Translation | Howling at the Moon by Sakutaro Hagiwara (1917)

Sick face on the bottom of the ground

The face appeared on the bottom of the ground,
The lonely face of the sick man appeared.

In the dark on the background of the ground,
Skinny stalks of grass grew,
A rat’s burrow formed,
Many hairs were entangled in the burrow,
They began to tremble,
In the time of the winter solstice,
From the sad sick soil,
A young bamboo root grew,
Grew,
It would look very pitiful hard,
And look how it would smoke,
Really, really, it would look very pitiful hard.

In the dark on the ground,
The lonely face of the sick man would appear.

Stems of grass

By the winter cold,
Was wrapped in the thin downs,
Look at a stem of grass,
The young stem was solitary,
But the surface everywhere was wrapped in fine down,
Look at a stem of grass.
Swims her intoxicated in the distant sky,
Stems of grass its inflamed.

Bamboo

A straight thing grew on the earth,
A piercing blue thing grew on the earth,
Pierced the icy winter,
On the space in the morning these green leaves lit,
Tears fell,
Tears fell,
Now on the shoulders that made a confession,
A misty root would spread,
A piercing blue thing would grow on the earth.

Bamboo

A bamboo grew on the shining earth,
The green bamboo grew,
Beneath the earth the bamboo root grew,
The root would grow,
Down grew from the tips of the root,
Trembled lightly.

On firm ground the bamboo grew,
The top of the earth, the bamboo grew hard,
Straight the bamboo grew,
With cold knots drelin-drelin,
Under the blue sky the bamboo grew,
Bamboo, bamboo, bamboo grew.

_ _ _ Look, all the punishments have escaped,
_ _ _ But it wasn’t all mine,
_ _ _ It was really mine,
_ _ _ It was a hallucination of blue fire without shadow alone,
_ _ _ A melancholy ghost faded above the clouds alone,
_ _ _ I was doing nothing, sentimental confession or something,
_ _ _ Everything was a hallucination of blue fire.

Decomposing chrysanthemum

A chrysanthemum was decaying,
This chrysanthemum was spoilt and withered,
Sad that frost was falling,
My platinum hands would touch,
My fingers stretched,
And I wanted to pinch the chrysanthemum,
Nor did I want to pluck it,
The other side of the bright sky,
The chrysanthemum was sick,
The rotting chrysanthemum was spoilt again.

A turtle

There was a wood,
There was a swamp,
There was a blue sky,
I felt the weight of men’s hands,
A turtle of pure gold slept silent,
It shone,
It endured the lonely pain of nature,
It would enter the human mind,
The turtle would sink into the depths of heaven.

The flute

Looking up, a tall pine and put to its branches and played a harp,
Put red on his fingers,
Held and plucked the harp,
Ah, a passage of tones was crushed,
The pitiful flute was in the sky,
It shone brighter and brighter in that frosty night,
Illuminated pine branches,
To the feeling of who was sad,
The appearance of confession appears.

The pitiful flute was in the sky.

Winter

There appeared a sign of sin and accusation,
Appeared on the snow piled up,
Appeared and shone in boughs of the woods,
As it shone that will have passed into winter,
The sign of my sins that appeared all around.

Look who was asleep,
The living being was building
A house of confession.

Hanging on the sky

A leaf of the pine gleamed in the distant night,
The tears of confession flowed,
Frosts were white on the distant night,
I would hang from the pine on the sky,
I was bent and I would hang myself.

The eggs

They were on branches very high,
The little eggs were shining,
I watched a nest of fledglings shone,
The moment was the time sinners prayed.

List of Poetry Translations
(English, Français, Deutsch, Español, Italiano)

Poetry Books (US)

Poetry eBooks (US)

Jean-Michel Serres Apfel Café Music QR Codes Center English 2024.

Traduction | Hurlement à la lune de Sakutaro Hagiwara (1917)

Visage malade sur le fond du sol

La visage apparaissait sur le fond du sol,
La visage solitaire du malade apparaissait.

Au noir sur le fond du sol,
Tiges maigres des herbes poussaient,
Un terrier des rats se formait,
Des cheveux nombreux ses emmêlaient au terrier,
Elles commençaient à trembler,
Dans le temps du solstice d’hiver,
De le sol triste malade,
Une racine du bambou jeune poussait,
Poussait,
Elle paraitrait très pitié dure,
Et paraitrait comme elle fumerait,
Vraiment, vraiment, elle paraitrait très pitié dure.

Au noir sur le fond du sol,
La visage solitaire du malade apparaissait.

Tiges des herbes

Par le froid d’hiver,
Était enveloppée des duvets minces,
Regardez une tige d’herbe,
La tige jeune était solitaire,
Mais la surface partout était enveloppée des duvets fines,
Regardez une tige d’herbe.
Des nages ses enivraient à la lointain du ciel,
Tiges des herbes ses enflammaient.

Bambou

Une chose droite poussait sur le terre,
Une chose bleue perçante poussait sur le terre,
Transperçait l’hiver glacial,
Sur l’espace au matin ces feuilles vertes éclairaient,
Des larmes tombaient,
Des larmes tombaient,
Maintenant sur les épaules qui faisait une confession,
Racine brumeuse s’étendrait,
Une chose bleue perçante poussait sur le terre.

Bambou

Un bambou poussait sur le terre éclat,
Le bambou vert poussait,
Sous la terre, la racine du bambou poussait,
La racine s’amicirait,
Des duvets poussaient Des bouts du racine,
Tremblaient légèrement.

Sur la terre ferme, le bambou poussait,
Le haut de la terre, le bambou poussait durement,
Tout droit, le bambou poussait,
Aux nœuds froids drelin-drelin,
Sous le ciel bleu, le bambou poussait,
Bambou, bambou, bambou poussait.

_ _ _ Regardez toutes les punitions étaient échappées,
_ _ _ Cependant le tout n’était pas à moi,
_ _ _ Vraiment on apparaissais à moi,
_ _ _ Était une hallucination du feu bleu sans ombre seule,
_ _ _ Un fantôme mélancolie s’effaçait au-dessus les nuages seul,
_ _ _ Je ne faisais rien, la confession sentimentale ou quelque chose,
_ _ _ Tout était la hallucination du feu bleu.

Chrysanthème en décomposition

Un chrysanthème était en décomposition,
Ce chrysanthème était gâté et flétri,
C’est triste que gelée tombait,
Mes mains du platine touchaient,
Mes doigts tendraient,
De plus je voulais pincer le chrysanthème,
Bien plus je ne voulais pas lui cueillir,
L’autre côté du ciel éclatant,
Le chrysanthème était maladie,
Le chrysanthème en décomposition était gâté encore.

Une tortue

Il y avait un bois,
Il y avait un marais,
Il y avait un ciel bleu,
Je sentais le poids des mains des hommes,
Une tortue d’or pur dormait silencieux,
Il brillait,
Il endurait la douleur solitaire de la nature,
Il entrerait dans l’esprit humain,
La tortue s’enfonçait dans la profondeur du ciel.

La flûte

En levant les yeux, un pin haut et mettait aux ses branches et jouait une harpe,
Mettait du rouge aux doigts,
Tenait et pinçait l’harpe,
Ah, un passage des tons était se étaient écrasée,
La flûte pitoyable était dans le ciel,
Elle brillait plus en plus dans ce nuit de gelée,
Éclairait des branches de pin,
Au sentiment de qui était triste,
L’aspect de la confession apparaît.

La flûte pitoyable était dans le ciel.

L’hiver

Il apparaissait un signe du péché et l’accusation,
Apparaissait sur le neige s’accumulait,
Paraissait et brillait dans des branches des bois,
Comme il éclairait qui aura passé à l’hiver,
Le signe dont je commettrait péchés qui apparaissait tout autour.

Regardez qui endormait,
L’être vivant bâtissait,
Une maison de la confession.

Pendaison sur le ciel

Une feuille du pin luisait au nuit lointain,
Les larmes de la confession coulaient,
Des gelées étaient blanches au nuit lointain,
Je se pendrais à le pin sur ciel,
Je était ployé et je se pendrais.

Les œufs

Ils étaient sur des branches très hautes,
Les petites œufs brillaient,
Je regardais un nid des oisillons brillait,
Le moment était le temps que des pécheurs priaient.

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.