Résumé et commentaire | L’appareil-photo de Jean-Philippe Toussaint, Les Édition de minuit, 1989

Résumé

Un jeune homme de Paris commençait à aller à une école de conduite pour obtenir un permis de conduire. Il rencontrait Pascale Polougaïevski, l'employée de bureau de l'école de conduite. Ils tombaient amoureux immédiatement et inconsciemment, et ils passaient une vie ordinaire mais ennuyeuse avec M. Pascal et Pierre, la fille de Pascale. Ils faisaient aussi deux voyages sans but mais précipités vers l'Angleterre.

Au retour à Paris, dans un ferry, le jeune homme prenait un appareil photo Kodak Instamatic, et il prenait des photos consécutivement, en montant et en courant dans l'escalier, pour terminer et retirer la cartouche de film…

Commentaire

Jean-Philippe Toussaint décrit en surface la vie quotidienne banale, ennuyeuse et triviale, mais humoristique, des Parisiens dans L’appareil-photo. Ce roman capture un temps ou un terme du narrateur. Le message et l’essence de ce roman existent dans la pensée du narrateur qui est décrite quelque part, et dans la philosophie que ce récit exprime totalement.

Le thème de ce roman est le cours du temps, le mouvement et l’immobilité, la vie ordinaire, la banalité et le hasard, ainsi que le sens de la vie et sa vanité. Conduire la voiture, l’avion et les voyages sont des éléments en mouvement. La photographie, la bouteille de gaz et la pluie sont, quant à elles, des éléments immobiles ou sans mouvement. Ainsi, le thème et l'essence profonds sont la sensibilité du cours du temps, la contradiction entre le mouvement et l’immobilité, et le sens qui existe entre le mouvement et l’immobilité. Les humains existent à la place et au temps entre le mouvement et l’immobilité.

Nous avancions irrésistiblement, et je me sentais avancer aussi, fendant la mer sans insister et sans forcer, comme si je mourais progressivement, comme je vivais peut-être, je ne savais pas, c’était simple et je n’y pouvais rien, je me laissais entraîner par le mouvement du bateau dans la nuit et, regardant fixement l’écume qui giclait contre la coque dans un bruit de clapotement qui avait la qualité du silence, sa douceur et son ampleur, ma vie allait de l’avant, oui, dans un renouvellement constant d’écumes identiques. (pp. 95 – 96)

Cette description est le cœur de L’appareil-photo, et la liaison entre la pensée du narrateur et le récit.

Le narrateur agissait bien, mais il ne faisait rien. Il ne faisait pas d'action significative ou grandiose. Les personnages n'avaient pas non plus de but propre. C’est la vie de notre réalité, après tout.

Ce roman décrit la contingence et le sens incompréhensible communs de la vie quotidienne. Tous les gens font l'expérience de ces choses et les connaissent dans la vie de la société contemporaine des pays développés. Nous éprouvons cette légèreté et cette tristesse subtiles, potentielles et subconscientes. Mais, malgré cette banalité et cet ennui, la vie quotidienne est une chose précieuse et douce.

L’appareil photo est un outil et une méthode pour prendre des moments de chaque vie. Il capture et fixe une succession d'actions d'une personne, ou le temps, la vie et l’existence.

Ce roman lui-même est une série de photos qui capturent l’être et les mouvements du narrateur et sa vie. C’est ennuyeux et éphémère, pourtant, ce roman est beau, doux et éternel.

Détails sur la livre

L’Appareil-photo

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1989)

128 pages, €5.50

ISBN 978-2707320056

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Cahier | L’Appareil-photo de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1989

Information de la livre

Le troisième roman de Jean-Philippe Toussaint, paru janvier 1989. Il réalisera ce roman dans son film La Sévillane dans 1992.

Forme, style & structure

La forme ordinaire de la nouvelle, sans numéro de chapitre. Les paragraphes sont très longues.

Formation de l’œuvre & l’auteur

Synopsis sommaire

Un jeune homme de Paris commençait à aller à une école de conduite pour obtenir un permis de conduire. Il rencontrait Pascale Polougaïevski, l’employée de bureau de l’école de conduite. Ils tombaient amoureux immédiatement et inconsciemment, et ils passaient une vie ordinaire mais ennuyeuse avec M. Pascal et Pierre, la fille de Pascale. Ils faisaient aussi deux voyages sans but mais précipités vers l’Angleterre. Au retour à Paris, dans un ferry, le jeune homme prenait un appareil photo Kodak Instamatic, et il prenait des photos consécutivement, en montant et en courant dans l’escalier, pour terminer et retirer la cartouche de film…

Sommaires

pp. 8 – 14 (§ 1)

Le narrateur arrivais à l’école de conduite locale, pour être reçu au permis. Il rencontrais une jeune femme du bureau, et faire les formalités avec ses aides.

Le jour suivant, il arrivais à l’école encore pour formalité encore. Il et et la jeune femme mangeaient le petit déjeuner devant l’écran de projection.

pp. 14 – (§ 2)

Vers onze heures la jeune fille et le narrateur allâmes chercher le fils de la jeune fils à l’école. L’institutrice de Pierre confondrait le narrateur avec son père, et nous entretenait la scolarité de Pierre réussissait très bien mais il n’était pas sage en classe.

pp. 17 – 24

Le narrateur dut faire un bref déplacement à Milan. Quand il marchait à parcourir à la ville, et petits durillons qui vinaient se former oernicieusement entre ses orteils. Signore Gambini et il arrivaient au cabinet de pédicure en taxi, et la infirmière traitait leurs callosités.

pp. 24 –

Le narrateur retourait à Paris, et il allait aux bureaux de l’école de conduire pour rencontre le jeune femme. Ils sortaient des bureaux dans le heure d’ouverture, par Volvo, pour acheter une bouteille de gaz.

pp. 33 – (§ 3)

Le narrateur, une jaune fille anglaise et leur Charge de cours des examens du code devenaient intimés et sur chemin de retour, ils bavardaient à un café plusieurs fois.

pp. 48 – (§ 4)

Dans les toillettes de la station-service, le narrateur réfléchissais autour sa la louderour de réalité et la méthode de pensée qui elle enforcer, par l’exemple des échecs.

À la station-service, le narrateur aidait Mlle Pascale Polougaïevski, pour porter la bouteille de gaz.

pp. 55 – (§ 5)

Après l’école de conduit, M. Polougaïevski, le père de Pascale Polougaïevski, disait à le narrateur, si il cherchait une bouteille de gaz avec eux, M. Polougaïevski lui embraquait à Créteil. Ils venaient au centre commercial. M. Polougaïevski et le narrateur portaient la bouteille de gaz au coffre de la voiture. Ils attendaient le retour des courses de Pascale Polougaïevski. Mais, la voiture avait une panne, ainsi ils poussaient la voiture dans la pluie tombait.

pp. 59 –

Les trois personnes arrêtaient dans le bureau de la station-service pour la retourne du mécanicien. Pendant, le personnel de la station-service jouait un jeu de mikado, le narrateur se rasait. M. Polougaïevski avait l’air très contraié, et suggérait que les deux, ils seront revenus par taxi, et il empruntait une téléphone.

pp. 63 –

M. Polougaïevski réglait la mise en dépôt de la triomphe. Les trois personnes marchaient à la direction de la station de métro à travers le centre commercial. M. Polougaïevski portait le carton à provision, le narrateur portait son sachet de rasoirs, et Pascale parait l’auto-radio qui M. Polougaïevski avait démonté.

pp. 68 –

Les trois arrivaient à la station de métro, et montaient en le même rame pour revenir à chaque maison.

pp. 70 – (§ 6)

Le lendemain soir, le narrateur et Pascale dînaient dans un restaurant indien. Et ils allaient soudainement à Londre par la traversée, et ils se sont reposés à un hôtel.

pp. 73 –

Le narrateur et Pascale quittaient l’hotel. Et ils rencontraient quelque événement ou incident à Kensington Garden, mais ils ne pouvaient pas comprendre ce qu’était l’événement. Ils entraient un pub pour attendre la réservation du restaurant. Demie à dix heures ils arrivaient à le restaurant,il était plein, donc ils ils devaient attendre malgré que il a fait une réservation, mais ils ils aimaient passer du temps des les deux seulement, à un bar très lumineux du restaurant.

pp. 78 – 83 (§ 7)

Le narrateur et Pascale rendaient à Paris, très tôt. Ils allaient chez M. Pologaïevski, pour récupérer petit Pierre. M. Pologaïevski disait il porte petit Pierre à l’école, Mais, petit Pierre était retard, et Ils suffraient le petit problème avec le gardien.

pp. 83 – 85

Le narrateur et Pascale passaient une nuit à Londres, mais ils ne faisaient l'amour pars que la fatigue foncière de Pascale.

pp. 85 – 87

Le lendemain matin, le narrateur et Pascale faisaient l’amour en demi-sommeil. Pascale portait une chaussette blanche, autre chaussette blanche, il y avait entre la table de nuit et la télévision.

pp. 87 – 89

Le narrateur et Pascale quittaient l’hôtel en ayant leur sac de voyage, sous la pluie. Ils marchaient demi-heure, et entraient un grand salon de autre grand hôtel. Et, ils passaient tout l’après-midi là, et faisaient le tour des lieux de l’hôtel.

pp. 89 – 95

Le narrateur et Pascale allaient à Newhaven par le train. Le narrateur entrait et reposait dans la cabine, et réfléchissait sur la pluie et le cours de la pensée.

pp. 95 – 98 (§ 8)

Le narrateur et Pascale prenaient le car-ferry de Newhaven. Il rastait sur le pont, il pensée la progresse de vie et mort par le mouvement de bateau,

Mais Il pleuvait beaucoup, le narrateur entrait le grand salon du ferry, d’où une quarantaine de personnes dormaient.

pp. 98 – 101

Le narrateur allait le restaurant libre-service du ferry. Il commandait une demi-bouteille de sancerre, et il a été contraint de louer du verre non plastique par un employé.

pp. 101 – 102

Le narrateur pensait « je fus un instant idéalement nulle part » en traversant des lieux, dans le restaurant libre-service. Et il trouvait un petit Kodak instamatic noir et argentié que quelque-un oubliait à là.

pp. 102 – 106

Le narrateur volait l’appareil photo, et en montant les escaliers il faisait des photos au hasard pour terminer le pellicule. Sur le pont il retirait la cartouche de pellicule. et rangeait dans le poche.

Le narrateur lassai tomber l’appareil photo à la mer, fracassait contre la coque et disparaissait Das le flots.

pp. 108 – 111

Le lundi matin, ils retournaient à Paris, ils mangeaient le petit de déjeuner apathiquement. Et ils allaient à l’école de conduite et Pascale commençait elles travaux triviaux.

pp. 115 –

Le narrateur rentrai en avion à Pairs. Dans les jours qui suivirent, le narrateur allait retirer chez le photographie, les photos que il avait prises la nuit dans le ferry.

(…)

Chronologie

Intrigue(s) et épisodes

Personnages

Le narrateur – L’homme qui commençais à aller à une école de conduite.

Pascale Polougaïevski (jeune femme) (pp. 😎 – L’employée de bureau de l’école de conduite, qui entrait dans l’intimité avec le narrateur et devenait l’amoureuse. La fille de M. Polougaïevski.

Jeune homme (p. 12) – Un jeune homme avait 18 ans, vilain comme tout en plus qui voudrait juste déposer dossier.

Petit Pierre (pp. 14-, 79-82) – Le fils de la jeune femme entre premier mari, étudiant de l’école. Un garçon sage intelligent.

L’institutrice de petit Pierre (p. 16, 82)

Signore Gambini (pp. 18-24) – Un homme charmant, un de mes hôtes à Milan.

Infirmière italienne (pp. 19-21) – La infirmière du cabinet de pédicure, qui traitait les callosités du narrateur.

Fulmer (pp. 26-) – Le moniteur de conduit du narrateur.

Moniteur du narrateur avant 10 ans (pp. 33-35)

Jaune fille anglaise (pp. 37-) – Une étudiante de l’école de conduite. Elle était copine de Puffin, et habitait le même appartement de Puffin.

Jean-Claude Puffin (pp. 38-) – Charge de cours des examens du code. Le narrateur, la jaune fille et Puffin devenaient intimes.

Livereur (p. 45) – Il passait un jambon à Puffin.

La directrice (p. 47) – Beau vieux brin de femme.

M. Polougaïevski (pp. 55-) – Le père de Pascale Polougaïevski.

Surfeur âgé (pp. 66-68)

Les jeunes scouts (p. 69) – Il semble que ils sont une symbole de personnes ont le but propre, contre les trois (le narrateur, Pascale et M. Polougaïevski).

Le gardian de l’école (p. 81)

L'homme jouait un jeux vidéo (pp. 98-99)

L'employé corpulent (pp. 100-101)

Une dame silencieuse conduisait un taxi, avec un chien (p. 114)

L'homme jeune et corpulent et la femme un plus jeune, les cheveux blonds et courts (p. 115) – Les propriétaire du Kodak Instamatic, que le narrateur volait dans le ferry.

(…)

Groupes

Emplacements (Etat, Préfecture, Ville, Village)

Ville locale de France – Une ville dans Paris ou environs de Paris.

Milan (pp. 17-23)

Créteil (p. 55) – Le district dont le narrateur s’habitait.

Londres (pp. 71 – 78, 83-85)

Newhaven (pp. 91-94)

Dieppe (pp. 102-)

(…)

Endroits (Chambre , Boutique , École , Espace Public , Gare)

École de conduite (pp. 😎

Apartement du narrateur (pp. 😎

Cabinet de pédicure (pp. 19-)

Petit restaurant (pp. 22-) – Le narrateur et Signore Gambini mangeaient olives et boisaient campari.

Cabines des toilettes (pp. 30-32)

Café (pp. 41-44)

La station-service (pp. 48-)

Centre commercial ; Des rues et des promenades (pp. 64-68)

Immense lac artificiel (pp. 65-68)

restrant indien (p. 70)

Kensington Gardens (pp. 73-74)

Pub (pp. 74-75)

Restaurant (pp, 76-)

L'école de Pierre (pp. 81-82)

Grand hôtel (pp. 88-89)

Gare (de Londres) (pp. 89-91)

Le car-ferry (pp. 95-)

Le bar du car-ferry (pp. 100-) Le restaurant libre-service

La gare Saint-Lazare (p. 108)

Le cour de Roma (p. 108)

Aéroport de Paris-Orly (p. 111)

(…)

Éléments clés, mots clés & phrases clés

Photo

Le japonais (p. 15) – Une langue d’avenir.

Jambon (pp. 45-46)

Les toilettes (pp. 48-51) – Les toilettes est la palace de réflexion comme la salle de bain dans « La salle bain ».

Bouteille de gaz – La bouteille de gaz est une chose lourde. C’est le symbole des troubles et de l’arrêt et l’ennui.

Pluie (p. 58) – La pluie dans les romans de J-P Toussaint, signifie la sensibilité du cours de temps, aussi un dispositif qui arrêtait le temps.

Jeu de mikado (p. 60) – Il semble que le jeu de mikado signifier cours et arrêt du temps, et l’ennui.

L'auto-radio (pp. 64-) – L'auto-radio est une chose lourde de replacement de la bouteille de gaz.

Billiard (p. 71) – Une symbole de mouvement et

Chaussettes blanches de Pascale (pp. 86-87) – Elles signifient la contingence et le sense Incompréhensible de la vie quotidienne,

Pluie (p. 91)

Cabine de photomaton (pp. 92)

Petit instamatic (de Kodak) noir et argenté (p. 102-106, ) – L’appareil-photo ce qui le narrateur volait dans le bateau.

Les photos étaient sous-exposées, le narrateur prenait dans le ferry. (p. 116)

(…)

Choses culturelles sur ce roman

Volvo (p. 14) – Le voiture de la jeune fille.

Pardessus de Stanley Blacker (p. 51)

Volkswagen (p. 51)

Triomph (p. 59)

Boeing (p. 111)

(…)

Musique

Scènes impressionnantes & descriptions importantes

Pensée du narrateur dans les toilettes. (pp. 48 – 50) – Une pensée important de ce roman. L’exemple des échecs est un pont entre s pensée et sa réalité. Cette réflexion est son sentiment de résistance à la réalité et sa stratégie pour enforcer la lourdeur de la réalité.

Reflextion sur la pluie et le cours de la pensée dans d’une cabine de photomaton (pp. 93 – 94) – La pluie est le cours toujours, on pense elle est fixée pour un moment mais il disparaissant disparaît, et ce phénomène se répète, ainsi on ne peut pas saisir l'élément tangible. La pluie est le cours, comme du cours de la pensée. C’est grave et beau le cours soi-même. La cabine est une place pour un repos et la réflexion, et elle est fixé et exclu par la réalité et le monde réel.

Pensée sur avancer du le ferry et et la vie sur le pont du car-ferry (pp. 95 – 96)

Mieux vaut être désespéré qu’aigri, non, dans la vie. (pp. 101)

Reflextion de « je fus un instant idéalement nulle part, si ce n’est immobile dans mon esprit, » dans le restaurant libre-service du ferry (pp. 101 – 102)

L'appareil photo (pp. p. 102-106, ) – Il est un appareil coupe et fixe une image de ce moment, mais d’un autre côté, il y a la coïncidence. Mais, selon le moment où on appuie sur le déclencheur et les conditions, les photos peuvent être bonnes ou mauvaises, significatives ou dénuées de sens.

Pensée du narrateur dans le Boeing en volant (pp. 111-113) – Un homme dans un avion est l’être immobile en mouvement. Et le ciel curieusement bleu et les masses d’air illisible et accueillantes, songeant, par eux, la narrateur voulait faire une sorte d'autoportrait de ce qui n'existait pas. Mais il a déjà pris l'autoportrait saisissait la fulgurance de la vie dans le ferry par le petit instamatic de Kodak. Savoir et saisir la transparence et mouvements inaccessibles et éphémères de soi-même, est réaliser les profondeurs inaccessibles de l’être et la chose ou l’existence immobiles. Il voulait prendre et fixer ces profondeurs et immobilités par l’appareil photo. Cependant il avait pris qu’il s’enfuir avec indifférence, le photo est incomplet mais il a une chose immobile et fixé existe à ce photo.

Là quelques ombre informes comme d’imperceptibles traces de mon absence (p. 116) – La thème de ce roman. La chose qui était représenté sur les photos étaient sous-exposées, le narrateur prenait dans le ferry.

(…)

Énigmes, mystères & questions

Pensée & philosophie

« Personnellement, je n’en était pas aussi sûr. Elle se méprenait en effet sur ma méthode, à mon avis, ne comprenant pas que tout mon je d’approche, assez obscur en apparence, avait en quelque sorte pour effet de fatiguer la réalité à laquelle je me hurlais, comme on peut fatiguer une olive par exemple, avant de la piquer avec succès dans sa fourchette, et que ma propension à ne jamais rien brusquer, bien loin de m’être néfaste, me préparait en vérité un terrain favorable où, quand les choses me paraîtraient mûres, je pourrais cartonner. » (p. 14) – C’est le pensée principal ou un des les pensées principals du narrateur ou dans ce roman.

« Assis là depuis un moment déjà, le regard fixe, ma foi, je méditais tranquillement, idéalement pensif, pisser m’étant assez propice je dois dire, pour penser. (…) Telle était en tout cas, pour l’heure, ma ligne de conduite. » (pp. 31 -32) – Aussi, c’est le pensée principal du narrateur ou de ce roman.

(…)

Interprétations, analyse, remarques ou mémorandum

Analyse et remarques

La thème de ce roman est le cours de temps, le mouvement et l’immobilité, la vie ordinaire, la banalité et le hasard, et le sens de la vie et la vanité de la vie.

Ce roman décrire la vie ordinaire amusante aussi banale et sans intérêt des parisiens. Mais dans cette banalité et cet ennui, il y a une chose précieuse de la vie humaine.

Le narrateur agissait bien, mais, aussi il agissait rien. Il ne faisait pas l’action signifiante ou grandiose.

Ce roman écrivait la contingence et le sense Incompréhensible communes de la vie quotidienne, Toutes les gens font l'expérience de ces choses, connaissent.

La vie avançait comme un bateau, aussi c’est on mourait progressivement, mais comme si on vivait.

Ce roman lui-même est la série des photos prendraient l’être et mouvements du narrateur. C’est éphémère et ennuyeux, mais beau et doux.

Conclusion

Il n’y a pas de confusion fixée dans la vie, la vie est le mouvement et l’absence sont une conclusion du récit dans ce roman.

Détails sur la livre

L’Appareil-photo

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1989)

128 pages, €5.50

ISBN 978-2707320056

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Résumé et commentaire | La salle de bain de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1985

Résumé synopsis

Le narrateur était un homme de 28 ans qui résidait à l’apartment de Paris. Un jour, il habitait et passait à la salle de bain chez lui tout le temps. Edmondsson et leur maman ses occupaient lui. Les artistes polonais, Kabrowinski et Kovalskazinski arrivaient et peignaient les murs, et cuisaient les poules… Le couples dinaient chez le narrateur et quatre jouissaient le Monopoly…

Un jour, à l’improviste, le narrateur sortait de la salle de bain et Paris, se dirigeait vers Italia sans but, et il logeait un hôtel de Venise, et il passait des jours futiles. Enfin, Edmondsson venait chercher à lui, et elle passaient un certain temps à Venise. Mais le narrateur envoyait un flèche à Edmondsson par inadvertance et qui se plantait dans son front. Et Edmondsson retournait à Paris.

Il avait maladie d’une sinusite et entrait à un hôpital. Il se liait d’amitié avec leur médecin traitant. Le médecin invitait lui à diner et tennis. Par mal comportement du chef de service d’infirmière ou quelque choses, à l’improviste, il décidait retourner à Paris…

Commentaire de la livre

Ce roman décribes la vie contemporaine ordinaire de parisiens sans sense significant et événement grave. Les comportements et l’objet du narrateur sont aléatoire et étrange aussi léger et sans raison et stagnent de temps en temps. Le récit progresse légèrement dans la plupart de temps en temps il est arrêt. Et il est composé des choses miniatures et des épisodes banales.

Il y a une description importante dans la section 33 de la partie 1, par un monologue du narrateur. C'est la description ci-dessous.

33) Il y a deux manières de regarder tomber la pluie, chez soi, derrière une vitre. La première est de maintenir son regard fixé sur un point quelconque de l’espace et de voir la succession de pluie à l’endroit choisi ; cette manière, reposante pour l’esprit, ne donne aucune idée de la finalité du mouvement. La deuxième, qui exige de la vue davantage de souplesse, consiste à suivre des yeux la chute d’une seule goutte à la fois, depuis son intrusion dans le champ de vision jusqu’à la dispersion de son eau sur le sol. Ainsi est-il possible de se représenter que le mouvement, aussi fulgurant soit-il en apparence, tend essentiellement vers l’immobilité, et qu’en conséquence, aussi lent peut-il parfois sembler, entraîne continûment les corps vers la mort qui est immobilité. Olé. (pp. 37-38)

Cette description est important est éssence de ce roman, et c'est le pensée et la thème de ce roman. Et c’est le pensée du mouvement et de l'arrêt, ainsi ce roman est récit du courant et de l’arrêt.

Trois chambres ce qui le narrateur habitais et logeais, la salle de bain, la chambre de l’hôtel et la chambre à deux lits de l’hôpital sont les places et les points dont le narrateur regarde des choses mouvementes.

Trois nourritures, les pouples, la dame blanche et le flamber les rognons sont symboles du mouvement et du changement continu. Ils signifient le mouvement ou le courant de la matière entre l’espacement.

Et monopoly, fléchettes et tennis sont les chose ou les élément de l’arrêt. Ils sont des choses mouvement essentielles, mais ils cousent des arrêts dans ce roman, ou des développements de l’arrêt.

Le narrateur vis aléatoire et librement, causent des événements ou des phénomènes de l’arrêt, et demeure les points pour penser et réfléchir.

Les trois éléments, éposodes entre autre personnes et ces combinations font le rhythme et courant agréables, et compose jolies scènes blanches.

Ce roman est le roman de rythme et de courant, qui écris les gens vivent dans le rythme et le courant légers sans sense dans la ville contemporaine. C’est une belle vie. Il doit très sympathique, agréable et amusant pour les lecteurs.

Détails sur la livre

La salle de bain

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1985)

144 pages, €5.50

ISBN 978-2707319289

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