette melodies et j’ai essayé, mais la rêve est fini… J’oubliais les melodies…

Volonté de la nuit

Dans une chambre seulement d’une nuit
Ma volonté va trop loin
Il monte une voiture ou une moto
Les bruits que j’entends dans la chambre

Ma volonté va trop loin à travers de la nuit

Au bord du monde

Nous venons de la fin, déjà
Le monde est fini déjà pour nous

Nous étions à la fin au bord du monde
Du fini, les choses pouvaient devenir nouvelles

Nous devons vivre dans la fin du monde
Dans la fin, nous pouvons changer le monde

Et, le monde commence à bouger
Il y a l’espoir encore, encore…

Avril 2025

© 2025 Jean-Michel Serres