Résumé et commentaire | La salle de bain de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1985

Résumé synopsis

Le narrateur était un homme de 28 ans qui résidait à l’apartment de Paris. Un jour, il habitait et passait à la salle de bain chez lui tout le temps. Edmondsson et leur maman ses occupaient lui. Les artistes polonais, Kabrowinski et Kovalskazinski arrivaient et peignaient les murs, et cuisaient les poules… Le couples dinaient chez le narrateur et quatre jouissaient le Monopoly…

Un jour, à l’improviste, le narrateur sortait de la salle de bain et Paris, se dirigeait vers Italia sans but, et il logeait un hôtel de Venise, et il passait des jours futiles. Enfin, Edmondsson venait chercher à lui, et elle passaient un certain temps à Venise. Mais le narrateur envoyait un flèche à Edmondsson par inadvertance et qui se plantait dans son front. Et Edmondsson retournait à Paris.

Il avait maladie d’une sinusite et entrait à un hôpital. Il se liait d’amitié avec leur médecin traitant. Le médecin invitait lui à diner et tennis. Par mal comportement du chef de service d’infirmière ou quelque choses, à l’improviste, il décidait retourner à Paris…

Commentaire de la livre

Ce roman décribes la vie contemporaine ordinaire de parisiens sans sense significant et événement grave. Les comportements et l’objet du narrateur sont aléatoire et étrange aussi léger et sans raison et stagnent de temps en temps. Le récit progresse légèrement dans la plupart de temps en temps il est arrêt. Et il est composé des choses miniatures et des épisodes banales.

Il y a une description importante dans la section 33 de la partie 1, par un monologue du narrateur. C'est la description ci-dessous.

33) Il y a deux manières de regarder tomber la pluie, chez soi, derrière une vitre. La première est de maintenir son regard fixé sur un point quelconque de l’espace et de voir la succession de pluie à l’endroit choisi ; cette manière, reposante pour l’esprit, ne donne aucune idée de la finalité du mouvement. La deuxième, qui exige de la vue davantage de souplesse, consiste à suivre des yeux la chute d’une seule goutte à la fois, depuis son intrusion dans le champ de vision jusqu’à la dispersion de son eau sur le sol. Ainsi est-il possible de se représenter que le mouvement, aussi fulgurant soit-il en apparence, tend essentiellement vers l’immobilité, et qu’en conséquence, aussi lent peut-il parfois sembler, entraîne continûment les corps vers la mort qui est immobilité. Olé. (pp. 37-38)

Cette description est important est éssence de ce roman, et c'est le pensée et la thème de ce roman. Et c’est le pensée du mouvement et de l'arrêt, ainsi ce roman est récit du courant et de l’arrêt.

Trois chambres ce qui le narrateur habitais et logeais, la salle de bain, la chambre de l’hôtel et la chambre à deux lits de l’hôpital sont les places et les points dont le narrateur regarde des choses mouvementes.

Trois nourritures, les pouples, la dame blanche et le flamber les rognons sont symboles du mouvement et du changement continu. Ils signifient le mouvement ou le courant de la matière entre l’espacement.

Et monopoly, fléchettes et tennis sont les chose ou les élément de l’arrêt. Ils sont des choses mouvement essentielles, mais ils cousent des arrêts dans ce roman, ou des développements de l’arrêt.

Le narrateur vis aléatoire et librement, causent des événements ou des phénomènes de l’arrêt, et demeure les points pour penser et réfléchir.

Les trois éléments, éposodes entre autre personnes et ces combinations font le rhythme et courant agréables, et compose jolies scènes blanches.

Ce roman est le roman de rythme et de courant, qui écris les gens vivent dans le rythme et le courant légers sans sense dans la ville contemporaine. C’est une belle vie. Il doit très sympathique, agréable et amusant pour les lecteurs.

Détails sur la livre

La salle de bain

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1985)

144 pages, €5.50

ISBN 978-2707319289

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Cahier | La salle de bain de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1985

Information de la livre

Le premier roman de Jean-Philippe Toussaint publiait en 1985.

Synopsis (Résumé)

Le narrateur était un homme de 28 ans qui résidait à l’apartment de Paris. Un jour, il habitait et passait à la salle de bain chez lui tout le temps. Edmondsson et leur maman ses occupaient lui. Les artistes polonais, Kabrowinski et Kovalskazinski arrivaient et peignaient les murs, et cuisaient les poules… Le couples dinaient chez le narrateur et quatre jouissaient le Monopoly…

Un jour, à l’improviste, le narrateur sortait de la salle de bain et Paris, se dirigeait vers Italia sans but, et il logeait un hôtel de Venise, et il passait des jours futiles. Enfin, Edmondsson venait chercher à lui, et elle passaient un certain temps à Venise. Mais le narrateur envoyait un flèche à Edmondsson par inadvertance et qui se plantait dans son front. Et Edmondsson retournait à Paris.

Il avait maladie d’une sinusite et entrait à un hôpital. Il se liait d’amitié avec leur médecin traitant. Le médecin invitait lui à diner et tennis. Par mal comportement du chef de service d’infirmière ou quelque choses, à l’improviste, il décidait retourner à Paris…

Summaries de chaque chapitre

« Paris » (1ère partie)

1 – 10

Le narrateur commentais à passer après-midi dans sa salle de bain chez lui. Et sa amie, Edmondsson s’occupait lui.

Le narrateur refusais quitter la salle de bain. Et il portait ses livres de sa bibliothèques à la salle de bain.

11

Le narrater sortais de la salle de bain.

12 – 16

Un artiste polonais, Witold Kabrowinski et un homme plus jeune polonais visitaient chez le narrateur pour repeindre cuisine. Mais deux Polonais attendraient la peinture qu’Edmondsson avait oublié. Les quatre personnes mangeaient des spaghetti alle vongole, Edmondsson avait fait. Et, Edmondsson trichait des payes pour deux.

17 – 20

Les deux Polonais quittaient l’apartement. Edmondsson se désahabillait ses vêtements pour faire l’amour. Après ça, ils prendraient le bain.

Le narrateur était couché dans le lit, Edmondsson pressait lui de questions sur l’invitation de l’ambassade d’Autriche.

21 – 35

Kabrowinski visitait chez le narrateur, et il portait des poules faissait cadeau à Edmondsson. Kabrowinski souhaitais à se servir de la salle de bain. Mais le narrateur s’enfermai dans la salle de bain, et il se rasait sa berbe. Les trois mangeaient le petit déjeuner. Après le petit déjeuner, Kovalskazinski Jean-Marie et Kabrowinski cuisaient les poules, pendant il cuisait, le narrateur pensait autour de la réception de l’ambassade d’Autriche et tourniquais dans son appartement.

36 – 37

L'hiver, avant le déménagement à l’apartement, les anciens locataires leurs présentaient sa place et les quatre personnes dînaient ensemble.

38

Le narrateur et Edmondsson prendraient la crémallère, et invitaient le couple. Le couple faisait la tournée des chambres, nous prenions le dîner et jouissaient Monopoly.

« L’hypoténuse » (2ème partie)

1 – 7

Le narrateur partis brusquement de sa appartement et aperçoit l'autobus et allait à la gare. Et il montrait en un train allait à quelque part. Il arriverait quelque ville d’Italie et se réservait une chambre à un lit d’hôtel. Il fait des courses au grand magasin Strada, et à la pharmacie.

8 – 9

Le narrateur allais à la salle de bain de l’hôtel. Et il prenait une douche.

10 – 34

Le narrateur restais et passais dans le hôtel et ces environs. Il commençais à donner de ses nouvelles à Edmondson (§ 25). Edmondson lui téléphonait, et par le jour ils ses téléphonaient encore chaque fois (§ 28), et il faisait les jours du narrateur étaient rhythmées.

35 – 41

Edmonson venait à l’Italie me chercher. Le narrateur et Edmondsson revoyaient à la gare. Et ils dinaient au restaurant. Au dessert, il faisait cadeau une montre à elle.

42 – 75

Nous rentrions à l’hôtel. Le narrateur et Edmondsson passaient et ses amusaient dans la ville d’Italie.

75 – 80

Le narrateur envoyait à Edmondsson et qui se plantait dans son front, et elle perdait du sang, ainsi il portait elle à l’hôpital. Elle se rétablissait sa blessure, et ils ses assuraient ses amours.

« Paris » (3ème partie)

1 – 2

Edmondsson rentrait à Paris.

3 –

Le narrateur était maladie par un début de sinusite.

44

Le narrateur arrivait leur appartement. Et il ne sortait pas l’apartement et s’enfermait la salle de bain encore. Et ensuite…

Personnages

Narrateur – Il devenu vingt-sept ans, un chercheur.

Edmondson – L’amie du narrateur. Elle travaille à mi-temps dans une galerie d’art, pour elle subvenait aux besoins du foyer pour le narrateur.

Maman (1. § 6)

Ami de mes parents (1. § 8) – Il visitait la salle de bain, il se vantait de sa profession et son effort.

Kabrowinski Witold (1. § 12, 13, 15, 16, 17, 21) – Un artiste polonais qui repeindre la cuisine du narrateur.

Kovalskazinski Jean-Marie (Un plus jeune homme) (1. § 12, 13, 16, 21, 25) – Un artiste polonais.

Les anciens locataires de l’appartement (1. § 36) – Vieux couple. L’homme prendrait sa retraite, et ils ses transplantaient à Normandie.

Le couple (1. § 38) – Des amis d’enfance d’Edmondsson. L’homme est Pierre-Étienne qui

La demoiselle du Syndicat d’initiative (2. § 2)

Barman (2. § 13, 20, 22) – Un barman d’hôtel

J d’Ormesson (2. § 48) – Le homme du couple, le narrateur et Edmondsson furent passés.

Médecin (3. § 4 – ) – Il entrait dans l’intimité avec le narrateur. Ils bavardaient dans le bureau. Et il invitait le narrateur à diner chez lui et invitait lui jouer au tennis.

Chef de service d’infirmière (3. § 11, 37) – Seule elle nourrissait de l’antipathie au narrateur, dans les infirmières.

Femme du médecin (3. § 16)

Le fros blond (beau-frère du médecin) (3. § 25)

Un Soviétique (3. § 39)

Emplacements

Paris (1ère et 3ème parties)

Venise (? ou quelque ville d’Italie) (2ème partie)

Endroits

Salle de bain – Il y avait des placards, des porte-serviettes, un bidet et une tablette avec des brosses à dents et rasoirs. Le lavabo était blanc. Le narrateur regardait fixement le mur et sa fissure.

Appartement du narrateur

Hôtel en Italie (2. § 2 -) – Le narrateur pensait l’hôtel était désert et un labyrinthe, nulle indication. (2. § 6)

Grand magasin Standa (2. § 5, 17)

La salle de bain de l’hôtel (2. § 9) – Les murs étaient ver clair, la peinture gonflait par endroits.

L'église Saint-Marc (2. § 51)

L'hôpital (3. § 4 – )

Chambre à deux lits (3. § 6 – ) – Le troisième chambre dans ce roman.

Le café à côté de l’hôpital (3. § 8, 12)

Maison du médecin

Court de tennis

L’aéroport Marco Polo (3. § 39)

Elements clés

La dame blanche (1. § 9) – D’un point de vue scientifique du narrateur, il pensait dans ce mélange un aperçu de la perfection.

Lettre de l’ambassade d’Autriche (1. § 9, 20)

Blanc, beige (1. § 16)

Pouples (1. § 21)

Orange (1. § 24) – Le colour hyper-moderne.

Monopoly (1. § 38)

Transistor (2. § 6) – Il doit une métaphore du narrateur.

Montre (2. § 40) – Au restaurant, le narrateur faisait cadeau d’une montre à Edmonson. Elle pouvait signifier la normalité et le rythme de la vie.

La dame blanche (2. § 55, 56) – Le narrateur regardais fondre imperceptiblement la vanilla. Cette action et ce description sont une reflexion sur (le sens de) leur propre corp et le mouvement et le durée du temps.

La peinture de Mondrian (2. § 64) – Le signifiant de Mondrian est l’immobilité, et la peinture évoque la salle de bain.

Jasper Johns (2. § 64)

Fléchettes (2. § 64 – 75) – Une action et des choses du mouvement. Le narrateur envoyait à Edmondsson et qui se plantait dans son front, et elle perdait du sang, ainsi il portait elle à l’hôpital. Cette élément une occasion de changer l’ambiance et la scène, et mouvait le récit qui était stagnant.

Sinusite (3. § 4)

Flamber les rognons (3. § 16)

Tennis (3. § 23 – 28)

Mots-clés et descriptions importantes

la quiétude de ma vie abstraite pour (1. § 10)

"Manière de regarder tomber la pluie” (1. § 33) – Cette description est la philosophie ou l’idée de ce roman. Regarder moments ou points du mouvement est reposante pour l’esprit, mais il n’est pas important. Poursuivre le mouvement est très important et significatif pour l’essence des choses et de la vie. Et, poursuivre le mouvement est une manière de trouver la conséquence et l’immobilité.

Sensible au mouvement (2. § 4) – Le pensée et la thème de ce roman. Le mouvement par train, dans un compartiment le corp n’est pas mouvoir dans ça. Mais, simultanément, le corp mouvais dans l’espace, l’état de sa sensibilité ou son esprit changeait ou mouvais. Mouvements physique et metals sont séparées et conectées.

Les heures du premier jour à l’étranger, le courant du temps était plus longue et plus appesantie. (2. § 10)

Mes journées, maintenant, étaient rhthmées (2. § 29)

Immobilité (2. § 64) L’élément de la peinture de Mondrian, et une des thèmes de ce roman.

Références culturelles sur ce roman

Mondrian (1. § 9) – Piet Mondrian (1982 – 1944), un peintre néerlandais de l’art abstrait.

L'exposition Raphaël (1. § 24)

Van Gogh, Hartung, Pollock (1. § 24)

Frank Zappa (1. § 38)

Titien (1. § 8)

Véronèse (1. § 8)

Benetton (2. § 49)

Pensées de Pascal (en anglais) (2. § 60)

Analyse et remarques

Ce roman est un récit du temp contemporain, il n’y a pas de chose grave et grande signification. Il décrit la vie ordinaire contemporain de un homme, sans raison. Le récit, son objet et le comportement du narrateur sont flous et stagnent de temps en temps.

Et ce roman est récit du courant et de l’arrêt. (1. § 33)

Trois nourritures, les pouples, la dame blanche et le flamber les rognons sont symboles du mouvement et du changement continu. Ils signifient le mouvement ou le courant entre un espacement.

Monopoly, fléchettes et tennis sont les chose ou les élément de l’arrêt. Ils sont des choses mouvement essentielles, mais ils cousent des arrêts dans ce roman.

Trois chambres, la salle de bain, la chambre de l’hôtel et la chambre à deux lits de l’hôpital sont les places et les points dont le narrateur regarde des choses mouvementes.

Les comportements du narrateur causent des événements ou des phénomènes de l’arrêt.

Détails sur la livre

La salle de bain

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1985)

144 pages, €5.50

ISBN 978-2707319289

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Résumé & Commentaire | La ville et ses murs incertains de Haruki Murakami, Shinchosha, 2023

Résumé synopsis

A l’âge de 17 ans, j’ai rencontré une jeune fille de 16 ans et nous avons correspondu. Je sortais avec elle une ou deux fois par mois, et nous parlions de la ville où vivait sa vraie substance. Je suis entré dans la Cité de son monde de rêve…

Dans la Cité, qui est entourée d’un mur très haut et très solide, mon travail consistait uniquement à lire les rêves. Je me rendais à la bibliothèque où travaillait l’esprit de la jeune fille et je lisais chaque jour trois vieux rêves. L’hiver est arrivé, mon ombre m’a demandé de quitter la ville dans la semaine…

À mon retour de la ville, alors que j’avais la quarantaine, j’ai démissionné de mon poste pour réfléchir à un emploi. J’ai obtenu le poste de bibliothécaire en chef de la bibliothèque de la ville de Z, dans une ville rurale située dans les montagnes de Tohoku. Mais ce travail est inhabituel, irréel et solitaire, comme celui d’un lecteur de rêves. J’ai alors appris que l’ancien bibliothécaire en chef, Koyasu, avait vécu dans la ville et qu’il était devenu un fantôme. Et j’ai fait la connaissance d’un mystérieux garçon de 16 ans qui se rendait à la bibliothèque tous les jours, et qui ne faisait que lire un grand nombre de livres et les mémoriser complètement. Au bout d’un moment, le garçon a dessiné une carte de la ville et me l’a apportée, et il m’a dit qu’il voulait…

Revue de livre

Le 14ème roman de Haruki Murakami a été publié le 10 avril 2023 au Japon. Le titre est le même que celui de son roman “La ville et ses murs incertains” paru en 1980 dans un magazine japonais “Bungakukai”. Mais il l’a rejeté, et une ou plusieurs parties du motif et de l’histoire du roman rejeté ont été adoptées dans “La fin du monde” de “Hard-Boiled Wonderland and the End of the World”. Un nouveau roman pour la première fois en six ans, dont il a publié “Killing Commendatore” (2016).

Il s’agit d’un roman long de 661 pages, composé de trois chapitres et de 70 sections courtes.

Le même titre de roman d’échelle moyenne de 150 manuscrits, publié en 1980. Murakami l’a ensuite rejeté, estimant que le roman était inachevé et n’avait pas atteint sa maturité. Il a donc écrit l’un de ses chefs-d’œuvre, Hard-boiled Wonderland and the End of the World, basé sur le roman rejeté. Mais il a décidé d’aider et de réécrire le roman récemment et il a commencé à écrire ce roman au début de l’année 2020, juste avant que la pandémie de Covid-19 ne commence à se répandre dans le monde entier.

À cause de la pandémie de Covid-19, il s’est enfermé dans sa maison et n’a pu écrire que pendant environ 3 ans. Murakami écrit dans la postface que la situation de la pandémie de Covid-19 a affecté l’histoire ou non, Murakami ne le sait pas, ne peut pas le savoir. Mais il y aurait une sorte de signification ou quelque chose comme ça.

Ce roman comporte quatre intrigues. A est l’adolescence de la jeune fille dans le monde réel et ils parlent de la ville dans laquelle elle dit avoir vécu. (chapitre 1) B est le temps passé dans la ville. Le narrateur ne fait que lire des rêves dans la bibliothèque de la Cité. Il lisait trois vieux rêves presque tous les jours. (chapitre 1) C est l’âge moyen après son retour de la Cité. Le narrateur a travaillé comme bibliothécaire en chef de la bibliothèque de la ville de Z. Il a rencontré le bibliothécaire en chef de la ville de Z et l’a vu. Il a rencontré et vu le bibliothécaire en chef, Tatsuya Koyasu, le bibliothécaire Soeda et un mystérieux garçon de 16 ans, M. (chapitre 2) D est le contenu du chapitre 3…

L’histoire de la ville et de la lecture des rêves dans le chapitre 1 est presque la même que celle de “La fin du monde”. Et Murakami a écrit le chapitre 1 en réécrivant un roman de taille moyenne portant le même titre et publié en 1980.

On y retrouve de nombreux éléments et motifs propres à Murakami, tels que le style fragmentaire, l’histoire à double monde, l’alter-monde, la séparation entre le corps et l’esprit, les livres, la lecture, la bibliothèque, le rêve, la solitude, l’amour étrange et maladroit mais doux avec une fille, la cuisine, les longues promenades, le café (et le thé), la mode, les fantômes (ou l’apparence d’un fantôme), la perte de personnes ou d’objets, et les expériences étranges.

Ce roman est une combinaison des histoires d’amour étranges de Murakami (par exemple Norwegian Wood et Sputnik Sweetheart) et de ses histoires d’aventures urbaines uniques (Wild Sheep Chase, The Wind-bird Chronicle, 1Q84 et Killing Commendatore). Ce roman est basé sur le même titre que le roman de moyenne envergure publié en 1980, puis rejeté et la fin du monde de Hard-boiled Wonderland and the End of the World (Le pays des merveilles et la fin du monde). (Ce roman est également la version modifiée de Hard-boiled Wonderland and the End of the World, écrit Murakami). De nombreux éléments et épisodes ressemblent à Hear the Wind Sing, Norwegian Wood, Sputnik Sweetheart, Killing Commendatore et Kafka on the Shore. Je pense qu’il s’agit là d’un fruit important et d’une des conséquences de sa carrière d’écrivain.

Une autre caractéristique de ce roman est le thème qui traite de la lecture, de la bibliothèque, des livres, de l’écriture, de l’histoire et de leurs significations. Ce roman raconte l’histoire de la lecture, du traitement, de la gestion et de la création d’une ou de plusieurs histoires. Le narrateur a d’abord été agent littéraire, puis bibliothécaire en chef d’une petite bibliothèque. Dans la ville, son travail consistait à lire de vieux rêves. La ville est créée par l’histoire de la jeune fille et les gens n’ont pas d’ombre. La bibliothèque de Z Town est un lieu de rêve pour M. Koyasu, qui aimait les livres et voulait devenir romancier. C’était un lieu de lecture idéal pour le narrateur et M. L’histoire se développe autour des bibliothèques, des livres et des histoires. Une histoire, c’est l’idée et le monde ou le microcosme de chacun, mais c’est aussi le monde, l’univers ou la nation. L’une des grandes questions et l’un des principaux thèmes de ce roman sont les liens et la signification entre ces deux éléments.

La lecture d’un livre ou d’une histoire est un moyen de traitement mental et de garder la raison, une méthode pour vivre dans le monde et communiquer avec des personnes perdues. Ce motif est le même que celui de Kafka sur le rivage. La plupart des personnages de ce roman aimaient les livres et la lecture, et voulaient donc passer leur temps à lire. La lecture est le moyen de s’évader du monde, elle est aussi la méthode pour résoudre les problèmes de ce monde réel, mais se plonger dans la lecture ou dans une histoire est un acte heureux mais dangereux.

Je pense que le message de Murakami dans ce roman est “comment nous traitons la réalité et les histoires, les liens qui les unissent”. Presque tous les personnages de ce roman, leurs activités et leurs emplois ne sont que très pratiques ou très irréels. Les personnes vivantes doivent vivre dans une ou plusieurs histoires, y compris des histoires ordinaires, vides ou superficielles produites par la télévision, le cinéma, les magazines, etc. Les gens sont obligés de suivre des histoires ordinaires telles que “Il faut continuer à travailler dans une grande entreprise stable”, “Il faut se marier jusqu’à l’âge mûr” ou “Il faut vivre dans ce monde réel (et son histoire ou le grand récit d’une nation)”. Certaines personnes s’enferment dans leurs histoires rêvées ou dans leur propre micro-cosmos. C’est aussi la question et le problème pour Murakami lui-même en tant que romancier. La conclusion et la conséquence de ce roman est qu’il a mis fin ou s’est enfermé…

Les questions relatives à la pandémie de Covid-19 ont clairement montré qu’il existait des clivages entre le grand récit d’une nation et les réalités individuelles, les administrateurs et les praticiens, les règles et les pratiques, les étudiants et les adultes, les patients et les non-patients. Murakami a donc mentionné la pandémie de Covid-19 dans la postface et ce roman doit être affecté par ces questions.

Les incidents survenus au Japon, par exemple le massacre d’Akihabara en 2008, l’incendie criminel du studio d’animation de Kyoto, l’assassinat de Shinzo Abe, devraient être causés par le problème de l’histoire. Il y a eu de nombreuses causes pour beaucoup de choses complexes, mais le problème de l’histoire est le plus important. Je pense que ces criminels ne peuvent pas faire face à leurs histoires, les histoires qu’ils ont suivies, qu’ils ont été forcés de suivre ou qu’ils veulent croire. Et les liens entre la réalité et une ou plusieurs histoires sont erronés, de sorte que chacun d’entre eux a commis un crime. Ils ne peuvent s’accommoder correctement d’une histoire qu’ils ont eux-mêmes inventée ou que d’autres ont inventée, et les raisons de commettre un meurtre sont irréelles, triviales et incohérentes.

Le mur de la Cité devrait être une coquille de l’esprit collectif des gens. Or, les habitants de la Cité n’ont pas de coquille d’esprit, mais il n’y a pas eu d’écoulement et de progression du temps, ni d’obligations et de responsabilités sociales complexes. Ils n’accomplissaient que de simples tâches personnelles. Ils ressemblent à des résidents du Paradis, mais aussi à des prisonniers. Cependant, une vie en prison pourrait être le mode de vie le plus formidable, le plus régulier, le plus stable, le plus propre et le plus heureux de la Terre… ?

Ce roman est l’un des romans de Murakami que je préfère, au même titre que La chasse au mouton sauvage, Hard-boiled Wonderland and the End of the World, Dance, Dance, Dance et le rôle de Kafka Tamura dans Kafka on the Shore. J’ai lu un grand roman qui vient d’être publié, pour la première fois depuis longtemps. C’est un chef-d’œuvre du 21e siècle et un grand récit philosophique et fantastique qui possède le sens commun, le sens de la vie, l’amour et sa compassion et une vérité, que je voulais lire. Murakami aime beaucoup les bibliothèques, les livres, la lecture, l’écriture, les histoires et la littérature.

Par ce roman, Murakami réussit magnifiquement à créer et à mettre en place son lieu et son monde idéal, ou deux utopies éternelles comme le paradis. Si doux, précieux et pur… Mais le narrateur…


Détails sur la livre

The City and Its Uncertain Walls
Haruki Murakami
Shinchosha, Tokyo, Japon, 13 avril 2023
pages, JPY 2970
ISBN: 978-4103554372
Contenu

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